Leslie Nr14
Leslie NR14 Nouveaux récits
Rêve de première fois. Jaurais bien aimé
Ma première fois aurait pu se passer ainsi, jaurais peut-être bien aimé
« Cest bon dêtre bien dans sa peau, je commence à sortir habillée en femme et, avec ma petite poitrine naissante je pense vraiment donner limpression dêtre une frêle jeune fille qui attire le regards des hommes
Cette nuit-là, une nuit sombre dhiver, je me retrouvais dans la rue, alors que je rentrais chez moi dans le noir de la nuit, je fus abordée par un homme qui me suivait depuis un certain temps, je nétais plus loin de mon studio quand il ma interpellé, assez gentiment dailleurs :
- Tes mignonne, jaimerais bien faire un petit tour avec toi !
Je navais encore jamais été avec un homme et javoue que je flippait un peu, mais le désir était fort, loccasion métait donnée de passer à lacte, chose dont je rêvais secrètement, alors après quelques hésitations, je décidais de le laisser marcher à mes côtés et peu de temps plus tard il membrassait après mavoir plaqué contre un mur
Il membrassa fougueusement, et je crus fondre comme une midinette. Il me caressa les jambes, les épaules, les fesses, me couvrit de baisers. Jétais électrisée, je sentais son sexe gonflé et dur se frotter contre ma jambe et jeus une envie irrépressible de caresser son sexe à travers létoffe. Il mencouragea dans mes caresses, et ouvrit son pantalon et je me retrouvais bientôt, accroupie à ses pieds, à le sucer et à prendre un certain plaisir immense à le faire, cétait nouveau et je suçait un inconnu dans la rue, accroupie à ses pieds, rapidement il jouit dans ma bouche, puis après sêtre rajusté, il disparut dans la nuit.
Heureuse davoir sucé pour la première fois, jai continué de sortir en femme, ma jeunesse et mes tenues ne laissaient pas les hommes qui me croisaient indifférents.
Il faut dire que côté habillement jy allais un peu fort, presque un déguisement de salope, mais les hommes aiment ça.
Alors je me suis dit que je pourrais user de mes charmes pour me faire de largent de poche.
Cest ainsi que je me suis retrouvée, un soir dans les bras dun étudiant qui mavait abordé, alors que je rentrais de ballade.
Il maborda en me demandant :
- Alors ma mignonne, que fais-tu ici si tard dans la nuit ?
Electrisée, je le regardais en disant :
- Je me ballade
Sans se poser de question, de sa main gauche, il défit sa ceinture et ouvrit sa braguette, fit glisser son pantalon jusquà ses chevilles, et descendit son slip jusquà ses genoux, dévoilant un sexe épais et puissant. Et il me dit dune voie pressante :
- Tu te ballades ? Habillée comme ça, mais petite tu nes quune petite allumeuse, lors vas-y, suce-moi sans te faire prier et tu vas goûter au mâle !
Je regardais ce sexe massif pendant entre ses jambes et me demandais si jallais oser lui demander trente euros. Je caressais ses couilles de ma main libre et décalottais la verge pour commencer à lui titiller le prépuce avec mes doigts, une odeur de fauve me saisit et mexcita en même temps.
- Tu me donnes trente euros et je te suce comme une reine, dis-je.
Avec une voix mal assurée, mais en proie à une grande excitation davoir osé assumer mon fantasme de faire la pute.
Il me tendit à regret la somme en me disant :
- Je me doutais quhabiller comme cela tu nétais quune salope qui tapine, et tu mexcites avec ton air dadolescente sage.
Il me fit monter dans sa voiture et je me mis à le besogner par des caresses buccales gourmandes et goulues, et il exultait :
- Ah la salope ! Je savais que tu étais une vraie pute sous tes airs de petite ingénue.
Il se mit à me titiller les seins et à me caresser. Jaccélérais le rythme en le pompant avec plus dardeur, car je voulais terminer ma fellation avant quil nait lenvie dexplorer mon entrejambe, craignant sa réaction.
Aussitôt, il me pelota délicieusement le cul, et je continuais à mactiver pour parvenir à faire jaillir son nectar. En même temps quil éjaculait dans ma bouche sa main effleura ma bite. À ce contact inopiné, il réagit immédiatement en me repoussant des deux mains, empêtré dans son pantalon et son slip lui entravant les genoux, il ne put que sexclamer :
- Ma parole, tes un travelo ! Rends-moi mon fric, connasse !
Il ne parvint pas à mempêcher de mextraire de sa voiture dun bond et de franchir en un instant la distance séparant le véhicule du quai longeant la Seine.
Je me suis mise à courir et réussit à me réfugier sous un pont, puis jai laissé passer quelques minutes avant de sortir de ma cachette, discrètement.
Quand je suis remonté sur la rue, celle-ci étais déserte et je navais quune envie, celle de me réfugier dans mon studio, alors je fus trop heureuse quand une voiture sarrêta pour me raccompagner chez moi
Une fois en sécurité à bord de la voiture, ma tension retomba. Lhomme au volant me dévisagea avec curiosité et il minterrogea dune voix douce :
- Tu as eu des problèmes ? Ce quartier nest pas très sûr la nuit.
Je retrouvais mon calme petit à petit et décidais de mentir et dévoquer une agression. Il me proposa de memmener au commissariat pour porter plainte.
Je ne pouvais pas accepter, sachant que ce que javais fait pouvait être considéré sans aucun doute comme de la prostitution occasionnelle, sachant que la police sen rendrait compte rapidement. Je refusais donc la proposition. Il me sourit et me confia :
- Tu sais ma puce, tu es charmante mais jai vu tout de suite que tu es un garçon, car je suis physionomiste, à lentrée dune boîte de nuit et jen vois assez souvent, des filles dans ton genre.
Je me mis sur le champ à redouter dêtre de nouveau en danger, alors il me prit la main, comme pour me tranquilliser et me dit :
- Naie crainte, je nai rien contre les êtres comme toi, je te ramène au centre-ville, dis-moi où te déposer !
Je me calmais peu à peu et le regardais, intriguée.
Tout en conduisant, il sadressa de nouveau à moi :
- Excuse ma curiosité, mais tu ne me laisses pas indifférent et jaimerais te connaître un peu mieux. Accepterais-tu de parler un peu ? Jai bien limpression quun mec ta draguée dans la rue et que les choses se sont mal passées. Est-ce que je me trompe ?
Après une légère hésitation, je lui racontais mon parcours de fille dans un corps de garçon, les développements récents et tous les déboires quune telle situation me causait.
Notamment, ma situation précaire actuelle et aussi cette envie irrépressible qui me prenait parfois de jouer les salopes.
Jacceptais sa proposition de nous revoir, car cet homme ne me semblait pas feindre la sympathie à mon égard. Il mavait écouté avec attention, et il mencouragea à assumer au grand jour ma personnalité profonde. Il me raccompagna jusquau pied de limmeuble et me proposa :
- Jai peut-être une possibilité demploi pour toi si tu es intéressée de tassumer en fille, car le club dans lequel je travaille recherche quelquun pour tenir le vestiaire.
Il me laissa une carte avec ses coordonnées en me disant :
- Contacte-moi, vite
Deux jours plus tard ma recherche demploi était toujours infructueuse, je repensais à la proposition de Paolo, lautomobiliste qui mavait ramenée chez moi. Après réflexion, un travail dans une boîte de nuit, habillée en fille de surcroît, était une offre excitante. Je lappelais aussitôt et il me proposa de passer chez lui pour en parler. Il me demanda de venir habillée en fille pour préparer mon entretien dembauche.
Une heure plus tard, je sonnais à la porte du club et il maccueillit en souriant.
- Tu parais plus en forme que lautre jour, et tu es très féminine. Cest tout à fait bluffant !
Voulant faire forte impression, javais mis sous mon manteau une petite jupe courte noire moulante en stretch fendue sur le côté et un chemisier, légèrement transparent, un string blanc moulant mon sexe et des bas auto-fixant blancs aux jarretières brodées, et aussi une paire de sandales noires à talons de dix centimètres.
Pour la circonstance, javais dépensé mes derniers euros pour acheter un soutien-gorge pour habiller ma poitrine menue, mais complètement transparent pour laisser voir mes aréoles brunes. Pour parachever lensemble, je métais maquillée un peu plus sexy pour être dans le ton.
Il me fit entrer dans son bureau et me proposa à boire, cest à cet instant quil mapprit quil était le patron du club, qui nétait un club échangiste et où il avait une possibilité de me faire travailler
A suivre
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