La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 687)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°686) - Sur deux étages -
Monsieur le Marquis dEvans et David étaient dans livresse de la jouissance, comme dévastés par une violente tempête et émergés sur un autre rivage, nus et défaits, prêts à se relever pour une nouvelle vie, pour un nouvel amour plus fort encore
Tous deux avaient atteint lExtase parfaite dans loubli de soi, dans lexacerbation pleinement consentie de tous leurs sens, et dans une sublime osmose charnelle comme si tous deux avaient plongés en apnée dans locéan même du pur bonheur dun amour fou qui les réunissait depuis une décennie. Ils sétaient donnés lun à lautre et sétaient abandonnés dans un érotisme de haut délice, mais aussi dans la plus grande obscénité possible, sans aucun tabou à en jouir librement, sereinement !
Deux étages plus bas, Endymion MDE jouissait lui aussi, dune bien différente manière. Point dorgasme, mais de sublimes supplices enflammant ses sens, attisant sa perversion et son masochisme. Mademoiselle Lucie et Monsieur Julien sacharnaient depuis maintenant un certain temps sur ses pauvres petites burnes desclave. Daprès eux, la nature naurait jamais du doter un esclave mâle dune paire de couilles, seuls les hommes, les vrais auraient du en être pourvus. Alors, selon eux toujours, pour contrecarrer cette erreur de Dame Nature, les esclaves mâles étaient contraints et obliger daccepter les tourments imposés sur cette partie de leur anatomie, puisque leurs couilles ne leur servaient à pas grand-chose sinon à rien. Dailleurs, Mademoiselle Lucie se référait à ce grand philosophe Aristote : « Est, en effet, esclave par nature, celui qui, en puissance, appartient à un autre »
« Lutilité dun esclave consiste à se servir de son corps, cest le meilleur parti que lon peut en tirer » Elle était bien la digne fille de son Noble Père, puisquelle aussi sintéressait sinon se passionnait pour ces pensées philosophies, les adaptait à son gré et sen servait de modèle pour asseoir toute Sa Domination sur ceux quelle considérait dune classe « inférieure ».
Elle avait fait tenir lesclave MDE debout, jambes quelque peu fléchies, lui avait entouré et enroulé à la base, les burnes avec un lien noué fermement. Chaque extrémité de la corde avait été attachée à chacun des gros orteils de lesclave. Et lorsque le cordage fut tendu, elle exigea quEndymion MDE se redresse et se tienne bien droit, jambes tendues. Il lui était bien difficile de se tenir ainsi, avec ses couilles étirées au maximum vers le bas, avec ce gros plug lui comblant et encombrant son cul de lope. La douleur lui était pénible et difficile et lui demandait beaucoup defforts. Pourtant, il lacceptait, parce quil savait, quaujourdhui, il était conduit sur des chemins tortueux, que lui-même avait choisi. Il savait quil lui était impossible de faire marche arrière, ou simplement de dire stop, car sa vie était ainsi faite, il en était convaincu et il en tirait un plaisir inouï. Il était dans lacceptation et la bienveillance, sa logique masochiste lemmenait à prendre ce qui lui était donné, et au-delà embrassait pleinement et sans réserve ce quil recevait, fut-ce la douleur ! Endymion MDE avait compris quaccepter nétait pas de se sentir mieux, mais bien de souvrir à la vitalité du moment, et dagir de façon plus efficace dans les directives et les obligations quil recevait. Pour lui, il se devait de traverser les marécages de son histoire personnelle car ceux-ci se trouvaient dans la direction de là où il voulait aller. Bref, il avait trouvé son bonheur sublimé, sa raison jubilatoire et enivrante dêtre et si heureux dêtre ce quil était devenu
Monsieur Julien et Mademoiselle Lucie avait bien compris quils avaient à faire à un esclave un peu particulier, tenace, endurant, volontaire, exprimant sa soif de soumission et dobéissance fut-ce dans la contrainte et la douleur physique. Alors tous deux poursuivirent lexpérience, testèrent plus encore les capacités de cet Endymion MDE. Ils voulaient savoir jusquoù ils pouvaient lasservir, le ridiculiser et voulait voir où étaient ses propres limites.
- Mais quelle putain, une vraie salope ! Lançait Monsieur Julien
La queue de lesclave MDE sétait redressée telle une mécanique, un peu plus à chaque fois quun tour de vis était donné pour comprimer plus encore ses burnes, un peu comme sil y avait un lien de cause à effet, entre la pression exercée sur ses testicules et sa bite.
- Avance catin, marche en te tenant bien droit, mains sur la tête, fais le tour de la pièce !
Endymion MDE, visage crispé par la douleur faisait les cents pas autour de la pièce. Ces lourdes planchettes tiraient et tiraillaient son scrotum. A chaque pas, celles-ci se heurtaient contre ses cuisses, les poussaient vers lavant, lui provoquant des sensations terriblement lancinantes, obsédantes, presque odieuses et pourtant
Pourtant il bandait comme un âne en rut.
Plus haut, dans les étages de cette Auguste Demeure, Monsieur le Marquis dEvans regardait ce beau corps frissonnant et nu, alangui près de lui. David dormait paisiblement, une main derrière la tête, lautre posée sur son abdomen. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration calme. Le Maître aimait ce corps, ce fin duvet entourant ces petits tétons, ce sexe amolli et encore décalotté, posé sur ce pubis peu poilu, ces jambes restées entrouvertes, ces cuisses à peine velues. Il était de toute beauté. Contempler David, lexcitait. Sa Noble queue sétait tendue, elle arborait fièrement une virilité incroyable, Lui donnant presque envie de se caresser. Il y renonça préférant remonter le drap froissé tout contre le corps de son amant.
Plus bas, les choses allaient de mal en pis, lesclave MDE avec moult difficultés sétait, sur ordre, mis à quatre pattes. Certes les liens reliant ses couilles à ses orteils sétaient détendus, mais juste avant Mademoiselle Lucie avait donné un dernier tour de vis à ces planchettes fixées à ses burnes, lui coupant quasiment la respiration.
- Je vous prie de bien vouloir mexcuser ! Lançait-il
Ce nétait pas la préoccupation du couple. Monsieur Julien avait sorti de son pantalon de toile son membre fier et droit, une main de ses mains avait agrippé la chevelure de lesclave MDE.
- Ouvre ta petite gueule salope ! Ordonnait-il
Il enfonçait violemment sa bite dans cette bouche, tel un dard perçant ses lèvres entrouvertes, telle une pointe de fer portée par une hampe de chair, comme sil voulait déchirer ou fendre cette cavité. Lesclave MDE crut et chercha même à séchapper dun tel assaut. Mais Monsieur Julien, tenait appuyé ses deux mains contre la nuque du chien mâle MDE, lui imposant une fellation profonde presque abyssale. Il navait que faire de ces soubresauts, de ces hauts le cur, sa seule préoccupation était de faire tenir toute entière sa bite dans cette cavité humide et chaude. Mais les choses se compliquaient encore
Mademoiselle Lucie à son tour le pénétrait, lenculait profondément à laide dun gros gode ceinture. Elle allait et venait en lui en lui claquant sauvagement le derrière à chaque fois quelle se retirait de lui, pour mieux lenfourner ensuite. Dieu merci, le cul dEndymion était parfaitement dilaté, sinon, jamais il naurait pu accepter un tel morceau fouillant ses entrailles
Pris par tous les trous, Endymion MDE gémissait, des gémissements étouffés par cette bite énorme, qui centimètres par centimètres sétait installé totalement dans cette bouche grande ouverte. Les lèvres de lesclave MDE étaient maintenant en contact avec le pubis poilu de Monsieur Julien. Lui ne bougeait pas, comme concentré, il restait enfoncé profondément. Dailleurs sa queue samollissait lentement. Lesclave sentit de nouveau les mains de Monsieur Julien se poser sur sa nuque, puis sitôt après, un jet chaud durine lui envahir la gorge.
- Avale chien ! Ordonnait Monsieur Julien
Et au même moment son cul subissait une ruade extraordinaire, Mademoiselle Lucie sactivait à vive allure, le gode allait et venait, cheminait de plus en plus rapidement dans son conduit intime, entrait et ressortait, senfonçait et sextirpait telle une furie
et à chaque fois une rasade de pisse éclaboussait son arrière gorge
Au second étage, dans ce grand lit baldaquin, la main du Maître sétait posée sur lentrejambe de David qui sétait réveillé. Il le regardait dun air tendre et amoureux. David se laissait caresser gentiment les couilles tout en parlant tendrement sur un ton amoureux et avec une note philosophique
- Comment nourrir son cur et ne pas se laisser engloutir par ses émotions face aux difficultés de la vie ? Je me souviens dune période lointaine où jécoutais avec délice, lorsque jétais , tout ce qui était musique. Ces notes, me parvenant aux oreilles, me berçaient en memmenant vers des univers baignés de doux rêves aux mille couleurs. La musique berçait mes émotions en les enlaçant de tendresse et damour. La musique a été pour moi comme un pansement cicatrisant bien des plaies menant ainsi à un certain bien-être. Aujourdhui Edouard, mon cher Edouard, tu es cette douce musique, et ta musique est la langue de mes émotions. Cest de ta musique que je tire mon énergie, ta musique est toute émotion. Avec toi, tout peut sexprimer, là où les mots me manquent, tes notes prennent délicieusement le relais. Connexion des sens avec lunivers dans lequel nous ne faisons plus quun, cest magique ne trouves-tu pas ?
Monsieur le Marquis souriait, puis doucement approchaient ses lèvres contre celles de David. Il lui donnait des petits baisers, doux et tendres
. Ses doigts sinséraient dans le sillon anal de son amant, son majeur sarrêtait tout contre son petit bouton
Sous cette petite pression lanus souvrait, soffrait.
- Jai encore envie de toi, David
- Moi pas ! lui répondit-il malicieusement avec un sourire qui voulait dire Moi aussi !
Alors, il avait écarté un peu plus les jambes, et laissé ce divin doigt le pénétrer et lenvahir
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!