Le Motel
Il est des héritages bizarres. Ce fut mon cas quand je devins propriétaire dun motel en bordure dune nationale, juste à la sortie de lautoroute. Mon grand père y gagnait bien sa vie. Je rêvais den faire autant. Au début de mon installation tout va bien, les choses déclinent petit à petit. Japprends que mon brave grand père employait des serveuses, des femmes de chambre spéciales. Ainsi il menait sa barque avec les prostituées. Je ne pouvais me résoudre aux mêmes procédés.
Un soir, vers 22 heures je reçois un coup de fil dun des chalets. Si je me souviens bien je lai loué à un homme dune cinquantaine dannées. Quest ce qui se passe. Je fais voir ce brave homme qui sort de la douche enveloppé dans une serviette.
- La vidange fuit, il faut y faire quelques choses, mais je vous ai dérangé pour autre chose plus importante.
Je vois de quoi il sagit quand il sassoit sur le lit : une belle bosse déforme la serviette. Je regarde sa déformation en pensant que je nai pas baisé depuis plusieurs mois. Il me donne envie.
Je me penche à peine, je prends sa queue dans la main, je la sort de la serviette. Sa nudité mexcite pas mal. Il est mignon, bien fichu. Je le regarde dans les yeux quand je commence à le branler. Ma main reprend vite le rythme que je connaissais de la masturbation.
Je sens que mon string se mouille. Je sais que sil me fait une proposition indécente, je risque de succomber. Il ne dit rien, il prend ma main, mapproche de lui. Il me donne ses lèvres. Je me laisse aller à un baiser profond. Il me caresse les seins, le ventre ; passe une main sous la robe. Il monte vers ma chatte. Je ne veux pas quil me fasse lamour
.. Je me laisse aller quand il me caresse la corolle. Le clitoris me fait jouir une fois. Après tout, pour une fois, à cette heure tardive, personne ne viendra plus, je me laisse aller. Je me déshabille devant un inconnu. Il vient sur moi mimpose sa queue dans le vagin : il me fait vite jouir.
Il est très doux quand il pose sa queue sur le cul. Je me touche la chatte, prête à me branler pendant quil mencule. Il ne fait que pose le gland sur lanus. Il reste un bon long moment avant de bouger. Je vais mimpatienter quand enfin il commence à entrer. Je nai jamais étais prise de cette façon, il entre comme dans le vagin, je ne sens pas de début de douleurs comme jaurais du. Je sens bien le gland passer, le reste de la queue envahir mes boyaux. Je ne me caresse pas, il me donne de plaisir non évident. Je jouis du cul comme avant. Je ne voudrais pas quil sorte de moi. Hélas je sens son perme dans mon cul. Il sort encore triomphant : il est quand même vaincu. Il me donne sa queue pour lembrasser : je le prends en entier dans la bouche. Je lui fais sortir un filet de semence.
Il faut que le lendemain matin je sois à ma place, à la caisse. Il passe payer le chambre, me sourit et laisse une enveloppe. Jattends son départ pour savoir que contient lenveloppe : 1.000 .
Je me suis prostituée sans le savoir. Mais jai eu ma dose de plaisir. Finalement on ne peut pas dire que je suis devenue une pute comme ça, sur un coup de baguette magique.
La routine encore plusieurs semaines. Les affaires commencent à marcher bien mieux sans être sensationnelles.
Une nuit une femme me fait venir pour une sombre histoire. Je vais au chalet en me demandant quoi faire.
Cest une merveille de femme dans un déshabillé transparent. Je ne peux lui parler, elle est contre moi, membrasse sur la bouche. Je peux me libérer quand elle demande
- Ne me dites pas que vous détestez les filles, je en vous croirais pas.
- Nous, mais cest si vieux : jétais encore étudiante et encore je nai pas été jusquau bout.
- Tu me diras merci après.
Jabandonne ma résistance. Elle plonge sa langue dans la bouche : elle embrasse bien mieux que beaucoup dhommes. Elle fait tomber le peu quelle porte : je vois bien ses seins presque pointus. Elle me les donne pour les embrasser. Cest vrai, ils sont doux, exquis, délicieux. Je me suis fait avoir avec sa poitrine.
- Déshabilles toi.
- Toute nue alors ?
- Comment veux-tu baiser habillée.
Elle a raison, et pourtant je nai pas dit oui. Cest je ne sais quoi qui me pousse à lui céder. Elle membrasse encore longuement en me caressant des épaules aux fesses. Je ne peux que faire pareil. Elle passe la bouche sur les pointes de tétons, descend là où je lespère, trop lentement. Sa bouche se colle à ma chatte. Elle me bouffe en entier. Il me semble que sa langue est partout. Elle réussit le cunnilingus bien mieux que nimporte quel homme de ma connaissance. Je tends le ventre devant le plaisir quelle me donne dans compter. Jéjacule dans sa bouche pour la première fois de ma vie. Elle continue son jeu de langue en le completant pas une profonde caresse entre les fesses. Je ne sais où elle va. Je le divine trop vite quand elle frôle lanus, le dépasse pour aller dans le vagin. Là elle me doigte sans cesses jusquà mon prochain orgasme encore violent.
- A moi maintenant, lèches moi !
- Je ne sais pas le faire.
- Je te guiderais, lèches moi.
Elle est couchée, les jambes ouvertes. Je regarde son calice, merveille des merveilles. Il y a très longtemps que je nen ai vu un. Je lembrasse sur ses lèvres du bas Je fouille un peu avec mes doigts souvre ses lèvres pour bien voir son petit clitoris qui bande doucement. Puis je pose les lèvres. Je déguste sa cyprine délicieuse, plus que la mienne que je trouve quelconque. Je fais ouvrir en entier le sexe. Je mordille le clitoris avec les lèvres, je laspirai dans la bouche. Je lui fais ce que je voudrais quune fille me fasse. Elle me la fait, et alors je peux bien inventer moi aussi.
- Encore
Je continue le cunnilingus. Je vais essayer daller plus bas, encore plus bas. Je trouve bien son petit trou. Alors je vais mexercer à le lécher, le pénétrer. La faire jouir de ce coté là. Je ne pensai jamais lui donner tant de plaisir, elle me tient la tête pour que je ne me dégage pas de ses jambes.
- Viens sur moi.
Je me tourne pour lui donner mes avantages dentre cuisses. Que cette position dabandon de deux femmes est bonne. Nous nous léchons nous tournons, recommençons je ne sais combien de fois. Nous sommes épuisées. Je regard lheure : nous avons baisé entre filles plus de trois heures. Impensable.
Elle repart le lendemain, fraiche comme une fleur à peine cueillie. Elle me laisse une enveloppe. Elle me fait un légères bise en murmurant un « à bientôt nous deux »
Lenveloppe contient 1/500 et un petit mot : il mavait parle de toi. Je ne pensais pas que tu baise si bien à ma prochaine. Elle revient presque tous le mois à un jour près. Entre temps jai mes clients fidèles qui baisent tous comme des dieux. Jai des nuits agitées.
Depuis jai deux ou trois fois par semaines des dames bien mises que je rejoins pour la nuit. Je joins largent et le plaisir partagé. Mon affaire fonctionne bien mieux aussi, jamais mieux que depuis le début.. Jai il fait le dire des clients ou clientes réguliers que je reçois avec plaisir comme ils me reçoivent dans leur chambre avec leurs queues ou leur langues.
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