Le Pari

Ce dimanche Pierre mon mari n'est pas là et en compagnie de mon amie Martine, dont la mari est également en déplacement et ne revient que le weekend prochain, nous nous rendons à une fête qui a lieu sur la place de la ville.

Installées à une table à la buvette nous prenons un rafraîchissement quand notre regard est attiré par un homme assis seul un peu plus loin qui nous observe souvent.
C'est un beau gars brun, ses muscles se dessinent à travers son polo qui épouse son torse.
Il nous mate et nous nous posons une question: à savoir qui de de nous deux l'intérêsse.
Excitées par la situation chacune pense que c'est elle qui est visée et nous engageons les paris avec en jeu un repas au restaurant.

Il vient vers nous, nous quittons la fête en nous assurant qu'il ne rebrousse pas son chemin et nous nous séparons prenant chacune un itinéraire différent, en marchant lentement, pour voir qui il va suivre et promettant de nous retrouver un peu plus tard dans une rue voisine.
Je suis vite fixée, rapidement c'est moi qu'il suit et ratt. Il m'aborde et nous commençons à parler, il s'appelle Fabrice.
<<pourquoi moi et pas mon amie>>.
Pas de réponse claire de sa part.
<<mon air de salope peut être, tu peux le dire j'ai l'habitude>>. Il sourit sans répondre.
Il finit par me dire que c'est moi qu'il a choisie mais qu'il n'est pas contre une relation avec les deux car il trouve ma copine très mignonne.
<<est tu capable de nous satisfaire toutes les deux>>.
<<oui, sans aucun doute, à vous de juger sur pièce>>.
Je lui demande de venir avec moi et nous rejoignons Martine.

<<bien joué Laure c'est toi qui as gagné le repas>>.
<<ça on verra ultérieurement, je te présente Fabrice, il veut nous sauter tous les deux>>.
<<je suis partante s'il se sent à la hauteur>>.
<<soyez sans crainte vous ne serez pas déçues>>.

Nous le suivont jusqu'à sa voiture. Je monte à l'avant et mon amie à l'arrière.
Il démarre, pendant que nous roulons il se montre charmant.
Il se gare devant un hôtel ou on accède aux chambres de l'extérieur. Nous entrons dans une chambre dont il a la clé car il y réside pour plusieurs jours.

Nous prenant par la taille Fabrice nous embrasse tour à tour, nos lèvres se joignent et nos langues se mêlent. Il caresse nos corps partout sans se fixer à un endroit.
Je lui demande de s'asseoir et de ne pas bouger.
Je déshabille lentement Martine qui est surprise par ce que je fais. Une fois nue je la fais tourner sur elle-même pour qu'il puisse admirer son corps.
Je demande à mon amie de me dévêtir, ce qu'elle fait un peu intimidée.
Fabrice est ravi à la vue de nos corps.
<<vous êtes belles toutes les deux>>.

Nous approchons de notre partenaire qui se lève, nous le mettons nu tout en l'embrassant sur la bouche puis sur le corps en descendant vers son sexe.
Nous dévoilons un beau corps d'athlète.Nous admirons son corps musclé et sa belle queue aux bonnes dimensions qui est fièrement dressée.

Il se rassoit au bord du lit et à genoux sur le sol nous caressons et lèchons son ventre, ses cuisses puis son sexe. Pendant ce temps il caresse nos cheveux, nos joues et ce qu'il peut de nos corps.
Je lui fais une fellation puis je laisse la place à Martine. Nous nous remplaçons plusieurs fois et évitons de le faire éjaculer.
Toujours au bord du lit il s'allonge. Je me mets à genoux à côté de lui, je l'embrasse et nos langues se mêlent ensuite je caresse, embrasse et lèche son corps. Mon amie continue à sucer sa queue. Il caresse mes seins, triture les tétons. Une de ses mains descend sur mon sexe et le caresse, il doigte ma chatte puis masturbe mon clitoris me faisant mouiller.
La fellation de Martine porte ses fruits car je sens que son corps se raidit et avec une main rapidement j'appuie sur la tête de Martine pendant qu'il éjacule dans sa bouche, elle cherche à se retirer mais je maintiens la pression et je lui dis:
<<avales ma belle, tu verras c'est bon>>.
Ne pouvant faire autrement elle s'exécute (d'habitude elle recrache le liquide) puis quand elle se relève elle me traite de salope ce qui me fais rire.

Je me mets à genoux sur le sol et j'embrasse et lèche son pénis puis le prends dans ma bouche.
Pendant ce temps mon amie embrasse notre amant puis s'occupe de son corps avec ses mains et sa bouche. Fabrice s'occupe de ses seins puis doigte son sexe et masturbe son clitoris. Elle frissonne et commence à gémir.
Pendant ce temps je lui fais une fellation appliquée avec des aller-retour rapides de ma bouche sur sa verge que j'engloutis en entier, les mouvements de son corps me disent qu'il apprécie.
Il met beaucoup plus de temps à venir.
Il masturbe énergiquement le clitoris de ma complice qui gémit de plus en plus fort, au bout d'un moment son corps s'agite et en râlant elle atteint l'orgasme pendant que de la cyprine coule de sa chatte et tâche les draps.
Peu de temps après le corps de Fabrice se tend, sa queue enfle et tremble dans ma bouche qu'elle inonde de sperme que j'avale. Je continue à sucer pour qu'il continue à bander.

Son pénis est toujours raide, il a du tempérament le bougre.
Nous les femelles en rut nous mettons à genoux sur le lit la tête sur l'oreiller, notre amant se positionne derrière moi et d'une poussée enfonce sa verge dans ma chatte, elle vient buter au fond de mon vagin. Il remue pendant que je triture ses testicules qui viennent taper contre mes fesses. Très excitée je mouille et les clapotis accompagnent les déplacement de sa queue dans mon ventre.
En même temps avec une main il doigte la chatte de mon amie puis masturbe violemment son clitoris, elle ne cesse de gémir.
Au bout d'un moment Fabrice se déplace et sa queue pénètre l'intimité de Martine qui est dans la même position que moi, il commence à la défoncer à grands coups de reins.
<<Tu peux la sodomiser, elle aime ça>>.
<<Laure tu es une salope, toi tu réserves ton cul pour ton mari mais tu disposes du mien à ta guise>>.
<<dis nous que j'ai tort, que tu n'aimes pas ça et que tu ne veux pas>>.
<<si et tu le sais il peut m'enculer s'il le souhaite puique tu décides de ce que je dois faire>>.
<<Fabrice tu vois que j'ai raison et si tu veux utiliser son cul ne te prives pas>>.
<<vous êtes deux sacrées salopes toutes les deux, Laure je vois que c'est toi la meneuse et que Martine obéit quand tu dis quelque chose alors je vais faire comme tu l'a dis>>.
Sa verge gluante quitte l'intimité de Martine et vient se placer contre son anus, il exerce une poussée et inéxorablement je vois la queue s'enfoncer dans son cul pendant qu'elle râle.
Il commence à bouger doucement en elle.
Je caresse les joues de mon amie puis je passe ma main sur son sexe et je constate qu'elle mouille beaucoup.
<<tu aimes ça! hein! petite salope>>.
<<oui! oui! que c'est bon! plus vite>>.
Fabrice se met à la défoncer à grands coups de reins et s'occupe en même temps de son clitoris.
Elle râle de plus en plus fort. Rapidement elle jouit et il doit la maintenir en position en passant un bras sous son corps. Il continue son travail de sape et elle atteint encore une fois l'orgasme avant qu'il n'éjacule dans son cul. Il se retire et elle tombe sur le lit.
Fabrice bande toujours et me pénètre toujours en levrette, il donne de grands coups de reins. Une main martyrise un téton et l'autre mon clitoris.
Très excitée je mouille beaucoup. Ses bourses cognent contre mes fesses. Au bout d'un moment le plaisir dans mon ventre devient intolérable, prise de spasmes j'atteins l'orgasme et des jets de cyprine sortent de mon vagin.
Notre amant continue à défoncer ma chatte et je suis au bord de la jouissance quand il se libère en moi. Il se retire et s'allonge sur le lit pendant que j'entreprends de me masturber. Je jouis rapidement sous son regard amusé.

Après un temps de répit je masturbe vigoureusement la queue ramollie jusqu'à ce qu'elle daigne donner signe de vie. Ensuite je la lèche en insistant sur le gland avant de la prendre dans ma bouche et de lui faire une fellation énergique. Un gôut de sperme et de mouillure envahit ma bouche. Il rebande.
Je me couche sur le dos et il me pénètre allongé sur moi, sa queue cogne au fond de mon vagin. Nous remuons ensemble pendant qu'il m'embrasse et joue avec ma poitrine.
Sentant le plaisir monter en moi je demande à Martine qui nous observe de se coucher à côté de moi.
Prise de spasmes je jouis et ensuite Fabrice se retire et s'allonge sur mon amie.
Les gémissements reprennent pendant qu'il pilonne son vagin. Au bout d'un moment il replie et relève les jambes de sa partenaire et les maintient au niveau de sa poitrine, il quitte sa chatte et introduit son pénis dans son anus qu'il défonce sans ménagement.
Il passe alternativement dans ses deux orifices. Elle jouis deux fois avant qu'il ne vienne se soulager dans mon intimité après y avoir fait quelques aller-retour.

Nouveau temps d'arrêt puis Martine masturbe longtemps sa queue avant de commencer une fellation quand il rebande.
Au bout d'un moment je la repousse. Je me mets à genoux au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps et je m'empale sur sa verge, je remue en donnant des grands coups de reins pendant qu'il martyrise mon clitoris et caresse mes seins.
Mon plaisir ne faiblit pas et au bout d'un moment mon corps se tend, les spasmes arrivent et je jouis arrosant son ventre avec la mouillure qui coule de mon vagin.
Je me couche sur le lit et Martine prend ma place en adoptant la même position qu'elle ne tient pas très longtemps, surtout qu'il masturbe énergiquement son clitoris, elle jouit bruyamment et s'écroule sur notre amant.
Fabrice prend les choses en main. Nous sommes couchées sur le dos et il nous pénètre et défonce passant de l'une à l'autre et pour Martine préférant souvent son cul.
Quand il est sur moi je remue en même temps que lui jusqu'à ce que je jouisse ce qui m'arrive deux fois. Pour mon amie les orgasmes sont plus fréquents et elle commence à être dans un état second.
Il arrive le moment ou il est au bord de l'éjaculation.
<<c'est pour qui mon sperme>>.
<<soulages toi dans la bouche de Martine elle a besoin d' un remontant>>.
<<salope, tu décides de tout à ma place>>.
Il se met au dessus de la tête de Martine, introduit sa queue dans sa bouche et y fait quelques aller-retour avant que son membre ne tressaute et envoie une quantité minime de sperme dans sa gorge.

Allongés sur le lit nous récupérons tous les trois avant de passer tour à tour à la douche pour nous laver.
Une fois rhabillés Fabrice très satisfait des "deux salopes" nous emmène dîner dans une cafétéria proche pour nous remercier du bon moment passé ensemble. Apéritif et vin sont du repas.
Il nous ramène en ville.
Il m'embrasse, nos langues se mêlent dans un long baiser puis il en fait autant avec Martine puis il nous quitte après nous avoir remerciées pour le plaisir qu'on lui a procuré en espérant nous revoir s'il revient dans le coin.
Nous traversont la ville à pieds pour regagner la maison de Martine car elle m'a invitée à y passer la nuit.
En route elle se lache:
<<j'ai bien aimé quand tu as caressé mon sexe, tu as les mains douces>>.
<<en général je ne fais pas ça mais la ça m'excitait tellement de te voir jouir que je n'ai pas pu résister, si tu aimes te faire caresser par une femme il faudra que tu essaie une fois>>.
<<je vais y réfléchir. J'ai été surprise quand tu lui as dit de m'enculer>>.
<<tu m'en veux, j'y suis peut être allée un peu fort>>.
<<non, c'était bien et ça m'a plu, sans toi il n'aurait certainement pas osé et cela aurait été dommage>>.
<<tu vois si tu veux tu peux être une belle salope, en plus maintenant tu ne recraches plus le sperme>>.
<<je ne croyais pas que ça avait bon gôut et je pensais que c'était sale de faire ça, grace a toi je me suis améliorée sur bien des points>>.
Arrivées chez elle nous buvons un verre en discutant puis nous nous couchons et nous endormons rapidement.