Une Nouvelle Patronne
Jai juste 30 ans, une femme assez grande de taille, et plutôt menue. Après plusieurs déceptions, je vie seul. Jusquà présent, je travaillais en intérim dans différents domaines. Jai épluché les petites annonces et jai trouvé celle qui peut-être devait vraiment changer ma vie.
Jarrive à la porte dun château, je sonne et attends quelques instants que lon vienne mouvrir. Cest une femme qui me salue, et sachant pour quelle raison je suis ici mentraîne vers une demeure quon devine appartenir à une famille riche.
Je suis dans un grand salon à lintérieur du château. Jattends depuis quelques minutes quand une femme qui parait avoir la cinquantaine entre dans la pièce, se place en face de moi, et me dit :
- Bonjour, mademoiselle. Alors comme ça, vous voulez travailler dans notre demeure ?
- Bonjour madame ! Oui, jai vu que vous cherchiez quelquun pour la cuisine, ainsi que pour les travaux ménagers.
- Jai lu avec attention votre lettre de motivation. Bien, cest bien la personne que je recherche. Je peux vous prendre à lessai dès aujourdhui si vous voulez.
- Oui ! Cest formidable ! Cela mirait très bien, je vous remercie vraiment !
- Alors sachez quici tout le monde me nomme Madame ! Je vais vous présenter aux autres personnes qui travaillent au château.
La première journée passa à savoir qui fait quoi pour entrer en contact avec tous les employés du château, qui me paraissait tous très sympathiques. Au bout de trois mois, je métais totalement intégré à léquipe.
Mais quelque chose me surprenait, on mavait précisé que laile droite du château métait interdite. Seule une aide-ménagère était autorisée à sy rendre et bénéficiait dune chambre dans cette aile alors que nous autres étions cantonnés dans laile gauche. Cela me rappeler un peu lhistoire de barbe bleue.
Les jours passèrent lorsque un soir, une très grosse averse de grêle endommagea la toiture sous laquelle je dormais et de ce fait, ma chambre était indisponible.
Madame mautorisa à dormir dans la chambre de laide-ménagère absente pour deux semaines, chambre, qui était voisine de celle où elle même passait ses nuits. Et de plus, moi dormant ici, elle me demanda de moccuper de lentretien de sa chambre, ce qui me plut vraiment. Jallais pouvoir découvrir cet antre qui mavait toujours été invisible depuis mon arrivée.
Dans la chambre de laide-ménagère je remarque un tableau un peu de travers, maniaque, je le décroche pour le remettre droit, un papier tombe à mes pieds, et je remarque derrière le tableau un petit trou au mur donnant dans la chambre de madame. Avant de remettre le tableau en place je vois le papier à mes pieds avec écrit des lettres et des chiffres « A43B48 » Je replace vite ce papier derrière le tableau après lavoir remis bien droit.
Une chose très vite minterpella ! A lintérieur de la chambre de Madame, il y avait une autre porte fermée avec un digicode, dont bien sûr je navais pas la combinaison. Curieuse de nature, je me demandais comment percer ce mystère. Que pouvait-il y avoir de si important derrière cette entrée surprotégée ? Soudain je pense à ce papier tomber du tableau « A43B48 » ! Et si cétait le code pour entrer ? Il fallait faire vite car je nétais dans cette chambre que pour deux semaines.
Le premier soir, la patronne était partie en visite alors je dus prendre mon mal en patiences, ce fut le second soir qui changea toute mon existence. Comme je regardais par le trou derrière le tableau lumière éteinte pour ne pas me faire repérer, je vis soudain Madame sapprocher de son lit mais au lieu de sy coucher, elle se dénuda, posa sa robe de chambre et se retrouva en tenue dEve. Je restais bouche bée devant ce spectacle qui ne sarrêta pas là.
Je vis madame commencer à se triturer le bout des seins comme si elle voulait en faire sortir du lait. Ses doigts sagitaient avec force sur ses globes terminés par des tétons très pointus, elle commença à soupirer mais sarrêta rapidement.
Devant cette séance de pelotage, mon entrejambe mappelait moi-même au plaisir. Je sentais mon vagin mouiller et bien que pourtant je naie jamais été attiré par les femmes, je me sentais mévader vers de sommets de jouissance.
Je descendais ma main sous ma culotte et entamai une savante masturbation, sans comprendre ! Pourquoi avais-je envie de doigter ma nénette moi qui avais une vie sexuelle tout à fait semblable à celle de millions dautres femme ? Je ne pouvais répondre alors que mon corps se cambrait sous les caresses, dus aux titillements clitoridiens que je mimposais.
Mais alors que je me branlais comme une catin, je vis soudain madame se rendre toujours nue vers le digicode et appuyer sur six touches. La porte souvrit, madame y entra et elle se referma soudain. Une heure passa quand jentendis cette dernière souvrir enfin.
Madame en sortit à poil mais quelque chose avait changé, elle avait sur son visage et sur ses seins, une sorte de crème blanche et cela en grande quantité. Je ne comprenais pas ce que cela pouvait être lorsquune idée perverse me traversa lesprit, et si cétait du sperme ? Je rigolais, il devait sagir de savon mais alors comment expliquer que madame se soit lavée derrière cette porte puisque peu de temps avant, elle sortait de sa salle de bains ?
Je continuais à la regarder, elle se rendit vers son lit et laissant traîner ses doigts sur son torse nu, elle les mit un par un dans sa bouche dans des bruits de succions très indiscrets mais quelle devait penser sourds à mes oreilles. Son autre main lui servait à se caresser le minou, lentement, sensuellement.
Et moi, je me disais : - « demain soir, elle sera absente. Je tenterais de rentrer dans sa chambre, je ferais le code six chiffre cest peut être les numéros derrière le tableau « A43B48 » ?
Je me réveillais le matin vers 7 heures, encore émoustillée autant quintriguée par ce que javais vu hier soir. Comment expliquer que ma patronne après être passée nue derrière cette porte en soit ressorti maculée dune crème blanche qui laisse penser des choses coquines sur son occupation dans ce lieu secret, du moins censé lêtre car javais le projet daller voir lenvers du décor !
La journée passait lentement, je savais que ma patronne nétait pas là ce soir.
Je passais la porte de la chambre de Madame et dans un silence pesant dangoisse et dexcitation, je mapprochais de la porte pour taper le numéro sur le papier ! A43B48 ? Était-ce le bon ? Je me posais la question quand le verrou sauta Euréka ! Alors je franchissais rapidement le seuil de la pièce qui salluma à mon passage. Ce que je vis me figea sur place !
Il y avait trois hommes, attachés, entièrement nus avec des casques sur les oreilles et des masques sur les yeux, ils ne mavaient même pas entendu entrer, sans doute que le casque devait diffuser un son assez fort. Je pouvais voir leurs queues molles qui étaient maintenu par un bras artificiel fixé sur une machine assez imposante !
A quoi ce matériel pouvait-il bien servir ? Je me posais la question, alors que je sentais mon sexe shumidifier peu à peu. Jessayais de ne pas y prêter attention, toujours plongé dans ma réflexion. Mais soudain, je vis apparaître un rai de lumière sous la porte que javais refermé. Mon dieu ! La patronne était déjà de retour.
Je cherchais très vite linterrupteur pour éteindre la lumière, et plongea la salle dans la nuit. La panique me gagna et ce encore plus quand je vis lombre de ses pieds devant lentrée. Je décidai de me cacher au fond de la pièce derrière un siège. De ma position, je pouvais voir ce qui se passait.
Ma patronne, entièrement nue comme hier. Je pouvais voir ses formes généreuses et sa belle chatte. Je me remis à mouiller. Madame, pendant ce temps-là, sétait approchée dun pupitre que je navais pas vu en rentrant. Je la vis appuyer sur des boutons, sans que je ne comprenne pourquoi, je maperçus que les hommes se trémoussaient et que leurs quéquettes grossissaient. Cela dura quelques minutes à lissue desquelles la patronne appuya sur un nouveau bouton qui fit bouger les bras.
Ces messieurs avaient droit à une branlette en règle pendant que madame les regardait un par un, se gardant bien de toucher ces jolis membres qui me paraissaient bien bandés.
Je ne comprenais pas comment ils avaient pu bander avant quelle nenclenche les bras métalliques, plus généralement, je ne comprenais rien à ce qui sétait passé devant moi. Qui étaient ces trois hommes ? Pourquoi étaient-ils-la ? Comment madame se retrouvait à poil, en train de mater des sexes poisseux de sperme ? Je cherchais lexplication, mais mon regard se dirigea vers le troisième homme que madame avait détaché et entraîné vers un recoin de la pièce.
Elle le fit sasseoir sur un siège, puis lui enlevant masque et écouteurs, le regarda droit dans les yeux. Il navait toujours pas éjaculé, était-ce pour ça quelle lavait pris avec elle ? Ce fut pendant cette interrogation que je la vis empoigner cette verge puis la caresser délicatement pour quelle retrouve de sa superbe forme. Cela ne tarda pas, et soudain, madame se mit de dos à lui et posa son sillon fessier sur sa bite ! Javais déjà entendu parler de la branlette grecque, mais nen avais jamais vu jusqualors.
Lhomme avait lair dapprécier au vu de son regard et de ses soupirs. Jétais aussi moi-même surexcitée et avais passé une main sous mon sous vêtement pour me caresser la chatte ! Caresses habiles, peut-être honteuses, mais délicieuses ! Mon autre main palpait mon sein gauche ! Je sentais mon téton darder sous leffet de ce pelotage mammaire ! Mais je ne devais pas jouir, de peur que madame ne mentende. Je ralentissais donc mes caresses, frustrée, mais toujours curieuse de ce qui se passait devant moi.
La séance avec le troisième homme continuait, madame remuait son cul de plus en plus vite et je voyais bien que ce cher monsieur allait bientôt lâcher le yaourt ! Cela ne tarda pas, et je fus bouche bée de voir la patronne senduire les fesses et les seins avec le sperme qui avait giclé de cette bite qui avait déjà commencé à rétrécir !
Lhomme fut replacé, avec masques et écouteurs à sa place. Madame alla de nouveau au pupitre, selon moi, pour tout désactiver puis toujours nue sortit de la pièce. Jétais seule dedans, et ne pouvant pas échapper à lappel du plaisir, je recommençais mes caresses sur ma nénette en feu. Mon vagin réclamait des doigts, et je lui fis ce plaisir. Pas besoin de chercher un fantasme lointain, le fait davoir assisté à tout ce que je vous ai conté était plus puissant que ce que mon imagination pouvait inventer.
Peu de temps après, cest dans un cri que jessayais de me calmer, je jouis enfin. Je me sentais pantelante, chaude comme la braise. De mes nichons jusquà mon sexe, tout nétait quexcitation animale. Je décidai de me doigter à nouveau dans ma chambre mais il fallait dabord sortir de la pièce et donc passer dans la chambre de la patronne. Si cela se passait comme hier, javais des chances de passer sans me faire remarquer puisque madame apparemment sendormait vite.
Alors, très discrètement, jouvrais la porte ! La chambre était dans le noir, jétais rassurée. Je marchais avec mille précautions quand soudain, la lumière salluma. Madame était là, devant moi et me regardait avec un air fâché qui me glaça le sang. Quallait-elle me dire ? Je ne voulais pas y penser car elle prit la parole :
- Alors vous êtes contente davoir maté mes actes toute la soirée ?
- Pardon, madame ! Pardon !
- Jimagine que vous vous demandez pourquoi ces hommes sont ici, enfermés et soumis à ma volonté !
- Heu ! Oui ! Je dois avouer que je me posais la question.
- Alors, je vais vous expliquer. Comme vous avez pu le voir, jai dans cette pièce plusieurs hommes. Ils sont arrivés depuis une semaine, cest à peu près la durée moyenne de passage ici. Jai pour mission den faire des objets sexuels, prêts à se soumettre à la moindre demande. Je commence donc par leur infliger deux ou trois jours de chasteté e. Après, je leur place un bandeau sur les yeux de façon à ce que la vue ne les détourne pas de cet objectif den faire des soumis. Puis arrive le casque sur les oreilles, qui leur diffuse des musiques quelconques. Et passés ces trois jours, tout change car je les prends en main sévèrement. Vous mavez vu appuyer sur un bouton. Par ce geste, la musique est remplacée par des bruits explicites dactes sexuels.
- Cest donc pour cela que leur sexe a grandi aidé par cette machine.
- Exactement ! La machine les trait au rythme que je décide. Au bout de quelques séances comme ça, ils bandent sur une simple stimulation. Et quand ils repartent, ils sen vont chez des maitresses qui sen serviront pour des jeux sexuels. Ils seront lobjet du jeu ou assistant seulement !
Je comprenais maintenant le fin mot de lhistoire. Et je dois avouer que mon entrejambe coulait de plaisir devant ces explications chaudes. Madame sen aperçut très vite :
- Quand à toi, je napprécie pas trop que tu te mêles de mes affaires. Je vois à tes cuisses qui bougent fortement que tu es excitée. Tu es une voyeuse, une mateuse, rien de plus, et tu mériterais bien une punition. Quen penses-tu ?
- Oui peut-être, dis-je avec détachement.
Je prenais cela pour une blague. En fait de punition, je pensais que je serais renvoyé vers un travail moins sympathique dans le château, même renvoyé définitivement, mais la suite me donna tout à fait tort.
- Allez, baisse ce pantalon, me dit ma patronne.
- Pardon ?
- Tu as très bien entendu, pétasse ! Je veux voir ton joli petit cul.
- Mais madame
Jétais troublé devant cette situation mais je ne pus pas me poser mille questions. Madame qui avait quitté sa place sapprocha de moi et me dit sèchement :
- Dorénavant, je serais ta maitresse. Tu mappelleras madame en public et maitresse quand nous serons en privé. Alors je te conseille de mobéir sans discuter. Pour la troisième fois, baisse ton froc.
- Oui, Madame ! Euh Maitresse, je vais vous obéir.
Et je me retrouvais en string devant cette femme qui mapparaissait tellement supérieure maintenant. Quand elle me demanda de pencher mes bras de façon à les attirer contre mes pieds, jacceptais sachant à quoi je mexposais.
- Maintenant, ma petite, je vais te fesser avec fermeté. Et tu compteras les coups, ne te trompe pas, je te le conseille.
- Oui, madame Heu maitresse !
- Parfait
Allons-y alors ! Clac
- Aïe !
- Dis donc, tai-je autorisé à te plaindre ?
- Non. Maitresse.
- Alors tais-toi
Compris ? Clac
Dix coups vinrent sachever sur mon petit derrière bien rougi. Jen avais les larmes aux yeux, mais ma maitresse sut trouver comment me calmer. Enfin, si on peut dire ! Ses mains avaient quitté mon fessier, quand je les sentis faire glisser mon string puis se poser sur ma chatte inondée de cyprine. Jeus un mouvement de recul quand elle commença à me caresser.
- Non, laisse toi faire ! Tu as encaissé les dix fessées, tu as souffert pour mon plaisir et comme je suis juste, je veux te rendre la pareille avant que ta vie de soumise commence pour de bon. Tu verras, ça va être bon.
Je navais pas encore répondu que déjà ses doigts agiles titillaient mon clitoris et senfonçaient dans mon puits damour. Un doigt âge dans les règles de lart.
- Cest bon de se faire doigter la chatte hein ? Surtout quand elle est bien baveuse comme ici. As-tu des phantasmes à partager avec moi ? Ça taidera sans doute à prendre ton pied.
- Je ne vois pas, maitresse.
- Tu ne vois pas où tu ne veux pas voir ? On a tous des phantasmes, toi comme les autres.
- Non, moi, je nen ai pas.
- Tant pis pour toi alors.
Et elle continua son toucher mais malheureusement, elle sarrêtait juste avant que mon orgasme se déclenche me laissant toujours plus frustrée. Au bout de quelques minutes, je souffrais trop et lui avouais :
- Maitresse, je nen peux plus.
- Alors avoue tes fantasmes et ce sera fini.
- Jen ai peut-être un mais si sale et stupide.
- Dis le toujours Et vite !
- Il y a quelques temps, jétais attiré par les sexes dhommes. Vous me direz que cest un phantasme des plus normales mais là où ça devient sale, cest que je mimaginais en train de tenir leurs queues pendant quils se soulageraient aux toilettes.
- Hé ben voilà ce que je voulais entendre. Tu as un phantasme pas si isolé que ça. Tenir une bite pendant quelle laisse couler la pisse, cest sympa ! en tout cas, ta sincérité doit être récompensée.
Alors, elle se remit à me doigter furieusement. Son autre main courait sous mes habits pour me caresser les lolos aux tétons durcis. Je mouillais énormément. Et soudain, lâchant un flot de cyprine, je montais au septième ciel pendant que ma dominante sétait placé devant moi et me léchait du bout de la langue mes aréoles très sensibles.
Pour les jours qui ont suivi, ma patronne ma invitée à participé avec elle certain jours de ces rencontres plutôt sados-maso.
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