Une Vieille Docteur Outragée (1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Marie Michel est une femme de 56 ans, docteur généraliste dans son propre cabinet. 1m60, rondouillarde, ses cheveux mi courts sont bruns, désormais poivre et sel. Mariée, deux s, sa vie nest que routine, sans éclat, et cest très bien ainsi. Plus rien ne se passe avec son mari, les patients se suivent dans son cabinet, la plupart du temps des habitués, quelle connait depuis longtemps.
Mais pas aujourdhui. Il est 11h30, cest le dernier patient de la matinée. Ils sont deux, en fait, deux frères. Laîné a trente ans, il a dit quil doit garder son petit frère, qui semble pourtant avoir au moins 18 ans. Sur la carte vitale du plus grand, il est dit quil sappelle Frank Milan. Il explique quil souffre de démangeaisons à lentrejambe.
Sans sen émouvoir du tout, elle est médecin cest son métier, Marie dit à Frank :
-Déshabillez vous, sil vous plait
oui, de tout, et couchez vous sur la table molletonnée. Je vais examiner votre peau pour diagnostiquer lorigine de vos démangeaisons.
-Bien docteur.
Lhomme enlève donc ses vêtements et se couche là où il faut. Il est grand et musclé, mais sa nudité ne fait ni chaud ni froid à Marie ; elle est docteur, cest son lot commun, ce genre de choses.
Par contre, elle sent comme une gêne dans la présence du « petit » frère adolescent, assis au bureau à côté
et qui ne la quitte pas des yeux
et mais ? Mais cest quil fixe son décolleté. Le mal élevé !
Marie a de gros seins généreux sous sa blouse blanche, qui tombent un peu malgré le soutien-gorge. Cela lui arrive souvent que les regards de ses interlocuteurs y soient attirés, mais jamais aussi directement, sans sen cacher. Une petite fébrilité gagne Marie, cest embarrassant dêtre fixée comme ça par un gamin. Elle pourrait être sa mère.
-Alors, docteur, que voyez vous ? lui demande Frank, ce qui la ramène à la réalité.
Le sexe de Frank est en érection, pilier de chair turgescent, entouré dune fine toison châtain, dressé là, juste devant elle. Il est gros en plus, très large, mesurant près de 25 cm. Cest très gênant. Marie ne sait plus quoi dire, elle sent comme une chaleur envahir son corps, son cur saccélérer un peu. Elle déteste cela. Ce nest pas correct. Pourquoi cet homme bande t-il comme ça ? Il est chez son médecin, ce nest pas normal !
Elle réfléchit à ce quelle doit dire
sans doute devrait-elle faire comme si de rien nétait, pour ne gêner personne
Sa bite est toujours bien dressée, chaude et palpitante. Elle a cette odeur caractéristique du sexe.
-ça te plait, hein cochonne ? sourit lhomme avec brutalité. Tu aimerais lavoir dans ta bouche hein, ça texcite !
Là ça devient fou . Choquée, Marie sinsurge :
-Non mais ça va pas ?! Cest quoi ces manières ? Vous
vous
Tremblante, elle allait se lever de sa chaise dobservation, mais une main sur son épaule len empêche. Cest celle du petit frère. Il est debout derrière elle et la maintient assise. Marie sens son cur saccélérer encore, elle a chaud, elle a peur.
-Allez, fais pas semblant de pas en avoir envie, salope, dit le jeune, en poussant doucement le visage de Marie vers la grosse bite bandante de son frère. Son gros gland violacé est à seulement 10 cm, son odeur très présente.
-Suce le, te prive pas comme ça. Allez, ouvre la bouche.
-non, mais
non ! arrêtez ! tremble Marie, essayant sans succès de reculer sa tête. Mais le jeune la pousse encore plus, jusquà lui coller la joue sur la grosse bite chaude. Marie est en panique :
-Non, arrêtez ! non
vous
ce nest pas
Elle a très chaud, et doit reprendre son souffle. Et le pire, cest quelle sent son intimité qui shumidifie, dans sa culotte. Ça la choque, la chamboule complètement.
Le jeune profite de ce moment de trouble pour faire glisser la blouse de Marie le long de ses cuisses blanches et charnues.
-Arrête de dire non, cochonne, dit le jeune. Tes toute trempée là, tu mouilles comme une belle salope. Chienne de docteur.
-Non, arrêtez, cest faux
je
je
ho
je
non
Marise ne trouve plus ses mots, ses « non » sont un peu plus faibles, les doigts du jeune sont maintenant entré sous sa culotte, pénétrant lintimité de sa chatte. Ils jouent avec son clitoris, la rendent chaude et mouillée. Elle veut crier
Mais soudain une énorme chose chaude et moelleuse est dans sa bouche. Ça a un goût de transpiration, et légèrement durine
Lautre homme lui a carrément mis sa bite dans la bouche ! Et il fait des va-et-viens à lintérieur. Marie est obligée de sucer un homme !
-Ho ouais, tas une bonne bouche, entend t-elle. Vas-y suce moi, tu vas aimer sale pute. Mon frère et moi on se disait bien que tétais une chienne. Ça faisait un moment quon voulait venir te décoincer.
-Tes bonne, ouais, la grosse. Avec tes bons gros seins
allez, enlève ça, ta grosse culotte de vieille, laisse respirer ta chatte trempée
Tes trempée ouais, ten peux plus.
Lui laissant enfin la bouche libre, le jeune a relevé Marie de sa chaise et lui enlève sa culotte, montrant sa grosse touffe mal entretenue. Et cest vrai quelle est mouillée. Quelle honte ! Marie aurait voulu disparaître.
-Non.. ; sil vous plait
arrêtez ;
Cétait plaintif, sans force.
-regarde moi cette belle chatte poilue frangin ! sourit le jeune. Allez, on enlève le reste, on va te mettre à poil, vieille pute.. . Cest beau les vieilles grosses comme toi, ça mexcite.
-moi aussi, dit lautre , qui s'est levé de la table. Il met la main de Marise sur sa bite qui bande toujours.
-Ho.. ; non
pitié.
Ce nest quun murmure. Le jeune lui ôte sa blouse, puis sa jupe, et déchire sa chemisette pour achever de la déshabiller. Il fixe avec excitation les hanches bien rondes de Marie, son cul blanc volumineux et rebondi, et son léger bourrelet au ventre, surmonté de ses gros seins, quil libère du soutien gorge.
-ouah ! ces mamelles ! et ce cul !
Il la pelote sauvagement, empoigne sa chair blanche à pleine main, lui pince le bout des seins. Marie se sent si vulnérable. Ils nont pas le droit de faire ça. Mais elle a chaud aussi, et sent du liquide chaud le long de lintérieur de ses cuisses. Elle a honte, elle est excité malgré elle, et doit faire un effort pour ne pas abandonner sa défense. Mais très faiblement.
-Non
arrêtez
-Tu dis non mais tu penses oui hein ?! Tu serais déçu si on arrêtait en vrai non ?
Ils mirent Marie face au bureau, les mains posées dessus, et sa grosse croupe blanche offerte à leurs regards. Elle avait un peu de cellulite, quelques vergetures, mais restaient belles et généreuses. Comme ils lui malaxaient les fesses, ils devaient voir de là où ils étaient sa grosse touffe en dessous, sa chatte ouverte, et même peut-être son anus au dessus ! Marie sentait que son visage devait rougir de honte.
- Allez je vais la baiser.
Ho non, ils nallaient pas oser !...
Une grosse bite lui remplit la chatte. Énorme, elle navait jamais eu une bite aussi grosse en elle, cétait.. ; cétait
déroutant. Elle faisait des va et viens en elle, tandis que les hanches de lhomme cognaient sur son cul tremblotant. Il la tenait par les poignées damour, la besognant virilement.
-Ho
non
vous ne devez pas
oh
ha a a
ho o o
Marie haletait, elle sentait la jouissance monter en elle, elle était trempée.
-ha ouais, cest ça que tu voulais, tu vois salope ? Tu aimes ça hein ? Vieilles putes, toutes les mêmes !
Les insultes achevaient de chambouler Marie, qui se faisait en effet prendre comme une traînée.
Clac !
-Ha ? han ! han !
Le jeune avait aussi sorti sa queue. Aussi grosse que celle de son frère, et aussi bandante. Il lui tapait sur les fesses, tandis quelle ahanait sous les coups de bites de Mark.
-Taimes ça, dis le.
Clac ! Nouvelle claque sonore sur ses grosses fesses. Et cette énorme bite qui la pénétrait toujours avec vigueur!
-han! han ! non
han ! han !
Non, elle ne pouvait pas dire ça, même si cétait vrai.
Clac !
-Mais taimes ça, dis le ! allez salope ! ça se voit que taimes ça ! dis le.
Ne sachant plus du tout où elle en était, le corps tout entier empli de cette grosse bite qui la baisait merveilleusement, Marie lâcha prise, entre deux soupirs de plaisir. Cétait si bon de se faire baiser comme ça.
-Oui.. ; ha
je.. ;
Clac !
-dis le que taimes ça, cochonne
-Oui
oui
han ! jaime ça
Tes une cochonne hein ?
-
oh ! han ! han !... oui
je suis une cochonne ! han !! ha a a a a ! ha a a a !
Tout son corps électrifiée, elle jouit longuement, et lui aussi, la remplissant de sperme chaud et odorant comme la dernière des catins. Ceci fait, Frank se retira delle et lâcha ses hanches grassouillettes. Elle tomba à genou, tremblante, regardant le sol, cuisses serrées, cachant vainement ses gros seins tombant avec ses mains. Elle avait honte
Honte !...
-Partez maintenant, allez vous en, gémit-elle.
-Quoi déjà ? Oh non on en a pas fini avec toi, mamie ! ricana le jeune. Et il lui enfonça son gros sexe dans la bouche, si profond quelle eut les larmes aux yeux !
Oh non, ce nétait pas terminé ? Combien de temps allaient-ils r delle encore !?...
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