Ma Collègue De Toujours Devient La Chienne Dont Je Rêvais ( Partie 3 )
Voilà maintenant quelques semaines que notre soirée au club sest terminée. De par la quantité de travail dans notre entreprise, nous navons eu guère le loisir avec Amélie, de nous adonner à des exploits sexuels de grandes envergures. Hormis quelques rapide fellations, cunnilingus, branlette ou rapide pénétration, les semaines intenses professionnellement ont pris le dessus. Mais le désir est toujours là de la voir se trémousser avec ses quelques kilos de moins, toujours aussi bien apprêtée, souriante et désirable. Ma verge nest jamais bien longtemps au repos lorsque je la croise.
A cet instant, un appel me sort de mon imaginaire ou je nous vois les deux nus, moi ma tête entre ses cuisses et elle ressentant mes légers mouvements de langue sur son anatomie fragile. Elle aime sentir ma langue sétaler de haut en bas, de gauche à droite et mordiller son abricot juteux. Jaime lentendre gémir langoureusement lorsque je dévore son mont damour, bref
Sébastien, son mari qui mappelle ? cest bien la première fois.
- Allo Antoine ?
- Oui, même si ça reste Monsieur Antoine
- Pardon, cest Sébastien, que deviens-tu ? jaimerais te demander un service.
- Je vais bien, Ce que tu veux, on verra bien si jen ai lenvie -
- Jaimerais organiser notre anniversaire de mariage et je sais quAmélie aimerait que tu y participes afin de continuer de me soumettre et de la baiser, ce que je souhaite aussi
- Javais bien entendu, il mappelait pour me demander de laide. Lidée était très plaisante, de plus lorsque le mari cocu supplie.
- Tu vas devoir me vendre le concept et supplier pour que jaccepte petit cocu
Oui Monsieur Antoine, je vous en prie, passer cette soirée avec nous et nous serons entièrement à votre disposition, elle comme moi.
- Ok, alors jaccepte, mais à MES conditions.
- Bien, merci infiniment
Quelle belle surprise. Me voilà en train de commencer à imaginer cette soirée qui se déroulera ce samedi soir.
Ce samedi arrive et je linforme que je serais leur chauffeur pour cette soirée et que je serais donc en voiture en bas de chez eux pour 19h00 et que je naccepterais aucun retard. Amélie devra shabiller de façon classe avec pantalon, talon, petit tailleur et maquillage qui la sublime.
Je stationne donc la voiture devant lentrée à 18h55 et monte dans lascenseur afin de les attendre devant leur porte. Lorsquelle souvre Sébastien et ma maitresse sont surpris de ma présence mais ravi du service. Sans un mot je leur ouvre la porte de lascenseur et les invite à y rentrer. Dans ce dernier je lembrasse subitement et fougueusement devant le cocu. Jarrête sa descente et stop entre les étages. Je propose au mari de sinstaller dans un des coins et de ne plus piper mot, il sexécute. Amélie elle se retrouve avec mes mains sur ses épaules, exigeant quelle sagenouille de façon à se retrouver devant la verge de son amant et celle de son mari.
Ce dernier croyant quil allait avoir le droit à une gâterie se laisse aller à essayer dôter sa ceinture. Ma fermeté sur son fantasme la stoppé net.
- Regarde et admire. Interdiction de te branler ou même te caresser et tu ne la touche pas. Si tu es sage, tu pourras peut-être en profiter ce soir.
Et toi ma princesse, occupe-toi de ma verge déjà bouillonnante de désir pour toi. Amélie dune dextérité incroyable ouvre mon pantalon, sors ma tige veineuse et se mets délicatement à lembrasser. Elle regarda vers son mari comme pour le punir et se pencha pour jouer avec ma bite que je lui offrais. Quelques coups de langue sur le gland, rond, plein et doux, puis quelques glissades vers mes couilles quelle prit au creux de ses mains pour en apprécier la lourdeur. Elle dégusta ce sexe avec une avidité patiente tout en glissant ses jolis doigts fins par dessous, vers la raie et lentrée de mon anus.
Ma verge était trempée de bave et de jus de désir.
Mais dun geste rapide, elle avala à nouveau mon gland qui vibrait sous sa langue et entre ses lèvres. Il ne fallut pas longtemps pour que ma verge se raidisse en appuyant mon ventre vers sa bouche, alors quelle magrippait par les cuisses, tout en glissant un doigt agile vers lanus quelle mavait déjà sensibilisé.
Avec un tel régime, je ne pouvais plus me retenir et je me déversais dans cette jolie bouche qui maspirait tout le sperme que ma maîtresse avait su en tirer.
Mais elle en garda un petit peu pour retourner à nouveau embrasser Sébastien qui devenait friand de cela.
Elle nétait même pas déshabillée, son mari était frustré et aux anges et moi déjà littéralement vidé par cette déesse. La soirée ne faisait que commencer.
Arrivés à la voiture, je tends les clés au cocu en lui demandant de suivre le GPS jusquau restaurant, pendant que derrière nous aurions le temps de clamer ses ardeurs à elle aussi. Il semblait contrarié mais cétait le deal, non ? Il acquiesça.
Nous avions approximativement 30 mn de route jusquau restaurant. Je lui ai donc proposé de moccuper à mon tour de son anatomie, ce qui la fit immédiatement sourire et mouiller. Elle accepta que son mari regarde mais en gardant la sécurité en priorité.
Alors que la voiture se mets en marche, mes mains commencent à déboutonner son pantalon pendant que mes lèvres se joignent aux siennes dans un bal langoureux. Lui laissant le haut, je lui écarte délicatement son petit string sur le côté, afin de dévoiler sa vulve humide et déjà si demandeuse. Ma main saventure dans ces terrains humides alors que la deuxième lui malaxe le bout de ses seins déjà forts durcis.
Je vois notre chauffeur reluquer dans le rétro ce doux et sensuel spectacle.
Tout en posant ses mains sur ma tête, elle s'allonge lentement de façon à ce que sa vulve entre en contact avec ma bouche. Sa chaleur et son odeur intime sont exquises, elle me caresse les cheveux et je m'emploie à faire jouer ma langue sur ses grandes lèvres.
Je la lèche largement, suce et aspire ses bouts de chaires sensibles. Ses mains quittent ma tête pour s'aventurer sur son corps, qu'elle caresse sensuellement, elle se masse la poitrine se cambre et se tord de plaisir sur cette banquette.
La tête penchée en arrière, je lentends râler de plaisir. Ce plaisir est partagé, quel bonheur et quelle excitation de pouvoir la lécher ainsi. Je sens à nouveau du liquide séminal couler de mon sexe, toujours aussi raide, sur mon ventre. Le contact de ses bas en nylon et ses talons hauts contre mes joues et mes épaules me rendent fou tellement je suis fétichiste de ces choses-là.
Ma langue va et vient sur son sexe très humide, par moment, je m'immisce au bord de son vagin. Son goût si particulier m'enivre. Elle repose ses mains sur ma tête de façon à la maintenir et décide de gérer la cadence. C'est elle qui joue avec son bassin, ondule d'avant en arrière, écrasant sa vulve mouillée sur mon visage ou frôlant simplement mes lèvres. Son rythme s'accélère, elle gémit de plus en plus, je sens la température de son intimité devenir plus chaude, ses cuisses généreuses se resserrent contre ma tête. Elle soupir, s'enfonce de plus en plus sur ma langue, mon nez venant titillé son clitoris extrêmement gonflé et sensible.
Elle danse littéralement contre mon visage, son souffle est court, haletant, ses yeux sont fermés, elle se déchaîne, se frotte sur mon visage trempé de sa mouille. Soudain son corps est pris de soubresauts, elle se crispe et pousse un râle profond puis s'écroule en arrière. Essoufflée et dans une position léthargique elle savoure l'orgasme qui vient de la traverser. Je me penche vers elle pour l'embrasser. Son corps chaud continue de vibrer sous les spasmes de sa jouissance.
Ma verge encore gonflée dexcitation contre mon ventre, je suis comblé par son plaisir et par notre attirance mutuelle.
Cest à ce moment que je découvre que notre chauffeur sest branlé en conduisant sur le spectacle de sa femme hurlant de plaisir sous mes coups de langue. Comment lui en vouloir ?
Amélie elle est contrarié et lui dit que ce nest pas comme ça quelle imagine son anniversaire avec son mari, devenu pauvre branleur. Elle lui dit quil sera sanctionné pour cela, car elle avait prévu de soffrir à lui durant cette soirée comme une parfaite petite épouse, mais que maintenant il verrait bien
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Arrivée au restaurant
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