Voyage Gai D'Un Soumis Vers Mon Maître Gay (2) Rencontre ?
Dans le récit précédent jai raconté mon voyage vers mon Maître. Dans le TGV je suis excité mais je veux tout garder pour lui. Je me calme donc. Je reçois alors un SMS : « Je ne vais pas mieux, je pense aller au resto avec François rejoins nous, je tenverrai ladresse. »
18H Arrivé à la Gare, je file vite à lhôtel afin de confirmer la réservation et prendre la chambre.
Jai un peu de temps avant de rejoindre mon Maître et son premier soumis. Alors je prends une douche et regarde juste un peu une chaine dinfos.
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Nos sortons du restaurant tous trois, et nous retrouvons à lappartement du Maître. Je suis prévenu, je dois dabord payer ma dette et recevoir la punition pour avoir imaginé que le Maître ne pensait quà lui. Cest seulement ensuite que je jeu de séduction plaisir et de domination soumission commencera.
Dès lentrée et comme demandé, jouvre ma braguette pour sortir mon sexe dautant plus facilement que je nai rien dessous. Le Maître me prend par la queue, me tire vers le salon et va sassoir. Je reste debout sans bouger. François qui sest absenté revient nu sous un tablier de serveuse. Il embrasse le Maître sur la bouche, lui sert à boire, se met à quatre pattes pour lui enlever ses chaussures et ses chaussettes, lui lèche les pieds. Le Maitre défait les nuds du tablier qui tombe.
- « enlève ma chemise et mon pantalon
Cest bien, Pendant que je bois mon verre, déshabille la nouvelle soumise et enfile lui le plug avec du gel. Je ne veux aucun geste doux, ni caresse ni même deffleurement tant que ma sanction nest pas passée
»
Ce qui est rondement mené, même si François lorsquil retire mon pantalon en profite pour glisser ses mains sur mes fesses. Je ne sais pas si le Maître la vu faire.
- « Bien maintenant à genoux tous les deux, face à face à 1m lun de lautre. La nouvelle, tu baisse la tête jusquà toucher le sol et tu tends les bras vers François. François tiens lui les poignets fortement de façon à ce quil ne bouge pas ».
- « Ma soumise, tu sais que tu vas être punie, acceptes tu ? ».
- « Oui Maître »
- « Plus fort ! »
- « Oui Maître »
- « Tiens François, prend ses chaussettes et mets les lui dans la bouche ».
Je vois le Maître se lever. Il est en caleçon. Il sort du salon. Je sais que lheure est venue. Nous entendons des bruits. Que fait-il ? La sensation est bizarre, faite dappréhension et denvie. Le plus curieux cest de craindre la punition et daimer attendre ce qui est devenu inévitable.
Un peu de temps encore et le Maître entre. Il tient une baguette à la main et lagite dans tous les sens. Elle est longue de plus dun mètre. Bien flexible, elle siffle dans lair. Je vois François baisser les yeux ! Sans doute y a til déjà eu droit ! Peut-être que ça fait plus mal que je ne le pense ?
- « Tu vois ma chère nouvelle soumise, tu as eu tort de douter de moi. Ta punition sera à la hauteur de ma déception. Nous allons commencer par 5 coups en commençant en douceur puis de plus en plus fort. Je ferais une pause à la fin des 5 pour voir comment ton cul supporte la baguette et on avisera le nombre et la force des suivants ».
Le premier coup nen est pas vraiment un, plutôt un préavis, le deuxième ressemble à celui de mon martinet, je sens le coup mais je ne crie pas. Le troisième me prend par surprise, il est immédiat, sec et cinglant, Je pousse un cri et fais un sursaut vers François qui me tient, mes fesses chauffent. Jattends. Le Maître se promène passe derrière François, le caresse de la baguette, revient vers moi caresse mon cul, fait durer lattente. Il passe et repasse
Cest quand je my attends le moins que le quatrième coup me frappe. Il est vraiment très fort. Jai entendu le sifflement de la baguette en même temps quelle sest abattue sur mon arrière train. Je crie et me redresse, geste désespéré et inutile puisque la cinglette a déjà atteint sa destination. Ma respiration est haletante. Mon cul me chauffe, me pique.
- « Cest la surprise qui fait mal, le prochain coup
Fait non de la tête si tu veux me quitter »
Je ne bouge pas
Ma figure doit être aussi écarlate que mes lobes. Le Maître me remet en position, la tête à terre, le cul relevé, offert.
- « Cest la surprise qui fait mal, le prochain coup
Fait non de la tête si tu veux me quitter »
Je ne bouge pas
- « Tiens je vais retirer ce plug pour que tu te décontractes ! Le prochain coup va attendre un peu. Je te lannoncerai. Tu ne seras pas surprise et ce sera peut-être le dernier. »
Puis le maître caresse avec ses mains douces mon cou, mes épaules mon dos. Il me cajole. Je reprends confiance. Il inspecte mon derrière. Un moment plus tard, jai repris mon souffle.
-« Cest le dernier, tu es prêt, je décompte 6
5
4
3
2
1
TOP »
Je me contracte et la baguette gifle mon cul tendu et déjà meurtri. Je crie ou plutôt je hurle autant que mes chaussettes le permettent. Je me jette vers François pour échapper à un nouveau coup. Cest inutile. La douleur est fulgurante, incisive. Mes fesses sont brulantes, mon souffle est coupé, des larmes séchappent de mes yeux et coulent sur mes joues. Je sens mon pouls taper dans chacun de mes lobes torturés : toc toc
toc toc
toc toc
Lorsque je reprends mes esprits jai la tête entre les cuisses de François et il bande. Que dis-je ? Sans en avoir lair il tente de diriger son sexe turgescent vers ma bouche. Le Maître regarde, il a lair heureux.
Soudain, le Maître reprend le commandement.
-« Chère soumise, remets toi en position. Puisque tu as accepté de subir mon courroux, je te fais grâce pour la suite. Le Fouet cest fini
pour ce soir. Tu vas avoir droit à une gâterie. François, puisque tu as lair si content, lève-toi, enfile un préservatif et encule ma soumise. Cest un privilège que je toffre ».
François se lève, fait le nécessaire, sagenouille derrière moi et présente sa queue à mon illet. Il écarte mes fesses. De mon côté, je « pousse » autant que la douleur me le permet.
Le gland est entré, François me pénètre doucement, il hésite.
-« Entre doucement, pas à fond, ses fesses sont trop sensibles. Voilà, à moitié, comme ça, stop ! »
-« tu vois François, tu as pris deux fois des initiatives. Je tai vu caresser ma soumise lorsque tu las déshabillée puis à linstant en frottant ta queue sur sa bouche. »
Et sans un mot de plus la baguette déchire lair, sabat avec violence sur le cul de François. Celui-ci se jette en avant en menculant à fond et mécrase par terre
Je me réveille en nage. Jai dormi, rêvé. Je regarde le téléphone, il est 21h53 et le Maître na pas laissé ladresse du resto. Dailleurs il est trop tard.
Fin du RdV manqué.
A suivre bientôt si la suite vous intéresse !
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