Une Soirée Réussie : 6 - Le Parking Des Anges
Environ une fois par semaine, nous nous rencontrions pour de brûlantes étreintes, le plus souvent chez lui. Nous navions plus de secret lun pour lautre, mais pourtant une très forte complicité nous unissait. Avant de le rencontrer, je « consommais » du sexe au coup par coup ; je ne ressentais pas le besoin de lier amitié avec un mec, net aucun ne me faisait véritablement vibrer, en tout cas pas au point de ne plus pouvoir me passer de ses services.
Patrick était unique. Élégant, prévenant, fidèle, attentionné
mais aussi inépuisable, puissant, joueur, doté dun sexe monstrueux. À lidée de le retrouver mes sens semballaient. Non, je nétais pas amoureux de lui, mais de sa personne. En fait, nos corps se réclamaient, et chaque rencontre nous donnait pleine satisfaction. Tous les éléments nécessaires pour sombrer dans laddiction étaient réunis.
La pénétration anale devenait chaque fois plus facile, mon anus semblait sêtre forgé à son gabarit. Son prodigieux sexe me faisait jouir à chaque sodomie ! De moins en moins de lubrifiant était nécessaire, la plupart du temps, nous nous en passions ; dautant plus que nous nutilisions pas de préservatif. Un peu de salive, sa langue et un bon usage de ses doigts pour me décontracter suffisaient amplement.
Avant chaque rencontre, je me préparais pour lui, surtout pour le recevoir sans désagrément. Je mépilais soigneusement, pratiquais un bon lavement et glycérinais mon rectum. Il adorait me prendre, je passais systématiquement à la casserole
et en redemandais !
Jarrivais maintenant à ouvrir la bouche suffisamment grand pour lui en tolérer le plein accès, avec comme seules limites
la longueur de son membre ! Jétais néanmoins parvenu à le faire jouir quelques fois « sans les mains », sauf bien sûr un doigt ou deux
entre ses fesses. Bref, japprivoisais la bête de mieux en mieux, et prenais énormément de plaisir à moccuper de lui.
Depuis Stéphane, « mon premier mec », celui qui mavait initié au sexe entre hommes, jadore le sperme.
Un soir où nous voulions aller voir un film dans un ciné de la ville, nous avions presque une heure davance sur la séance. Nous étions dans sa voiture, et histoire de le temps, je lui proposais de nous isoler, ne pouvant résister à lenvie de lui offrir une petite gâterie. Nous sommes allés nous garer dans un petit coin tranquille.
Son siège en couchette, il dégrafe son pantalon et le baisse jusquaux genoux. Je décalotte son gland dune main et prends sa bite encore molle en bouche en lavalant jusquà ce que mon nez touche son pubis, et commence alors à le pomper avec de grands mouvements de tête, ce qui est assez facile avant que son mandrin ne bande complètement. Patrick adore être sucé, il mencourage, me demandant de ne pas oublier de lui gober ses burnes.
Comme nous baisons assez régulièrement, le bougre devient plus endurant, et tarde souvent à verser son dû, son abondant foutre. De plus, il sait que jadore avaler ses si généreuses offrandes, et samuse volontiers à me frustrer.
Cest pour mieux te le faire apprécier la prochaine fois ! ricane-t-il souvent.
Constatant quil ne jouissait pas après un bon quart dheure de profond dévouement, je minquiète de savoir sil apprécie ma caresse ! Sa réponse affirmative me rassure, mais en fait, il désire me prendre, il a trop envie de mon « si accueillant petit cul serré », là, et la situation lexcite énormément. Lendroit où nous nous trouvons est en retrait de la ville, assez sûr, aussi minvite-t-il à sortir de la voiture pour jouer sur le parking des Anges!
Une fois dehors, Patrick me présente de nouveau sa queue raide à sucer, me demandant de bien la lui mouiller et de commencer à dégrafer mon pantalon.
Tu mexcites grave, je vais te sauter ! Tu laimes, ma grosse queue, non ? Tu veux la sentir técarter les fesses, hein ? fait-il en laissant son nud en place.
Tu sais me donner du plaisir, toi. Jadore ta queue. Viens ! limplorais-je, impatient de le sentir prendre possession de la partie de mon ventre qui lui est dédiée.
Alors quil me saisit aux hanches, je pousse fort pour lui permettre de plonger en moi. Mes mains écartent mes fesses un maximum, je retiens mon souffle, mon buste étalé sur son capot de voiture, la joue contre la tôle, un rictus déformant mon visage. En deux poussées, je nen reviens pas, son pieu pourtant si gros est passé sans encombre ! Et je me surprends à lui intimer lordre de me limer, de me la mettre, de menculer, nhésitant pas à le lui crier, dailleurs. Et cest ce quil semploie à faire, dabord assez modérément, venant bien au fond de mon trou à chaque fois.
Cest un merveilleux enculeur, il sait très bien y faire, alternant les rythmes, gonflant son gros bout pour bien « frotter, un délice pour un cul sensible comme le mien. Sa queue me fouille avec puissance sans pour autant être brutale, et il accélère graduellement la cadence ; je maperçois chaque fois quil ny a pas la brûlure dun préservatif. Certes, il y a des risques, mais cest de loin bien plus agréable, sans interférence avec les sensations.
Ce que tu me baises bien, viens plus fort, baise-moi bien à fond ! Mets-la moi bien. Je te donne mon cul, prends-le, vide tes grosses burnes dans mon cul, jai envie de me sentir plein de ton foutre !
La situation est cocasse, mon excitation est à son comble, jai non seulement envie, mais véritablement besoin quil me baise, et de verbaliser cet acte, de me stimuler. Le ton est donné, il répond à mes appels tant par laction quen parole. Pour jouer, il sort de temps en temps complètement son sexe, et me le replante
vertigineusement. Des ondes de frissons, accompagnées de vagues de chaleur, irradient tout mon corps lorsquil se propulse dans mon intimité.
Il me pénètre plus fermement que dhabitude, et même sil me coupe le souffle lorsquil tape dans mon fondement, jen veux encore plus. Mon anus est devenu plus souple, et son imposante batte de Baseball se loge aisément en moi, pour mon plus grand plaisir.
Jaime comme il me sodomise, comme il investit mon « petit », quil le fait grandir. Pour la première fois, je lui ordonne de « me casser le cul », de « me mettre ». Pat sent que jen ai les capacités, et nous rentrons tous deux en transe. Ses mains tiennent fermement mes hanches alors quil me hurle dans les oreilles les mots que jai besoin dentendre ce soir, sur ce parking :
Tu laimes ma queue ? Tu aimes que je téclate ton petit cul serré ? Dis-le moi ! Tu voulais que je te baise sur le capot ?
Ses bourses frappent les miennes lourdement, il me secoue maintenant très fort, nous sommes en rut, notre côté bestial pour la première fois prend le dessus.
Ouii ! Oh ouiii ! Encore ! Baise-moi fort
jen ai besoin.
Profitant quil sorte de mes fesses pour saliver son gland, je me dégage du jean qui entrave mes chevilles. Mon genou prend place sur le capot, le cul cambré, ouvert au maximum je suis plus que jamais offert à mon sodomite.
Putain de cul ! Tu sais mexciter, toi. Tu aimes te faire casser le cul, hein ? Ten veux encore ? dit-il en se plantant de nouveau en moi.
Mes doigts étreignent le haut du capot pour ne pas glisser. Il me baise, ou plutôt, il me tire ! Je sais maintenant doù sort cette expression. Ses mains tiennent mes hanches et il me tire les fesses contre son pubis. Avec un léger décalage, ses bourses arrivent contre les miennes, accompagnées du flap-flap caractéristique de mes fesses claquant son pubis.
Patrick ! Ouiiiii ! Ooooohhhhh
je
je vais jouir !
Mon ventre explose sous ses coups de butoir, son pieu me pourfend, je supplie Patrick de continuer. Ma jouissance est aussi violente que soudaine, mon corps est parcouru de spasmes alors mon sperme sécoule de ma queue ballante, arrosant laile de la voiture et mes pieds. Patrick, dans un ultime effort, me besogne frénétiquement. Sa queue gonflée mannonce que nous sommes à lunisson, il se vide dans mon cul à grands coups de reins, ses mains serrées sur mes hanches, éjaculant son précieux liquide avec une rare intensité tandis que mon rectum se contracte frénétiquement autour de son membre. Nous nen finissons plus de jouir, linertie et lintensité de cet orgasme sont impressionnantes.
Repus et vidés, nous finissons tout de même par nous immobiliser, savourant cette victoire comme souvent, sans un mot, lui en moi, moi autour de lui, en parfait accord. Le bien-être que mapporte cet homme est assez déroutant, cest autant cérébral que physique. Son sexe hors norme me comble autant quil me fascine. Ses jets de foutre sont divins, je suis toujours très fier quil puisse sépancher entre mes fesses, minondant dune douce chaleur.
Il est planté jusquaux couilles dans mon rectum, immobile, satisfait, et ses premiers sont pour me répéter inlassablement :
Quel cul, mais quel cul !
Je suis pour linstant incapable de répondre, terrassé par lorgasme le plus puissant quil mait procuré à ce jour. Mais je nen pense pas moins de sa queue, étonné de ne pas avoir explosé pendant cette puissante sodomie. Le bruit des voitures non loin confère à cette scène un côté surréaliste, pourtant, un homme vient bien de menculer là, contre sa voiture, au beau milieu de nulle part, me faisant prendre un pied extraordinaire.
Quelques minutes plus tard, il se retire ; je tombe accroupi devant lui et att sa grosse queue à demi-molle par la base pour la prendre dans ma bouche. Avec toute la délicatesse et le respect qui lui est dû, je suce soigneusement sa belle arme, savourant les traces de sperme restées sur son gland, lapant et léchant sa hampe pour quil soit tout propre. Le plaisir du travail bien fait. Puis je me rajuste, et nous remontons dans la voiture.
Tu mas vraiment fait beaucoup de bien, tu sais ? me dit-il. Jen avais très envie, tu as été fantastique.
Hummmm
Cétait géant, merci ! Je ne sais pas encore si mon ventre me fait du bien ou du mal, je suis encore tout là-haut. dis-je, ma main posée sur sa queue, comme pour me rappeler que je ne rêve pas.
Ce soir, dun coup, je voulais vraiment quil me prenne comme un dingue ; il vient dexaucer mon désir avec brio. Je suis tout taché de mon sperme, et pendant que nous parlons, le sien commence à se liquéfier, coulant du fond de mon rectum. Je lui confie ne plus trop avoir envie daller au cinéma comme cela.
Tu veux venir chez moi, me dit-il, jai un film que tu vas apprécier après une bonne douche !
Le temps de faire les quelques kilomètres qui nous ramènent chez lui, je nage dans son foutre, mon cul encore béant laisse sécouler limportante dose de semence quil vient de minséminer. Après un bon rafraîchissement soft pendant lequel chacun a lavé lautre, Nous nous retrouvons effectivement devant un bon film, confortablement installé sur le canapé. Je crois dailleurs que cest la première fois que nous parvenons à rester chastes aussi longtemps : le temps du film.
À lissu de quoi, très respectueux, il me propose son canapé ou son lit, selon mon choix. Rien nest imposé, jamais. Naturellement, un bon lit me tente bien, et nous nous dirigeons vers sa chambre. Ma main att sa belle queue en même temps que je massois au bord du lit, face aux grands miroirs de sa penderie. Veillant bien à ne pas manquer le reflet que me renvoie la glace, je lui suçote tendrement le gland. Je me suis rarement vu en train de sucer, et en suis tout émoustillé. Jen rajoute, fais du bruit, joue avec ses couilles, pendant que son sang remplit ses corps caverneux. Rapidement, il est de nouveau bandé comme un taureau, et dilate ma bouche outrageusement en me traitant dadorable glouton.
Patrick sest bien vidé il y a une bonne heure, je ne pense pas quil puisse « lâcher » très vite. Je le suce bon train, branlant par moments assez vite sa grosse queue, ou encore en massant ses burnes massives. Le tableau est excitant au possible, et mon ventre gargouille de désir.
Prends-moi tout doucement devant la glace, sil te plaît. Je veux voir ta queue me pénétrer.
Couché en chien de fusil, Pat place un peu de gel sur mon anus déjà bien rouge. Mes yeux rivés sur la scène, il me prend très lentement, menculant alors avec minutie. Ses grosses couilles viennent se plaquer contre mes fesses, et je peux voir mon cul ainsi déformé par son énorme barre, visualisant alors lintensité de linstant. Il coulisse librement entre mes fesses, me baise gentiment, « à la Papa » comme il aime à le dire, sans chercher à me brutaliser. Cest si bon, il est si doux
Son gros morceau de chair pénètre mon fondement avec la régularité dun métronome, chaque coup de bassin faisant valser ses testicules. Jaime ce que je vois, et les sensations quil me procure sont tellement contradictoires avec celles de tout à lheure contre sa voiture ! Une fois de plus, je me dis quun deuxième homme, là, entre mes lèvres
répondant aux appels de mon sodomite en me présentant sa queue à sucer, ne devrait pas être inintéressant. Ni dépourvu de sensations.
Pat se retire et vient se mettre à genoux devant mon visage pour me donner sa belle queue à sucer. Il pose son gland turgescent à lentrée de ma bouche grande ouverte en branlant sa lourde hampe afin de finaliser sa jouissance. En gros jets crémeux, sa semence vient sétaler contre mon palais, glissant ensuite sur ma langue. Sans en perdre une goutte, javale son cadeau avec délectation à plusieurs reprises, étonné de la quantité de foutre quil peut fournir à chaque fois. Ça, cest pour me remercier dêtre si réceptif, me dira-t-il à loreille un peu plus tard.
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