Après Midi De Débauche 4, Jenny
Jenny,
Elle venait de fauter avec Moussa. Lorsqu'elle est arrivée chez elle, elle n'en parla pas à sa mère pour expliquer son retard, mais cette dernière savait le pourquoi. Elle voyait sa fille, perdue dans ses pensées. Peut être prenait elle conscience qu'elle venait de donner un coup de canif dans son engagement marital, que cela ne s'arrêterait pas là, elle était contrariée. En aurait il été de même si elle n'avait pas bu ce thé ? Peut être était elle certaine qu'il ne pouvait en être autrement. Cela faisait plusieurs semaines qu'il la harcelait et son corps, certains soir, seule dans son lit la poussait à tenter la chose, se donner à un autre homme. C'est aussi pour cela qu'elle accepta cette invitation ?
Ma compagne en rentrant tardivement, elle même contrariée parce qu'il venait de se passer avec sa fille, cru bon de m'en parler, je ne pouvais espérer mieux pour à mon tour contraindre ma belle fille, au demeurant si prude bien que j'ai toujours eu quelques soupçons sur ses virées nocturnes et de certains week-end avec les copines ! Peut-être est elle plus catin que sa mère ?
J'allais vite le savoir, sa débauche avait eu lieu Jeudi après midi et ce Dimanche elle était censée passer avec son mari et les s.
J'imaginais un tas de scénario pouvant se présenter à moi lors de sa venue.
Finalement, le samedi je me décidai à téléphoner à ce Moussa, puisque depuis plusieurs mois il était l'amant occasionnel de ma compagne, que nous nous connaissions sans même nous être rencontrés.
Il fut surpris de mon appel, je le rassurai rapidement et lui fit part du pourquoi je lui téléphonais.
D'emblée je lui dis que cela devait rester entre nous, que j'entendais comme lui profiter des atouts de ma belle fille mais que ma compagne ne devait absolument rien savoir. Il accepta le deal, d'autant que je lui proposais de le mettre éventuellement en relation avec une autre belle fille.
Ma première question fut de lui demander si il avait revu Jenny, ce qu'il me confirma en me disant : j'y suis passé hier après midi.
Tu peux m'en dire plus ?
Je sais que son mari rentrait le soir même et je ne voulais pas attendre la semaine prochaine pour la revoir, cela lui aurait donné le temps de trop réfléchir et éventuellement de se confesser à son homme. Je connais bien ce type de femme qui sait se faire pardonner.
Et alors !
Je l'avais informé de mon passage, elle a voulu me faire croire que ce n'était pas possible, je ne l'ai pas écouté et me suis présenté chez elle en début d'après midi. Je l'ai vu arriver avec une autre jeune femme au retour d' avoir déposé les s à l'école, je savais que nous avions deux heures pour nous. Par ailleurs, devant son amie il lui était difficile de m'évincer, elle n'avait pas d'autre choix que de me laisser entrer, inventant un motif futile.
Après, je te laisse imaginer ce que nous avons fait.....
J'en savais bien plus qu'il ne m'en fallait, l'attente jusqu'au Dimanche fut longue.
Contrairement à ce qui était prévu, j'ai proposé à ma compagne de les inviter à venir manger, que le temps serait beau et que nous pourrions sans doute se mettre au jardin dans l'après midi.
Elle accepta sans trop d'enthousiasme.
Dimanche midi,
Ils arrivent tous les quatre, Jenny porte une robe beige, elle est très en beauté, à priori rien ne laisse à penser que depuis Jeudi sa vie de femme a changé, où du moins si ! elle rayonne. Que ce Vendredi avant que son homme ne rentre de ses longs déplacements dans le monde, elle a couché une nouvelle fois avec Moussa, chez elle et qui plus dans le lit conjugal. Depuis l'aveu de celui-ci je n'ai de cesse de l'imaginer, nue sous cet homme, criant son plaisir et jouissant sous les assauts de son membre dans cette chatte que je ne vais pas tarder à explorer également.
Pense t elle à lui en ce moment ? Y a t elle songé quand son mari la nuit en rentrant s'est couché à ses cotés et qu'il l'a sans doute caressé avant de la prendre dans la pénombre de leur chambre.
Le repas fut très jovial, dans la discussion je parlais du Jeudi, que sa mère était passée chercher les s à l'école. Je la vis presque défaillir, cherchant une explication à son retard, vite secourue par sa mère complice...et pour cause !
Son mari s'en étonna, manifestement elle n'en avait pas parlé. Je coupais court à cet échange et proposais que nous prenions le café à l'extérieur.
A un moment, les s ont voulu prendre des jouets dans l'atelier qui se trouve à l'arrière de la maison, Jenny leur dit : attendez moi je viens avec vous.
Je sautais sur l'occasion si je peux l'exprimer ainsi en disant : je t'accompagne, la porte est difficile à ouvrir.
Nous nous sommes retrouvés dans ce local, les s partirent rapidement avec des ballons. L'occasion était trop bonne, Jenny s'apprêtait à sortir lorsque je l'ai attrapé et me suis collé dans son dos.
Qu'est ce qui te prends me dit elle ! surprise,
Il me prends que j'ai envie de caresser ta chatte et joignant le geste à la parole, je plaquais ma main sur le devant de son ventre. Je sentais le renflement de son sexe au travers du tissus.
Arrête, tu es fou !
Pas plus que Moussa.....ma belle,
Tu ne souhaites pas que P.H (son mari) apprenne comment sa femme occupe ses journées !
Elle se tétanisa, tu vois tu comprends mieux lui dis je.
Ma main comprima plus fortement son pubis et sa résistance faiblit.
J'en profitais pour retrousser sa robe sur son ventre. Aussitôt je glissais ma main sous l'élastique du collant et de la culotte, en même temps je lui demandais d'écarter ses jambes pour me faciliter le passage. Je pouvais sentir les poils de sa chatte, je descendais encore plus bas et mes doigts purent glisser le long de son antre juteux, mon fantasme le plus fou prenait forme.
De mon index, je réussis à séparer les deux lèvres vaginale et pénétrer pour une première fois son nid d'amour.
Tu es fou redit elle, ils peuvent arriver à tout moment !
Je m'en fous lui ai je répondu tout en baissant collant et culotte.
Pendant qu'elle surveillait l'angle de la maison, je l'a fit se courber un peu, je pus rapidement positionner ma queue contre sa chatte, comme s'était bon de sentir son intimité, j'ai cherché l'ouverture et trouvant l'angle idéal au vue de la situation et mon sexe perfora son vagin. Elle poussa un léger soupir,
tu vois rien n'est impossible et ce n'est qu'un début entre nous, j'ai hâte d'être dans un lit avec toi, nue et complice.
je m'activais en elle et en quelques allers retours dans son ventre, j'expulsais mon foutre au fond de son utérus, je restais en elle quelques secondes puis me retirais tout en remontant ses sous vêtements rapidement afin que mon jus souille sa culotte et que le restant de l'après midi elle en soit gênée.
je n'avais pas joui à vraiment dire, j'étais surtout heureux de l'avoir possédée !
Je lui ai dit : la prochaine fois nous prendrons notre temps, elle ne répondit pas et rejoint s, mari et sa mère. J'ai attendu un court instant et en fit tout autant.
Elle se tenait près de son homme. Je proposais que nous fassions une petite ballade à pieds mais personne ne donna suite. Elle fuyait mon regard.
Un peu plus tard, au moment de partir son mari reprenant un avion le soir même, j'ai réussi à l'isoler dans un coin. Elle essaya de se soustraire mais n'étant pas de force à me repousser, j'ai glissé ma main sous sa robe, remontant jusqu'a son entre jambe, elle était toute humide de mon sperme. J'en profitais pour l'embrasser tout en caressant son sexe. Avant de la libérer je lui dis : Je sais qu'il vient te voir demain, ne te fatigue pas trop, moi je viendrai Mardi, tu t' habilleras comme aujourd'hui sauf que tu troqueras tes collants pour des bas.
Maintenant je sais que lorsque sa mère ira chez Moussa, j'en profiterai pour r de Jenny.
Par ailleurs, je dois également trouver un plan pour mettre en relation Moussa et une autre de mes belle filles.
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