La Belle Et La Bête Version Gay
Quand il est entré dans la salle, je me suis fait la réflexion :
- C'est tout de même pas normal de laisser entrer les ados !
Les salles de l'Etoile, ne sont jamais éclairées que par la lumière du film porno qui passe à l'écran. Seule une des salles, diffuse du porno gay. J'en étais là de mes pensées, quand j'ai senti une présence, se glisser entre moi et la dernière rangée de fauteuils.
J'étais à ma place préférée, attendant un probable contact. Depuis le temps que je viens là, je sais que mon cul attire les amateurs.
J'étais en train de penser au jeune que j'avais aperçu, et perdu de vue. Il devait mesurer à peine 1 m 30. Soudain, des dents vinrent se refermer sur ma bite bien dure, à travers le tissu de mon pantalon.
Une main prit la mienne, et la plaqua contre un formidable gourdin. J'avais du mal à prendre l'engin entre mes doigts. Une voix grave et éraillée, me chuchota :
Tu la veux dans ton cul ?
Je ne répondis pas. L'individu était debout et tentait d'ouvrir ma braguette. A la lueur de l'écran, je vis que j'avais retrouvé "l'ado".
Il portait une barbe et devait avoir dans les 30 ans. Il était difforme, mais super bien monté. Il avait baissé son pantalon et son slip, et sa queue mesurait pas loin de 40 cm. Quand au diamètre, c'était fabuleux ! On aurait dit un poney.
Il caressa mon cul, les bras levés. Il ouvrit ma braguette et sortit ma pine qu'il emboucha. Il était d'une laideur repoussante. Pourtant, ses gestes étaient d'une grande douceur. Ses mains brûlantes de désir caressaient mon cul, et sa langue explorait les moindres replis de ma pine qu'il suçait avidement. Le plaisir montait en moi, inexorablement. L'homme de petite taille, baissa mon pantalon et agrippa mon slip, qu'il envoya rejoindre mes chaussures. Il posa ses mains sur mes hanches, et m'invita à me mettre à genoux. Sa langue s'insinua dans la raie de mes fesses et titilla mon petit trou pour le lubrifier.
Son énorme gland se posa sur mon trou, tandis que ses grosses mains calleuses me saisissaient à la taille. Debout, il était juste à la hauteur, pour m'enfoncer sa bite dans le cul. En rapport de sa taille, il avait une force insoupçonnée. L'énorme gland progressait lentement pour passer le verrou de l'anus. Sous la violence de la poussée de mon petit agresseur, le gland fit un petit "pop" quand il franchit le passage. Le "petit homme" se mit alors en action. La grosse tringle coulissait entre mes fesses. Ma queue était raide depuis bien longtemps déjà. Quand son pubis se colla contre mon cul, j'avais l'impression étrange, de comprendre ce que pouvaient ressentir les animaux qu'on mettait sur une broche pour les faire rôtir. Je me rappelais la chanson de Brassens qui parle de biches qui remplacent leurs beaux cerfs par des sangliers ou encore des séquences de "La belle et la bête".
C'est à ce moment que mon bestial sodomite lâcha sa semence, au creux de moi. Comme la taille de son pieu, enfoncé dans mon cul, le volume de son sperme fut exceptionnel. J'ai eu une impression bizarre, comme si mon cul venait de s'ouvrir, alors que j'étais dans l'eau, sur une plage exotique. Le petit être qui labourait mon cul, eut une réaction charmante. Il déposa un baiser à la naissance de la raie qui sépare les deux globes de mon cul.
- Il est magnifique....Sussura-t-il à mon oreille. Tu es marié ?
- Non...Répondis-je. Pourquoi ?
- Je t'aime déjà, ajouta-t-il.
- Moi aussi, soufflais-je.
- J'ai une grande maison, continua-t-il. On peut essayer de vivre ensemble, si tu n'as pas peur de ma difformité....
- Je ne sais pas trop...
- Si tu n'essaies pas, tu ne sauras jamais !
C'est comme ça que ça a commencé, et depuis 30 ans, Roméo et moi, filons le parfait amour.
Quand je l'ai rencontré, la première fois, je l'ai pris pour un infâme baiseur de mecs. Aujourd'hui, j'ai découvert un être sensible et attentionné. Il m'achète des grands vins, fait la cuisine, m'appelle "chéri". Il sait, et surtout, il me montre que je ne suis pas une "folle", mais un homme à part entière. Il m'offre des cadeaux pour la fête des pères. On va partout, dans les grands restaurants, au théâtre.
Quand je lui demande pourquoi il allait à l'Etoile, il dépose un baiser sur le coin de ma bouche, et chuchote à mon oreille :
- Chut ! C'est de l'histoire ancienne. On en parlera plus jamais, si tu veux bien. Je t'aime et c'est bien comme ça !
Je me suis baissé, l'ai embrassé avec fougue et lui ai dit :
- JE T'AIME AUSSI !!!
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