La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°685)
J'ai retrouvé dans mes archives un dernier vieux texte oublié écrit il y a bien longtemps, alors je vous le propose en ''hors série'' ! - Troublée au Château -
Barbara venait d'entrer dans ce magnifique château. Grand hall imposant. Mélange de pierre, de marbre, de velours et lanternes. Devait-elle partir ou rester? Elle avait peur de ce qu'elle pourrait découvrir. Allait-elle être assez forte ? Son cur battait vite. Est-ce du à la peur ou à ce trouble qu'elle a au fond d'elle. Car il faut bien l'avouer, ce château est bien particulier. Barbara est troublée par la soumission et pouvoir servir un maître ou une maîtresse. Mais la question est de savoir si elle allait intéresser quelqu'un. Elle si inexpérimentée ? Si jeune ? Si novice? Elle avait peur de se faire rejeter. Si c'était le cas, qu'allait-elle devenir? Si un maître ou une maîtresse ne pourrait pas la guider, lui apprendre les bonnes manières...
Voudra t'il/elle perdre son temps ? Barbara s'arrêta au milieu du hall complètement perdue. Des portes, un escalier... où aller?
D'une voix timide...
- Il y a quelqu'un ?
Mais il était trop tard, elle était là... le château s'animait à sa demande, elle devait assurer......assumer.
A cet instant Walter, le majordome de Monsieur Le Marquis entre dans le hall majestueux et il l'invite à le suivre dans un des salons du Château où sont installés confortablement, Monsieur Le Marquis, qu'elle reconnut immédiatement pour avoir lu sa description dans nombre des ses récits, ainsi qu'un bel homme, élégant, d'âge moyen. Elle apprendra lors des présentations qu'il s'agit de Maître Hiram.
Se trouvent également présentes, autour de la table du salon, confortablement assises sur les sofas luxueux quatre femmes de tous âges...qui semblent fort à l'aise dans cet environnement pourtant fort intimidant, comme sorti d'un autre temps.
Monsieur Le Marquis invite Barbara à s'asseoir à côté de la plus jeune des dames.
Chacun et chacune à tour de rôle se présente. Il y a, en dehors de notre hôte et de Maitre Hiram, Marie, Valjira, Musia et Souphie.
Barbara est troublée, la seule des femmes dont elle se souvienne du nom, le tour de table terminé, est sa voisine immédiate, Musia.
Walter, sur proposition de Monsieur Le Marquis, offre à Barbara de prendre une boisson chaude ou froide.
L'ambiance est conviviale et chaleureuse.....Barbara se détend....et Monsieur Le Marquis prend la parole.....
Miracle....ces gens dont Barbara s'était fait une image rigide, hostile, sont tout ce qu'il y a de plus "normal", de plus "classique".
Ils seraient même plutôt sympathiques....Barbara se dit même qu'il est possible qu'elle ait croisé l'un d'entre eux sans pour autant savoir qu'ils ne vivaient pas tout à fait comme "tout le monde".....rien ne les différencie....
Barbara ferme doucement les yeux....chasse de son esprit toute pensée négative, elle sait que rien ne pourra lui arriver.... elle est au bon endroit, elle va enfin pouvoir se livrer, se libérer et sans doute vivre ce qu'elle a au fond d'elle sans crainte d'être jugée ou cataloguée....il règne ici un esprit de tolérance....elle est bien...
Mon estomac était en pelote de laine, pendant la montée de cet escalier. Ou allais-je arriver ? Des images sombres voire noires commençaient à germer dans son cerveau. Avait-elle enfreint quelques règles ? La porte souvrit sur une salle magnifique. Mon regard fut attiré par la Maître de ce château. Je ne dis pas un mot. Trop intimidée. Puis les présentations. Sur le geste du Marquis, je minstallai à coté de la plus jeune des femmes. Walter me proposa du thé, que jacceptai. Tenant la tasse, jécoutai les paroles du Marquis. Chaleureuses, douces et cultivées. La tension tomba petit à petit au fur et mesure que le temps passait.
- "Monsieur Le Marquis, je me proposais de faire découvrir Le Château à cette jeune femme" dit-elle en montrant Barbara qui baisse instinctivement les yeux, lorsque tous les regards se tournent vers elle.
- "Pourquoi pas" lance Le Marquis avec un geste de la main, comme pour congédier les deux femmes.
Musia tend la main à Barbare qui s'en saisit comme une naufragée à une bouée... elle serre la douce main qui enlace ses doigts et se met debout... s'approche de Musia. Quelle étrange sensation que de ne pas oser faire même le plus banal des gestes. Barbara a la sensation d'avoir plongé dans un univers dont elle ne sait rien, ignores tout des règles, de sus et coutumes... Musia la tenant toujours par la main, elles font deux pas lorsque retentit la voix Du Marquis...
- "Eh bien !!!" la voix résonne dans la vaste pièce... "On ne se déplaces pas en Ma Demeure sans respecter certaines règles" ajoute-t-il...
Tous les présents fixent les deux femmes, Musia serre fort la main de Barbara
- "Je suis stupide, j'aurai dû y penser, pardonnez-moi Maître" glisse-t-elle... et elle fait pivoter Barbare afin que celle-ci puisse faire face à la tablée. Le Marquis se lève alors lentement, avec toute La Majesté qui sied à Une Personne de Sa Qualité. Et Il s'approche des deux femmes. Musia fait un pas en arrière afin de légèrement séclipser et se tient immobile. Barbara, privée de ce soutien, de cette "béquille" vacille un peu... Si elle n'était pas totalement paralysée, peut-être prendrait-elle ses jambes à son cou pour fuir.
- "Regardes moi... je veux voir tes yeux, je veux y lire celle que tu es" dit-il d'une voix qui n'admet qu'une seule alternative : l'obéissance.
Barbara se soumet et regarde Le Marquis dans les yeux...
- "Enlève ta chemise" ordonne-t-Il sur un ton glacial mais sans élever la voix, dune voix calme mais si froide
Lentement, comme mue par une force extérieure, Barbara s'exécute. Elle hésite dans sa tête, mais ses gestes sont plus rapides. Elle se déboutonne donc, ouvrant les pans de sa chemise qu'elle laisse ensuite glisser sur le sol, révélant un soutien-gorge pigeonnant, en dentelle blanche, mettant en valeur le galbe de ses jolis seins... Le Marquis la scrute
- "Un soutien-gorge, quelle idée absurde ! Enlève ce chiffon ! Et n'en portes plus, sauf si on t'en intime l'ordre"
Barbara rougit, baisse les yeux et se fait immédiatement rappeler à l'ordre
- "J'ai dit de me regarder ! " immédiatement Barbara obéit tout en dégrafant son soutien-gorge. Elle rougit, elle qui avait choisi son plus bel ensemble... que va dire le Marquis pour la culotte assortie ? Le soutien-gorge rejoint la chemise sur le sol de marbre... Barbara sent un léger courant d'air sur la peau délicate de ses seins nus. Elle sent tous les regards posés sur les deux globes de chair pâle... mais elle n'ose quitter le Marquis Des Yeux. Et dans le regard posé sur elle, elle sent Une lueur de triomphe.
- "Mets tes mains dans le dos et ne bouges plus" ordonne Le Marquis d'une voix calme, égale...
Bien loin des idées préconçues que Barbara s'était forgées. Elle imaginait parfois un univers fait de cris, d'ordres lancés d'une voix menaçante, de gémissements.
- "Sensible" s'amausa à dire Le Marquis, "c'est bien j'aime ça. Nous allons bien nous amuser avec ces petits nichons de chienne"...
Monsieur Le Marquis est la juste devant moi. Mimposant à lever la tête de mes 1mètre 69. Mobligeant à LE regarder droit dans les yeux Je sens CE regard passer sur moi comme sIL voyait mon âme. Ce qui me déstabilisa. Sa voix si douce, calme mais certaine faisait voler en éclat mes préjuger sur les maîtres criant et insultant les soumises. La rien, juste une phrase, un mot
mais surtout ce regard. Ne pouvant pas my soustraire, je me trouvais poitrine nue.
Déjà ses premiers ordres tombèrent, plus de soutien-gorge. Je devais le regarder. Ainsi exposée, debout, les bras dans le dos.
Un frisson sur ma peur. De peur, de désir, de honte ? Je ne serai le dire. Le Marquis avait toujours son regard plongé dans le mien, et un effleurement.
Je ne pu retenir un petit gémissement de surprise. Immédiatement, Il sut que jétais sensible de mes seins. Mes tétons sérigèrent impudique devant Le Marquis et cela malgré moi. Je sentais des regards vers moi, mais je restais la devant Lui sans bouger. Sa dernière phrase me fit comprendre où était ma place. Je me sentais si seule
mais toujours ce regard dans le mien. Est-ce pour me tester ?
Mes seins tendus, le souffle court. Je nose rien dire, ni bouger comme tétanisée. Toujours CE regard en moi, je sens comme une goutte de sueur couler le long de mon dos
mais est-ce mon imagination ? Etrangement, je ne suisi pas effrayée mais une appréhension grandit de plus en plus
Je ne suis pas effrayée, mais l'appréhension grandit de plus en plus... Je me sens flotter...un peu comme un automate téléguidé par Les paroles de Monsieur Le Marquis. Jobéis sans me poser de question. Que va-t-Il me demander maintenant ?
Mon cerveau se remet à fonctionner à vive allure, il s'affole, l'espace d'un instant je suis prise d'un doute... puis d'un bref mouvement de tête comme pour chasser ces idées parasites, je me ressaisis, je décide de vivre cette expérience que m'offre Monsieur Le Marquis afin de sonder mon désir.... Mon désir.... Mon désir.... ces deux mots prennent tout leur sens lorsque je sens mon intimité légèrement humide.
Il n'est pas possible que ce soit.....pourtant si, il faut bien que j'en convienne, la situation m'excite et j'espère que Monsieur Le Marquis va poursuivre mon « initiation ». Un lourd silence, je sens tous les yeux tournés vers moi, l'ambiance est pesante....je ne peux rester ainsi immobile, je lance un coup d'oeil rapide à Musia qui d'un sourire m'encourage à poursuivre....je lis dans ses yeux qu'elle me soutient, et cela me donne du courage.
Je regarde timidement Le Maître de Ces Lieux, un sourire se dessine sur Ses lèvres, mais ce sourire est doux, réconfortant, rassurant.... alors je m'enhardis et j'entreprends d'ôter ma jupe pourtant courte, comme pour signifier à Monsieur Le Marquis que je suis prête... prête à ma première initiation.... Monsieur Le Marquis me félicite de cette initiative, mais pas de la façon dont je l'attendais.
- « Bien petite garce, tu as compris qu'ici tu vas entrer dans ce monde qui te fascine tant. Je suis persuadé que tu mouilles déjà d'ailleurs non ? » Barbara recule d'un pas.... « Non non petite chienne, ne prends pas peur, tu es là désormais, tu as encore cependant le choix de partir.... je te laisse deux minutes pour prendre ta décision. Soit tu te rhabilles et tu rentres chez toi, soit tu sors ton indécente culotte et tu me la portes. Tu te mettras à genoux à Mes Pieds en attendant que je vérifie si comme je le pressens, elle porte les traces de ta mouille. »
Barbara sent le sol se dérober sous ses pieds... son pouls s'accélère.... Monsieur Le Marquis veut inspecter sa culotte....quelle humiliation.... c'est impossible !!!!
Toujours Ce regard sur moi. Me regardant mais surtout m'analysant et analysant mes réactions. Je suis devant Monsieur le Marquis juste en culotte. Mais IL en veut plus mais IL me donne un choix. Un choix que je dois moi-même franchir... Partir et m'arrêter là, sans suite, point final ou alors.... et là mon esprit se met à vagabonder. Mais est-ce que cela représente la vérité ?
Que faire ? Partir? Rester? Mon esprit tourne, vire mais ma décision est déjà prise et IL le sait. Depuis que j'ai poussé les portes de ce château...
Machinalement, mes mains passent sous l'élastique de ma culotte. Je le fais glisser le long de mes jambes, puis je lève une jambe, la gauche, puis la droite. Je suis nue la devant ses inconnus. Pourtant je me sens bien même excitée par cette situation.
Ma culotte au bout de mes doigts laisse deviner ma toison sombre coupée ras sur mon pubis. Un petit triangle cachant mes lèvres fines. Puis je m'agenouille devant LUI pour lui offrir ma culotte pour qu'elle soit inspectée. Je sens une honte et une humiliation au fond de moi-même. Je cache mon visage contre SES pieds les bras levés vers Monsieur le Marquis...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!