Une Soirée Réussie : 9 - Sex In The City
9. Une soirée réussie : Sex in the city
Résumé de lépisode précédent :
Patrick et Franck, deux hommes bisexuels, ont déployé beaucoup dénergie et de savoir-faire pour combler mes besoins de gros sexes et de sperme, faisant de ce trio inattendu un beau voyage.
Franck a toujours sa gueule dange. Une douche, un bon petit-déjeuner sur la terrasse de Patrick, voilà certainement un des ingrédients dune journée qui démarre bien.
Quand même, les gars, lance-t-il, je suis venu pour soi-disant quelques heures, jai limpression dr.
Tu ne te sens pas bien avec nous ? lui demande alors notre hôte. Japprécie ta présence, et ne pense pas être le seul à le faire. Alors si le cur ten dit
Vous savez ce qui me ferait plaisir, les garçons ? mécriais-je, ravi de la tournure que prend la journée.
Euh
oui, on le sait tous les deux ! rétorque Franck. Tu nous las prouvé à plusieurs reprises.
Patrick manque de s avec son café.
Cest vrai. Dis-je en riant. Mais sans blague. On pourrait prendre la voiture et partir pique-niquer ! Je connais une petite clairière au bout dun chemin, juste au bord dune rivière, sous les arbres
Jadorerais passer une journée au soleil. Sauf si vous avez dautres obligations ! Moi, je suis libre comme lair.
Lidée séduit, et en quelques phrases, menu, destination, véhicule
tout est décidé. Enthousiaste, je file sous la douche, rapidement rejoint par Pat. Les fringues sont comme moi : vite enfiler. Me voyant ne pas mettre de sous-vêtements, ils mimitent. Leffet est immédiat : comme le dirait Coluche, on ne voit pas que leur sexe, mais aussi la religion !
Et nous voilà en route, un panier avec un peu de vaisselle et une couverture dans le coffre. En route, nous achetons quelques victuailles pour le pique-nique, quelques boissons, et en avant, cheveux au vent, toutes vitres ouvertes. Assis derrière, mes inquiétudes semblent loin, enfin, je les chasse dès quelles se pointent.
Même si nous parlons de tout et nimporte quoi, le sexe revient souvent sur le tapis. Cest ce qui nous a réunis, à la base. Franck raconte une anecdote avec une auto-stoppeuse, Patrick quelques scènes de garçons affolés par ce quils venaient de découvrir, et moi la fois ou une copine ma laissé seul une semaine pour aller faire un stage et que, la mort dans lâme, jai terminé dans un sex-shop.
ooOOOoo
Une semaine. Une semaine complète, du dimanche après-midi jusquau vendredi tard dans la nuit, je ne vais pas voir Danièle. Une formation « obligatoire » me lavait ravi. Lors dun des derniers baisers sur le quai de la gare au moment de sauter dans son train pour la capitale, ma sulfureuse pharmacienne me demande de bien veiller à ne pas rester trop sage, et de TOUT lui raconter le soir quand elle mappellera.
Tu me manques déjà. lui dis-je alors que le chef de gare siffle le départ, emportant ma belle.
Alors quelle séloigne, je déambule jusquau buffet prendre un café et fumer une cigarette, le cur un peu gros. Cette semaine sera loccasion de faire le point, et peut-être de me désenvoûter de mon égérie, ce dont je doute fort. Il est presque 18 h 00, trop tôt et à la fois trop tard pour un cinéma, je pars à pied dans la ville prendre lair, espérant détourner ainsi mon esprit hanté par cette femme. Son joli fessier, son sexe aux saveurs enivrantes, et sa poitrine opulente me tournent en boucle derrière les yeux, de façon obsessionnelle.
De rues piétonnes en ruelles, je me retrouve non loin dun sex-shop projetant des films en cabine, et me dis que même si ce type de cinéma nest pas top, louper le début ou la fin dun film porno na pas trop dimportance, je rentre donc sans conviction. Glauque au possible, le public du dimanche après-midi nest pas non plus des plus mondain, quelques petits vieux en quête de sensations, des gens qui sennuient et cherchent à le temps, un peu comme moi dailleurs. Je regarde les films projetés et demande des jetons au caissier, probablement un étudiant qui se fait 4 sous en pouvant réviser tranquille.
Le couloir distribue une dizaine de cabines dont certaines laissent sourdre des onomatopées caractéristiques de ce genre dart, et lodeur y est presque insupportable. Je voulais me changer les idées, cest réussi. En passant devant une cabine entrouverte, une femme se fait sodomiser à lécran par un étalon noir, et le spectateur, lui, se branle les yeux rivés sur la scène. Lorsquil maperçoit, il minvite à venir le rejoindre dun signe de tête, mais je préfère lignorer. Je rentre deux portes plus loin, massieds et jette un jeton sans avoir pris la peine de regarder de quel type de film il sagissait.
Une belle femme se fait prendre par un homme dune quarantaine dannées alors quelle suce un jeune homme. Puis ils tournent, et cest le jeune minet qui prend la bonne grosse bite de lautre en bouche pendant que la femme lui prodigue une feuille de rose. En effet, quelques minutes après, madame dessous, le jeune à quatre pattes en 69 tend sa croupe à cette bonne queue, et le veinard se fait prendre puissamment. Bien que très classique, mon pantalon à pince se tend, et la belle queue qui le fouille me donne envie. Je repense à Stéphane et sa belle arme, à quelques bonnes queues rencontrées ces derniers mois, et
suis un peu jaloux, frustré.
Lorsque ce bel étalon décharge de bons jets de foutre sur le visage de ses comparses, jen oublie Danièle et une furieuse envie de sucer me prend, et ce nest pas ici que je trouverai une bonne queue à pomper. Je quitte ma cabine et fais un tour dans le couloir désert, pas un mec, juste quelques traces de sperme ici et là, sinon, nada. Remontant lescalier, plus personne dans la salle, seul le caissier qui relève la tête et sourit :
Alors ? Bon film, non ?
Je lui demande sil sait lequel jai vu, curieux de comprendre. En fait, étant le dernier
il ny avait plus quun seul voyant et le numéro saffichait, évidemment ! Très naturellement, il voudrait savoir lequel des deux acteurs est à mon avis le mieux loti ; je lui réponds que si le plus âgé remporte un Oscar, je veux bien de la Palme dOr !
Sympa comme réponse, tu peux mappeler Oscar, si tu veux.
Je viens de voir une bonne grosse queue à lécran, je ressors den bas le manque chevillé au ventre, et voilà que ce mec mallume ! Je ny crois pas.
Tu nas pas le profil à te taper du troisième âge, entre nous, tu mérites mieux
Je ferme boutique dans quelques minutes. ose-t-il alors franchement.
Ne me voyant pas offusqué, il se lève et va donner un coup de clef à la porte avant de revenir à sa caisse.
Jen ai une qui ne devrait pas te décevoir. me lance-t-il.
Joignant le geste à la parole, il déboucle sa ceinture, baisse son pantalon et sort de son caleçon un sexe dune beauté phénoménale. Bien quau repos, elle est déjà bien grosse, épaisse, le gland bien en relief sous un prépuce nen laissant apparaître que le dernier quart et le méat. Sa toison pubienne ne fait que quelques millimètres, et de belles grosses couilles entièrement rasées également, maintiennent son gros bout à lhorizontale. Je ne peux que lui dire :
Euh
en effet, Oscar est très musclé ! Mais on ne peut pas faire grand-chose ici, en plein milieu de la boutique ?
Je ferme et coupe les lumières, et je te fais visiter la remise. OK ?
Le mec est cool, direct, très sûr de lui
et briguer un Oscar ne se refuse pas dans une carrière de bitophile. Effectivement, léclairage de sécurité prend le relais, et je le suis. Nous passons derrière une gondole cachant une porte ouvrant sur une pièce borgne dune quinzaine de mètres carrés. Des cartons, des sacs dobjets, des piles de revues meublent presque entièrement lespace, mis à part un des coins occupé par une table faisant surtout office de bureau avec une chaise.
Sans réellement se justifier, il mexplique quil se prénomme Hervé, et quil bosse ici 4 après-midi par semaine y compris le dimanche, que cest purement alimentaire. Et quà 22 ans, les voix off venant des cabines, les godes en vitrine et toute la littérature porno sous ses yeux ont un impact évident sur « Oscar », et quil nest pas rare, une fois la boutique fermée, quil soit obligé de se branler ici même pour soulager les tensions.
Je maccroupis alors quil dégrafe son pantalon et baisse son caleçon pour me livrer son anatomie. Son sexe est vraiment très beau, mes mains sen saisissent et découvrent sa douceur, caressent ses bonnes bourses toutes lisses. Déjà un début dérection létire quelque peu, et la peau du prépuce se tend sous leffet dilatatoire. Une main rassemble et serre ses testicules, lautre à plat frottant tendrement sa très courte toison pubienne à ras sa hampe, mes lèvres se posent sur le bout de son gland, et ma pointe de langue lèche son méat. Dune contraction de sa verge sous la caresse, le prépuce se retranche derrière le gland, le révélant dun coup. Je le glisse à lintérieur de ma bouche et le savoure. Lisse, rond, gros, ma langue le lèche avec beaucoup de respect, découvrant son goût suave. Mais sa queue narrête pas de grossir, de sallonger, et lorsque mes lèvres partent explorer sa hampe, ma bouche fait un grand O majuscule. Elle est bonne, et je me fais vraiment plaisir à sucer ce beau morceau, me disant quil y a quelques instants, je jalousais ce jeune acteur de baiser avec ce mec bien monté. Là, cest bien moi qui me retrouve avec une belle barre en bouche, en face dun beau mec sympa.
Comme cest bon de se faire sucer ! Surtout quand tu passes tes journées à voir des films de cul ! lâche-t-il alors que ma bouche lavale au maximum en penchant la tête alternativement de gauche et de droite à chaque aller-retour. Mes doigts tiennent la base de sa queue bien tendue pour bien tenir son gros gland dégagé, je peux ainsi ladmirer, le parcourir de la langue, et lui gober les couilles.
Tas une grosse queue, elle mexcite vraiment.
Je le pompe vigoureusement, dévorant Oscar avec un appétit certain, mais Hervé me demande de ralentir, maffirmant quil jute plus lorsquon le suce longtemps.
Si tu aimes te faire prendre comme tu aimes sucer, on ne doit pas sennuyer avec toi ! pense-t-il tout haut.
Jaime bien me faire prendre, mais je préfère sucer
enfin, je prends beaucoup de plaisir à en donner, à faire jouir.
Il me demande si je veux bien lui montrer mes fesses, me disant quil est chaud comme la braise, et quil a besoin de mettre ses doigts quelque part. Je me lève alors et me déshabille, ne gardant que ma chemise ouverte. Il en profite pour enlever complètement son pantalon, sa grosse queue bien raide battant la mesure. Ma main vient le prendre en charge tandis que la sienne att ma fesse et la serre.
Tu as une belle queue aussi, dis-moi. Penche-toi un peu sur la table, que je découvre un peu ton cul.
Légèrement penché, je prends appui des deux mains, et Hervé écarte largement mes fesses pour me pénétrer
de son regard. Ses commentaires sont crus, excitants, et je moffre à sa vue en mécartant de mes mains. La sienne, de main, prend mes couilles et les caresse, alors quil mouille son doigt de salive et me lenfonce doucement. Voyant que je noffre aucune résistance, cest maintenant deux doigts qui me taraudent lanus en de lents va-et-vient vrillés.
Je suis trop excité, sinon, je te prendrais là, sur la table. Mais je vais jouir en deux minutes, ce serait dommage, ton cul mérite mieux ! Tu me fais bander comme un âne, suce-moi encore sil te plaît !
Je le fais sasseoir sur la table, sa grosse queue pointée vers moi, le gland violacé. Alors que ma main lenserre et que ma bouche laccueille avidement, ses doigts se posent sur ma tête, mimpliquant un rythme régulier et continu, un gros pompage.
Oui, comme ça, pas trop vite, tu vas voir, je vais bientôt juter, je ne tiendrai pas très longtemps.
Bien que très gros, son mandrin coulisse parfaitement entre mes lèvres, son bout distendu fonçant chaque fois jusquà lentrée de ma gorge. Il dirige ma bouche de ses mains pour me baiser jusquaux amygdales, fermement, certes, mais sans aucune brutalité.
Putain, ta bouche est trop bonne, tu me pompes comme un dieu, je vais te remplir de mon foutre !
Jaime ses mots. Ils sont dynamisants, et jouent un rôle important dans cette conquête du plaisir. Stéphane mavait « donné » des bases très saines, minitiant avec beaucoup de respect. Et depuis, je découvrais dautres méthodes, dautres comportements. Je malaxe ses belles couilles, et me concentre sur ma succion de manière à ne pas faillir. Je suis bien, concentré sur sa grosse queue, et espère quOscar ne va pas me décevoir, quil va bien marroser la glotte.
Jespère que tu avales et que tu aimes le foutre, parce que je vais me vider les couilles, vas-y, oui, tu me pompes bien, oui, je viens, ohhhhhhhh, bois, oui, bois mon foutre !
Son gland gonfle, sa hampe vibre, et son sperme chaud gicle dans ma bouche, diffusant instantanément son goût si particulier, mélange de salé et de soufré un peu métallique. Je me sers de son mouvement comme dun piston, déglutissant lorsquil recule pour pouvoir recevoir la dose suivante quand il se plante en moi. Puis on y retourne, copieusement, il me remplit de nouveau la gueule, et ses mains ne relâchent aucunement leur étreinte, comme pour me signifier quil en reste encore. Chaque aller-retour, lentement asséné, me livre un bon godet de semence, jusquau sixième coup de son bon gros boutoir.
Enfoncé au trois quarts, ses mains glissent sur ma nuque tout en me parlant dune voix plus essoufflée, mais posée, me remerciant de bien lui avoir vider ses couilles. Reprenant son souffle, il maffirme que ma bouche na été que du bonheur, et que si je le désire, il me remplira mon beau petit cul. Je le sens mollir lentement, ses bourses se font de nouveau plus pendantes dans ma main. Les quelques gouttes de semence restant dans son urètre me parviennent alors que je fais de petits mouvements tout doux, sa main dans mes cheveux.
Tu aimes ça, hein, la bite ? Tu as frappé à la bonne porte, jai plein de foutre pour toi, regarde mes couilles comme elles sont grosses, pleines. Bouffe-moi-les, suce-les, oui, bouffe-moi bien les couilles.
Je me dis au fond de moi :
Là, il vient de décharger ! Et il en veut encore ? Soit !
Docilement, je mexécute. Il a replié sa jambe et posé son pied sur le bureau, avancé son cul jusquau bord de la table, le buste en arrière afin de bien exposer son volumineux paquet. Il vient de jouir et malgré cela, il semble partant pour y retourner. Lorsquà peine il parlait de mon cul, je mimaginais
une autre fois !
Elles sont bonnes tes grosses burnes, ta queue est bonne, et tu mas bien joui dans la bouche, jadore ça. lui dis-je. Et tu te sens encore dattaque ? testais-je en le regardant dans les yeux.
Fais-moi rebander, et je te prends. Ce nest pas le gel qui va nous manquer, ici, ni les capotes.
Il veut mon cul, pourquoi refuser ? Ce nest pas une brute, sil me baise comme il a guidé ma tête pour le pomper, je devrais prendre mon pied avec une grosse bite comme ça. Avec gourmandise, et un certain défi, je moccupe de son sexe, le reprenant entre mes lèvres pour le sucer. Je ny vais pas par quatre chemins, et mactive volontiers en me masturbant un peu. Mon ventre à faim, et je ressens cette pression caractéristique, celle de mon sperme impatient de jaillir.
Contre toute attente, Oscar sallonge de nouveau et renfle tout dabord de la base, ses corps caverneux se gorgeant à chaque minute un peu plus.
Tu vois, il nest pas très compliqué ! commente-t-il. Il a besoin dattention, cest tout !
Et cela semble bien vrai, puisque le revoilà raide et agréablement menaçant.
Attends, jai ce quil faut.
Il se lève, emmenant sa grosse matraque jusquà un carton du stock, louvre, et en extrait un gros tube de gel avant de revenir vers moi, douvrir un tiroir et den sortir des condoms.
Toujours partant ? sourit-il en me proposant le gel.
Plus que jamais, mais encule-moi doucement.
Sans aucune réserve, pendant que je le tiens par la base de sa queue, il ajuste le latex sur son beau gland, puis, avec mes lèvres, je le déroule sur sa colonne de chair, tout en le suçant.
Les jambes assez écartées, je mallonge sur la table et offre ainsi ma croupe. Hervé se place de côté, dune main écarte mes fesses, et de lautre plaque le tube de gel directement contre ma rondelle, faisant pénétrer une grosse quantité de gel directement dans mon rectum.
Jaime quand ça glisse bien ! commente-t-il en se plaçant devant mon trou encore petit.
De son gros bout, il étale un peu de gel dans une douce caresse, décrivant de petits cercles, et donnant des petits coups de queue dans mon sillon, et rend ainsi lattente
intenable, me faisant me trémousser.
Enfin il se place à lentrée, retrousse ma chemise haut sur mon dos, pose ses mains sur mes côtes de part et dautre de mon buste en me disant dune voix extrêmement sensuelle quil va maintenant menculer et rechercher au fond de mon cul mon plaisir. Il maffirme que je peux gueuler si jen ai envie, hurler de plaisir, ça ne gênera personne, et quil ne sarrêtera que si jai mal, mais que sinon, il ne déculera que quand mon foutre aura giclé de ma queue. En prononçant ces mots, mon cul sest ouvert tout seul, et il na quà imprimer une légère pression pour commencer à me pénétrer sans aucune gêne.
Viens doucement en moi, fouille-moi, oui, je veux sentir tes grosses couilles contre les miennes.
Ses ongles, en partant de mes épaules, griffent délicatement de chaque côté de ma colonne vertébrale, descendant au même rythme que son mandrin me pénètre. Dautres auraient pris cinq minutes avec une queue de cette grosseur, mais lui a bien senti mon
potentiel. Lorsque ses bourses se collent aux miennes, ses mains sont arrivées haut sur mes hanches, le cul plein de son membre qui déforme mon rectum et repousse mes sphincters. La pression que sa queue impose à mon fondement est exquise. Comme toute sodomie partagée, dans mon cas, je ne ressens pas de douleur. Evidemment, un sexe de cette dimension ne passe pas inaperçu ! Mais lorsque je veux un homme, il trouve toujours sa place sans trop de problème, entre quelques secondes et quelques minutes selon son diamètre et sa longueur.
Ne bouge pas trop vite, que je te sente bien. Laisse-moi mhabi, tu es gros comme la queue dun âne.
Très doucement, alors que ses mains caressent le bas de mon dos, Oscar entame un va-et-vient mesuré, ne reculant que de 5 centimètres à peine. Jaime beaucoup partir du fond et ensuite revenir, plutôt que de rentrer peu dabord, et cest bien quil opère ainsi ce soir. Tout en me prenant, mon enculeur me parle, me demande de lui décrire mon ressenti, ce qui visiblement lexcite, puisquil recule déjà plus. Il est bien large, et frotte confortablement mon trou en poussant bien de son poids pour accen le phénomène.
Ton cul, putain, ton cul ! Quil est bon !
Nous sommes chauds tous les deux, et il me plante son dard en alternant les rythmes et la profondeur, me faisant le désirer lorsquil sattarde au bord, et gémir de plaisir en senfonçant. Il aime baiser, et sait faire ce quil faut avec sa bite, sentant exactement quelles sont mes attentes, et surtout en y répondant avec efficacité.
Je vais te baiser jusquà ce que tu boites, dans toutes les positions, ton cul le mérite. Tu laimes, ma grosse queue ? Tu aimes la sentir?.
Bien sûr que je laime beaucoup, sa queue. Et surtout comme il la manie ! Il explore mes reins sans retenue, avec une précision chirurgicale, montant en cadence et en amplitude. Rapidement, il me la met sur la longueur, marrachant des gémissements lorsquil revient me faire claquer ses burnes contre moi. Epaisse, longue, lhomme déforme mon rectum avec tact et détermination me donnant un plaisir intense, une sensation de satiété.
Viens, mets-toi à genoux par terre, tu vas aimer. demande t-il en se retirant, voulant varier les postures.
Je me place à quatre pattes, mais il me demande de poser ma tête au sol et de me cambrer davantage, puis remet plein de gel dans mon trou béant. Le contraste du liquide froid avec la chaleur de son membre est terrible, mais il ne me laisse pas le temps dy réfléchir, cest debout au-dessus de mon cul quil me pénètre en fléchissant ses genoux. Cest la première fois que je vis un tel moment, une telle sensation. Son gland en senfonçant, comprime le gel qui en partie senfonce dans mes intestins, mais aussi ressort lorsque je pousse, dans un agréable bruit de baise. Il mencule bien droit, et jai limpression quil va ressortir par ma bouche.
Oui, vas-y, baise-moi, prends-moi fort, tu vas me faire jouir comme ça.
Je vis un film de cul sans caméra. Ce nest pas de lamour, cest du sexe, il mencule, du gel coule de partout, son gourdin me fait vibrer, et jaime cela, jen redemande.
La pression monte, mais jen veux encore. Ses couilles qui tombent sur mon scrotum et baignent dans le gel
jai limpression quil ma toujours enculé, quil connaît mon corps depuis des années, tant je frissonne, tant jen tremble. Mais il veut maintenant mentreprendre couché sur la table, et my installe sur le dos, prenant une jambe à léquerre contre son buste, lautre pendante. Lorsquil me pénètre de nouveau, son gland se place sur ma prostate, et une douce sensation se répand dans tout mon bas-ventre.
Je vais te faire jouir ce coup-ci, si tu veux. me dit-il.
Et alors quil promène sa grosse queue très très lentement dans mon ventre, il branle ma queue dégoulinante de gel avec fermeté.
Oh oui, cest bon ta queue là, doucement dans mon cul. Tu mencules bien, je vais jouir. Oui, continue à me mettre doucement, comme ça, oui.
Cette fois, cest moi qui le guide vers ma jouissance, lui indiquant ce dont jai besoin. Il se sert de sa hampe et de son gland comme un violoniste de son archet, memmenant à chaque pénétration un peu plus dans les nuages. Chaque coup de queue me transporte, et soudain, mon corps se tend dun coup comme un arc, tétanisé. Sa main ne bouge plus, tenant mon gland bien décalotté, le frein tendu à rompre, et seul alors son vit, qui me semble soudain disproportionné, hypertrophié, bouge par petits coups de rein successifs dans mes entrailles. Mon cur bat à rompre, ma gorge émet un grognement tandis que de violentes ondes de plaisir partent de mes fesses et de mon ventre pour se propager au travers de ma hampe jusque sur la peau de mon buste et de mon ventre lorsque de longues giclées de sperme sy étalent. Je jouis avec une intensité inimaginable sous les petits coups de queue de mon amants, me vidant de toute ma substance, comme si sa verge et mon cul ne faisaient quun tout, soudés dans cette splendide étreinte. Oscar et Hervé me font vivre mon premier vrai orgasme anal, une véritable hémorragie séminale, je ne savais pas contenir autant de sperme.
Immobile, impassible, son sexe tel une massue plantée en moi, il attend mon retour dans un parfait silence. Mon sphincter se relâche doucement, et lui permet alors de sortir sans me blesser. Délicatement, ma jambe, jusque-là contre son torse, est déposée, et cest en entendant quil retire son préservatif que je rouvre les yeux. Sa splendide queue est là à quelques centimètres de mon visage, raide, gonflée, le méat perlant.
Regarde comme tu me fais bander ! Tu le veux, ou je tasperge avec ?
La tête sur le côté, de la main je lui prends la queue et la glisse entre mes lèvres pour recevoir sa bonne crème chaude. Ma main et ma bouche, associées dans cet acte, ont raison de son plaisir en quelques grands mouvements, et mon donneur dorgasmes sépanche alors généreusement dans ma bouche avide de son jus de couille.
Repu de sexe, je reste un long moment vautré sur cette table, Oscar débandant calmement entre mes lèvres, sans pouvoir envisager le moindre mouvement. Mon ventre est détendu, mon petit cul semble en bon état, et mes papilles gustatives finissent de repaître mon cerveau du délicieux goût quelles ressentent.
Cest Hervé qui le premier rompt le silence :
Tu as bien mérité la Palme dOr. Désolé, je nai que du foutre à toffrir !
Lorsque je massieds au bord de la table, mon sperme dégouline de ma poitrine, et mon fondement glisse sur lincroyable quantité de gel étalé entre mes fesses. Hervé sort un rouleau de papier destiné au ménage, et accroupi, je fais alors un terrible essuyage intime, mon cul béant libérant une bonne partie du liquide.
Wouahhh, tu mas calibré, avec ta grosse queue. Je ne suis plus étanche !
Nus, moi sur la table, et lui sur la chaise, sa très belle bite reposant sur ses lourds testicules, nous fumons une cigarette en échangeant quelques propos. Universitaire, il loge dans une chambre en ville, et ne peux pas recevoir. Il a quelques copines, étudiantes également, mais nentretient rien de régulier, privilégiant ses études à une vie de couple quil juge trop contraignante, ne serait-ce que par rapport au sexe, et à ses gros besoins. Une femme, ça ne fait pas « tout », et de temps en temps, un mec qui na pas froid au yeux
Je lui parle alors de ce que je vis depuis quelques semaines avec Danièle, de mon étonnement face à sa réaction positive en lui avouant ma bisexualité, de nos ébats sulfureux. Lui me confit alors avoir toujours gardé cela pour lui, et que sil devait véritablement tomber amoureux dune femme et parler davenir avec elle, il lui parlerait également de ses
pulsions, par franchise. Mais en attendant, il aimerait bien me revoir dans de meilleurs conditions. Je lui propose naturellement de le recevoir chez moi la prochaine fois, sil est daccord.
Jeudi soir, après la fermeture, je veux bien. Ca me laisse le temps de recharger mes accus, et toi de ten remettre ! Appelle-moi ici pour me le confirmer.
Il est 20h45, et en suis étonné, jai limpression davoir baisé toute la nuit tant ce fut bon. Je pense alors de nouveau à Danièle, son train arrivant vers les 22h00 me laisse largement le temps de rentrer. Elle ne mappellera pas avant 23h00. Pour cette première soirée sans elle, je vais avoir beaucoup de choses à lui raconter. Je ne vais rien lui cacher.
ooOOOoo
Tu nas pas froid aux yeux, hein ! sexclame Franck. En tout cas, pour être si jeune, tu assures un max.
Cest clair ! rétorque notre chauffeur. Lessayer, cest lapprouver. Bon, à parler de cul, on va devoir sarrêter dans un coin avant darriver, non ?
Ou arriver au plus vite pour mieux se lâcher ! répond Franck. Cest selon.
20 minutes, vous tiendrez ? dis-je. Une fois là-bas, tous à poils, et je moccupe de vous, les garçons. Ça vous convient ?
Et comment ?
Tout au bout dun chemin sinueux à flanc de montagne, nous arrivons dans un véritable Eden. Une prairie dherbe tendre dune centaine de mètres de diamètres sy cache, entourée de sapins et de feuillus. Dès le moteur coupé, le gargouillis de leau nous parvient. Je leur fait découvrir le petit torrent de montagne, avec quelques trous deau dune rare limpidité, véritables jacuzi naturels.
Ils reconnaissent que lidée de balade est excellente, et quun peu de calme fait toujours le plus grand bien.
Rassurez-moi, les mecs. fis-je en prenant un air grave. Vous allez me sauter, tout de même.
Pince sans rire, Franck réagit au quart de tour :
On va commencer par ça dailleurs. Quen penses-tu Patrick ? On le fout à poils ?
Ouf, jai eu peur. Jai le droit à la dernière cigarette du condamné
Tout en tirant quelques tafes sur cette maudite cigarette, je les regarde sortir du coffre les affaires, jeter la couverture sur lherbe. Je savoure ma chance. Quils sont beaux mes deux mecs à la lumière du jour. Je suis sous le charme.
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