L'Amant De Maman Est Mon Oncle ...
Javais dix sept ans et demi lorsque oncle Didier est venu habiter a la maison, suite a un divorce tumultueux il sest retrouvé au chômage et pour tout arranger la villa appartenant a son épouse il sest retrouvé a la rue du jour au lendemain
Florent est bel homme de quarante huit ans, il captive toutes les pensées et les questions que peut avoir une jeune fille en pleine évolution hormonale, sans aucune expérience que des flirts poussés avec un copain qui ma dépucelée avec ses doigts et une certaine attirance pour les hommes mûrs, hélas cest comme si jétais transparente a ses yeux, malgré mes efforts il ne me calcule pas
Florent pour plus dintimité et au cas où il ferait une rencontre coquine, a une chambre située au bout de la maison, mais il fait salle de bain commune, ce matin je lai vu déposer son linge sale, attirée par lodeur de sueur virile jai fouillé parmi les vêtements afin de trouver le teeshirt responsable de cette émanation dhomme quand jai trouvé un grand slip blanc, une fente permet de glisser la main certainement pour attr le sexe pour pisser
je lai porté a mes narines et là
.hhhuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmmmm quel bouquet !
Mes narines captent une odeur acre encore inconnue que je suppose être du sperme à voir ces taches jaunâtres collées dans cette poche volumineuse qui déforme le sous-vêtement, cela minterpelle sur la grosseur du membre
et ça ? cest bien des sécrétions de femme non ? je produit les mêmes lorsque je mouille, il a donc baisé ? mais avec qui ? jen aurais le cur net cest juré ! avec regret je remet le slip a sa place
Mes soupçons se sont vite portés sur maman qui ne se prive pas de se frotter a lui lorsque papa a le dos tourné, elle glousse discrètement quand il laisse volontiers ses mains trainer sur ses fesses
où et quand baisent-ils ??? lui ne travaille pas et elle reste a la maison, facile de trouver un moment pour se retrouver
Aujourdhui je fais semblant de partir au lycée pour revenir épier prés de la fenêtre de la chambre de Florent qui est ouverte, assise sur un bac de fleurs je révise un cours pour ne pas perdre de temps lorsque je perçois les ricanements de maman et les injonctions de Florent
- Ôte ta culotte salope je vais te farcir le millefeuille
- Jaimerais bien te sucer avant
- Sort-là, elle est au garde-à-vous
Un silence se fait, le cur battant je risque un il, maman trop occupée pour me voir est accroupie devant Florent qui regarde sa verge se faire engloutir par la bouche vorace de ma mère qui tient le manche a deux mains mempêchant de me faire une idée du diamètre, lorsquelle le rejette pour respirer je distingue un champignon gros comme un uf quun bourrelet relie a la hampe incurvée vers le haut, quant à la longueur je suis sidérée, les deux mains collées il reste une belle portion a avaler
si je ne veux pas de réflexions sur létat de mon slip ce soir je devrais laver moi-même ma culotte qui pègue a ma toison , je la vire dans laine pour limiter les dégâts ça me permet aussi de pouvoir enfoncer deux doigts dans ma fente
Soudain Florent, sans doute impatient de baiser, repousse ma mère qui se retourne sur le bord du lit, son amant retrousse sa robe sur ses reins, elle arque ses fesses blanches absentes de slip, il lui fait écarter les genoux et se pose entre les cuisses pleines, là je peux voir la fabuleuse bite qui fouette lair au rythme de ses battements de cur, je cherche mes seins qui nont jamais étés aussi durs, au moment où il introduit ce gourdin qui disparait entièrement dans maman je rajoute deux doigts dans ma tirelire en feu
Cramponné aux larges hanches, jentends le ventre de Florent qui claque sur le cul de maman qui accueille la virilité en hurlant quil louvre en deux
- Ce nest pas ton cornard de mari qui te baise ainsi hein pouffiasse ?
- Il est monté comme un gamin, toi te me fait grimper aux rideaux
- Un de ces jours je vais tenculer !
- Je ne suis pas prête à recevoir ton gros calibre, olivier sapercevrait du changement lorsquil me met un doigt
Les yeux fermés, les lèvres serrées pour ne pas laisser éclater un orgasme fulgurent jarrose mon poignet avec le produit de ma jouissance, au même moment dans la chambre les amants laissent jaillir le leur, jai juste le temps de voir une longue trainée blanche expulsée du bout rouge zébrer le cul de ma mère je me rassois abasourdie par cette vision irréelle, des halètements et la porte qui claque, je dois partir
.
Je suis de plus en plus décidée à me montrer femme aux yeux de Florent, dés quil a déposé son linge sale je me précipite pour constater les dégâts visibles dans le fond maculé, a coté une pile de vêtement repassés sont prêts pour lui
ni une ni deux, jy cache ma culotte souillée de la veille avant de me réfugier dans ma chambre pour me chouter avec les effluves encore tenaces de son slip
Le feu au ventre je passe la main dans cette fente comme pour y attr une bite virtuelle, même mes deux poings ne suffiraient pas à combler la déformation causée par son sexe énorme, je frotte le vêtement sur ma moule en effervescence, quelques allers retours sur mon clito exacerbé ont suffit à me faire jouir, cette fois je cache le trophée sous mon oreiller pour ce soir
Avant le repas profitant de labsence de papa Florent interpelle ma mère
- Tu ne mas pas rendu mon slip propre ?
- Pour la simple raison que tu ne me las pas donné a laver !
- Je ny comprends rien, à la place jai trouvé une culotte de femme bien polluée et ce nest pas la tienne je les connais bien maintenant !
- Mystère
bon ce nest pas grave tout va rentrer dans lordre
Florent a un regard interrogateur braqué sur moi, il profite du départ de maman à la cuisine pour me coincer
- Élise ?
- Quoi !
- Cest bizarre tu ne trouve pas ? mon slip introuvable est remplacé par ta petite culotte souillée
- Et alors ? tu préfère que je parle à papa de ta relation avec maman ?
- Tu es folle ? je ne fais rien de répréhensible avec ta mère voyons
- Nous en reparlerons ce soir dans ta chambre si tu le veux bien
- Petite imprudente, fait gaffe, tu ne sais pas de quoi je suis capable !
- Jen prends le risque
- Tu as intérêt à me ramener mon slip !
- Et toi ma culotte, sans y avoir ajouté ton sperme
- Prétentieuse !
Je jubile, je tiens cet individu par les couilles comme dirait papa, le pauvre est cocu, mais tant quil nest pas au courant il nen souffre pas, je vais le venger ! après diner je prétexte une grosse fatigue pour regagner ma chambre, non sans avoir fait peser un regard qui en dit long sur Florent qui tire aussi sa révérence, papa en profite pour se rapprocher de ma mère, ça va se terminer au lit rapidement !
- Entre Élise
- Merci
voilà ton kangourou, quelle belle poche ! ma culotte sil te plait ?
- Hé bien je lai
égarée
- Cherche sous ton oreiller, cest là que je cachais ton slip pour garder son odeur
- Ok ! oui je me suis branlé dedans !
- Et moi je me suis essuyée le minou avec le tient ! faisons échange
mmmmmmuuuuuuummmmmmmmm quel fumet !
- Je reconnais que ta chatte a une délicate odeur, plus suave que celle de ta mère, faisons la paix veut-tu ? dommage que tu sois si jeune
- Jeune mais pas innocente, je nai quun désir
- Lequel ?
- Passer ma main dans la fente de ton slip
- Tu vas avoir une surprise
soit, si jaccepte je passe aussi ma main dans ta culotte
- Daccord, qui commence ?
- Faisons-le ensemble ? ôte ta robe et je quitte mon pantalon
Sans ajouter un mot je fais glisser ma robe sur mes épaules, me voilà quasiment nue devant un homme de vingt ans mon ainé, en slip qui se met a mon coté pour que je puisse enfiler ma menotte dans son slip qui gonfle a vue dil, mes doigts tremblants trouvent dans cette poche chauffée a blanc un véritable anaconda lové sur lui-même qui cherche désespérément à se déployer, mes doigts serrés derrière le gland tirent vigoureusement pour le sortir de sa prison de coton
je reste bouche bée devant le membre zébré de grosses veines qui palpite dans ma paume
- Satisfaite ?
- Cest impressionnant vu de prés
jai de la peine à le maitriser, la grosse fente quil a au bout pleure, cest normal ?
- Tout comme ta chatte doit transpirer en ce moment non ? tu permets que je vérifie ?
.
- Donc tu avoue la baiser !
- Oublie ça, ce nest pas de ton âge
Cest avec un plaisir immense que jaccueille ses doigts dans ma vulve qui inonde rapidement sa main
- Tu nes plus pucelle ?
- Non, mais je ne me suis jamais faite pénétrée par une verge
- Tu déconne ?
- Non
- Si nous nous asseyons sur le lit ?
- Si tu veux
- Ne tremble pas petite sotte, je vais te faire minette
- Minette ?
- Je vais embrasser ta chatte, recule et pose te jambes sur mes épaules
. Mmmmuuuuuummmmm que tu sens boonnnnnnnnnnnnnnn
- Aaaaaahhhhhhhhhhhooooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiii ! enfonce ta langue
Inutile de lui dicter ce quil doit faire, il le fait avec une dextérité que je ne soupçonnais pas, son appendice buccal ravage mes parois vaginales marrachant des soupirs, que devrais-je ressentir sil me met sa queue ? il aspire bruyamment ma sève intarissable tandis que son pouce écrase mon clitoris, mon cerveau semble exploser lord de lorgasme qui me foudroie, lorsque que je reprend mes esprit Florent est a genoux entre mes cuisses, mes jambes sont posées sur ses larges épaules, il frotte lentement sa manthule sur mon clito encore hyper-sensible
- Que fais-tu ? tu veux me baiser ?
- Ce nest pas ce que tu es venue chercher ?
- Tu vas me déchirer
.
- Cest exactement ce que ta mère a dit la première fois que je lai pénétrée sur lévier de la cuisine, depuis elle raffole de ma bite, ma langue ta ouverte comme une bouche de métro, alors ? je te la plante ?
- Va-y défonce moi la craquette
Je relève la tête au maximum pour voir ce bout rond repousser mes petites lèvres jusqu'à les distendre , quelques poils sont entrainés dans mon trou provoquant un désagréable picotement de cheveux arrachés, mais quel délire une fois la bite engagée dans mon manchon vierge de chair, lair me manque, lentement il se retire tel un piston bien huilé, une bague de mousse provoquée par ma mouille orne sa queue, au fur et a mesure de la progression elle recule jusqu'à toucher sa toison brune, emmanchée totalement il reste immobile, sa queue impatiente daccomplir son uvre tressaute dans mon ventre
- Ça va ? tu supporte ?
- Cest génial !
- Alors je peux te ramoner à ma guise ?
- Fait moi découvrir les plaisirs de la chair
Bien campé au dessus de moi il commence ses va-et-vient de plus en plus rapides, tellement je suis serrée mes organes semblent ressortir dans mon vagin à chaque mouvements arrières, son membre décalotte mon clitoris créant un effet foudroyant a chaque effleurements, jamais mes doigts ne mont procurés un tel plaisir, ceci ajouté a ses coups de boutoirs variés je vous laisse imaginer les orgasmes successifs qui irradient mon bas ventre
Profitant de mon état second Florent enfonce un ou plusieurs doigts dans mon anus, jamais je navais osé toucher cet endroit tabou et je maperçois quil est très réceptif, aussi je le laisse faire lorsquil les enfonce jusqu'à la dernière phalange, cest le nirvana ma chatte rejette tout ce quelle peut rejeter, arquée en deux je reçois en plein utérus des jets drus interminables, a nouveau je sombre dans une délicieuse léthargie, une étrange sensation qui me ramène sur terre, allongé entre mes jambes cest encore sa langue pointue qui travaille mais cette fois elle remplace ses doigts plantés dans mon rectum
- Mais que fais-tu Florent ?
- Tu es vachement souple et réceptive du cul ma belle, que dirait tu si je te dépucelais le postérieur ?
- Tu veux me prendre ce que maman ne veut pas te donner ?
- Tu nous espionnes ? sache quune bonne maitresse accorde tout à son amant
- Tu veux dire que tu va laisser tomber maman ?
- Ton père va finir par se douter de quelque chose
- Je pourrais dormir avec toi ?
- A condition que tu te mettes en levrette immédiatement
- En levrette ?
- Décidément tu as tout à apprendre ! à quatre pattes si tu préfère
- Tu va menculer ?
- Eh oui, avec ce beau morceau que je tiens dans la main !
- Tu rebande déjà ?
- Assez pour te baiser jusqu'à ce que tu mimplore de cesser
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