Une Soirée Réussie : 7 - Le Cul Entre Deux...
7. Une soirée réussie : le cul entre deux...
Résumé de lépisode précédent :
Jentretiens depuis quelques semaines une relation sexuelle très osmotique avec Patrick, un quadragénaire hypermembré. Lors dune virée nocturne, à peine à lécart de la ville, garé sur un parking, nous vivons des ébats plus que rythmés.
Patrick navait pas eu à insister longtemps au téléphone :
Jai vraiment envie que tu viennes demain soir, ça me ferait vraiment très plaisir de passer une bonne soirée. Bon, pas que tu me manques à ce point-là, mais
jai besoin de sexe, et ça, cest ton rayon. Allez, tu sais que tu es mon antistress, tu toccupes si bien de moi ! Au fond de toi, je sais que tu ne peux me refuser daccéder au plaisir.
En effet, comment refuser devant de telles paroles. Complices, cest bien un faible mot. Une clef et sa serrure, cest un peu comme cela que je vois notre « relation ». Nous pouvons passer largement une semaine sans nous voir (mon petit cul aussi, par ailleurs), et puis deux jours ensemble, à baiser comme deux insatiables. Là, il a besoin : jirai donc demain. Je finis cette soirée en mépilant soigneusement tout lentrejambe, de lanus au pubis. Jaime ce côté lisse, lui aussi.
Et puis le côté pratique : comme presque à chaque rencontre il jouit en moi, cest beaucoup plus simple de rester propre, pas dodeur. Mon anus ressemble à un hall de gare après son passage, sa semence narrête pas de sécouler. Et demain, juste après le taf, il ne me restera plus quà madministrer un lavement bien tiède pour ne pas avoir de désagréments.
Entre vite, on tattend depuis un bon moment ! sexclame-t-il en me claquant une bise sur la joue.
On ? répondis-je étonné.
En arrivant dans le salon, je constate quun jeune homme est assis dans le canapé. Alors que cette personne se lève pour me serrer la main, Patrick nous présente. Je massois en face de ce charmant jeune homme pendant que Pat me sert le traditionnel Whisky.
Je ne suis pas au bout de mon étonnement : lorsque je demande sils se connaissent depuis longtemps, le piège à fille prend la parole :
Par téléphone, deux jours, sinon, un peu plus dune demi-heure !
Je manque de m en avalant ma gorgée. Cest alors que Patrick, devant mon étonnement, mexplique comment il a procédé pour contacter ce jeune homme. Je lui ai à maintes reprises évoqué mon désir davoir un deuxième sexe viril à disposition lors de nos ébats.
En effet, malgré la très puissante performance de « mon mec », lorsquil décharge entre mes reins chose dont je raffole, je nai pas son doux breuvage à déguster. Et bien sûr, sil me remplit la bouche, une petite frustration me titille au fond de mon ventre. Bien que le plus souvent, il me met 1 but de chaque côté
Bref, constatant notre évidente complicité, notre confiance et notre respect lun envers lautre au fil des semaines, Il sest mis en quête dun partenaire digne de mes critères pour combler cette
lacune. Jen suis sur le cul : jen rêvais, il la organisé !
Frank nous explique quil est bi, et que sa sexualité est à 90 % basée sur lhétérosexualité, mais quil ne rechigne pas à sautoriser un bon plan de temps en temps avec un homme, également dans le respect et lhygiène. Lannonce quavait formulé Pat lui a plu, il répondait aux critères, il est donc rentré en contact, puisque
il est là.
En même temps que lalcool et lexcitation, mes pensées arrivent au cerveau, et cest un début dérection qui me rappelle que je ne rêve pas.
Je sais de quoi tu es capable, je commence à te connaître ! ironise alors Patrick. Je lui ai expliqué que tu avais un cul
nayant dégal que ta bouche gourmande. Tu nen es pas fâché au moins ?
Pourquoi voudrais-tu que je sois fâché ? répondis-je, rougissant tout de même un peu. Est-ce que je serai à la hauteur ? Ça ne mest jamais arrivé.
Je trouve cette initiative plutôt agréable, et je souhaite véritablement assumer de me retrouver « au milieu ». Car ce sera bel et bien ma position.
Je nai pas lombre dun doute, gourmand. me lance Pat en accompagnant sa phrase dun clin dil. Moi non-plus, je ne lai jamais fait. Bon, tu veux bien que Franck nous se joigne à nous.
Notre invité surprise ne fait pas attendre. Avec une élégante décontraction, il dépose son verre sur la table basse et vient se placer tout contre moi, visiblement à son aise, sa main vient naturellement se poser sur lintérieur de ma cuisse.
Rassure-toi, moi non plus. me dit-il. En fait, si, une fois. Avec un copain, on a passé la soirée autour de sa femme. Mais à 3 bonhommes, cest une première ! Dailleurs, dès que jai lu lannonce
Le ton est donné, Mon copain a bien organisé un plan à trois. Jen suis tout chose. Comme presque tous fantasmes à caractère sexuel, ils nous obsèdent, mais à linstant de passer à lacte, un méli-mélo dexcitation et dappréhension nous vrille les boyaux.
Désolé, je ne me sens pas femme et nai aucune poitrine à te proposer ! plaisantais-je.
Je ne suis pas là pour ça. répond-il. Tu es plutôt mon style. Patrick ma longuement parlé de toi. Il ma expliqué que tu étais un bon vivant plutôt du genre insatiable.
Eh bien lorsque je suis à laise avec un mec
je nai pas beaucoup de limites, mis à part le fait que je déteste embrasser un homme.
Et quattends-tu dun plan comme ce soir ? continue-t-il.
Au risque dêtre cru, je dirai jouir par les deux bouts. Patrick est un amant fantastique tant par ses mensurations extraordinaires que par son extrême douceur.
Est-ce indiscret de vous demander comment vous vous êtes trouvés, tous les deux ?
En buvant lapéro dans un bar avec des amis. Je lai bousculé sans le faire exprès, son verre sest renversé sur son pantalon. Lorsque jai vu cette bosse, continuais-je en la caressant de la main, jai cru défaillir.
Tu las dragué en plein bar ?
Non ! continue Patrick. Malin, il a prétexté être fatigué pour ne pas suivre ses amis. On a bu un verre ensemble avant de sortir dans la rue. Tout en bavardant, je lai emmené jusque dans ma boutique. Cest là que je lai « entrepris ». Quel bon souvenir !
Cool comme rencontre. dit-il, son plus beau sourire au coin des lèvres. En général, cest sur un parking ou derrière un arbre.
Ou dans un appartement ! dis-je.
Par où commencer, je nen ai aucune idée, la situation nest tout de même pas banale. Déjà, il nest pas timide puisque sa main remonte vers mes attributs, je décide de déposer les miennes sur chaque braguette à ma disposition : Franck à gauche, Pat à droite. Deux beaux paquets bien pleins, et si je suis sûr de ma main droite, la gauche na pas lair décevante.
Ce ne sont pas des gamins, tous deux ont plus dexpérience que moi. De toute évidence, ils savent ce quils veulent. Très synchrones, ils ouvrent leur pantalon, déballent leur beau matos. À cet instant, une pensée me traverse lesprit : action, moteur, on tourne !
Le rêve dun jeune homme bi. Ils se lèvent pour se débarrasser rapidement de leur vêtement. Je les att par les couilles pour les attirer contre mon visage. Leurs deux grosses queues frottent contre mes joues. Bien que très différentes, elles sont très impressionnantes. Franck a un très beau sexe circoncis, Assez épais à la base, il est très long, et se termine par un gros gland violacé jouant au pendule devant une bonne paire de couilles.
Le menu te convient-il ? ironise-t-il.
Et comment quil me convient ! Quelle veine, jai les deux modèles, je vais pouvoir comparer.
Dabord, à poils ! lance Patrick.
Sans temps mort, je me retrouve entre eux. Ils me dévêtissent de leurs mains agiles en simultané tout en me pelotant un peu. Je me retrouve à poil sans avoir eu quoi que ce soit à faire, quatre mains parcourant mon corps, leur objet ce soir. Ils me palpent délicatement, vantent mes atouts
mexcitent terriblement.
Il faut que je suce, là, tout de suite ! dis-je en me laissant tomber à leurs pieds.
Mes deux amants de part et dautre me présentent leur virilité. Saisissant leurs belles queues, je les présente à ma bouche et commence par goûter Franck. Jentoure son bout entre mes lèvres afin den découvrir la texture, et mimprégner de son odeur de mâle.
Il est propre, sa toison pubienne taillée. La chair de son beau gland est plus ferme que celle de Patrick, moins lisse, mais son méat beaucoup plus marqué. Sa circoncision me déroute quelque peu, jouer avec un prépuce est toujours agréable. Ma bouche part à la conquête de cette longue hampe avant quelle ne soit trop dure.
Je viens vers « mon mec », comme jaime à le dire, ouvrant grand la bouche pour quil puisse simmiscer entre mes lèvres. Je change de queue, de texture, de volume. Le seul point commun, cest quen les tenants à pleine main, elles dépassent laaaaaargement pour que je puisse les sucer. Je glousse de plaisir, accélère ma succion, varie les rythmes, passe de lune à lautre avec avidité. Ils bandent bien maintenant, et Franck tend une sacrée gaule. Je peux le pomper et le branler en même temps sans interférences ! Sous ma caresse buccale, la verge de notre compagnon sest énormément allongée, quelques belles veines se dessinent à sa surface, le large gland prend la forme dun champignon bien congestionné. Je la pompe bruyamment tant je salive, et son propriétaire nhésite dailleurs pas à venir à ma rencontre lorsque je lenfourne. Son diamètre « plus conventionnel » que celle de mon complice de jeu habituel donne à cette fellation une possibilité de jeu plus aguichante, et ma langue sexprime ici pleinement.
Hummm
tu as une sacrée bête de concours ! dis-je en la secouant fièrement. Vous allez me déformer avec vos King Size. Quelles queues ! Je nen reviens pas, je vis un rêve !
Attends de la sentir entre tes fesses
car je compte bien my présenter !
Je change de bite pour retrouver celle qui me comble régulièrement. Pat est très calme comme à son habitude.
Mais quand tu veux. Vous me chauffez grave, il va me falloir de laction !
Nous sommes là pour ça. répond Patrick. On va te sauter à tour de rôle, et je nai posé que deux règles. Le respect et impérativement jouir en toi.
Donnez-moi un apéritif, les garçons. Donnez-moi une première dose, vous tiendrez plus longtemps après, que vous puissiez profiter de moi.
Je mévertue à leur donner la meilleure prestation possible. Je sais très bien comment faire jouir mon régulier assez vite, accompagnant mon embouchure de grands mouvements de poignet. En revanche, une queue circoncise est plus coriace. Je lui agrippe les couilles et propulse le gros bout loin en moi, puis le branle fort en le pompant fort, ce qui le fait frémir.
Depuis que nous baisons ensemble avec Patrick, nous pratiquons du sexe plaisir, pas de lamour passionnel à sembrasser à pleine bouche ! Nous avons le même trip, et la magie, cest que notre conception de lamour entre hommes saccorde. Nous nous complétons sans préjugé. Et justement, là, je suis aux anges, la bouche bien pleine, salivant et pompant deux très beaux spécimens. Cela correspond à mes désirs, et eux men offrent la possibilité.
Ils mencouragent, me disent quils vont bientôt décharger, que je me prépare à boire la tasse ! Je me déchaîne sur leur vît, recevant également toutes les ondes positives que me communiquent mes partenaires. Le rythme augmente, nous y sommes.
Patrick craque le premier ; il émet le son rauque typique dun homme soubliant, et commence à décharger dinterminables jets de sirop, nen finissant plus comme dhabitude de se déverser. Je mempresse de déglutir son nectar, conscient quune certaine logistique simpose. Tandis que Franck me dit de le branler plus fort, je termine avec tendresse la queue de Pat entre mes lèvres, alors quencore quelques spasmes la font tressauter, déversant les dernières gouttes sur ma langue.
Ohhhhhh oui, je vais jouir ! Viens vite ! crie-t-il soudain.
Le temps de prendre son gros gland violacé entre mes lèvres, la belle pompe de notre invité se met en mode vidange, déversant également plusieurs giclées de foutre contre mon palais. Son éjaculation est moins abondante et légèrement plus épaisse, de même quun goût un peu plus âcre et salé le différencie également. Je me repais de cette deuxième superbe éjaculation avec beaucoup de plaisir, gardant sa belle queue en moi quelques instants aussi encore avant dalterner de nouveau, les nettoyant amoureusement toutes les deux, les accompagnant dans leur repli. Jaime le sexe, jaime les belles queues, et nai jamais assez de sperme à avaler. Ce sont deux gros donneurs, avec de bonnes réserves !
Merci les garçons. Vous mavez bien comblé. Que cest bon davoir deux mecs pour soi ! ne puis-je mempêcher de leur dire en reprenant un peu de souffle. Et quels mecs !
On ma toujours rassuré quant à la grosseur de ma queue, mais là, je dois reconnaître que tu es é-nor-me ! lâche Franck. Je nen reviens pas. »
Tu nas pas de complexe à avoir, tu es monté comme un âne aussi. le rassurais-je. Je vais la sentir passer aussi !
Patrick, toujours pragmatique, pense que je dois être impatient de me faire prendre, et propose de ne pas me faire trop attendre. Le propriétaire des lieux nous emmène dans la chambre ; nous allons continuer sur le lit
que je connais déjà très bien. Il est vrai que mon cul « a faim », et quil réclame à son tour beaucoup dattention, et surtout dêtre investit. Ce soir, je vis un paradoxe : cest MA soirée, mais je serai leur jouet !
À peine posés sur le lit, mes compères semparent de mon corps. Je suis au centre, certes, mais aussi le centre dintérêt. Nos mains jouent agréablement à nous découvrir. Les premiers doigts sintroduisent entre mes fesses, je nen attendais pas moins, et minstalle directement à quatre pattes, le cul offert, bien cambré, les jambes largement écartées. Afin dêtre explicite, je me trémousse sans aucune pudeur en implorant dêtre entrepris.
Cest juste à ce moment que Franck parcourt ma raie de sa langue, avant de bien insister sur mon illet palpitant. Nageant en plein rêve, jondule instinctivement pour mieux moffrir. Sa langue lape, lèche et pénètre mon petit trou avec application, Tantôt, ce sont mes couilles quil aspire. Patrick nous stimule avec des propos hards mais sans aucune vulgarité , tout en venant me présenter ses belles burnes à ma bouche. Toutes ces sensations se percutent dans mon esprit, générant un délicieux climat dexcitation et de bien-être.
Oh ouiiii, là, jai besoin dune grosse queue entre les fesses. mécriais-je, excité comme jamais. Sautez-moi, jen ai mal au ventre tant jen ai envie.
Patrick sort le gel de derrière les coussins, il a tout prévu. Le moment tant attendu arrive enfin. Franck men applique rapidement, puis enfin son gros champignon pointer mon anus. Pour la première fois de ma vie, je vais sentir une queue fouiller mes reins tout en en savourant une deuxième en simultané ! Sucer, donner, prendre, recevoir, tout semballe ! Je décide de me laisser porter ce soir, et de men remettre à mes deux complices, incapable de trancher pour quelque priorité que ce soit. La seule chose que je peux faire est daccompagner leurs mouvements pour « fluidifier les étreintes ».
Je pousse pour ouvrir mon anus alors que le gland force ma porte arrière pour lentement pénétrer mon sphincter, puis se cale ainsi un petit moment, tenant mes fesses largement ouvertes. Jai très souvent remarqué que les gens bien montés, voire très bien montés, marquent toujours un arrêt une fois le gland passé, afin de laisser le temps aux muscles de se détendre, ce qui est logique, en plus dêtre une délicate attention.
Oh putain que cest bon de se faire enculer ! ne puis-je mempêcher de crier. Ouiii, glisse en moi.
Cette bonne queue, déjà très impressionnante, ne peut cependant pas rivaliser avec celle que jai pris lhabitude dengloutir ces derniers temps. La fonction crée lorgane, et comme Pat me sodomise plusieurs fois par semaine, je commence à être aguerri à cette pratique.
Merci ! Merci Patrick. Que cest bon, davoir des queues de partout ! mécriais-je en attrapant la sienne pour lemboucher. Baisez-moi, embrochez-moi !
Ne résistant plus, je mécarte les mandibules au maximum et suce mon complice à men démettre les cervicales. Jenvoie quelques légers coups de bassin afin de bien lui faire comprendre mon désir « dêtre sauté, il y répond immédiatement en glissant en moi par de douces poussées. Jarrête de sucer le temps de bien me sentir investir par cette longue barre, remerciant Patrick sans cesse pour ce quil est en train de me faire vivre.
Tu devrais avoir ce que tu désires depuis quelque temps, on va te remplir toute la soirée et essayer de te donner un maximum de plaisir ! me lance-t-il.
Et tandis que ce long cylindre pénètre mon fondement, jinsinue un doigt au cul de mon pompé, lui provoquant un petit grognement.
Quel cul tu as ! savoure mon enculeur, ses couilles touchant les miennes. Quelle souplesse ! Tu as trouvé une perle rare, tu ne mavais pas menti. Ohhh que cest bon.
Si sa bite est bien moins large, elle est par contre un peu plus longue, mais trouve néanmoins terre dasile ! Je suce une queue, gobe ce gland turgescent, et ressens cet autre membre me distendre lampoule, commençant à me limer doucement.
Oh oui, remplissez-moi bien, comme ça, jaime bien vos queues de partout en moi. Jen veux partout.
Il mest difficile dexprimer ce que je ressens, mais là, je suis rassuré de connaître ceux qui me possèdent. Euphorique car ils sont tous deux montés comme des étalons, mais des plus concentrés sur mon plaisir
Ils prennent plaisir à men donner, ne cherchant pas à baiser pour vite décharger et senfuir !
Le ballet queffectue leur splendide organe en moi me procure une incroyable jouissance, mental pour linstant, certes, mais quel plaisir ! Me livrant sans aucune retenue, je mentends leur parler, leur exprimer ce que je vis, ce quils me font vivre en semboîtant ainsi au plus profond de mon corps.
Ainsi stimulés, mes amants savent ce que jattends. Pat joue à dominer ma bouche en tenant sa hampe à la base, donnant des coups de rein pour « baiser ma bouche », sempalant chaque fois sur mon doigt. Franck lui, coulisse librement, me remplissant jusquà la garde, puis ressort pour tapoter sa lourde hampe sur mes fesses, en disant quil voudrait bien se refaire sucer.
Je nai quà peine le temps de réaliser que mes deux mecs se retirent. Cest au tour de Patrick de mappliquer une bonne dose de gel, ne voulant pas que je souffre ce soir, puis sallonge en minvitant à venir contre lui ; il veut me prendre en cuillère. Franck se place face à moi en 69, et en attendant dêtre enculé, jembrasse sensuellement les bourses de ce dernier, menivrant de ses effluves de mâle en rut.
Tu veux pouvoir comparer nos queues ? Tu veux vraiment que je tencule ? ironise mon régulier.
Plus que jamais, baise-moi vite !
Il ne me fait pas plus attendre. Mon cul est hyperrelâché et son nud trouve immédiatement sa place. Puis vient la partie énorme de sa hampe, « la partie dure à avaler ».
Vas-y, Patrick. Vas-y, prends-moi, je te veux. Fais-moi du bien, comme tu sais si bien le faire
Devant tant denthousiasme, il envoie la pression nécessaire pour forcer lobstacle. Une fois de plus, je redécouvre ce que jappellerai « la classe affaire », le summum des transports aérien. Un Dieu du cul. Il mencule en deux poussées, puis simmobilise lorsque ses couilles me collent au cul.
Vous êtes tous les deux monstrueux, mais que cest bon de vous avoir en moi ! Vous me faites vraiment du bien, les garçons. leur dis-je encore une fois.
Alors que Patrick sactive derrière moi, je reprends la belle queue de Franck bien au fond de ma gorge en même temps que la mienne se plante dans sa bouche, mes couilles pleines sur son nez. Ses yeux sont à quelques centimètres de mon anus ouvert et lubrifié à souhait, il ne doit rien manquer et sen mettre plein la vue. De main ferme, Pat tire ma cuisse bien haut pour me posséder complètement. Il sait que jaffectionne particulièrement cette position, quelle génère mes plus belles éjaculations spontanées.
Ses coups de queues sont appuyés, il me transperce autant quil me transporte, samuse à me dire quil va sarrêter rien que pour mentendre lui répéter quil me faut leur queue. Il la sort et Franck qui la récupère pour la sucer un peu en exprimant sa surprise face à un si gros morceau. Puis je la retrouve en moi, la ressens juste derrière mon nombril à me faire délirer.
Ohhhhhhh Patrick, ce que tu me sautes bien ! Je... Ouiiii, je vais décharger ! N'arrêtes pas ! Encule-moi
Oui, que jaime ! Bien au fond !
Complètement désinhibé, et surtout, comme nous tous, surexcité par lintensité de la scène, jémets de sons bestiaux au fur et à mesure que ma jouissance augmente. Il est difficile dexprimer ce que je ressens à cet instant. Trois hommes libres de toutes entraves quelles soient physiques, morales ou psychologiques qui sentendent et saccordent parfaitement, sadonnent aux plaisirs de la chair. Tous mes désirs sont comblés : deux gros sexes, un dans chaque orifice, de la tendresse, beaucoup de sperme
Mon ventre ondule sous les allers-retours de Patrick ; les milliers de terminaisons nerveuses qui tapissent mon rectum bombardent mon cerveau de bonheur brut. Ma queue coulissant entre les lèvres de Franck est au paradis, jai dans mes mains de grosses couilles à malaxer, et une très belle verge me bâillonne. Incapable de résister, je pars dans un orgasme dune force inouïe, à en perdre haleine. Je me déverse dans la bouche de Franck dun flux quasi continu, sa queue toujours contre ma bouche. Je jouis, voyageant aux limites de la perte de conscience, le corps traversé dondes de bonheur, de spasmes, le tout ponctué de cris rythmé par les coups de bite de mon amant.
Franck a consommé cet orgasme, et na pas éjaculé, malgré lintensité de ma fellation. Je mallonge lourdement sur sa cuisse, béat de plaisir, ma bite amollissante toujours entre ses lèvres très câlines. Je rassemble mes esprits et leur demande de me laisser quelques instants de répit. Très délicatement, Pat se retire, laissant la porte grande ouverte, comme toujours.
Regarde un peu si ce nest pas beau, ça ! Vise un peu ! fait Pat à son invité. Tu comprends pourquoi je craque à chaque fois ? Comment résister à un cul pareil ?
Tu lui mets le compte avec ta matraque ! La queue que tu as, sans déconner ! Elle est lourde, elle me fait saliver.
Fais-toi plaisir ! Il ne sera pas jaloux, jen suis certain.
Ces quelques mots me réveillent dentrée, et voilà un des aspects auquel je navais pas pensé : le piège à fille qui suce la queue de mon mec. Je me retourne doucement pour admirer la scène. Un regard plein de complicité de Patrick croise le mien. Franck sapplique à le sucer, et je devine dans ces gestes la même fascination pour ce monument que moi. Sa bouche est visiblement moins grande que la mienne, mais il sait faire du bien à un 3 pièces, il noublie pas les bourses.
Tu te remets jespère ? me lance Patrick. On na pas encore fini avec toi.
Tu viens de me faire planer, comme à chaque fois. On a tous décharger une fois, on est à égalité sur ce coup. Lequel va me sauter, maintenant ?
Si vous êtes daccord, je veux bien continuer. Franck suce si bien, je ne vais pas tenir trop longtemps.
Moi non plus ! dit Franck. Jai mal à la mâchoire. Mais quelle est bonne !
Je reste sur le dos, les genoux dans mes mains, outrageusement ouvert, offert. Après une petite dose de gel, Patrick vient « me couvrir ». Une main complice guide la lourde verge vers sa destination en lui disant de bien me remplir, ce qui est à peu près certain. Monsieur mencule dune seule poussée, faisant valser son gros paquet contre mon sacrum. Là, cest à lui de jouir. Mes jambes se croisent dans son dos, mes bras se referment en emprisonnant ses épaules pour un accouplement que je désire fusionnel.
Viens vider tes belles couilles dans mon ventre, il est à toi. Baise-moi comme tu en as envie, jouis comme tu viens de me faire jouir.
Ses fesses remontent pour mieux redescendre, il me projette sa virilité coup après coup en criant quil va vite décharger, que mon cul est fait pour en prendre. Franck, penché sur lui, semble lui lécher lanus. Excité comme rarement par cette situation, jenvoie mon bassin pour aller au-devant de son sexe en me contractant de toutes mes forces autour de sa hampe. Je râle de bonheur, lui hurle que jattends son foutre, quensuite je voudrai celui de Franck. La tête men tourne, mes couilles sont comprimées contre son pubis, les siennes martèlent mes fesses.
Soudain, il jouit, les dents serrées, tétanisé au fond de mon ventre. Son foutre gicle si fort que jen ressens limpact. Accroché à son corps comme un petit singe, je le pompe en une série de contractions anales et de coups de reins en le remerciant du cadeau quil est en train de me déposer.
Vide-toi bien dans mon cul, encore, oh ouiii. Ne puis-je me retenir de lui chuchoter à loreille. Oui, encore ! Tu sais quil est à toi, que tu peux y venir autant que tu veux. Jadore comme tu me baises. Jaime tout de ta grosse queue.
Telle la vapeur dune locomotive, son souffle brûle mon coup. Il est allongé de tout son long sur moi, collé à moi par notre sueur. Le battement de son cur résonne dans ma poitrine alors que je caresse son dos tendrement, presque amoureusement. Il met un long moment à reprendre le court des choses, et sa queue a commencé à débander lorsquil se retire de mon intimité.
Franck est là pour la récupérer. Sans hésitation, il semploie à la lui nettoyer. Je nai quun quart de tour à faire pour prendre sa queue circoncise en bouche. Une main sous ses couilles, lautre autour de sa hampe, je lengloutis avec gourmandise afin de le faire bander. Lhomme est des plus réactif, sa belle queue sallonge sans se faire prier.
Vous ne baisez pas, vous deux. nous dit-il en se redressant. Vous faites lamour ! Il y a tant de délicatesse quand on vous observe !
Disons que lon sapprécie beaucoup, et que lon sentend bien aussi ! lui répondis-je. Tu as lair dêtre un gentil garçon, toi aussi. En quelques jours, qui sait, nous serions certainement aussi complémentaires !
Peut-être, cest vrai.
Tu nen es pas jaloux, au moins. lui demande Patrick.
Non, pas du tout, bien au contraire.
Alors, tu voudrais bien venir « me faire lamour », toi aussi ? Ce soir, jai besoin damour.
Hummmmm
tu veux de ma semence aussi ?
Oui, jadore ! Viens, prends-moi dans la même position, que je nen perde pas une goutte. Avec ce quil vient de me mettre, on na pas besoin de gel.
La queue raide, son nud hypergonflé, il se glisse entre mes jambes écartées. Mes pieds encore sur le lit ne lui laissent pas encore accès à mon anus, sa verge repose donc sur mon pubis. Je la saisis et la plaque contre mon ventre. Elle est chaude, longue, très longue.
Tu vois jusquoù elle va aller ? lui fis-je remarquer.
Ses testicules reposent sur ma verge molle, et son gland se termine bien au-dessus de mon nombril. No comment.
Suce-moi encore un peu, sil te plaît. Jadore ta bouche.
Il sagenouille au-dessus de mon torse, je nai plus quà ouvrir la bouche. Puis il prend appui sur ses mains, et peut ainsi gérer la façon dont je le suce. Je savoure chaque instant de cette soirée, et mesure la chance que nous avons davoir avec nous un homme aussi bien que Franck.
À quelques reprises, il senfonce en moi jusquà m, mais nous ne sommes pas dans le bon sens pour une gorge profonde. Et puis je le veux entre mes fesses. Dune pression de la main, je linvite à se retirer.
Prends-moi, sil te plaît. Jai envie de toi, de ta queue.
Son corps athlétique se glisse de nouveau entre mes jambes qui cette fois viennent se refermer sur ses fesses, offrant un accès direct pour son vit. Le chaud mandrin trouve son chemin, il simmobilise contre mon anus encore grand ouvert et gluant de sperme.
Fais-moi lamour, plonge en moi. Jen ai besoin.
Sa verge force mon anneau pour sinviter en moi, marrachant un soupir de soulagement. Jattire son buste contre le mien et lui pose une main sur la nuque pour quil pose sa tête dans mon cou. Son bassin entame une danse, sans chercher à senfoncer tout de suite, il bouge de bas en haut, de gauche à droite, coulissant à peine de quelques centimètres. Il tire avantage davoir un gros champignon au bout de sa verge pour exciter les milliers de récepteurs de mon rectum.
Jaime beaucoup ce quil me fait, et sil nest pas aussi gros que mon amant régulier, il est largement au-dessus de la moyenne. Je me contracte autour de lui, vais à sa rencontre, lobligeant à me pénétrer pour mieux le sentir. Mais il joue avec mon cul, ressort pour ne laisser que limposant bouchon de champagne pour mieux revenir, affolant mes sens en glissant au fond de moi pour me faire vibrer de surprise.
Tu aimes ma queue ? demande-til à voix basse. Tu la veux encore ?
Je ladore, vous êtes des amours, tous les deux. Si différents, mais si grands, si forts !
Jai la chance, lhonneur et le privilège de disposer de deux genres de queues totalement différentes ; en effet, lune, même si son gland est hypergros, devient beaucoup plus épaisse, pour ne pas dire renflée, un peu à limage dune longue torpille avec option « prépuce ». Lautre est bien plus longue, veinée, circoncise, avec un gland bien plus large que sa hampe. Et les deux sont des bêtes de concours.
Franck manie sa dague avec finesse. Pat, par la grosseur de sa verge, me lamine délicieusement le rectum dans sa totalité. Le simple va-et-vient de sa massue suffit à mettre le feu aux poudres, alors que le sexe de notre invité « travaille » sur différentes zones de pressions, et je peux beaucoup plus aisément me contracter autour de sa hampe.
Je jouis de sa tendresse, de la prévenance de ses mouvements. Il ne cherche pas à men mettre plein le cul, mais bien à nous donner du plaisir. Mon ventre laspire, mes fesses grimpent se lover contre lui pour mieux le recevoir, le ressentir. Ses couilles pèsent agréablement contre mes fesses, son gland stimule ma prostate à chaque passage, lorsquil ne sarrête pas directement dessus, comme sil la ressentait. Et lorsquil vient sécraser tout au fond de mon ventre pour baigner dans la jouissance de son prédécesseur, de délicieuses bulles explosent en feu dartifice.
Mes pieds glissent sous ses fesses pour que je puisse lentraîner dans une roulade. Docile, il se retrouve sur le dos, jai trop envie de participer. Droit sur lui, jentreprends un langoureux mouvement de bascule du bassin pour bien sentir mon homme si dur en moi en lui caressant les bourses..
Que cest excitant de vous voir ! sexclame notre voyeur, sa main virilité bien en main. Vous me faites déjà rebander.
Je le sens si grand en moi
puis me place en arrière, appuyé sur mes bras. Cet angle me donne limpression quil remonte jusque pour
Hummmm
viens vers moi. Donne-moi mon biberon !
Sans hésiter, il se dresse pour moffrir sa demi-molle, encouragé dans ma démarche par sa main sur ma nuque. Jaspire sa queue le plus fort possible en caressant ses fesses, dansant régulièrement sur cet immense sexe qui travers mon ventre. Lun dans lautre, nous ne faisons quun. Mes deux merveilleux amants me parlent, flattent mon corps en me remplissant de leur chair, de bonheur et de leur sperme.
De ses mains puissantes, Franck écarte mes fesses en guidant mon bassin, probablement est-ce son besoin de jouir qui lemballe. Cela me convient, et me fait mactiver sur la queue qui me bâillonne. Un doigt trouve son anus sensible, et je branle son gourdin en pompant fort son gland. Je sais quil est à lécoute, et quil peut jouir facilement quand il le veut.
Ce faisant, je chevauche avec beaucoup plus damplitude mon autre queue, qui elle-même se plante plus fort en moi. Je la serre fort pour bien la masser, mais aussi pour ne rien perdre du sperme déjà en moi. Des sons de plaisirs sourdent de ma gorge, véritables onomatopées dappel à la jouissance. Frank me prévient quil ne peut plus tenir, quil doit décharger sur le champ.
Son nud me semble aussi gros quune boule de pétanque lorsquil se tend pour se vider. Ses doigts enserrent mes fesses, ses bras puissants me soulèvent pour mieux me planter sur sa queue lorsque sa chaude semence se répand dans mes entrailles en puissants jets. Je me contracte comme pour bien le vider, en extraire chaque goutte, jusquà ce quil termine de me transpercer.
Cest ce moment que choisit Patrick pour me remplir la bouche comme sil jouissait pour la première fois de la soirée. Mes amants, une fois de plus, me comblent. Si je nai pas dorgasme physique, un véritable orage cérébral enivre mon cerveau. Un homme finit de tressaillir entre mes reins, neffectuant plus que de petits mouvements, tandis quun deuxième largue sa dernière giclée entre mes lèvres. Le temps se dilate, les saveurs dhomme tapissent ma bouche, mon ventre se remet des assauts quil a subis cette nuit.
La pression retombe. Je libère la verge de Patrick et entraîne Franck dans ma chute sur le côté.
Non, reste encore un peu en moi. limplorais-je alors quil semblait reculer. Jen ai encore besoin un petit moment.
Pat sallonge contre mon dos, sa main sur mon ventre, son sexe contre mes fesses. Vaincu de tant damour, je gis entre mes deux valeureux guerriers. Le monde peut sécrouler, plus rien en dehors de cette chambre na dimportance. Toujours solidement empalé, je peux aller au Valhalla lesprit en paix.
Comment te sens-tu ? sinquiète à voix basse Patrick. Tu nas pas souffert ?
Souffert ? Vous vous êtes si bien occupé de moi que retrouver ma routine va être moralement éprouvant !
Voilà ce que jaime chez toi : tes facultés dadaptation. Je suis très heureux de tavoir rencontré.
Inutile de vous dire que je ne pensais pas vivre quelque chose daussi agréable en venant ce soir ! ajoute Franck. Je mattendais à un plan cul, et
Et ? minquiétais-je en contractant mon sphincter autour de sa verge.
Vous mavez bluffé. Jai limpression que nous connaissions déjà nos corps, comme si nous avions lhabitude de coucher ensemble.
Merci les garçons. Je me sens bien entre vous, plein de vos grosses queues et de votre sperme. Jen ai si souvent rêvé, jamais je naurai pensé que cela puisse être si bon et si agréable de
disons den prendre de partout.
Nous ne bougeons plus et restons ainsi peut-être une demi-heure à parler. Nous sommes bien tous les trois, aucune gêne, aucun tabou. Même débandée, la queue de Franck, de par son anatomie, ne cherche pas à sortir. Je leur explique que je suis tellement plein de foutre quils vont pouvoir me suivre à la trace. Avec douceur, je me défais de mon « habitant » dans un bruit assez significatif. Sa queue brille, une écume le couronne à la base de sa hampe et sur ses bourses. Incapable den perdre, je lattire à moi et le nettoie amoureusement.
Ils ont beaucoup ri de me voir marcher les fesses serrées lorsque nous sommes allés à la salle de bains.
Aucun doute pour qui ne sait pas : tu tes fait casser le cul ! ironise Franck.
Vous avez vu ce que vous déchargez, tous les deux ?
À qui la faute ?
Chantonnant lair connu de Joe Cocker « You can leave your hat on », les mains contre le carrelage de la douche, jambes écartées, cul cambré bien en arrière en roulant du bassin, il me suffit de contracter mes abdos à plusieurs reprises pour que de mon anus béant sécoule leur sperme le long de mes cuisses.
Cest également la première fois que je prends
une douche avec et entre deux mecs. Sucer leur queue toute fraîche et proprette sous un déluge deau tiède est un délire que je souhaite à toute personne fan de fellation de vivre au moins une fois.
Ma dernière volonté est accueillie sans problème : me coucher entre mes deux grosses queues préférées.
Bonne nuit les étalons. Merci pour tout. Leur dis-je. Et si vous rêvez que vous vous faites sucer, ce nest peut-être pas un rêve !
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