Une Soirée Réussie : 8 - Confession
8. Une soirée réussie : confession
Résumé de lépisode précédent :
En arrivant chez Patrick pour une incontournable soirée sexe, celui-ci ma fait la surprise davoir convié un troisième homme à nos ébats. Une nuit torride sen suit.
Etalé sur le dos de tout mon long, le ventre tout « comateux », mon rectum tartiné dHoméoplasmine, leur queue enfin à létat de repos dans ma main, je suis le plus heureux des hommes. Mon esprit revit cette magnifique soirée de baise. Ils mont bien pris, jai reçu leur queue, leur foutre, mont fait jouir, je suis plus que comblé. Et pourtant, le spectre de Danièle surgit dans mes pensées, tel un fantôme sortit de dessous le lit.
Putain, pourtant, quest-ce que je me sens homme ! Rien que de penser aux courbes de son corps, au galbe de sa poitrine, au goût subtile de son sexe, ou encore à lélasticité de son petit cul, une impressionnante érection. Notre complicité, au lit, certes, mais au dehors également, était osmotique.
Alors, pourquoi jaime les mecs, bordel ? Pourquoi ai-je besoin de les pomper, de les boire ? Pourquoi je me sens si bien avec une bite dans le cul ? Vais-je toute ma vie avoir le cul entre deux chaises ?
Aucune réponse ne pointe son nez pour venir me rassurer. Depuis une trentaine de minutes, mon esprit ne cesse de me r. Bien quentre deux hommes, je me sens pourtant si seul ce soir. À côté de moi, Patrick respire régulièrement, il dort fermement. Jaurais bien besoin de venir vers lui, là. Mais je décide de le laisser à Morphée. Alors, à tâtons, ma main cherche le sexe de Franck. Ridicule, mais son contact, la chaleur de son membre mapaise.
Tu ne dors pas ? chuchote Franck. Tu nes donc jamais fatigué ?
Si, mais jai un coup de blues.
Tas besoin den parler ? Je peux técouter, tu sais.
Cest gentil. lui assurais-je en caressant son beau paquet. Mais cest compliqué.
Il ninsiste pas, comme souvent les êtres sensibles, il sait quil ne faut pas forcer.
Glissant contre lui, je pose ma tête sur son ventre, relève sa verge pendant entre ses jambes et très amoureusement, la glisse entre mes lèvres. Ses couilles cajolées dans ma main, jentame une fellation des plus câline, insistant beaucoup sur son beau gland libre de tout prépuce. Ma langue lui tourne autour, taquine son méat, le lèche comme une glace. Il est raide, ne pipe pas mot, redevenant long et gros tout en se laissant déguster. Jaspire cette verge en le branlant tantôt avec délicatesse, tantôt plus fermement, prenant plaisir à
gagner du temps.
Ne te leurre pas, me dis-je à moi-même. Tu cours, tu fuis, tu tévades ! Tu as peur de la solitude. Lidée de te retrouver seul avec toi-même te fait flipper !
Je chasse mes idées noires en me concentrant sur le superbe nud que jai en bouche, le prenant loin en bouche comme sil pouvait repousser mes pensées. Je le suce
comme Danièle me suçait, avec conviction.
Franck, lassé de me caresser le dos, flatte maintenant mes fesses, att mes bourses, puis ses doigts remontent le long de ma raie, avant de redescendre et de refaire un tour complet de mon arrière-train. Ma bouche est toujours active autour de sa verge de plus en plus bonne.
Cest le goût des bites que tu pompes ou celui de la perversité de la soumission qui te pousse à sucer ? continue mon esprit.
Ce sont les doigts qui pénètrent mon cul vaseliné qui mempêchent de trop penser. Ils minvestissent dans un mouvement de vrille, ne réveillant à mon grand étonnement aucune douleur malgré ce que vient de vivre mon cul ce soir. Bien au contraire, ses doigts ont un effet exutoire, focalisant mes sens sur le plaisir.
Voyant dans cette porte dentrée la porte de sortie de mes idées noires, je dépose la verge massive sur son ventre, sors les doigts de Franck de mes fesses, me tourne pour lui présenter mon dos.
Encule-moi, sil te plaît.
Logive dans ma main, je la guide contre mon cul, puis lui donne lordre dy aller. Je pousse de toutes mes forces ; entre lHoméoplasmine et la partie de baise que je viens de vivre, il me prend dune seule poussée. Et que cest bon ! Je lui demande de me sauter, de ne penser quà lui, car de toute façon, je jouis dès quil me pénètre.
Patrick ne bouge pas, je suis presque certain quil dorme, sinon, sa bite serait déjà entre mes lèvres. Jencourage Franck qui me fait sentir la puissance exceptionnelle de son organe, promenant de façon exquise son énorme nud dans mon rectum. Langle est idéal, je le sens parfaitement, quil me baise lentement ou quil accélère, ce nest que du plaisir.
Il mencule ainsi un bon quart dheure. Jai très chaud, des spasmes prometteurs mindiquent quil va me faire décoller. Son gland, qui jusque-là, me donnait limpression dêtre une boule de billard à lintérieur de moi, me semble devenir une boule de bowling roulant sans fins en moi. Mon souffle devient court, mes reins brûlent, de puissantes décharges électriques remontent du bas de mon dos jusquà ma nuque, des fourmis picotent mes doigts
Ouiiiiii ! Oh ouiiii, cest bon ! Viens en moi.
Franck semballe à son tour. La boule de bowling vient de réussir un magnifique strike. Elle arrose copieusement sa victoire dans un dédale de quilles renversées, graissant par la même occasion toute la machinerie nécessaire à la bonne marche de la piste. En de multiples coups de reins, il minsémine ma dose de somnifère avant de me serrer fort contre lui, essoufflé, repu, mais bien présent.
Quelques minutes plus tard, il me demande si je me sens mieux. Sa longue et grosse queue toujours dans mon ventre, oui, je me sens mieux.
Reste en moi, sil te plaît. Jai besoin de te sentir en moi. répondis-je. Merci, tu as été génial, cétait très bon.
Bonne nuit aussi ! dit-il en déposant un baiser dans ma nuque.
Apaisé, je sombre immédiatement dans le sommeil. Mais passerai ma nuit avec Danièle.
ooOOOoo
Alors que nos langues saffrontent inlassablement, nos esprits sapaisent et notre rythme cardiaque redevient plus calme. Mon sexe débande lentement, toujours à lintérieur de mon initiatrice. Mazette, quel voyage cette femme vient de me faire vivre ! Chaque orgasme nous emmène toujours très loin, et me fait tomber un peu plus sous son charme.
Dire que tu aurais pu rentrer seul lautre soir, et je naurais alors jamais pu tapprécier. lui dis-je en la regardant respectueusement.
Là, la première pensée qui me vient est : quel gâchis ! Je suis trop bien avec toi, ce nest que plaisir, sincèrement. Tu as donc aimé mes fesses ?
Je la remercie pour ce dépucelage, pour ce cadeau magnifique, que voyager entre daussi belles fesses était un doux délice.
Je ne tai pas fait mal ? tentais-je, bien que connaissant la sodomie par cur pour la pratiquer régulièrement
sur moi.
Oh non, ça ne fait pas mal. Pas quand on ne force pas. Tu nas jamais essayé ?
Mince, quoi dire, là, tout de suite ? Je vais passer pour un homo si je dis oui, pourrait-elle comprendre ? Le manque de spontanéité de ma réponse parle pour moi, et ses yeux me fixent alors, puis elle sourit, se redresse pour sasseoir au bord de la table. Ouvrant ses bras, elle me tire contre elle pour me rouler une pelle danthologie.
Toi, tu ne me dis pas tout ! me sermonne-t-elle. Tu peux tout expliquer à Tata Danièle, tu sais ! rit-elle alors.
Un peu paniqué, nu, mon sexe pendant contre son pubis trempé, son opulente poitrine contre mon torse, je me sens mal à laise.
Plus tard, si tu veux bien. Quand on sera couchés, je me confierai à toi, je te promets.
Ses yeux droits dans les miens, Dan me dit quil ny a rien durgent, que je fais lamour comme elle adore.
Tu sais, la première fois que je tai embrassé la bouche pleine de ton sperme, et que tu nas pas hésité à partager, jai immédiatement compris que tu lavais déjà fait auparavant. Tu as dix-neuf ans
Même si tu es doué pour le sexe, certaines de tes assurances trahissent une
vie sexuelle assez riche et/ou variée !
Je fonds de respect et damour pour cette femme si mûre, si intelligente, qui à 24 ans, sent déjà tant de chose ! Resserrant mon étreinte, je lui embrasse le cou et la remercie pour sa compréhension. Mes mains caressent son dos, lodeur de sexe baigne la pièce, la fougue nous reprend rapidement. La pointe de ses seins durcie, cette femme est diabolique, irrésistible, je veux de nouveau la posséder.
Viens dans la chambre. me glisse-t-elle à loreille. Viens maimer, fais-moi lamour.
Ma princesse memmène par la main vers sa chambre. Ses fesses dansent à chacun de ses pas, sa poitrine tressaute, son corps nest que grâce et volupté, quinvitation. Arrivé au pied de son lit, je lembrasse langoureusement, une main sur sa croupe, lautre posée sur sa petite chatte trempée. Ma queue grandissante rencontre naturellement sa main toute douce pour une caresse intéressée.
Tu me rends dingue, tu mexcites de plus en plus, jai TOUJOURS envie de toi !
Dautorité, elle mallonge sur le dos et vient me chevaucher. Sa vulve détrempée se plaque sur ma bouche, mon nez dans sa toison pubienne, sa main me saisissant par les cheveux :
Lèche-moi !
Le supplice est un plaisir. Je laspire de toutes mes forces et lèche lintérieur de son vagin comme si ma vie en dépendait, alors quelle ondule son bassin pour se placer là où elle le désire. Mes mains partent à la reconquête de ses fesses, les pétrissant, les écartant. Mais alors que je veux mapprocher de son petit trou, ses mains viennent me les retirer de ses fesses. Je suce son clito tout dur, ses jus me ruissellent en bouche et sur mon menton.
Oui, cest bon, comme ça, oui. souffle-t-elle en se pinçant les tétons. Je viennnns, oh oui!
Ma langue dans sa grotte se fait comprimer par les spasmes de son orgasme, sa mouille abonde, son bassin ondule par vagues dintensité variable, puis simmobilise enfin, lorage terminé. Sa douce pluie damour coule de mon menton.
Je suis suspendu à son biorythme, elle me domine, me fait vivre des choses dune puissance jusqualors inimaginable du haut de mes 19 ans.
Jaime ta bouche, tu es si sensuel, tu ten sers si bien.
Tout en me chuchotant des choses tendres et terriblement érotiques, ses mains prennent appui de part et dautre de mes cuisses, basculant son bassin un peu plus en avant. En un rien de temps, son anus se retrouve sur mes lèvres qui instantanément le baisent, lembrassent, timidement dabord, puis de plus en plus intensément.
Tu aimes mes fesses, hein ? Tu as aimé y jouir, tout à lheure. Et bien, vas-y, bois ton sperme, oui, plonge ta langue dans mon cul, comme ça, oui, cest bon, bois ton foutre, ça me met en transe ! Tu peux tout faire avec moi, tu sais ! Ne sois pas coincé, fais-nous du bien. Oui. Comme ça.
Son cul souvre à ma caresse, et ma liqueur change lentement de propriétaire sous mes succions, mes caresses. Danièle contracte son ventre pour bien me rendre toute la semence que je lui ai déchargé il y a une bonne demi-heure. Je naurais jamais imaginé pouvoir faire une chose aussi déroutante un jour, et qui plus est, avec une maîtresse aussi torride et bandante. Dan avait tout, mais tout compris de moi, et cela, au lieu de la déranger, lexcitait.
Son petit cul nettoyé, sa chatte bien lapée, Dan recule pour venir emboucher ma queue bandée à en hurler. En prenant son temps, elle me suce avec une véritable passion, jouant de mon gland, me mordant au passage pour mentendre souffler, puis malaxe mes couilles dures un bon moment avant de mintroduire son majeur entre mes fesses.
Ta bouche, oh, ta bouche ! est presque la seule chose que jarrive à dire.
Son doigt me fouille sans retenue, et ses lèvres balaient ma hampe de plus en plus vite. Au comble du plaisir, je me lâche avec violence entre ses mâchoires en hurlant son nom, le bassin décollé du lit, mon sperme brûlant emplissant sa bouche avide de ma jouissance. Accompagnant mon gland dans ses soubresauts, la dernière chose quil mest permis dentendre est la déglutition de ma reine des suceuses, avalant mon offrande.
Lorsque je reprends doucement contact avec le monde extérieur, Dan est lovée contre moi, sa jambe sur les miennes, la tête sur mon épaule. Sa main vient se poser sur mes organes redevenus modestes et les emprisonne, comme pour être certaine que personne ne lui prenne. Et là, sa douce voix me sort définitivement de ma rêverie :
Je me sens bien avec toi. Mais je veux TOUT savoir, sil te plaît. Ne me cache rien, je le sentirai.
Je ne suis pas de taille à lutter, et nai pas envie de perdre sa confiance non plus, je veux tenter de lui résumer « mes motivations sexuelles ». Un long monologue commence alors, je dois parler de moi, et ce nest pas le plus fascinant ! Mon enfance, mes parents, mes amis, ladolescence, les premiers flirts
et très souvent, ce besoin de me masturber, impérieux, plusieurs fois par jour, nimporte où. Et si au cours de cet éveil sexuel propre à tout adolescent, mes fantasmes me projetaient avec de belles filles, faisant lamour à corps perdu, il y avait très souvent
la vingt-cinquième image, limage quasi subliminale : de gros sexes dhomme, durs comme la pierre, couillus, éjaculant des seaux de sperme. Jamais de silhouette, jamais de visage, que leurs queues bandées, énormes.
Mais une fois léjaculation finie, plus rien, que de beaux seins, de splendides culs, de belles femmes au visage resplendissant, du style Hamilton. Je navais aucun problème avec les filles, et même lors des premiers rapports, tout sest très bien passé. Bon, la performance ny était pas, bien évidemment, mais cette sexualité me convenait à 100 %, et je convenais également à mes partenaires.
Dan mécoute attentivement, sa posture na pas changé, un sein contre moi, lautre sur mon torse, sa main transformée en suspensoir soutient mes testicules. Mon bras enlaçant son dos permet à ma main de caresser sa hanche et le haut de sa fesse tout en lui parlant. Sa peau
son odeur
Je poursuis tout de même mon récit, lui expliquant quà aucun moment le désir dembrasser un garçon ne mest venu à lesprit ! Il ma fallu attendre jusquà mes 18 ans. Mon permis de conduire en poche, Jai découvert la liberté, la mobilité et de nouvelles perspectives soffraient à moi. Cest là que jai connu Stéphane, mon premier mec.
Danièle prend ma bouche et membrasse amoureusement, enroulant sa langue autour de la mienne, caresse ma verge et me dit dune voix langoureuse et sensuelle :
Continue, tu es clair dans tes pensées, tu racontes très bien les choses. Que sest-il passé avec Stéphane ? Jen suis toute mouillée !
Cest une mise à nu, mais le moment est opportun pour ce genre daveu, de confession, je me lâche complètement, lui ouvrant les portes de mon jardin secret.
Je reprends donc le cours de ma vie. Mon fantasme récurant était la fellation, je rêvais de sucer un homme. Je voulais coûte que coûte connaître les sensations que lon pouvait ressentir en suçant un homme, en lui faisant une bonne pipe. Je venais de rompre avec une copine plutôt chiante et pleine de manies, et somme toute assez peu portée sur le sexe.
En voiture, et à la nuit tombée, je me gare sur un parking bien connu pour être un "parking à PD" comme le disaient assez connement mes collègues de boulot. La peur au ventre, je mimaginais des tas de situations, des visages
mais bizarrement, des tas de voitures ''tournaient" inlassablement, sans jamais sarrêter ! Ou alors, les gens en descendaient pour se diriger vers le parc entre les bosquets. Et ça, même pas en rêve.
Ma fenêtre ouverte le temps de reprendre lair, une voiture arrive avec 2 mecs dedans, et sarrête juste à ma hauteur. Après quelques questions, ils me proposent de ne pas rester planté là, et minvitent à venir boire un coup chez eux. Pensant que de toute façon, ce nest quun fantasme, et compte tenu du côté glauque de lendroit, plutôt me saouler que de sortir de ma caisse sur ce parking de dingues : je les ai suivi.
Autour dun verre, je parviens à peine à me détendre. Vers 23 heures, je décide de rentrer chez moi. Au moment de partir, le plus jeune (30 ans environ) essaie de me rouler une pelle. Quelle horreur ! Déjà quil ne minspirait aucune confiance, les choses étaient claires pour moi : fuir. Stéphane, voyant que ça ne colle pas, le salue et sort de lappart pour me raccompagner. Une fois dans la rue, il minvite à venir discuter chez lui, sans engagement. 40 ans, beau mec posé, propre, un peu psychologue, il a tout compris.
Chez lui, lumière tamisée, whisky, il sassoit sur un pouf, et nous parlons calmement. Puis, me sentant décoincé, il me demande ce que je cherchais sur ce parking un peu plus tôt. Je finis par lui avouer mon désir, mon rêve de sucer un homme, la voix tremblante. Il me dit alors que ces endroits étaient réservés à un certain "abattage", que cela pouvait être perturbant. Sil me convenait, il était tout à fait disposé à se laisser faire
Voyant ma paralysie, il se leva, et naturellement se déshabilla devant moi, avant de se rasseoir en tailleur devant mes yeux ébahis. Là, à quelques centimètres de moi, un homme était nu, et quel homme ! De puissants pectoraux sétalaient fièrement entre ses larges épaules, à peine masqués par une toison brune descendant harmonieusement jusquà son pubis velu. Sous ses abdos, un trois-pièces comme jen voyais dans les bouquins de cul : une demi-molle dune bonne quinzaine de centimètres, dune largeur confortable, au fort gland retenant un prépuce plissé, faisant penser à un ressort prêt à propulser un harpon. Deux très gros testicules soumis aux lois gravitationnelles pendaient largement dessous ce gland. Craquant, pour ne pas dire irrésistible. Tout en me parlant, il me fit remarquer que mes yeux le suçaient déjà. Il me prit calmement par la main, et memporta vers le lit dans la pièce dà côté, au bord duquel il minvita à masseoir.
Tu fais comme tu le sens, et si quelque chose te dérange, tu es libre darrêter, ok ? me rassura-t-il.
Et timidement, ma main vient au contact de ce sexe qui gonfle et déjà sallonge. Puis vint linstant de le prendre en bouche. Il est gros, chaud, bute contre mes lèvres. Jécarte au maximum, et le voilà qui me pénètre délicatement. Ma bouche est vierge de toutes ces sensations : la douceur du gland, son volume, puis le prépuce qui se cale contre mes lèvres
Il me caresse la tête, mencourage, et minvestit tendrement. Il tire sur sa hampe avec ses doigts pour bien dégager son énorme bout qui remplit bien ma cavité buccale, tant pour lespace que par son goût, étrange et pourtant
agréable. Déjà de doux va-et-vient me permettent de bien sentir sa hampe gonflée mécarter et me pénétrer la bouche. Ses mots me donnent de la hardiesse, et sa rigidité mencourage, malgré larrogance de son gros nud. Je ne sais combien de temps je lai sucé, mais toujours est-il quà un moment, je lui ai dit :
Je veux te boire.
Il a alors un peu plus fortement imprimé ses va-et-vient en me demandant de saisir ses couilles. Tout chez lui était gros, lourd, il était vraiment fortement membré, je men suis rendu compte plus tard, avec les suivants.
En quelques minutes, son souffle est devenu plus court, et puis sa queue a gonflé encore un peu, expulsant dun coup une chaude substance, ce foutre tant attendu. Son fort goût un peu métallique ma irradié en même tant que sa chaleur. A peine la première impression passée, un autre jet vint combler lespace déjà très plein, et menaçait de ressortir. Je ne sais trop comment jai fait, mais sans trop prendre le temps danalyser le goût, ni de réfléchir, jai avalé, puis une autre salve est arrivée. Des étoiles, jen avais plein la tête, mais quel bonheur de sucer un homme, enfin ! Le goût ? La texture ? Je ne my suis pas attardé. En dautres lieux, dautres circonstances, sûrement. Mais je venais de réaliser mon fantasme le plus ancien, car depuis lâge de 14 ans, jimaginais de longues giclées de foutre chaud remplir ma bouche. Et je venais de vivre cela avec un mec cool, hyperpropre et très bien monté. Tous mes désirs étaient comblés !
Suspendue à mes lèvres, Dan me masturbe avec une lenteur incroyable. Ma queue, au fil de ses attouchements, est devenue raide entre ses doigts serrés, tirant fermement sur ma hampe.
Hum, cétait un chaud, ton copain. Tu as bien aimé pour en parler avec autant de détails. Vous avez continué ? Allez, raconte-moi la suite, sinon, je fais la grève du sexe, et
je ne suis pas certaine de pouvoir men passer ! dit-elle en rigolant.
Incroyable amante, je découvre à présent son incroyable tolérance. Tout est ouvert chez cette femme, même son esprit. Devant son réel intérêt à comprendre, je lui relate alors le reste de cette grande première.
Il me laissa un instant reprendre mes esprits, me demandant si javais apprécié, et me félicitant pour ma première pipe. Avec calme et assurance, il me déshabilla à mon tour, mallongea en travers du lit, puis se mit en face en 69 à plat, et prit délicieusement ma verge en bouche. Sa queue était toujours gonflée, même presque molle, et je lai remise entre mes lèvres. Je nen revenais pas de la chance que javais, depuis si longtemps que jen fantasmais. Un mec à sucer, là, disponible et disposé ! Tout en me suçant, il me caressait lanus sans le pénétrer, juste pour voir ma réaction. Lui banda de nouveau en quelques minutes tandis que sa langue fouilla mon trou délicatement. Des spasmes me cinglaient le ventre, trop de sensations. Il jouait avec mes couilles, et me dit que si je voulais, de ne pas me gêner, car il adorait cela. Oh, il savait sy prendre, cétait un sacré mec, et avait compris que je nétais pas limité à une bonne pipe. Il savait y faire, mais pas vulgairement. Il avait lendurance, la patience, et savait également me mettre en confiance.
Il mexpliquait comment gober ses couilles, je le suçais, lui sous moi, sa matraque entre mes mains, les miroirs de sa penderie me renvoyant le tableau, il me dit alors :
Jai envie de te prendre. tout en me léchant la raie des fesses.
Javais bien joué avec mes doigts en me branlant, quelques objets comme des bougies, mais si je posais une bougie contre sa queue, il ny avait pas photo !
Suce-moi bien, fais-moi bander dur, je ne te ferai pas mal, tu ne sentiras rien. Sinon, je marrête immédiatement.
La totale. Je voulais sucer, découvrir le plaisir de faire une pipe, et jallais me faire prendre en supplément ! Sucer cet homme était si bon, et sa langue dans mon petit cul
. même si je nen menais pas large, jétais hors de tout raisonnement !
Moi sur le côté en chien de fusil, il me parlait tout en se tenant à genoux derrière moi de chaque côté de ma jambe, ses mains écartant mes fesses, son gros gland contre mon anus. Il poussait doucement en me demandant de pousser comme aux toilettes. Jai ressenti une vive douleur lorsque son ogive passa et me harponna, mais il sétait déjà arrêté, il connaissait
Bref, en une dizaine de minutes à me brosser dans le sens du poil », à me rassurer et me décontracter, il mavait rempli de son pieu, sans violence, mhabituant à son imposante présence. Il me prenait sans contrainte, se satisfaisant de faire coulisser ce fort sexe sur une bonne longueur. Je navais pas mal, mais mon cul « tout neuf » navait aucune souplesse, et sa largeur importante me faisait tout drôle. Je ne prenais que le plaisir de lavoir bien toléré, je ne pouvais pas parler de jouissance. Je jouissais de linstant, ça oui, davoir pu prendre cette queue généreuse, comme jen voyais sodomiser des culs de femmes dans mes nombreux bouquins pornos, seuls compagnons de branlette ces dernières semaines.
Là, cétait moi, cétait mon cul, et lorsque selon la position, la glace me renvoyait limage de ce pieu qui senfonçait entre mes fesses jusquà ce que ses grosses couilles se collent aux miennes, je nageais en plein bonheur, au point de ne pas sentir de véritable douleur. Le même mec, mais brutal, il y a longtemps quil maurait cassé en deux, et je me serais rhabillé dare dare, et serais parti déçu ! Mais lui me faisait du bien, et satisfaisait mes désirs les plus inavouables !
Puis il me dit quil allait jouir entre mes fesses. Prenant mes hanches plus fermement entre ses mains, il accéléra un peu dans mon cul légèrement douloureux, et son visage se figea en éjaculant, enfoncé au plus profond de mon fondement. Je venais de faire jouir un homme deux fois de suite. Je nen revenais pas, sentant Stéphane lentement ramollir entre mes fesses.
Je suppose que tu dois te poser beaucoup de questions à mon égard ? Dis-je à cette superbe femme à mes côtés. Tu sais tout, je ne tai rien caché. Peux-tu comprendre ça, hein, que je puisse
aimer le sexe des hommes ?
Ma queue bandée toujours aussi doucement branlée dans sa main de velours, elle viole mes lèvres, investit ma bouche de sa langue inquisitrice. Troublé par ce que je viens de lui révéler, je mattends à une gêne, un malaise quelconque, voire une
rupture imminente !
Je lui dirais plutôt merci, à ce Stéphane. Il ta épanoui, élargi lesprit, te prouvant que lon pouvait prendre le meilleur dans les deux sexes ! Cest ton corps, ton esprit, ta vie. Le tout en fait ce que tu es, et
jaime ce que jai ce soir dans mon lit.
Alors que nous échangeons un superbe baiser, Danièle lâche mon membre congestionné avant de me chevaucher. Sa main passe alors derrière sa croupe pour saisir et guider ma queue à lentrée de son vagin, et lentement, par de petites ondes, descend le long de ma hampe. Son intimité est brûlante, envoûtante, douce, et lorsque nos pubis se rencontrent, jatt ses fesses à pleines mains, alors quelle commence un très long tangage. Mon gland, telle une rotule, semble rouler contre le col de son utérus avec beaucoup de sensualité.
Cest ainsi, quelques minutes plus tard, sans que ni nos lèvres ni nos langues ne se soient quittées, quun orgasme dune infinie tendresse nous réunit, soudant de puissants liens de respect et de confiance, avant de nous plonger, toujours lun dans lautre, dans un sommeil réparateur.
ooOOOoo
Lorsque le jour se lève, Patrick nest plus dans le lit. Franck nest plus en moi, il est sur le ventre et dort dun sommeil bien mérité. Mes premiers pas me portent jusquà la salle de bains pour soulager ma vessie avant de me diriger vers le salon. Je retrouve Patrick assis de lautre côté de la baie vitrée, assis, profitant de sa terrasse, nu comme un ver. Un sourire illumine son visage lorsquil me voit.
Je prends le frais ! Tu as bien dormi ?
Comme un bébé. Et toi ?
Jai basculé en quelques minutes, jémerge à peine.
On ne ta pas réveillé hier soir ? lui rétorquais-je
Aurais-je loupé un événement ?
Trop dinfos dans ma tête, je narrivais pas à mendormir
formulais-je pour ne pas avoir à rentrer dans le détail.
Est-ce que Franck a pu quelque chose pour toi ?
Euh
oui, et plutôt très bien.
Tant mieux ! Jai pris beaucoup de plaisir à te voir si bien, hier soir. Tu voudras revivre dautres surprises de ce type ?
Pour toute réponse, je massieds à même le sol entre ses jambes. La fraîcheur du matin ne peut certainement pas faire de mal à mon fondement. Toutefois, je désire lopposer à la chaleur de sa belle grosse queue. Je le suce avec passion alors que les rayons dun soleil naissant nous caressent. Je lavale un long moment, ne le délaissant quaprès quil a offert une des éjaculations dont il a le secret. Doù en sort-il autant ? Mais que son sperme est bon. Surtout à lheure davaler quelque chose.
Merci pour tout, Patrick. Tu es un mec très bien, je suis fier de te connaître.
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