Un Renvoi Difficile.
Patron dune petite société, javais embauché depuis un mois une nouvelle secrétaire. Elle se prénommait Marie, elle avait 25 ans, très joli mince et grande. Elle portait toujours une tenue sexy, et je la dévorais des yeux le matin quand jarrivais au bureau en lui disant bonjour. Malheureusement son travail laissait à désirer, et je devais me résoudre à la renvoyer. Jappuyais sur le bouton de linterphone.
- Marie vous pouvez venir dans mon bureau sil vous plait.
- Bien sûr, Monsieur, jarrive de suite.
Elle frappa et entra, elle portait des hauts talons noir, talons assez fin de 8 centimètres au moins, des bas noirs finement décorés, une jupe noir assez courte pour que lon aperçoive presque le haut des bas, un chemisier blanc avec un magnifique décolleter, celui-ci était déboutonné et lon pouvait apercevoir un morceau de dentelle noir de son soutien-gorge. Son visage, si mignon et souriant légèrement maquillé et ses longs cheveux brun ondulés tombaient de chaque côté de sa poitrine. Elle savança vers moi, après avoir fermé la porte, jadorais voir ses longues jambes déambulées dans le bureau.
- Que puis-je pour vous Monsieur ?
- Asseyez-vous Marie, il faut que je vous parle de votre présence parmi nous.
- Ah, il y a un problème Monsieur ? Dit-elle en sasseyant, croisant les jambes, dévoilant le haut de son bas et la peau légèrement tannée par le soleil de sa cuisse.
Je ne pouvais empêcher mes yeux dadmirer une telle beauté. Mais je devais la renvoyer, il me fallait rester concentrer.
- Cela fait un mois que vous avez intégré la société Marie et vous arrivez à la fin de votre période dessai. Malheureusement, vous ne faites pas laffaire et je vais devoir mettre fin au contrat, je suis désolé.
- Mais
Quoi
Comment
Vous ne pouvez pas Monsieur, que me reprochez-vous ? Dites le je peux peut-être maméliorer.
- Eh bien vous êtes souvent en retard, votre travail nai pas fait toujours correctement, vous oubliez denvoyer des courriers importants et ils prennent du retard.
- Sil vous plait, Monsieur, cest mon premier emploi, je peux faire mieux. Voyez-vous jai eu une fille très jeune à 18 ans, mon copain cest barré il ma laissé seule avec le bébé, jai repris des études, je viens juste davoir mon diplôme. Si je suis en retard parfois, cest parce que je moccupe de ma fille.
- Tout ça est bien triste, je le conçois Marie, mais je dois faire tourner mon entreprise comprenez le.
- Je vous en prie, je ferai tout ce que vous voulez, jai trop besoin de ce travail.
- Vous faites déjà tout ce que vous pouvez et ce nest pas suffisant, alors que faire, je nai pas le choix.
- Vous êtes marié Monsieur ?
- Oui je le suis, mais quelle rapport ?
- Vous avez des s ?
- Non.
- Alors je pourrais aller voir votre femme, lui dire que vous couchez avec votre secrétaire.
- Mais
Enfin Marie
Vous me faites du chantage ?
- Je suis désolé, je nai pas dautre choix, il me faut ce boulot.
- Eh bien allez-y, dites ça à ma femme, vous croyez vraiment que je vais céder à votre chantage ?
- Je suis désolée, dit-elle en sanglotant. Ces larmes nen finissaient plus. Quest-ce que je vais faire sans travail ?
Je me levai la pris par la main, lemmena sur le canapé au fond du bureau. Elle pleurait tellement que je lai prise dans mes bras pour la consoler. Je sortis un mouchoir de ma poche, elle leva la tête de mon épaule, me regardait triste, jessuyais les larmes avec mon mouchoir. Dun coup elle posa ses lèvres sur les miennes et commença à membrasser. Je la repoussai gentiment.
- Non, pas de ça Marie.
- Je sais que je vous plais Monsieur, vous me regarder le matin en arrivant, discrètement, mais je vous vois. Et tout à lheure aussi quand jétais assise, vous regardiez me jambes.
- Même si cest vrai, je suis marié.
- Allons laisser vous tenter. Elle me poussa dans le canapé, mis une jambe entre mes cuisses remontant vers mon sexe.
- Euh
La gorge serré, comment résister à une si belle femme, mais cétait un tas demmerde qui allait déferler après. Non Marie, je ne peux pas.
Je la pris par les épaules la releva, me leva en même temps, je réajustai ma cravate, tandis le bras et le doigt vers la porte.
- Sortez maintenant et rentrez chez vous.
Elle sécroula sur le canapé en pleurant de plus belle. Je mapprochai lui mis les mains sur les épaules.
- Désolé, dêtre si brutal, mais vous ne me laissez pas le choix non plus.
Elle releva la tête, les larmes et le maquillage coulait sur ses joues.
- Vous savez, je nai pas essayé de vous séduire juste pour le job.
- Ah bon que voulez- vous dire ?
- Eh bien vous me plaisez aussi, jessaie de reconstruire ma vie et javoue que quand je vous ai vu à lentretien dembauche, vous mavez toute de suite plu. Je me suis dit, sil me renvoie essayons au moins de coucher avec je naurais pas tout perdu et cest vrai que javais espoir aussi que vous me gardiez après.
- Ah oui, je vous plais, vous savez que jai 15 ans de plus et que je suis marié ?
- Oui et fidèle apparemment.
Elle était là devant moi, si belle, cest vrai quelle mavait toujours attiré et quavec ma femme cétait plus au beau fixe depuis longtemps. Que faire ? Céder à la tentation ou pas.
- Marie, si le contexte était différent, peut être que jaurais envisagé
mais
- Vous seriez prêt à vous intéresser à moi ?
Cest là que je maperçus que mon sexe était au niveau de son visage et quune légère bosse sur mon pantalon trahissais encore leffet que mavais procuré sa cuisse toute à lheure. Je neus pas le temps de répondre que sa main commença à caresser cette bosse, qui rapidement devint plus grosse.
- Alors, Monsieur, que fait-on ?
- Marie, enfin voyons ne recommencer pas, je vous ai
ça caresse était si bonne, je ne pouvais résister plus longtemps.
Je lallongeais dans le canapé, lembrassa goulument tellement elle mexcitait, ma main remonta sur son bas le long de sa cuisse, arriver sur sa peau si douce, je remontai plus haut en glissant sous sa jupe. Je la sentais frissonner et gémir quand mes baisers descendirent dans son cou, humant au passage sa longue chevelure brune.
Jouvris son chemisier et découvrait son soutien-gorge en dentelle noir, je malaxais ses seins, du 90C je pense, à travers la fine dentelle. Pendant ce temps Marie frottai ma queue déjà dure avec sa main à travers mon pantalon, essayant de trouver la fermeture éclair. Je dégageais les seins de leur prison de dentelle noir, ils étaient magnifiques, de larges aréoles de six centimètres de diamètre au moins, surmontés de superbe tétons, gros eux aussi et pointant vers ma bouche affamée. Jengloutis un téton dans ma bouche le suçant, le mordillant, le titillant avec le bout de ma langue ou encore le tirant avec mes dents. Marie avait glissé sa main dans mon pantalon, massant ma bite serrée dans mon caleçon avec fermeté et délicatesse à la fois. Elle se tortillait en ronronnant sous leffet du plaisir que je lui procurais en mangeant ses seins.
- Lève-toi je vais te sucer me dit-elle.
Je me levai donc, profitant au passage pour retirer son chemisier et son soutif. Elle me regardait, souriante, ses mains habiles soccupaient de ma ceinture et mon pantalon et mon caleçon ne mirent pas longtemps à tomber sur mes chevilles. Elle la prit dans une main, lautre était posée sur ma cuisse, assise sur le canapé elle commença par posé sa langue entre mes couilles, puis la monta doucement jusquau gland auquel elle donna un petit coup de langue ce qui le fit tressaillir. Elle recommença 4 ou 5 fois cette caresse linguale, puis mit ses lèvres sur le bout du gland et titilla ma fente avec sa langue. Lèvres serrées elle poussa vers le bas pour engloutir mon membre dans un « humm » de gourmandise et un râle de plaisir pour moi. Cest ainsi que commença sa fellation et elle continua à monter et descendre de plus en plus vite sur ma queue avec ses lèvres si douce et sa langue si habile.
- Arrêtes ou je vais jouir, ma femme ne ma jamais sucer comme ça et au lit ce nest pas terrible non plus.
- Viens, dit-elle, viens dans ma bouche, ça fait longtemps que je nai pas gouté la liqueur dun homme.
Il ne fallait pas en dire plus, elle sarrêta, lèvres serrées sur le gland pompant avec ardeur et sa main branlait le reste de mon membre. Elle prit de longues décharges de spermes en pleines bouche, je poussais un cri de plaisir à chaque décharge. Ses lèvres hermétiquement fermées sur mon gland nen ont pas laissé échapper une goutte. Je la regardais, la respiration haletante, ses lèvres glissèrent jusquau bout du gland le libérant de cette bouche si chaude. Elle me regarda droit dans les yeux et avala ma semence, passa sa langue dun air lubrique sur ses lèvres, comme pour me montrer sa gourmandise.
- Humm délicieux, jen veux encore.
- Je le savais, ces tenues sexy que tu portes ne pouvait cacher quune tigresse gourmande.
- Viens me manger.
Elle sassit dans le canapé en remontant sa jupe sur ses hanches, écartant en même temps ses jambes, me dévoilant son string en dentelle noir assortit au soutif. Cétait une invitation claire et précise. Elle écarta le string et sa petite chatte toute lisse et luisante de désir fit son apparition. Je magenouillais devant elle, donna juste de petits coups de langue sur le clito en la regardant. Elle souriait, penchais la tête en arrière à chaque coup de langue avec un petit gémissement.
- Arrêtes de me faire languir mange-moi.
Mais non, pas encore, je pris mon index lui fit sucer, puis commença à titiller son clito avec. Je frottai, elle gémissait, je frottais plus fort, elle se cambrait. Et quand elle si attendait le moins, jengouffrais ma bouche entre ses cuisses trempées. Quelle douce odeur quelle doux miel, ma langue le happait et je lavalais avec bonheur. Ces petites lèvres étaient si grosses, charnues, je les suçais, les mordais, à chaque action je récoltais son miel comme une récompenses. Je dévorais son clito, elle était si cambrer, ses cuisses serrées contre ma tête. Et cest quand jentrepris dinsérer ma langue dans sa grotte, quelle cria et jouis dans ma bouche. Son corps retomba sur le canapé, je donnais des coups de langues, pour ne rien perdre de ce délicieux nectar.
Je me relevai doucement commençant à embrasser son nombril, montant entre ses seins, les re-goûtant au passage, titilla la peau de son cou avec le bout de ma langue, puis embrassa ses lèvres pendant que sa langue vint chercher la mienne.
Elle me serrait dans ses bras, cest elle qui donnait le rythme au baiser, comme pour me remercier de lavoir faite jouir. Tout ça mavait fait bander de nouveau, elle resta assise dans le canapé pendant que je me présentais devant son volcan. Je chatouillais ses petites lèvres du bout de mon gland, les écartaient pour me position devant lentrée. Je la regardais dans les yeux, elle me fit un signe « oui » de la tête tout en se mordant la lèvre inférieur, comme pour prévenir du bonheur de sentir une queue la pénétrer. Je menfonçai dun coup sec, elle gémit fort, je restai au fond, lembrassa goulument. Puis commença à aller et venir, la tenant par les hanches, je glissai fort dans cette chatte si trempée. Elle criait de plaisir se cambrait, je caressais ses cuisses, remontait sur ses hanches pour la tirer vers moi.
Jétais si raide en elle.
- Je vais jouir, plus fort vas-y.
Je redoublais dardeur, posa ma main sur ventre et branla son clito avec mon pouce. Dans la minute qui suivit elle explosa à nouveau. Je ralentis, puis sortis mon membre et retourna lembrasser. Elle se leva, se mit à genoux au sol le torse sur le canapé, me présentant sa croupe par derrière. Son petit cul rond était magnifique, je magenouillais derrière elle, embrassant ses fesses les mordants. Elle rigolait, je pense que ça la chatouillais plus que ça lui donnait du plaisir.
- Aller, prends moi en levrette, donne toi, je veux encore ta semence noublie pas.
- Tu vas lavoir Marie, si cest pour ton plaisir je vais ten donner.
Je mintroduis doucement en elle, gémissant tous les deux au plaisir que ça procurait. Agripper à ses fesses, je donnais des coups de reins, la tirant vers moi. Jaccélérais mes couilles claquaient sur ses fesses, cétait si bon, elle appréciait aussi me criant de la besogner plus fort. Elle posa sa main sur son clito, le frottant avec vigueur et quelques secondes après je sentis sa chatte se contracter explosant à nouveau dans un cri de bonheur. Jétais sur le point dexploser aussi, lui disant, elle se retourna vite, mais pas assez vite puisque je jouis à moitié dans sa bouche et en partie sur son visage dans un long râle. Elle la prit en bouche pour me pomper la dernière goutte, puis récolta le foutre sur son visage avec ses doigts et lavala également.
- Tes vraiment une gourmande.
- Tu nas pas idée.
Apaiser, affaler dans le canapé, les yeux dans les yeux.
- Que fait-on maintenant ? Me dit-elle.
- Je ne vais pas te garder Marie, même si on a couché ensemble, tu es vraiment une secrétaire médiocre dit je en explosant de rire.
On se retrouvait là, sur le canapé, comme rigolant dune bonne blague. Puis plus sérieusement me demanda.
- Et pour nous deux ?
- Nous on reste ensemble, ma chérie, je vais quitter ma femme.
Quelques semaines plus tard Marie a emménagé chez moi avec sa fille. Mais elle ma trouvé une nouvelle secrétaire, ou devrait je dire, un secrétaire. Eh oui cest un homme, pas stupide ma petite Marie.
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