La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 686)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°680) - Le retour de David au Château -
Le dîner était terminé, lesclave Endymion MDE avait été libéré des accessoires ornant son corps et principalement ceux le pénétrant puis il avait été entrainé à quatre pattes, tenu en laisse par Monsieur le Marquis jusquau petit salon, jouxtant la salle à manger. Mademoiselle Lucie et Monsieur Julien, comme dailleurs Madame Marie, étaient partis quelques instants se rafraichir, eux allaient revenir sous peu, seul Monsieur le Majordome, Walter, avait pris congé pour soccuper du restant du Cheptel, en compagnie du nouveau Garde en Chef, le sieur Maximilien. Juste avant de regagner le petit salon, le téléphone portable de Monsieur le Marquis sonna. En voyant apparaitre le nom de son interlocuteur safficher, le Noble eut un large sourire radieux et il ne put sempêcher de dire à haute voix « Oh, cest lui !
yes ! » Il décrocha en hâte :
- Ho, cest toi ! Quelle belle surprise ! Comment vas-tu ?
-
..
- Mais cest une excellente idée, et tu peux être là sous peu ?
-
.
- Tu es en train de me dire que tu es devant le portail ?
-
.
- Très bien, je vais donc touvrir le portail électrique
arrives
à tout de suite
Le Maître raccrocha et fit demi-tour entrainant Son esclave toujours à Ses pieds. Dun pas pressé et enjoué, le Maître tirait sur la laisse et emmena Son chien soumis jusquà la double-porte dentrée dans le grand hall. Là il appuya sur le bouton à-côté de linterphone vidéo, ce qui enclencha louverture automatique du portail situé tout au fond de lallée centrale et de limmense parc, puis il franchit la lourde double-porte pour aller à lextérieur sur le perron du Château, tout en ordonnant à son esclave de se dépêcher
Les pneus dune grosse Mercédès noire crissaient sur les graviers, un jeune homme, trente-cinq ans environ, élégamment vêtu, sortait du véhicule et se précipitait vers Monsieur le Marquis dEvans, montant quatre à quatre les quelques escaliers donnant sur le Perron de lancestrale Demeure.
- Ho, mon David ! comme ton absence ma manqué, mon Cher David !
- La solitude, ne pas pouvoir te voir comme je laurai souhaité ma véritablement éprouvé. Jai vécu cette absence comme une longue attente douloureuse. Etre sans les autres lorsque ce sont les autres qui éclairent toute notre conscience, nous réduit à souffrir sans cesse de lennui et de la langueur du manque
! lui répondit David dune voix douce, amoureuse et très sensuelle.
Monsieur le Marquis embrassait encore la bouche de celui qui était son compagnon intime dans sa vie privée, depuis plus de dix années. David était le fils unique dune grande famille bourgeoise Lyonnaise. Très brillant, dune intelligence rare, vraiment cultivé, cétait un grand littéraire issu des grandes écoles. Il était devenu un grand avocat au barreau de Lyon et de surcroit il était un passionné de psychologie et philosophie. Il était du genre à dévorer un livre de 500 pages en une petite nuit ! Cétait aussi un passionné dArt et de Grande Musique classique aussi. Bien que dallure virile, il avait une part de féminité en lui avec une attitude quelque peu maniérée. A lévidence, on pouvait constater un puissant amour sans faille pour le Noble et la réciprocité était aussi une évidence à voir comme ils sembrassaient passionnément.
- Souvent jai pensé à toi, jimaginais te regarder et mon désir approchait, léger, entre ma tête et mon sexe. Rien encore ne bougeait, ni ne gonflait, sinon le peut-être dune promesse rieuse. Javais envie dêtre près de toi, de me sentir en éveil. Pendant cette absence, bien souvent mon désir voulait rencontrer le tien, sen assurer.
Monsieur le Marquis attrapa la main de David, leurs doigts saccrochèrent et se serrèrent entre eux. Le Noble se pencha et pour attr la laisse dEndymion MDE.
- Oh, le petit chien-chien soumis que voila ! Je ne tavais point encore vu ! dit David en saccroupissant devant le visage de lesclave MDE.
De sa main libre, il lui caressa longuement les cheveux, les joues, ces doigts fins effleuraient les lèvres dEndymion MDE. Ces quelques caresses sensuelles avaient mis en émoi les sens dEndymion MDE, sa queue sétait subitement redressée, un fin filet de mouille sen échappait... La laisse se tendit subitement, David et Monsieur le Marquis, main dans la main entrèrent dans le Château, entrainant derrière eux, toujours à quatre pattes lesclave MDE. Ils regagnèrent le petit salon ou étaient installés ceux qui avaient dîné avec le Maître. David était évidemment connu, Madame Marie et Mademoiselle Lucie lembrassèrent affectueusement, Monsieur Julien, lui, un peu en retrait, sapprocha et lui serra la main.
- Marie, peux-tu nous servir un bon et bel Armagnac ! Dictait le Maître.
Le Maître sétait assis sur un canapé, tout près de David et avait ordonné à Endymion MDE de se positionner en levrette devant lui. Sitôt dans la position requise, lesclave MDE sentit des pieds se poser sur son dos. Ce lourd fardeau, le fit se plier un peu plus encore, ses épaules touchaient terre alors que son cul était relevé et parfaitement cambré. Les quatre Dominants et David dégustèrent ce vieil armagnac en discutant de tout et de rien pendant un long moment.
- Ma chère Lucie, ce soir je vais te confier cette petite salope ! Dit le Maître en reprenant la main de David, tout en donnant un coup de talon contre lomoplate dEndymion MDE, comme pour lui faire comprendre quon parlait bien de lui.
- Merci Papounet ! Lui répondit-elle, telle une petite fille bien sage
La petite fille bien sage ne létait pas tant que ça, aussitôt elle sintéressait aux burnes de lesclave MDE, celles-ci étaient à portée de ses mains. Elle les lui attrapa sauvagement et les lui tirait vers larrière, les remontant tout contre sa raie. Le chien ne pipait mot, il serrait les dents pour ne pas gémir tant la pression lui était douloureuse
- Jai bien lintention de mamuser avec ce sac à foutre de ce clébard
Reprit-elle beaucoup plus vicieusement.
Et cétait ainsi quelle fit sortir de ce salon Endymion MDE, le tenant sévèrement et fermement, le faisant marcher à reculons. Elle et Monsieur Julien lemmenèrent dans un lieu bien connu de tous les soumis et soumises vivants au Château, une salle spécialisée pour les entrainements bien particuliers. Perverse et sévère comme lest sa mère, et dune parfaite maitrise comme lest Monsieur le Marquis, son père. Elle exigea que lesclave MDE se tienne incliné, mains en appui sur un établi, le cul tendu, les reins creusés, les cuisses écartées. Elle lui montra un gros plug, quelle venait de choisir parmi une multitude dautres.
- Tu vois lengin le chien, ton cul de salope va devoir lavaler entièrement. Je te conseille de bien te détendre pour faciliter la pénétration, car de gré ou de force je vais te lenfoncer entièrement dans ton cul de putain.
Ces mots humiliants permirent à la nouille dEndymion MDE de sépanouir. Elle arborait de nouveau une solide et ferme érection, malgré la dimension effrayante de ce volumineux plug.
- Tu es une grosse catin, une vraie grosse salope, comme jamais jai vu ! Annonçait Monsieur Julien en lui donnant deux claques sur son cul.
Il tâtait la nouille de lesclave MDE, testait sa fermeté, alors que deux doigts imprégnés de gel lubrifiant, ceux de Mademoiselle Lucie, glissait dans son cul.
- Détends-toi, tai-je ordonné ! exigeait Mademoiselle Lucie
Ces doigts agiles et fins glissaient et exploraient lintimité de lesclave, tournoyaient dans cette cavité humide et chaude, fourrageait ce trou, le trifouillaient, ressortaient et pénétraient encore jusquau moment où lesclave MDE sentit le gode englué de lubrifiant pointer tout contre sa pastille. La pression exercée sur lobjet était plus que déterminé, son trou ployait et cédait, sécartait et se pliait aux exigences de cette douloureuse mais tout autant délicieuse et large pénétration.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis dEvans installé confortablement dans son immense lit à baldaquin, faisait glisser ses mains contre le corps nu de David. Le Maître sentait une heureuse tension intérieure monter dun cran. Il semblait tester et vérifier la fermeté de ses cuisses, ou la courbe de ses reins. Le corps de David se tendait, les bras du Maître lenserrait, sa poitrine contre la sienne, ses jambes en contact avec celles de David. Leur plaisir était avant tout ce désir réciproque, plus que telle ou telle sensation précise dépiderme, cétait lenvie de saccoupler
Tous les gestes tendres du Maître emmenait David, lui les yeux clos espérait
Les caresses du Noble, en le touchant, le caressant, en le pressant de mille manières, en lui mordillant bouche, en effleurant ses lèvres, en le bouleversant mettait David en transe, son être tout entier en ébullition
. Mais le Maître voulait attendre pour mieux lemplir de cette force que David souhaitait et stimulait dun soupir, dun regard complice, dun sourire confiant. Les yeux de Monsieur le Marquis se fermaient pour mieux voir David de lintérieur, il le connaissant tant et pourtant à chaque fois il avait limpression de le découvrir. Mais le désir était trop fort
Alors le Noble maintenant allait et venait, bien au chaud de David, il prenait les commandes, amplifiait les mouvements, accélérait le rythmes, frappait comme la houle déquinoxe. Il lempoignait, le courbait, le retournait, louvrait plus encore, comme pour tout savoir de Lui, pour repousser plus loin son point extrême. Allaient-ils sauter dans le ciel ensemble ? Non, pas encore, cétait trop bon, il fallait rebondir, il restait tant à découvrir
Dans une autre pièce du Château, pour Endymion MDE les choses étaient bien différentes, cet énorme plug avait bien du mal à sinsérer en lui, il geignait et gémissait, implorait même quon lencule dun gode plus étroit. Pourtant sa queue bandait toujours plus
Pour toute réponse et pour ses plaintes et ses lamentations, Monsieur Julien sétait assis sur létabli entre ses bras tendus et lui avait enfilé sa longue et large bite en fond de gorge
- Ecarte-toi et offre-toi encore un peu, plus que deux centimètres et ce plug investira totalement ton trou de lope ! ordonnait Mademoiselle Lucie, comme pour encourager lesclave MDE.
Et ces encouragements humiliant furent bénéfiques, avec un double effet, lobjet était enfin entré tout entier, tenant les sphincters intimes dEndymion MDE largement écartés et dilatés, sa bite était parfaitement raide et droite et perlait à grosses gouttes.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis dEvans et son amant avaient perdu toute notion dheure, de fatigue, toutes ces contraintes qui appartiennent à la vie. Quelques chose de diffus amollissait la nuque du Noble, réchauffait sa peau, adoucissait ses épaules, alanguissait ses jambes, humidifiait les paumes de ses mains, ses aisselles, mais durcissait son Noble sexe. David venait de sassoir à califourchon sur lune des cuisses de Monsieur le Marquis et empoignait ce membre brulant, sa langue effleurait ce gland turgescent. La main du Maître caressait son dos dun lent mouvement et cette main saventurait jusquà ces poils doux comme une herbe jeune qui tapissaient sa raie anale. Mais tout dun coup tout se bousculait, Monsieur le Marquis reprenait la situation en main allongeant David sur le lit. Sa langue remontait sur lépaule jusquà loreille de David. Il lui susurrait des mots usés et adorables impulsant une fougue nouvelle. David renversé sur le dos se laissait faire, ses gestes ne lui appartenaient plus. Ils senchainaient, évidents, incontrôlés, et ses yeux se fermaient afin quil soit mieux présent à cette houle qui semparait de lui. Il sentait son corps oublier toute maitrise, il se laissait fouiller avec un évident plaisir, se laissait pénétré par un puissant courant brulant et moite qui les tissait lun à lautre, espérant et lun et lautre cette explosion de la jouissance qui anéantirait leur désir
Cest dans cette extase de plaisirs charnels quils firent lamour toute la nuit, jusquà la prochaine fois !
(A suivre
)
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