Une Soirée Réussie : 4 - Saut D'Homme
Résumé de lépisode précédent :
Au lendemain dune soirée de sexe avec un homme mûr puissamment membré, jévoque ma rencontre avec une femme délicieuse à la sexualité débridée.
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Patrick mattend chez lui ce soir. Il ma expliqué comment my rendre, argumentant que ce serait beaucoup plus confortable que la table de son arrière-boutique.
Il habite une résidence de standing sur les contreforts de la ville, à quelques kilomètres du centre. Disons 10 minutes. Interphone pour accéder au parking, puis, avec un léger stress, je prends lascenseur pour le cinquième étage.
Cest avec un large sourire quil me reçoit. Je lui tends machinalement la main, mais en la saisissant, il me fait remarquer que nous pourrions nous faire la bise. Je reconnais ma maladresse, mais je ne supporte pas dembrasser un homme, et crains toujours que lon my force depuis
mon premier mec. Mais ce sera une autre histoire, un peu plus tard !
En minvitant à entrer, il sinquiète dabord de savoir si javais trouvé facilement limmeuble, mon chemin. Frais douché, il est en peignoir de bain, toujours aussi charmant, sentant bon le frais et leau de toilette.
Lappartement est très harmonieusement meublé, bien que très épuré ; deux grands canapés en cuir disposés en angle autour dune très confortable table basse, le tout en regard de vastes baies vitrées ouvrant sur un balcon-terrasse. Et en toile de fond, toute la ville illuminée de tous ses feux. Le rêve. Léclairage nest constitué que de lampes indirectes, très tamisé donnant une tonalité très cosy à cette vaste pièce à vivre.
Pat prend ma veste et me demande si je désire boire quelque chose en me proposant de prendre place dans le canapé.
Un whisky sec mira très bien, sil te plaît. Au fait, évite de prendre un Martini, dans labsolu !
Même pas mal, je nai pas de pantalon ! me rétorque-t-il.
Je suis véritablement content de le revoir, et constate avec plaisir quil est naturellement zen. Le moment que nous avions passé ensemble, bien que très sexuel, avait une tout autre dimension ; je métais immédiatement senti très bien à son contact. Ce soir, une bonne atmosphère règne chez lui.
Les verres arrivent, et il sassied sur lautre canapé, juste en face de moi. Tout aussi naturellement, son peignoir est entrouvert, offrant sa magnifique queue à ma vue. Je ne peux mempêcher un petit commentaire, ce à quoi il me rassure en me disant que nous sommes suffisamment intimes pour ne pas nous gêner ! Profitant de cela, il me tend un petit sac en papier. Je louvre et en sors des préservatifs XXL et un tube de gel. Le ton est donné, mon cul ne la pas déçu :
Tu as peur que je tombe enceinte ? dis-je, le sourire aux lèvres.
Non, pas vraiment. Cest par respect pour toi. Je ne veux pas que tu aies peur. Pourtant, je naime pas les capotes. Mais bon
Sa queue lourde sexpose devant mes yeux, et le souvenir des moments passés il y a six jours, combiné à lalcool, me donne des chaleurs. Dans le souci de clore lépisode « capotes », je me justifie en disant quaucun autre homme ne ma jamais pris sans protection, et que je nai pas été raisonnable lautre soir. Mais aucun mec encore ne ma fait prendre autant de plaisir, tout en me respectant, et que jai vraiment envie de renouveler cette heureuse expérience dans ces conditions ! Il me répète que lui na rien, ni rien fait depuis quil a plaqué la fameuse copine quil surnommait « Aspro ». Il est franc, simple, et japprécie.
Tu veux un autre verre ?
Euh
je ne suis pas venu pour sucer des glaçons, merci. Par contre
Pour plus de plaisir, il vaut mieux rester sobre. Je tavouerai que je préfère voir tes lèvres sucer autre chose que des glaçons. Viens plus près, jai besoin de te sentir contre moi.
Jen rêve depuis que je lai quitté lautre soir !
Sans lombre dune hésitation, il ouvre son peignoir et avance son bassin pour sasseoir sur le bord du canapé, tout en repoussant la table du pied.
Surprise ! sourit-il. Déshabille-toi, je veux te voir nu avant de sentir ta bouche.
Je mexécute rapidement, avant de maccroupir entre ses jambes pour embrasser son gland.
Moi aussi jai une surprise. Tu verras.
Ma main gauche soupèse ses lourdes couilles toutes lisses tandis que la droite enserre la base de sa verge et la plonge contre mes lèvres entrouvertes, décalottant son prépuce en lavalant ; Je connais un peu mon monstre et sais mieux my prendre, dautant quil ny a plus leffet de surprise. Je suis aux anges et ne donnerais pour rien ma place. Rapidement, sa hampe gonfle et sallonge sous mes coups de gueule. Je noublie pas de gober les testicules, et Pat avance un peu plus son bassin, posant un pied sur la table, offrant ainsi la naissance de ses fesses musclées. Soulevant ses bourses de ma main, je me surprends à lécher son scrotum, puis ma langue pointe délicatement son anus. Un petit râle dappréciation me fait comprendre quil apprécie cette attention. Je me permets dinsister alors, et ce faisant, vois ses doigts se saisir de sa queue pour entamer un long branle. Ses couilles reviennent longuement dans ma bouche, mon majeur pénètre son petit trou par petites poussées. Il se contracte sur mon doigt tout en envoyant sa main derrière ma nuque afin de minviter à revenir pomper sa queue, quil me présente de lautre main.
Oh, que tu es doué pour exciter, toi ! Suce-moi fort, là, jai envie que tu maspires, que tu me gobes, oui, comme ça ! Jaime ta bouche.
Je relâche ma mâchoire un max tout en activant le mouvement, désireux de lui donner satisfaction. Mon doigt remonte fortement le long de sa prostate que je sens bien gonflée. Puis de nouveau ses couilles, que je trempe de salive, ne sont pas épargnées. Il se branle toujours, commence à souffler, alors je lui mets mon deuxième doigt au cul.
Tu veux jouir maintenant ? Viens vite entre mes lèvres.
Nattendant pas sa réponse, je le reprends profondément en bouche, et le pompe furieusement en remplaçant sa main par la mienne. Il projette son pubis au-devant de mes succions, mes doigts fouillent largement son cul serré, et ma main tire sur son frein avec force à chaque descente de mes lèvres.
Je vais cracher ! hurle-t-il les dents serrées.
Mes yeux se plantent dans les siens au même instant que mes doigts dans son cul ; jappuie alors fortement sur sa prostate en branlant son énorme mandrin comme un forcené, mes lèvres serrées juste derrière son gland hypertrophié ; avec violence, une giclée de foutre est catapultée directement contre larrière de mon palais. Sans cesser de le branler, javale cette rasade juste avant quune deuxième remplisse de nouveau ma bouche. Il crie son bonheur en donnant des petits coups de bassin à chaque décharge, vidant ses vésicules séminales en six puissants jets dun foutre onctueux dans ma gorge.
Je le savoure, attendant quil se remette, son nud libérant les quelques gouttes de sperme contenues dans son urètre. Rapidement il me sourit, la mine réjouie.
Jaime sucer un homme, jaime les grosses queues, et jaime le foutre. Avec toi, je ne peux quêtre satisfait.
Après avoir délicatement retiré mes doigts de son fondement, je dépose son sexe partiellement débandé sur son ventre, et embrasse ses lourds testicules.
Apéritif délicieux, jen reprendrais presque une autre tournée ! lui dis-je en me léchant les lèvres.
Comment peut-on autant aimer le sexe que toi ? Ma première femme, que je croyais insatiable, est une petite joueuse à côté de toi !
Le temps dune cigarette, je lui tourne le dos (même pas peur), et face à la baie vitrée, nu comme un ver, je contemple la ville.
Cest pour cette raison que jai choisi cet appartement, je lai trouvé lumineux et la vue reposante.
Il se lève pour venir à quelques pas de moi ; dans la vitre, son lourd barreau à demi mou pendant sur ses non moins grosses couilles se reflète, cest aussi captivant que la ville illuminée.
Est-ce que lon ta déjà dit que ton cul était bandant ? continue-t-il. Tu es un beau mec, ton corps est splendide, tu baises comme un dieu, et ton cul est un chausson fourré.
Il te plaît ? Vraiment ?
Oui, vraiment. Jai envie de toi.
Sa main se pose sur mes fesses, lautre saisit ma queue et mes couilles, plaquant son sexe contre ma hanche pour me faire sentir sa virilité grandissante
je ne veux pas le faire attendre, et suis impatient dêtre investi. Ses doigts parcourent mon sillon, le temps que son majeur me fouille délicatement.
Là, le regard dans le vide, sa présence contre moi, son doigt
tous les éléments sont réunis pour que je me sente sur un petit nuage, détendu et serein.
Tu sais, dis-je en saisissant lobjet contondant contre ma cuisse, je ne suis pas homo, et jadore les femmes. Mais les queues me fascinent, je suis fait ainsi, je ny peux rien. Je ne vais jamais tembrasser, te dire des mots damour, ou te demander de vivre ensemble. Mais en revanche, ma bouche et mes fesses te seront dévoués. Tant que tu me respecteras, tu feras de moi ce que tu veux, et je ferai tout pour te donner le meilleur de moi-même
encule-moi maintenant sil te plaît, remplis-moi de toi, de ta grosse queue.
Sans un commentaire, il glisse à genoux derrière moi, mord mes fesses de multiples fois en enserrant mes hanches de ses puissantes mains. Sa langue remonte ma raie; afin de moffrir à sa langue, je me penche en avant, plaçant mes mains contre la baie vitrée.
Hummmmm, tu tes rasé ? Intéressant !
Sa langue trouve son chemin et pointe la rosette qui déjà réagit, souvre. Je suis tellement à laise, jai tellement envie et besoin de me faire mettre
que mon ventre est relâché, voire demandeur.
Dans la vitre, je vois sa main branler méticuleusement sa verge.
Jadore quand tu me suces lanus, jen tremble, cest bon !
Patrick semble autant aimer mon cul que moi sa queue ou son sperme, et cest avec appétit quil me fouille de sa langue polissonne !
Des fesses, je le repousse et le fais tomber le dos sur la moquette en laccompagnant, pour me jeter sur sa queue. Mes mains prennent ses lourdes couilles et sa bite en lasso comme sil sagissait dune bouteille et je le pompe le plus fort possible. Comme par magie, est-ce cet état de relaxation, de sérénité, mais ma bouche sécarte suffisamment pour avaler presque entièrement son membre ; lénorme gland se retrouve tout au fond de ma gorge, ses burnes à quelques centimètres de mon nez. Refoulant un haut-le-cur, je tente néanmoins de conserver la posture et fais coulisser sa puissante hampe entre mes lèvres. Instants divins, jai limpression de maîtriser un bolide, et le suce avec concentration. La vitre renvoie limage de mes lèvres distendues, et ce que je vois me comble. Le faire jouir ainsi sera possible maintenant par ma bouche, et ne men priverai pas. Mais là, son ardeur à me bouffer le cul me rappelle que ce côté-là de moi le réclame aussi. Lidéal serait deux hommes de ce calibre, me donnant ainsi le même plaisir de part et dautre. Mais là, cest un fantasme.
Je me décide à lâcher son gourdin, je suis prêt, même impatient, à le recevoir, de le retrouver. Nous nous dirigeons vers le canapé, et Patrick se saisit des capotes. Je le laisse se battre avec son plastique, préférant de loin jouer avec ses belles couilles toutes lisses que je gobe bruyamment. Luisante comme un godemiché, sa queue est encore plus impressionnante sous cellophane que nature. Il a réussi à plastifier le monstre, jen suis un peu déçu, jaurais préféré un échec, mais nen dis rien. Je le reprends un peu en bouche même si le goût nest vraiment pas sympa, ni la glisse, du reste.
Donne-moi ton petit, que je te remplisse comme tu aimes !
Je minstalle à genoux en travers du canapé, les pieds par-dessus laccoudoir, la tête sur les coussins. À laide du gel il senduit la queue, puis en dépose dans ma raie une bonne quantité. Mes mains écartent mes fesses au maximum pour ouvrir mon trou à son dard quil vient appliquer.
Viens en moi comme chez toi, je te livre mes reins ; fais-moi jouir sil te plaît, ne sois pas brutal. Jai besoin de douceur pour jouir.
Et son gland se positionne avec précision, puis sous la pression sinsinue lentement en moi en repoussant mes chairs. Le gel facilite la progression, et le sentir glisser par petites vagues me donnent des sensations incroyables.
Mon cul te réclame, tu sens comme il souvre pour toi ? Oh oui, cest bon ; tout doucement.
Pat est concentré à ne pas me décevoir, conscient que trop de témérité pourrait si facilement me déchirer. Il préfère jouer la prudence et la patience. Il ma plusieurs fois expliqué sa frustration de ne pas pouvoir sintroduire facilement, et davoir essuyé tant de défaites, quavec moi, il tient
à ménager sa monture.
Tu es bien, je ne te fais pas mal ? sinquiète-t-il.
Tu ne te rends pas compte des sensations que tu moffres ; je nai jamais rien ressenti de tel. Cest grandiose, encule-moi encore, je veux sentir tes couilles contre moi. Jadore ta queue, quand tu es en moi. Prends-moi
ne me fais plus attendre !
Sous de savants petits va-et-vient, toute résistance cède, complètement sous le charme de son imposant visiteur. Ma main passe entre mes jambes pour lui agripper les couilles et lui faire comprendre quaucune marche arrière nest possible. Je souffle fort sous la pression, pousse très fort sur sa queue.
Jaime cet instant, me sentir serré
cest tellement rare ! Je vais te faire bouger, tu vas aimer. Tu mas bien fait jouir à peine, je tiendrai le temps quil faudra pour te combler comme tu le mérites.
Ses couilles sont contre moi, la pression est à son paroxysme. Mon ampoule est dilatée à exploser, et cest à chaque fois cette sensation de distension qui se transforme
en pur plaisir. Des contractions de sa hampe me font vibrer, je ne suis plus quune masse nerveuse au service de notre plaisir.
Il vient se pencher sur mon dos, menserre dans ses bras, et me murmure à loreille :
Redresse-toi, je voudrais que tu tassoies sur moi, tu vas danser pour moi.
Je men remets à lui, il est ma source de plaisir. Ses deux mains magrippent alors sous les cuisses, et, bien quil reste planté en moi, nous nous retrouvons par miracle lui assis sur le canapé, et moi le chevauchant. Plus empalé que cela nest pas possible, je prends rapidement appui sur mes bras pour soulager mon fondement, entamant quelques ondulations. Ses mains passent sous mes fesses, il maccompagne dans cette danse en me parlant crûment, me rappelant de quoi je suis capable. La vitre, telle un miroir, me permet dêtre également spectateur de mes sensations, me montrant sa formidable barre lubrifiée me pourfendre hardiment les fesses. Terriblement excitant de baiser devant un miroir.
Nos souffles saccélèrent, le rythme sendiable, mon cul avale cette sodomie avec de plus en plus dappétit. Je ne me reconnais plus tant je suis réceptif
et communiquant. Je ne me suis jamais senti aussi à laise avec un amant, et nai jamais autant exprimé, verbalisé mon ressenti. Je ressens le besoin de lui parler, et il nhésite dailleurs pas à me demander demployer des mots crus.
Ce que tu me baises bien, jaime comme tu me baises ! Je nai pas mal, je ne fais quen jouir ! Baise-moi, continue, oui, encore ! Tu sens comme jaime, hein, tu sens comme je suis ouvert pour que tu mencules, comme jen frissonne ? Viens, vide tes couilles dans mon cul !
Pat sexécute. Je place mes pieds sur ses genoux, mes bras toujours en appui, il donne des coups de reins de plus en plus forts. Il jouait la longueur, faisant glisser toute sa hampe dans mon mignon, mais maintenant, il me propulse 10-15 centimètres dune queue monstrueuse, dure, qui tape au fond de mon rectum ! Ses couilles se soulèvent à chaque poussée. En transe, nous nous accordons à chaque assaut, je suis impressionné de notre état fusionnel depuis la première fois. Ma queue, demi molle, tressaute à chaque coup de boutoir, ma vessie et ma prostate mannoncent quelles ne comprennent plus ce à quoi nous jouons, et au même moment, mon sperme sécoule sur ses cuisses et ses bourses en longues traînées. Je hurle ma jouissance, ce qui déchaîne Patrick, qui à son tour éructe un son étrange que seul un homme en plein orgasme arrive à produire.
Oui, remplis-moi de foutre, jouis fort en moi, comme ça, oui, cest boonnnnnn !
Sa queue est le piston dun moteur tournant à plein régime, il mencule comme un forcené en balançant le jus de ses couilles au plus profond de mon ventre. Dintenses spasmes parcourent sa verge, se synchronisant à ceux de mon sphincter.
Epuisés, mes bras ne me portent plus et je mécroule, mempalant jusquà la gorge sur lui. Nos souffles sont courts. Je repose mes pieds de part et dautre des siens. Mon cul est en feu, mon ventre est un maelstrom de sensations étranges, ma tête tourne. Je lui dis quil est fou, quil va nous à nous faire jouir aussi fort ! Ce à quoi il répond quil nen sait plus rien, quil est déjà mort, et que pour linstant, plus rien na dimportance. Le temps en effet sarrête.
Lentement, je le sens se décongestionner en moi, et mon anus me chauffe terriblement, victime de la combinaison préservatif / gros diamètre / rythme endiablé. En tenant bien la capote sur sa queue pour ne pas la laisser glisser, je rassemble mes forces pour me relever tout doucement. Prouesse technique, le latex a résisté à la pression de ses assauts. Jai dans ma main une grosse verge plastifiée avec une énorme boule de sperme, tel un grelot, qui pendouille au bout du gland. Je tombe à genoux entre ses jambes, son sexe toujours dans ma main, et lèche ses couilles pleines de mon foutre. Patrick sourit.
Hummm
nettoie-moi, jaime ta langue.
Avec application, je lape toute cette semence, puis embouche son gland et le réservoir de la capote. Mordant le réservoir, je déchire facilement le latex. Lentement, je retire le préservatif du gland vers la base de sa hampe, et dispose dun coup de tout le délicieux foutre que la capote libère dans ma bouche en se retirant. Je nai jamais eu autant de sperme à disposition en une seule prise, cest comme si deux hommes sy étaient mis. Je le savoure et lavale par petites gorgées avant de nettoyer le gland et la hampe de mon étalon, comblé.
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