La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°684)
Vanessa au Château (suite de l'épisode précédent N°683) -
Sans dire un mot, Vanessa le prend par les cheveux et le place de nouveau dans le carcan, puis elle se place devant lui, et prend son menton pour plonger son regard dun vert rubis dans le sien
- Bien cest un début, mais aucune faute ne peut-être pardonnée sans sanction. Je devais te préparer pour que la pénétration soit moins difficile, mais puisque tu las refusé, tu vas devoir subir une sodomie beaucoup plus douloureuse, dit-elle dun ton très calme.
La jeune femme sincline respectueusement devant son Maître pour lui laisser la place et se recule de quelques pas. Monsieur Le Marquis sourit, il fait signe à son ami de le rejoindre et va se placer devant le jeune homme. Il défait sa ceinture et sort son sexe tendu de son écrin de tissus.
- Que je ne sente pas tes dents, gronde-t-il en pénétrant la bouche du jeune homme.
Sans le laisser respirer, il effectue de violents va-et-vient à lui défoncer la mâchoire, se servant de cet orifice comme dun vulgaire trou. Pendant ce temps le Commandant qui sest placé derrière le jeune homme senfonce doucement en lui après avoir ajuster sa verge dressée contre lorifice de lanus et après avoir effectué une poussée lente et précise. Vanessa qui observe la scène se surprend à trouver son amant beaucoup trop doux avec cet homme qui ne le mérite pas. Elle réalise quelle a en elle un côté dominant sadique qui aurait fait delle une dominatrice beaucoup plus sévère que son propre Maître si elle avait choisi ce côté, et certainement beaucoup moins juste. Durant de longues minutes, le Commandant accentue ses vas et viens, en de plus en plus rapides coups de reins pour finir par de véritables coups de boutoirs où la douce sodomie du départ devient plus sauvage, plus bestiale, plus profonde. De son côté, le Maître ne ménage pas le soumis, lui imposant douvrir largement la bouche en lui pinçant le nez et lui tirant les cheveux, tandis que la verge de Monsieur le Marquis claque à une cadence rythmée le fond de la gorge du soumis.
Les deux amis se déversent presque en même temps, leur semence retenue par le préservatif quils ont enfilé, ils se retirent pour retourner sasseoir et le Commandant fait signe à Vanessa. Lui tendant les deux capotes, le Maître lui dit :
- Tient, fait-lui avaler ça, et ainsi il ne dira pas quon ne lui a pas offert une petite collation !
Vanessa sapproche du jeune homme, le délivre du carcan et le fait mettre à genoux, elle lui ordonne de lever la tête et douvrir la bouche. Le soumis obtempère sans dire un seul mot de rébellion, comme si cette double pénétration dans ses deux orifices, lavaient fait abdiquer de toute envie de se rebeller. Il est désormais doux comme un agneau. Alors cest la bouche grande ouverte quil avale le contenu de spermes des deux préservatifs que Vanessa déverse dans la cavité buccale du jeune homme soumis. Puis sur ordre du Commandant, elle lui bande de nouveau les yeux, et lamène jusque dans une cage. Là elle lui bouche les oreilles avec des boules caisses et un casque réducteur de bruit, sassure quil ne voit en nentend plus rien, puis lui attache les poignets dans le dos, avant de le laisser coucher sur une couverture
Après avoir refermé la porte, elle se met à quatre pattes et sapproche de son Maître, mais arrivée au centre de la pièce, il la stoppe.
- Reste là, relève-toi et retire ta tenue, garde tes cuissardes.
La jeune femme obtempère promptement, elle se place ensuite debout, jambes écartées, mains dans le dos, nue, seulement munie de ses cuissardes, dans lattente du prochain ordre de son Maître.
- Bien, il est temps pour toi de retrouver ta place, nest-ce pas soumise ?
- Oui Maître.
- Et par quoi dois-je commencer ?
- Par la sanction que je mérite, répond-t-elle.
- Et que penses-tu mériter ?
- 50 coups de cravache, affirme-t-elle prête à supporter la sanction.
- 50 ? Pourquoi autant ? sétonne Le Noble.
- Parce que jai pris en compte le fait que Vous aviez mis à notre disposition une partie de vos esclaves et votre Majordome. Parce quil est indigne dune soumise de repousser à plus tard les remerciements quelle doit à son Maître sous prétexte dune fatigue relative. Parce que sans linsistance de Votre ami, je fautais non par omission mais par fainéantise.
- Cest très bien résonné, je ten félicite, mais tu as oublié que tu avais avoué ta faute, et donc quelle était à moitié pardonnée, il me semble. A moins que tu navais évalué cette faute à 100 coups ?
- Effectivement, jai oublié de la réduire de moitié, mais je ne suis pas certaine de mériter Votre clémence, Maître.
- Peu de soumises auraient eu le courage davouer cette faute, la plupart lauraient caché tout simplement. Donc ce sera 25 coups, mais ce ne sera pas la cravache, je vais te faire goûter aux délices du fouet. Comme pour toutes les punitions, tu comptes à voix haute, aucun autre son ne doit sortir de ta bouche, et aucun mouvement nest toléré. Est-ce bien compris, demande-t-Il dun ton très calme.
- Oui Maître.
Le Noble se lève et se dirige vers le placard du fond de la pièce, là il se saisit dun long fouet tressé de cuir noir de toute beauté qui doit mesurer presque 2m, et se place à un bon mètre de la jeune femme. Vanessa craint cette sanction car elle sait que le fouet mal manipulé peut-être très dangereux, mais elle a confiance en son Maître, et se doute que sIl lutilise cest quIl sait sen servir, au vu de sa grande expérience de tant dannées de pratique. Delle-même, elle place les mains derrière la nuque, puis respire profondément, patientant le début de la sanction
Monsieur Le Marquis abat une première fois le fouet, il vient senrouler autour du corps de la jeune femme, enserrant de sa morsure, son ventre et son dos.
- Aurais-tu apprécié cette sanction ? interroge-t-il souriant.
- Oui Monsieur, je Vous supplie de bien vouloir me sanctionner, répond-t-elle.
- Te sanctionner pour ?
- Pour avoir pris du plaisir dans une punition qui ne devait pas être plaisante.
- Et pourquoi ne devrait-elle pas lêtre ?
- Parce quune sanction doit marquer le corps et lesprit pour faire passer lenvie de recommencer, non pour espérer la vivre de nouveau.
- Hum, certes japprécie ta réflexion, mais je suis certain que tu ne recommenceras pas, nest-ce pas, tu ne voudrais pas me décevoir de nouveau, ni ton éducateur ici présent ?
- Non Maître.
- Donc le sujet est clos, vas donc nous préparer un café et viens nous le servir dans le salon.
Sans dire un mot, Vanessa se dirige vers la cuisine pendant que les deux amis rejoignent le salon.
- Alors Laurent que pensez-vous de cette nouvelle recrue ?
- Hum, je ne sais pas, jhésite, il semble plein de fantasmes, mais de là à souhaiter vivre la D/s
- Je suis daccord avec vous, il nous a bien diverti, mais il est peu probable quil fasse un bon soumis. Dans tous les cas, il narrivera jamais à la cheville de votre compagne, sourit Le Marquis.
- Oui, cest certain.
- Et il semble quelle ait apprécié jouer les dominatrices, samuse Le Noble.
- Oui, mais vous aviez raison, il est beaucoup plus naturel pour elle dêtre soumise.
- Nai-je pas toujours raison ?dit-il en taquinant son ami.
- Effectivement, sourit le Commandant.
Vanessa revient, un plateau à la main, elle le pose sur la table basse, sagenouille à côté et tend la tasse à son Maître, puis à son amant et sagenouille aux pieds de son Maître. Ils prennent le café sans porter attention à la jeune femme, parlant de tout et de rien, de temps en temps son Maître effleure sa nuque dune main ce qui la fait frissonner, la transportant dans une sensation de bien-être.
- Bien, il est temps de raccompagner notre « stagiaire », je vous propose de le faire avec Vanessa, si cela ne vous dérange pas, annonce Le Marquis.
- Non, pas le moins du monde, je vous en prie.
- Parfait, soumise va le préparer à rentrer, je tattends dans la voiture.
Vanessa se lève, elle descend rejoindre le jeune homme, shabille en civile, le fait sortir de la cage, lui retire collier et bracelets ainsi que la cage de chasteté, et le mène par la sortie de secours jusquau cabanon de jardin, là elle lui retire son bandeau.
- Rhabille-toi, fais vite ! dit-elle dun ton détaché.
Lhomme sexécute, puis elle lui tend de nouveau le bandeau afin quil le remette le temps du trajet, il le pose sur ses yeux et lui adresse la parole tout en le nouant.
- Je voulais vous demander pardon, vous avez pris de votre temps pour me faire goûter à ce que je souhaitais découvrir et je vous ai manqué de respect. Ce nétait pas mon attention, jai compris que pour vivre ce que vous vivez il faut une grande force de caractère, et je ne pense pas avoir ce quil faut.
- Cest bien que tu ten sois rendu compte, la faute a été corrigée, je tai pardonné. Je te souhaite de trouver la voie dans laquelle tu pourras tépanouir, allons, il est temps dy aller !
Sans dire un mot de plus, elle le guide jusquà la voiture, le fait asseoir sur la banquette arrière et prend la place passager. Son Maître est au volant, elle na pas lhabitude, il est tellement souvent conduit par son Majordome. Elle nose pas lui adresser la parole, elle reste silencieuse, arrivés sur la place où est restée garée la voiture du jeune homme, Vanessa sort du véhicule, fais sortir le jeune homme et lui retire son bandeau.
- En sortant tu prends à droite, tu vas rejoindre la route principale et te repérer facilement, adieu.
- Merci, répond simplement lhomme en démarrant le moteur.
Une fois la voiture partie, elle sapprête à remonter en voiture mais son Maître sort à son tour, et lui fait signe de le rejoindre, elle sapproche les yeux baissés, il la prend par la taille, la mène devant le véhicule et la couche sur le ventre sur le capot. Il passe une main sous sa jupe et fouille de ses doigts son intimité déjà humide.
- Tu en as envie, nest-ce pas ? lui susurre-t-il à loreille.
- Oui Maître, répond-t-elle haletante.
Sans dire un mot de plus Le Marquis sort son sexe et senfonce doucement en elle, sans aucun préambule. Il prend son temps, sans aucune violence, Vanessa est surprise de temps de douceur, mais apprécie cette nouvelle sensation. Elle sent la jouissance monter en elle, sert les dents pour la contenir sachant quelle na pas le droit de la laisser sexprimer.
- Tu veux jouir nest-ce pas ? interroge son Maître qui sen rend compte.
- Oui Maître.
- Lorsque je te le dirai, tu pourras, dit-Il accélérant ses mouvements de bassin.
Il continue longuement à prendre possession de sa soumise, puis lorsquIl sent son propre orgasme monter, il autorise à la jeune femme de jouir. Elle ne se fait pas prier et part dans un long râle de plaisir
Monsieur Le Marquis jouit aussi quasi en même temps par de longues saccades dans son vagin en donnant dultimes coups de reins libérateur de sa jouissance
Puis, sans attendre, il se retire, essuie dun mouchoir le sexe dégoulinant de sa soumise et ordonne à Vanessa de nettoyer sa noble verge. Vanessa sagenouille et de sa langue, elle récupère et avale tout le sperme ainsi que sa propre cyprine restée sur le sexe du Maître devenant de plus en plus mou. Une fois la tâche terminée, le Noble remonte en voiture, la laissant seule agenouillée à reprendre ses esprits. Lorsquelle ouvre enfin les yeux, elle voit son Maître lui sourire à travers le pare-brise et lui faire signe de monter.
- Merci Maître, dit-elle dun ton respirant la sincérité, tout en prenant place.
- De rien soumise, cétait pour récompenser ton honnêteté, continue ainsi, tu nes pas loin de devenir une de mes meilleures soumises. Je te ramène chez toi, la prochaine fois que tu me verras, ce sera pour une soirée un peu spéciale, au Château. Je te veux en forme, cest une soirée très importante pour moi. Ce sera vendredi de la semaine prochaine, tu termines ton travail le matin à 8h, ensuite tu te reposeras et te présenteras au château à 18h.
- Bien Maître.
- En attendant, interdit de jouir, interdit à toute pénétration en dehors de ton rosebud, et dun objet que jai laissé pour toi dans ta chambre. Est-ce clair ?
- Très clair Maître, je ferai selon vos exigences.
- Je nen attends pas moins de toi. Nous voilà arrivés, je te laisse là, je dois men retourner à mes affaires.
- Au revoir Maître, dit-elle en sortant de la voiture.
- Au revoir soumise, à vendredi, ce sera une soirée exquise
Elle regarde la voiture de son Maître séloigner, heureuse davoir pu jouir entre ses mains, et de lavoir fait jouir. Cest le visage radieux quelle retrouve son amant
(A suivre
)
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