Jeune Gourmande 2
Ce soir la j'ai appelé une ancienne conquête, c'est elle qui a payé pour l'affront que ma jeunette m'avait fait.
Le lendemain matin, après m'être remis de cette cuite et de la nuit torride, je n'avais qu'une chose en tête : revoir Ondine, oui c'était le joli nom de ma proie.
J'ai alors entrepris d'échanger avec elle par sms. Elle a mis du temps à répondre, je regardais mon telephone toutes les 2min, comme un gamin qui demande "quand est ce qu'on arrive " sur un long trajet en voiture.
Nous avons commencé à discuté, j'ai commencé à poser les bases de mon piège. Lui faisant croire que je n'avais jamais ressenti ça. La belle, d'abord sceptique : " mais tu es un beaux parleur, je sais bien ce que tu veux...", s'est vite laissé embobiner par mon bagout et mes "preuves" : "tu sais j'ai jamais eu la gaule juste en embrassant une fille, ca tu peux pas me dire que je mens, tu l'as bien senti"
Alors j'ai commencé à vouloir la revoir, mais elle venait juste de partir avec des amis en vacances pour une semaine... Alors elle me dit : " ta cousine refait une soirée la semaine prochaine, je serai la !" Et cette soirée était ma soirée de départ, ma dernière chance donc d'abattre ma cible. Un petit compte a rebours s'allumai dans ma tête.
Après une semaine et quelques sms échangés, je la sentait mûre à souhait. La soirée débutait, les invités se présentant les uns après les autres, mais aucune trace de ma beauté (elle savait se faire attendre).
Tout à coup, j'aperçu Ondine, juchée sur de haut talons noirs, monter les marches de la terrasse. Un frisson traversa tout mon corps.
Elle avait lissé ses beaux cheveux châtains, mis un rouge à lèvres pourpre, et une robe noire, moulant à merveille, ces hanches parfaitement dessinées, ces fesses rebondies et ses seins bien ronds. Nous avons passé la soirée à nous regarder, à danser l'un contre l'autre, à nous retrouver dans des pièces vides de la maison pour échanger des baisers à l'abris des regards.
Ondine surprise essaya de nier et de répondre, mais les mots n'arrivaient à sortir de sa bouche . Elle sourit en retour et me rejoint dans l'escalier. A peine arrivés dans ma chambre, je la jetais sur le lit, déboutonnant ma chemise pendant qu'elle jetais aux pieds du lit ces talons. Je sautai sur le lit, éteignis la lumière et la pris dans mes bras. J'étais déjà beaucoup trop excité, je commençai par l'embrasser dans le coup, puis caressant du bout de la langue ses lobes d'oreilles, je commençai à remonter sa robe. Ces baisers respiraient l'envie, la sincérité et le stress. Elle se précipitait et due donc s'y reprendre plus d'une fois avant de réussir à défaire mon short. Je la redressais afin de lui enlever sa robe. Nous étions tous les deux très excités, mais elle paraissait impatiente. J'étais calme, dans mon élément. La proie était piégée, il ne me restait qu'a l'achever. Elle glissa plutôt brusquement sa main sous mon caleçon, commença à me branler timidement. Je la laisser faire a sa manières ce n'était pas le moment de la vexer et mon niveau d'excitation était tel, que ces caresses étaient plus un plaisir de la découvrir, qu'une fonction de préliminaires classiques.
Cherchant à la titiller, après avoir dégrafé son soutien-gorge, je léchais ses tétons qui ne tardèrent pas à se durcir. Deux jolis tétons de taille moyenne, surplombant de petites aréoles dont la peau s'était ridée avec le contact de ma langue. Elle en lâchait un petit gémissement discret, continuant à astiquer mon membre déjà dégoulinant de liquide séminal.
Je su alors que mon moment arrivait enfin. Je lui enlevais délicatement ca petite culotte bien mouillée, posa une main sur sa vulve gonflée de désir, tout en embrassant sa poitrine je descendais lentement vers le centre de mes convoitises. Quand j'atteins enfin son pubis ; après avoir senti son corps se comprimer à deux reprises lorsque je croquait sensuellement le bas de son ventre ; je retins mon envie de plonger a pleine bouche dans ce fruit délicieusement juteux. Je fis monter le désir en embrassant ces deux cuisses, allant du genou gauche à l'aine, sautant par dessus son vagin, tout en restant assez près pour qu'elle sente la présence de mon visage sur son clitoris, et remontant jusqu'au genou droit. Elle bouillonnait ! Je ne la fis pas plus attendre et ; après avoir lentement glissait deux de mes doigts dans son intimité ; laissa aller ma langue sur son clitoris. Suçant ces petites lèvres, dépassant comme pour me tendre les bras. Plongeant par moments ma langue dans sa chatte à la place de mes doigts. Elle était aux anges, mon désire n'y tenant plus, je remontais, l'embrassant comme un fou pendant que je me glissais en elle. Elle était effectivement très très étroite, elle n'avait pas menti sur sa perte de virginité quelques dizaines de jours plus tôt. Heureusement pour moi, les nombreux verres que j'avais ingurgité durant la soirée avaient considérablement réduit la sensibilité de mon sexe.
Le lendemain je me levais tôt pour faire mes valises, la vit dans le lit endormie avec un sourire imprimé sur son visage, magnifique. Je déposais un baiser sur son front et descendit prendre mon petit déjeuner. Je la retrouvais quelques minutes plus tard dans le salon, elle aidait ma cousine en passant l'aspirateur, elle ne portais qu'une petit culotte et un long teeshirt arrivant juste en dessous de ses fesses. Elle se pencha en avant en passante l'aspi, ce qui découvrît ces fesses divines. Je pris une capture mentale de cet instant, la pris dans mes bras, mais il était temps pour moi de partir. Je l'embrassai une dernière fois et parti. Certain que l'histoire ne s'arreterait pas la, cette petite avait fait fondre une partie de moi, je ne pouvais la laisser à d'autres...
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