Plongée Dans Le Candaulisme (Sarah, Troisième Partie)

Jamais je n’aurais imaginé le plaisir masochiste que j’allais prendre dans les jours suivants.
Etre cocu est parfois une souffrance. Dans mon cas, celle-ci n’a pas duré longtemps car Éric est un amant fantastique. Il donne énormément de plaisir à Sarah, qu’il baisera plusieurs fois par jour jusqu’à la fin du séjour. Mais il n’abandonne pas le cornu pour autant. Peu après avoir baisé la première fois mon épouse, il l’a envoyée dans la chambre se mettre en maillot.
- Tu as un bikini string ?
- Non Monsieur
- Tu peux m’appeler Éric. Tu vas dans ton bungalow en string, juste avec ton tee-shirt. Et tu mets ton bas de bikini le moins large, en faisant remonter un maximum de tissu en haut des fesses. Et tu reviens ici
- A tout de suite !
Et elle vole un baiser à Éric en partant. Sans un regard pour moi.
- Cocu, tu as un appareil photo ?
- Oui Monsieur
- Très bien. A compter d’aujourd’hui, quand je serai avec ma femelle, je veux que tu aies ton appareil à tout moment avec toi. C’est compris ? Tu pourras ainsi immortaliser nos jeux et branler ta pauvre petite queue en y repensant. Tu as aimé me voir baiser ma pute ?
- Oui, c’était très excitant.
- Crois-moi, je ne vais pas m’arrêter là. Elle a un très gros potentiel, tu verras.

Sarah revient à ce moment-là avec son maillot noir, remonté comme indiqué par Éric, mais c’est loin d’être indécent. Disons que lorsque je les rejoins à l’accueil de l’hôtel, quelques minutes plus tard, les regards des personnes à l’accueil en disent long sur la sensualité que ma femme sème dans son sillage.

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Moi qui aie toujours refusé à Stéphane de faire du « seins nus », me voilà à l’arrière d’un taxi qui roule doucement, sûrement pour allonger le trajet, car Éric m’a fait relever mon tee-shirt au-dessus des seins dès le début du trajet. Il explique au chauffeur la situation, avec un naturel désarmant, comme si cela était parfaitement normal, et sur un ton identique à toute discussion éphémère et anodine que l’on peut mener dans un taxi.

J’ignore si Éric connait notre chauffeur, mais le moins que l’on puisse dire est qu’il prend un certain à humilier Stéphane. Et le pire est que ça ne semble pas déranger mon petit mari, que je connais bien.
De mon côté, entendre ce type un peu vulgaire demander à mon mec s’il aime que sa « pute de femme » (selon ses termes) se fasse baiser par un autre me rend très excitée. Cela m’aurait semblé irréaliste il y a quelques jours à peine, mais là je dois reconnaître que j’aime ça. Éric le sent, et le doigt qui a pris possession de ma fente trempée le lui confirme.
Il me glisse à l’oreille que le chauffeur a raison, que je suis faite pour le sexe, mais pas avec mon mari. Et je crois qu’il a raison. Alors même qu’il est cocu depuis à peine une heure, Stéphane semble réellement heureux. Ça me déstabilise beaucoup, mais je sais qu’il en rêvait depuis longtemps. Très excitée, je décide de prendre l’initiative, car Éric ne me l’a pas interdit, et je me penche pour prendre sa belle queue en bouche. J’y mets d’ailleurs un cœur que je n’aurais pas soupçonné auparavant. Je lui gobe les couilles avec langueur, en sachant qu’un inconnu et mon mari nous matent comme ils peuvent. Mais mon bel amant ne me laisse pas le temps de le faire jouir, alors que j’avais envie de sentir son sperme gicler dans ma bouche.
En fait de boutique de maillots de bain, c’est en fait dans un magasin de lingerie qu’Éric nous a emmenés. Ça ne pose pas de souci au demeurant, et de fait beaucoup de jeunes femmes se baladent dans une tenue légère comme moi, ce qui me rassure un peu.
Eric semble connaître les lieux, et nous montons directement à l’étage, qui visiblement n’est pas ouvert à tous. Confirmation en arrivant en haut, nous sommes seuls dans une pièce avec de la lingerie assez osée, et des maillots de bain qui le sont aussi. Comme par hasard, c’est un vendeur qui est là et non une vendeuse, autant dire qu’il n’est probablement pas désintéressé…
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Le premier modèle que je propose à ce couple, ou plutôt à ce trio, est un bikini rose très très moulant.
Le string est composé d’une simple ficelle à l’arrière, accrochée par un petit anneau métallique. L’avant est de taille normale, comparé à d’autres modèles, mais souvent les reliefs sont particulièrement visibles. Ça ne loupe pas avec cette jolie bourgeoise (je crois que l’homme le plus âgé l’a appelée Sarah), malgré la culotte qu’elle porte en dessous, on distingue nettement les plis de sa chatte, ce que j’apprécie à sa juste valeur. Le plus jeune des deux hommes est en train de la prendre en photo, il semble très excité. J’avoue que je me demande ce qui se passe.
Le soutien-gorge est plutôt sage, mais elle l’a mis directement sur elle. Je lui rappelle les règles dans une boutique de lingerie, et l’homme le plus âgé intervient pour me dire que sa « chienne » (le terme est de lui) n’a pas mis de soutien-gorge pour venir. Je ne sais comment réagir, et il le voit. Alors il s’approche de moi, et m’emmène près de la femme, qui ne bouge pas. Je la voir, quelque peu tremblotante, manifestement pas très à l’aise, ne sachant pas que faire. L’homme lui passe la main entre les jambes, dessinant du bout des doigts les contours de sa chatte. Ma bite commence à réagir dans mon short.
- Tu vas pouvoir profiter de la vue de ses lèvres intimes dessinées par le maillot, ça vaut bien une petite entorse au règlement ?
- Je… je ne sais pas… Ce n’est pas moi qui fixe les règles. Si jamais ma cheffe arrive, je risque de passer un sale quart d’heure.
- Et si tu vois ses nichons, tu fermeras les yeux ? Je parle au sens figuré, bien entendu…
Et l’homme de partir d’un petit rire. Il ne me laisse pas le temps de répondre en fait. Un petit signe à la femme et là voilà qui me dévoile des seins de taille correcte mais bien fermes. C’est un appel au sexe, elle se dévoile maladroitement, c’est très excitant. L’homme qui l’a appelé « ma chienne » la guide maintenant, il lui fait lever les bras, presser ses nichons entre ses mains tout près de moi. Je sens son odeur et j’avoue avoir du mal à me maîtriser.

- D’accord, vous pouvez continuer, mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps.
- Elle pourra essayer le haut et le bas directement sur la peau ? (c’est toujours le vieux qui parle)
- Je ne peux pas prendre tant de risques, je tiens à mon travail…
- Sarah !
La femme s’est retournée, et cette fois sans hésiter a enlevé le string mais aussi le bas de maillot qu’elle portait, en se baissant ostensiblement. Malgré une timidité latente, elle ne se défile pas et reste bien penchée en avant. La chatte qu’elle me montre est parfaitement épilée, les lèvres sont bien proéminentes. Elle semble humide mais je n’ose y aventurer un doigt, et j’ai autant de mal à ne pas sortir ma bite qui a bien durci. J’ai envie de lui défoncer la chatte à cette pute, mais je dois essayer de garder la tête froide…

Je retourne tant bien que mal près des portants, et je trouve un modèle que je ne vends jamais : un bikini rouge transparent, franchement indécent. La jeune femme l’essaye devant moi, et recommence à me chauffer en faisant entrer le tissu dans sa chatte, en me montrant son cul bien rond juste traversé par la ficelle éclatante.
Le vieux s’adresse alors à l’autre homme :
- Cocu, donne-moi ton appareil photo et va dans l’escalier vérifier que personne ne monte. Si quelqu’un vient, tu le retardes.
- Oui Monsieur
- Jeune homme, nous prenons évidemment ce bikini. Tu as bien quelques pièces de lingerie coquine ?
- Evidemment
- Si cela me convient, tu pourras sortir ta queue et te soulager sur ma salope. Si tu es intéressé, bien entendu
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Ce salaud n’allait pas dire non. La demi-heure qui suit est un festival de strings ouverts, de soutiens-gorge minimalistes, de tissus fins dévoilant plus qu’ils ne recouvrent.
Le dernier modèle essayé, qui bien entendu plaît beaucoup à Éric, est un dernier bikini, minimaliste. Les coutures sont noires et le motif du tissu est aux couleurs de l’arc en ciel.
En fait de tissu, 2 minuscules triangles couvrent les seins, larges de 4 ou 5 centimètres, les rendant de loin plus obscènes et désirables que s’ils étaient nus. Le bas est à l’avenant, avec un string ficelle dont le triangle de tissu est très étroit à l’entre-jambe, rendant les grandes lèvres quasiment visibles. Le triangle ne remonte pas haut, donc si le pubis n’est pas intégralement épilé, je suppose que la touffe dépasse au-dessus.
Éric ne manque pas de faire largement pencher Sarah en avant, jambes écartées. La rondelle brune ressort impudiquement sous la ficelle du string, et je bande dur en la voyant de loin. Le vendeur, sur un signe de l’amant de ma femme, s’est finalement approché, conquérant. Il a l’autorisation de se branler en matant le spectacle et ne se gêne pas pour frôler les fesses du bout du gland. Éric immortalise cette queue bronzée près du cul blanc de ma femme, cul qui est bientôt couvert d’un sperme gras et abondant. La faisant redresser, Éric enlace ma femme et l’embrasse à pleine bouche, étalant le sperme de ses mains.
Puis nous quittons le magasin, Sarah juste vêtue du tee-shirt et du string, les fesses poisseuses de foutre, moi plus léger de quelques dizaines d’euros et le vendeur de quelques centilitres de sperme.

Nous rentrons directement à l’hôtel, et Éric me congédie. Ce n’est même pas une punition en fait, simplement m’informe-t-il qu’il a envie de baiser ma femme en mon absence. Je me retrouve sur la plage, seul, à réfléchir à la situation. Et je dois rester sur le ventre. Ma queue ne cesse d’être dure en imaginant Sarah se faire défoncer, j’adore ça. Je suis un vrai candauliste, j’adore savoir que ma jolie femme prend du plaisir avec un autre. Les amants me rejoignent en fin d’après-midi, alors que j’ai lu quelques pages à peine de mon livre en trois heures. Sarah est « vêtue » du bikini string rose, le premier modèle essayé ce matin.
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Le cocu est sagement installé près de son bungalow. Conformément à ma demande, Sarah s’installe sur le ventre pour montrer son cul aux touristes qui passent, les jambes légèrement écartées en direction de l’océan.
- Alors Stéphane, tu ne t’es pas trop embêté ?
- Non Monsieur, j’ai lu.
- Pas beaucoup apparemment. Es-tu tourmenté ?
- Je ne suis pas sûr de pouvoir dire cela. Je suis comme dans un monde parallèle, déconnecté de la réalité que nous vivons en France.
- C’est pourtant la réalité. Tu es un homme qui aime voir sa femme se faire baiser par d’autres. Que nous soyons ici ou ailleurs n’y change rien. Qu’en penses-tu ?
- C’est tout à fait possible.
- Tu aimes être cocu, je me trompe ?
- Non, vous ne vous trompez pas.
- Dis-moi pourquoi. Et ne mens pas !
- Eh bien…. J’aime ma femme [Je le vois jeter un regard vers Sarah, qui lui sourit avec tendresse]… Mais je suis conscient du fait de ne pas être à la hauteur. Pas très bien membré, pas très endurant, pas très imaginatif… J’ai du mal aussi à lui demander ce qu’elle souhaite…
- Pourtant, tu as conscience du fait qu’elle a besoin d’être prise en main cette petite catin. Ce n’est pas du tout une femme dominatrice.
- Cela relève de l’évidence aujourd’hui, maintenant que je vous ai rencontré. Et j’avoue que depuis hier, je suis mort de jalousie, mais…
- Mais tu bandes comme jamais
Stéphane baisse la tête, et acquiesce en silence, comme vaincu. Alors qu’en fait, il n’est pas du tout perdant, bien au contraire. Ce couple va voir sa libido exploser à son retour en France.
Après un moment de silence, j’intime l’ordre à Sarah d’enlever son soutien-gorge et de se mettre sur le ventre dès qu’elle se sentira prête pour cela. Ma soumise apprend vite. Le geste est souple et le haut disparaît. La petite salope ne se dérobe guère, je la soupçonne même de prendre du plaisir à se retourner en regardant son mari droit dans les yeux. Les aréoles sombres apparaissent, encore légèrement rougies par le traitement que je leur ai infligé précédemment.
Après une petite demi-heure à bronzer sous le soleil déclinant, les deux jeunes que nous avons croisés ce matin passent à quelques mètres de nous. Ils ralentissent ostensiblement le rythme en découvrant les seins de Sarah, et reviennent finalement, en se baignant cette fois, à proximité. Les regards sont fréquents et insistants, et je me dis que l’occasion est belle de faire franchir une nouvelle étape à Sarah. Je me dirige vers eux, sans hâte, échafaudant la suite des évènements. Je les aborde de manière très directe, en leur demandant comment ils trouvent cette femme. Evidemment, les compliments pleuvent. J’abrège cela en leur disant d’aller chercher sans tarder des capotes dans leur chambre, car je ne doute pas qu’ils sont équipés. L’un d’eux, manifestement le plus jeune et le moins assuré, se précipite. Je m’adresse alors seulement à l’autre :
- Pas de violence, pas sexe anal, et chacun votre tour. A prendre ou à laisser.
- C’est d’accord. Dans votre bungalow ?
L’homme a l’air éduqué et assez pervers, il me plaît bien. Je confirme le lieu et lorsque son ami revient, il est informé de l’accord, et c’est d’ailleurs lui qui disparaît en premier avec Sarah. Je continue à discuter comme si de rien n’était avec l’autre, appelé David.
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Éric le veut, donc je rentre dans le bungalow avec l’homme, qui ne se présente même pas avant de me montrer sa queue molle. Je m’agenouille docilement et commence à masturber ce sexe avec un plaisir qui me surprend. Il durcit assez vite, atteignant une taille raisonnable. Assez fin, il se révèle avoir un goût légèrement salé loin d’être désagréable. Je m’active sur cette bite, flattée d’entendre les réactions de l’homme qui soupire de plus en plus bruyamment. Accélérant et ralentissant le rythme, il ne me faut guère que quelques minutes pour l’entendre gémir et lâcher de belles giclées de sperme sur mes seins.
Je suis heureuse d’avoir fait jouir un homme si vite, mais je n’ai pas le temps de penser outre mesure à ma performance buccale, car déjà la bite de l’autre homme, prénommé David, se présente à moi. Gonflée, avec de grosses couilles pendantes, elle est incontestablement plus impressionnante. Son approche ne fut pas d’une originalité extraordinaire
- Suce-moi, salope !
La fameuse répartie des hommes. Je me suis toutefois exécutée pour deux raisons : d’abord parce que mon Maître l’exigeait, ce qui était nécessaire et suffisant. Ensuite parce que j’en avais envie, ce qui 24 heures auparavant était impensable. Aussi, pour donner le change, je décidais de lui dire ce qu’il voulait entendre entre deux coups de langue sur sa jolie queue.
- Elle est belle ta queue. J’aime la sucer. Je suis une salope !
- Oh oui, continue, j’aime voir ta bouche sur ma grosse bite
Quoique ma chatte réclame un mandrin de chair pour l’élargir, je décide d’accélérer le rythme pour faire jouir un deuxième homme en quelques minutes à peine. Tout en le masturbant énergiquement de la main droite, je gobe successivement les deux testicules, joue avec pour faire monter le plaisir. Mais contrairement à son compagnon, David ne cède pas et finit par m’interrompre en me tirant les cheveux en arrière sans violence mais fermement. Honteuse de ma faiblesse et de la facilité avec laquelle je plonge dans cet univers de luxure, je le laisse me positionner sur le lit, cuisses grande écartées. Il mate quelques instants ma chatte trempée, car je ne peux guère nier mon excitation, et enfonce son vit préalablement recouvert de latex au tréfonds de mon sexe. Le salaud sait y faire. Il alterne les rythmes, parfois me caressant le clitoris en venant lentement au plus profond de moi, parfois levant les cuisses pour me pilonner et faire monter le plaisir. Un baiseur expérimenté et patient, parfaitement au fait de ce qui fait jouir une femme. La chose est inévitable, et alors que je sens ses couilles me taper sur les fesses et les chocs de l’aine au niveau du clitoris, j’explose sans chercher à minimiser la puissance de l’orgasme.
- J’aime les femmes qui se laissent aller. Je peine à croire que tu étais encore une femme fidèle il y a un jour. Tu es tombée sur le bon maître. Retournes-toi, les épaules sur le lit, et mets les fesses en l’air en les écartant.
- C’est que…
- Je sais, je ne te pénétrerai pas.
Je n’ai pas de raison de désobéir, je fais confiance à Éric qui a posé les limites. David me regarde avec avidité, son sexe toujours dur me fait encore envie. Il frotte le gland sur mon anus, me pénètre dans la chatte jusqu’à la garde, et répète l’opération à plusieurs reprises. Je l’ai décidément mal jugé, ce traitement entraîne à nouveau une montée du plaisir insoupçonnée. Finalement mon baiseur reste dans mon sexe trempé et reprend sa baise vigoureuse. Les claquements de son bassin sur mes fesses produit un bruit obscène qui me rend dingue, et cette fois lui aussi semble se laisser aller. Il attend néanmoins que je sois terrassée par un second orgasme pour sortir sa queue de ma chatte, enlever la capote, et jouir en quelques secondes sur mon cul, aspergeant celui-ci de jets odorants et généreux.
- Merci petite pute. J’ai joui comme rarement avec toi. Ton maître m’a demandé de te faire sortir, sans te laver ni t’habiller.
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Les bruits de Sarah se faisant baiser étaient difficiles à supporter, ma queue était raide dans le pantalon. Obéissant à Eric, je me suis mis à genou devant le bungalow, nu, après avoir entendu David jouir. Appareil photo en main, j’ai photographié sous toutes les coutures ma femme dont les seins et les fesses étaient couverts d’un lait abondant, magnifique. J’ai senti ma queue vibrer, et quelques gouttes de sperme se sont échappées, sans qu’il n’ait été besoin de la toucher.

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