Une Soirée Réussie : 5 - Voyage À Sodome
Résumé de lépisode précédent :
Je suis venu rendre visite à Patrick, un quadragénaire gâté par la nature rencontré lors dune soirée une semaine plus tôt. Nous passons de longues heures à nous découvrir à faire lamour, de plus en plus en phase lun avec lautre.
Remis de notre performance, nous nous retrouvons. Lexcitation est retombée à la suite de notre dernier orgasme, et lon peut (presque) toucher nos corps sans mettre en éveil notre désir. Cest ainsi que nous nous frottons lun contre lautre pour nous savonner, rigolant comme des ados. Je me sens si bien en sa compagnie ; mes pensées sont si sereines !
Pour la première fois, je ne me sens pas ce jeune homme qui a succombé au désir quasi immoral de tailler une pipe et de se faire sauter, mais plutôt un homme en harmonie avec ses pulsions qui vient de vivre des instants de pur plaisir. Mon ventre est détendu, je nai pas envie de me hâter, ni ne ressens le besoin de rentrer chez moi.
Patrick me propose de grignoter quelque chose. Japprécie, et le regarde nous préparer un plateau. Ce mec est beau, tendre, et le temps passé à ses côtés nest que plaisir, même après lamour. Nous mangeons quelques fruits et quelques yaourts, suivis dun bon café, juste histoire de nous caler un peu.
Notre discussion est ininterrompue, lhumour fait partie du menu, bref : nous nous apprécions. Naturellement, lorsquil me demande si jaccepte de dormir chez lui, je ne pense même pas à refuser. Lorsquil me conduit dans sa chambre, jemmène le tube de gel. Je ne doute pas un instant de ses désirs, pas plus des miens du reste.
Jai besoin davoir des étoiles dans la tête pour mendormir. Affirmais-je en posant le tube sur la table de nuit. Tu veux bien faire le marchand de sable ?
Je crois que tu nauras pas à me le demander deux fois. répond-il en souriant. Mais tu nas pas oublié les capotes ?
Si tu ny vois pas dinconvénients, je préfère sans.
La cause est entendue. Je massieds au bord du lit pour attirer le sexe de Patrick jusquà mes lèvres. Javale le lourd gland et débute une pipe très tendre. Profitant de son sexe encore flasque pour lemboucher jusquau pubis. Ses mains sur ma tête accompagnent mes mouvements, de même que ses paroles mencouragent, même si je ne manque pas de cur à louvrage.
Avec une force que je ne lui soupçonnais pas, il me soulève pour me déposer au milieu du lit, puis sallonge en 69. Je reprends ma fellation en pétrissant ses lourdes bourses, alors que Patrick se rue directement entre mes fesses quil écarte de ses mains. De mes bourses au sacrum, sa langue lèche, titille, darde, joue avec mon anus qui ne demande quà participer. Impossible de dire combien de temps nous nous dégustons, et quelle importance. Aidé de ses deux index, il distend mon sphincter pour mieux y plonger sa langue.
Il ma encore mis hors de moi, les sens en ébullitions. Je le veux autant entre mes reins quentre mes lèvres, voire même quil mencule si fort que je puisse sucer son nud en même temps. Lui bande comme à 20 ans, épais, dur ! Je me repais de ce magnifique trois-pièces lisse de tout poil, le pompe à men déboîter la mâchoire.
Sans nous concerter, il me tourne à plat ventre. Linstant daprès, je sens le froid du gel plongeant dabord dans mon trou distendu avant de samonceler entre mes globes. Sa main passe maintenant sous mon ventre pour me mettre en chien de fusil, le bas du dos au contact de sa queue immense, mes omoplates contre ses pectoraux.
Tu la sens ma grosse queue qui bande pour toi ? lance-til dune voix suave.
Oh oui, je lattends.
Tu la veux ? continue-t-il en la plaçant sous mes bourses.
En entier, oui. Fais-men sentir chaque millimètre jusquà la garde.
Limposant nud écrase la noix de gel en se plaçant à lentrée de mon ventre, puis mon nouvel amant imprime une douce pression, et déjà ses chairs forcent lourlet anal.
Je me sens si bien entre ses bras, rempli de cette queue incroyable, que la tête men tourne. Minutes après minutes, je viens à sa rencontre. Il me baise avec beaucoup dattention, varie sans cesse le rythme et la profondeur, me questionnant sur mes sensations et me décrivant les siennes. Ses couilles roulent contre mes fesses, il est véritablement dans mon ventre à présent.
Je voudrais pouvoir te sucer et te sentir en moi tellement cest bon. Dis-je, haletant. Jadore ta queue, elle est immense, elle
elle me fait jouir. Ouiiiiii
Ooohhh
tu me baises si bien
je voudrais que ça ne sarrête pas.
Tes fesses sont si agréables, tu me serres la queue dune façon exquise. Je vais bientôt jouir. Je ne peux pas tenir beaucoup plus.
Viens
Viens en moi. Je veux te sentir décharger en moi. Ohhh
Patrick ! Oui, viens dans mon ventre, sil te plaît.
Bien que déjà obèse, soudain son gland se dilate, frottant contre le fond de mon rectum. Mes doigts se figent sur sa hanche alors quen de multiples secousses il minsémine, marrachant de véritables cris de jouissance couvrant ses râles. Il me remplit de sperme, les testicules collés à mes fesses, planté en moi à men transpercer, puis enfin simmobilise. Mon anus est lui aussi sujet à de multiples contractions, trahissant mon réel plaisir de lavoir en moi.
Ma tête sur son bras, son souffle court dans le cou, sa main sur mon ventre, solidement planté en moi, nous ne disons mot, savourant cette étreinte une fois de plus parfaitement synchronisée. Mon esprit se perd dans le vague, dans la rêverie. Est-ce dû à la violence de mon orgasme, je ne saurais le dire, mais alors que mon empâleur débande lentement entre mes fesses, mes pensées sont pour Danièle.
Je me revois un an plus tôt fonçant pour retrouver ma belle.
ooOOOoo
Le cur rapide, un sentiment de légèreté bien agréable me donne des ailes, propulsant mon corps avec une énergie largement plus appropriée à lenvol quà la marche. Les quelques centaines de mètres me séparant de ma belle ne sont pas un obstacle, mais un tremplin, et cest la tête pleine de ses odeurs, dimages de son corps contre le mien que je me retrouve enfin devant sa porte. Je sonne. Cest entièrement nue quelle mouvre la porte ; ses courbes sont parfaites, et ses seins magnifiques me défient, arrogants, fiers ! Mon corps laspire puissamment contre moi et mes mains redessinent tous les formes les plus charnues de ses reins, tandis que nos bouches, nos langues et notre salive se réunissent avec tendresse
et persévérance.
Long, trop long, une journée ! susurre-t-elle avant de membrasser encore plus avidement, plaçant ses doigts dans mes cheveux pour accen ce baiser torride.
Je suis daccord avec elle, mon corps lest également, et ce nest pas mon sexe qui dira le contraire. Puis sa bouche me dévore le cou tandis quune de mes mains prend péniblement possession dun de ses seins. Dan a la chair de poule, sa peau est granuleuse, son téton est dur comme du bois. Mes lèvres emprisonnent sa large aréole, lui arrachant un petit cri tout en propulsant instinctivement son pubis soigné contre ma jambe, dailleurs aussi raide que les deux autres !
La texture de sa peau, son odeur, son goût
alors que sa langue plonge une nouvelle fois dans mon oreille pour la dévorer, le temps dune exquise caresse, dune irrésistible sensation, merveille de délicatesse ; jen tombe à genoux et retrouve sa petite chatte gorgée en contre-jour, ses grandes lèvres dissimulant ce doux vagin où jirai me cacher plus tard. Pour lheure, Dan se cambre pour moffrir son fruit damour, sa mangue mûre, et mes lèvres en embrassent immédiatement le contour pour ne pas risquer de perdre ne serait-ce quune goutte de sa cyprine.
Je laspire, je la lèche, Dan pose même un pied sur le guéridon trônant dans lentrée pour mieux souvrir, moffrant alors jusquà son petit anus étoilé à darder.
Jaime comme tu nous embrasses, mon corps et moi
ta bouche est si sensuelle
Mais son bassin semballe, et sa chatte frotte ma bouche de plus en plus fort alors quen levant mes yeux, les seins de ma maîtresse décrivent des cercles de plus en plus concentriques, mouvements fortement perturbés par sa respiration de plus en plus haletante.
Tu me fais jouiiiiiiiiiiiiir ! » sexclame-t-elle quelques minutes à peine après mon apparition devant sa porte, alors que son corps se tend, se fige en antépulsion, que sa chatte transpire son précieux nectar dans ma bouche comblée.
Ma langue termine dembrasser son sexe avec énormément de précautions, mais je ne peux me résigner à abandonner cette partie si goûteuse de son anatomie. Finalement, tout en déposant des milliers de baisers sur son ventre, ses seins, son cou, je suis de nouveau face à elle, et son regard empli de sérénité plonge dans le mien. Il y a des silences qui bien souvent parlent davantage que bien des mots. Me prenant la main, mon idole memporte jusque dans sa chambre, se met à son tour à mes pieds et mord ma queue tendue au travers de mon jean. Je sais ce qui mattend, douce . Ses mains sactivent à dégrafer ma ceinture et mon pantalon, puis libèrent lobjet de sa convoitise en arborant un sourire complice. Mes testicules sont alors les premiers servis, disparaissant à tour de rôle dans sa large bouche pour y danser avec sa langue, sa main enserrant ma hampe pour un long branle.
Dan la joueuse, Dan la gourmande, Dan la suceuse lève ses yeux vers moi en remontant toute ma queue de sa langue humide, puis tire ma solide érection tel un bandit manchot pour venir baiser mon gland et récolter la sève qui sen échappe. Puis, toujours armée de sa langue, cest autour de la couronne quelle court pour mieux revenir sur le frein. Ce dernier, tel les cordes dune harpe, vibre directement dans ma gorge, mais le souffle mest volé par un spasme avant quun son ne sorte lorsque ma queue toute entière glisse entre ses lèvres serrées, mes couilles réunies dans sa main, peut-être pour être sûre que je ne parte pas. Il faudrait être fou pour pouvoir se soustraire à une si délicate attention. Avec de beaux bruits de salive, elle me suce tantôt vite, tantôt doucement, nhésitant pas à bien prendre toute ma queue dans sa bouche. Cette dernière est gorgée de sang et de foutre, je ne me rappelle pas lavoir senti si grosse, si réceptive. Entre couilles et gland, Danièle sait exactement où et comment agir, cest une pompeuse douée autant que passionnée. Je lui explique mon état, mes mains enserrent sa tête et jimprime quelques mouvements de bassin, trahissant mon impatience. Un soubresaut part dentre mes trapèzes pour voyager le long de ma colonne. Parti comme un frisson, cest une onde de choc au niveau des reins, marrachant un cri bestial alors mes couilles rencontrent le menton de ma suceuse dans leur ascension. Terrassé, jabandonne toute lutte pour me retenir, et laisse libre cours à ma semence bouillonnante, me livrant à un véritable infanticide en moubliant sans retenue au fond de sa gorge goulue.
Je nen finis de jouir, ce qui na pas lair de contrarier Danièle, très occupée à bien tout recueillir en saidant de sa main pour bien branler ma queue bandée à lextrême, aussi dilatée que linstant présent. Ses yeux clos démontrent quelle prend plaisir à me déguster, et savoure probablement le fait davoir donné, voire offert ce plaisir. Les jambes tremblantes, elle calme le jeu, veillant à ne pas trop solliciter les parties sensibles, serrant moins ses lèvres ; mes testicules reprennent leur position gravitationnelle, nayant de toute façon plus grand chose à voir
pour linstant. Plus rien, à part ma douce beauté, na réellement dimportance à cet instant, lendorphine a depuis quelques secondes quitté mon cerveau au profit de mes veines, et parcourt maintenant les méandres de mon esprit. Sorti de sa bouche, je me laisse tomber sur le lit, rapidement rejoint pour un langoureux baiser au goût de semence. Jaime ce goût puissant, même sil sagit du mien.
Tu mas vidé ! parviens-je à lui murmurer.
Tu es délicieux. Jaime te sucer, et
je recommencerai ! rit-elle en saisissant mon sexe à demi-mort.
Une salade improvisée, un verre de vin, quelques bribes de discussion, mais nos yeux font lamour alors que la table de sa cuisine nous oppose. Elle mexplique doù elle est, jen fais autant, nos rires joutent, nous sommes plutôt complices alors que doucement sinstalle la nuit dehors. «
Jai envie de toi, là, de suite ! lui dis-je en lui prenant la main.
Nu sur la chaise, je sens ma bite pendante sallonger lentement, salourdir, premier stade avant de se redresser. Je me lève pour venir prendre ses lèvres le temps dune douce étreinte buccale. Tout me plaît chez elle, elle est divinement irrésistible, soyeuse autant que goûteuse, mes sens en sont tout chamboulés. Penché sur mon amazone pour mieux lembrasser, mes doigts investissent sa petite chatte toute trempée, jouent avec son bourgeon. Entre deux baisers, mes doigts trempés de sa mouille plongent entre ses lèvres tout en lui expliquant que cest pour mieux lui faire comprendre pourquoi jaime tant lécher son sexe.
Toute excitée, ces paroles et ces gestes sont dun érotisme torride, et sa main pèse, malaxe mes couilles, tout en mattirant vers sa bouche pour un jeu de langue autour de mon gland écarlate. Mais je suis jaloux, je veux sa vulve, je veux son jus damour, je veux lui mordre ses fesses, lui aspirer son anus. Toujours dans sa bouche, je repousse la vaisselle à lautre bout de la table, et y couche Danièle dautorité, prenant ses jambes sur mes épaules. Ma langue part du bas de sa raie, lui dévore son adorable cul, tout en venant investir sa chatte inondée à intervalles réguliers. «
Que tu es doux ! Jaime comme tu me dévores, ohhhhhhh ouiiiiiiii, cest si bon. Mais viens
prends-moi maintenant !
Ses jambes relevées contre moi, de sa main elle matt la queue et la plonge en elle ; dune poussée jusquaux couilles, je la redécouvre.
Jaime ton sens de lhospitalité, je suis bien en toi.
Et par de longs va-et vient, je la parcours amoureusement, passionnément, ses deux superbes obus dans mes mains, émerveillé par son corps de rêve.
Ohhhhh ouiiiii, prends-moi, oui, jaime !
Et je my emploie avec beaucoup dattention, admirant son visage angélique, scrutant toutes ses mimiques, ses rictus, à lunique recherche de son plaisir. Sa tête roule de droite et de gauche, reposant au milieu dune rivière de cheveux. De temps en temps, mes couilles viennent battre ses douces fesses, lui arrachant quelques cris.
Soulagé par la prodigieuse pipe, je me sens maître de la situation, je gère ma respiration afin de ne pas me laisser « prendre » par une trop grande excitation, et alors jouir trop tôt. Dan plante ses ongles dans mes fesses, me demande daccélérer, et ne tarde pas pas à jouir dans un grand cri de joie, son vagin se contractant sur ma verge avec une intensité impressionnante. Cest une jouisseuse incroyable, toujours disposée à « partir ». Profondément inséré dans son vagin, je ne résiste plus à lappel de sa bouche et me penche pour lembrasser fougueusement. Ses bras menserrent puissamment, nos corps semblent faits lun pour lautre, comme deux petites cuillères.
Tu es un merveilleux jeune amant, jadore lamour avec toi, cest toujours bon. me glisse-t-elle. Encore, jen veux encore !
Alors que je recommence à bouger le bassin pour lui répondre, elle me dit alors :
Non, pas là, prends mes fesses ! Tu veux bien ?
Cest la première fois quune femme me demande de lenculer, ses paroles viennent de me foudroyer, je ne pensais pas quune femme puisse me demander ça aussi
sereinement. La seule expérience de sodomie que jai, du haut de mes 19 ans, est avec Stéphane, mon « premier mec », il y a presque un an, lorsquil ma dépucelé lanus, en menculant royalement ! Et même si jai adoré me faire prendre, et recommencé à maintes reprises et plusieurs amants, ma queue ne sest jamais aventurée entre les fesses de qui que ce soit, pas plus homme que femme.
Je... je ne lai jamais fait, jai un peu peur de ne pas
Elle saisit alors ma tête fermement entre ses mains et plonge sa langue entre mes lèvres pour un long échange, puis me dit doucement :
Viens, je temmène. Tu verras comme cest bon.
Ma queue quitte son vagin pour être rattrapé par sa main, et placé contre son petit illet, quelle me demande de pénétrer doucement. Pour la première fois, je ressens sur mon gland cette pression qui jusquà aujourdhui ne sétait exercée que sur mon sphincter. Le cul de Danièle aspire mon nud dilaté avec une facilité qui me fait de suite comprendre que ce genre de rapport lui est familier. Sa rondelle et ma queue lubrifiées de sa mouille, son sphincter détendu par le désir de me recevoir, toutes les conditions sont réunies pour une pénétration agréable.
Oui
viens doucement, comme ça, cest bien, ohhhhh, tu es doux, viens, prends-moi, je ne peux pas me passer de toi.
Ses mains sur mes hanches tantôt mattirent, tantôt me repoussent, mindiquant clairement ses attentes, alors que nos langues sescriment, et de temps en temps, cest un de ses seins aux si larges aréoles qui se retrouve dans ma bouche. Par de petits mouvements de bassin, ma queue sabîme complètement entre ses fesses, et je suis surpris de constater létroitesse de son anus, et la façon dont ma verge est enserrée sur toute sa longueur. Là, je comprends complètement pourquoi tous ces hommes adorent menculer, mon cul leur offrant ce que leur femme refuse, cette douce sensation de serrage !
Je me sens pousser des ailes, et cest un peu comme si son étroit boyau me branlait et que sa bouche sucer mon gland en même temps. Un emboîtage parfait, dont lillustration appropriée serait « trouver chaussure à son pied ». Mais alors que je coulisse lentement en elle en faisant face à la baie vitrée de sa cuisine, japerçois soudainement une ombre dehors sur la terrasse : un individu nous observe, sa silhouette se détache dans la pénombre de la nuit tombante. La terrasse de Dan jouxte celles des voisins, formant une coursive, où chaque espace privatif est clos dun panneau en verre facile, et reste facile à enjamber pour un adulte. Et la personne tapie dans la pénombre à la physionomie dun adulte.
Comment réagir ? Arrêter, je nen ai pas envie, pas plus que mexhiber. Sans vouloir affoler ma belle, je mimmobilise en elle et lui chuchote que nous ne sommes plus seul, quun homme nous observe par la baie.
Jaurais du y penser, dit-elle, cest un de mes voisins. Je lai déjà surpris devant ma fenêtre quelques fois à me reluquer. Je lai déjà sermonné, mais à son âge, il ma répondu que ce nétait que pour le plaisir des yeux ! Alors
et si on sen fichait ? Donnons-lui son plaisir, prends-moi, il partira, ne tinquiètes pas. il veut juste se rincer lil et se branler un peu. Encule-moi, sil te plaît.
Timidement tout dabord, je recommence mes va-et-vient en elle, surveillant du coin de lil son cher voisin, qui pour linstant na pas bouger dun iota. Mais le cul de Dan est bien plus intéressant, et ses doux commentaires
Hummm, cest bon de te sentir au fond. Encule-moi doucement, jaime, vas-y, je veux te sentir jouir en moi, te vider. Oui, oh oui, encule-moi bien ! Montre lui que je tappartiens.
Comment ne pas être réceptif à son appel ? Puisquen plus il faut lui montrer, je passe mes mains sous ses fesses pour la soulever, et fait un quart de tour autour de la table, de manière à ce que nous soyons de profil et que notre pervers puisse voir ma queue et son petit trou saimer. Planté entre ses fesses, sa chatte collée contre mon pubis me trempe et émet des gargouillis à chaque contact, alors que mes testicules battent la mesure.
Ses mains sur mon cul, Dan moblige à revenir au fond delle en plantant ses ongles dans ma chair, ponctuant de « Oh oui », de « Cest si bon, encore ». Ce cul magique maspire et me serre avec tant dintensité quil me semble impossible dy résister. Le voyeur a compris que le changement de position était pour son plaisir. Dans mon angle mort, je laperçois se rapprocher pour mieux profiter de la vue. En tournant la tête de temps en temps vers la vitre Danièle le voit également, son pantalon de jogging descendu sur ses cuisses, sa main branlant sa queue à quelques centimètres de la vitre.
Tu sais quil reste bien monté, malgré son âge. Regarde ! Baise-moi bien, la situation mexcite, oui, encule-moi devant lui.
Malgré létrangeté de la scène, et même si le gars en a effectivement une bien large, je décide den faire abstraction, me concentrant sur ce quil se passe à lintérieur, lui confiant mon enthousiasme et mon plaisir dêtre en elle, quelle me fait bander comme un âne en rut, que je la trouve irrésistible, quelle va me faire jouir dans plus très longtemps. Et elle me supplie en retour de lenculer encore et encore.
Mon gland frotte son ampoule dun sphincter à lautre, et me semble aussi gros quun champignon, devenu brûlant par lintensité des assauts, par la passion. Le rythme semballe graduellement, la pression dans mon ventre devient intolérable et léjaculation devient imminente. Les yeux rivés sur la queue de son voyeur, Dan passe sa main droite pour attr mes couilles, plante encore plus les ongles dans mes fesses de sa main gauche, et mintime lordre de jouir maintenant. En regardant à mon tour dehors, je vois lhomme qui écrase presque son gros gland violacé contre la vitre alors que sa main branle sa bonne hampe frénétiquement. Soudain, son foutre gicle et sétale sur la baie vitrée, avant de former de longues coulées. Pour ma queue, cen est trop, mon ventre se tord, et dans un cri rauque, mon dard se plante tout au fond du splendide cul de ma maîtresse en une série de spasmes surpuissants, libérant de longues giclées de sperme à chaque coup de rein, remplissant son admirable petit trou de toute ma reconnaissance.
Oui, oh oui, jouis, vide-toi, cest trop bon de te sentir au fond de moi ! Encore ! crie-t-elle en pressant mes couilles et en contractant ses muscles autour de ma queue, comme pour être certaine de mavoir bien obligé à tout lui mettre.
Ses ongles lâchent enfin prise et son bras mattire maintenant vers sa bouche ; ses yeux remplis de jouissance fixent les miens intensément, et alors que sa poitrine se soulève rapidement pour retrouver son souffle, elle me glisse :
Jtadore, grand fou. Merci
Incapable de faire le moindre geste, je savoure cet instant, nos odeurs flottant dans la pièce. Lorsque je me ressaisis, le cher voisin à disparu, ne laissant derrière lui que son sperme coulant sur la vitre.
ooOOOoo
À peine me reste-t-il la force de réfléchir. Patrick, toujours entre mes fesses a déjà sombré dans un sommeil réparateur. Plein de lui, de son sexe, de sa semence, je savoure une dernière fois mon bonheur et mabandonne aussi au sommeil.
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