La Mère De Ma Petite Amie
Bonjour a toutes et a tous,
Après avoir longtemps parcouru les histoires de ce site, je me décide à partager mes aventures à mon tour. Ma première publication sera donc celle que jai le plus envie de partager avec vous, même sil ne sagit pas de ma première expérience. Tout ce que je mapprête à vous raconter est rigoureusement vrai et sest passé il y a maintenant sept ans. Je mappelle Eric, jai 29 ans, jen avais donc 22 au moment des faits. Jhabitais à lépoque près de Lyon et jétais depuis plus de deux ans avec ma petite amie de lépoque, Magali. Une fille plutôt jolie denviron 1m65, châtain aux yeux marron, avec un corps fin et une poitrine normale. Tout se passait pour le mieux entre nous, et javais rapidement été adopté par ses parents. Ses parents, Jacques et Catherine, ont toujours été adorables avec moi. Mais leur couple nétait pas le plus heureux du monde, car Jacques, travaillant à Lyon, laissait Catherine dans leur maison qui se trouvait dans la campagne à lest de Lyon à longueur de journée, et au fil des ans, elle avait fini par sombrer dans un ennui certain, et ils sétaient progressivement éloignés. La flamme était bien éteinte entre eux, mais il navait jamais été question quils se séparent car la routine empêchait toute action franche, et puis après tout, à quoi bon ?
Il est important que je vous parle plus en détail de Catherine. Cétait une belle femme de 45 ans, blonde, aux yeux verts, denviron 1m70, avec de longues jambes fines. Elle avait un tout petit peu de rondeurs au niveau des hanches, mais rien de disgracieux, bien au contraire, et surtout une poitrine vraiment attirante. Pas des seins énormes, mais un beau 90C. Et un adorable sourire. Vous devez vous représenter cette femme comme une fille qui sest mariée assez jeune, peut être un peu vite, qui avait toujours rêvé dune vie exotique, et qui sétait retrouvée à la maison avec un homme serviable mais peu intéressant. Nayant pas une personnalité extrêmement forte, elle navait jamais vraiment essayé de faire changer les choses.
Cet été-là, nous partions 2 semaines en vacances avec eux en Sicile. Tous gentils, ils nous avaient invités, et nous nous étions empressés daccepter. Nous avons donc prit lavion à Roissy et avons atterri à Palerme. Jacques avait réservé une voiture pour les 15 jours, et nous sommes partis tous les 4 en direction du sud de la Sicile. Jacques avait réservé une petite maison dans une espèce de village vacance, mais situé à lintérieur des terres, il ny avait donc pas grand monde.
Cependant nous passions de bonnes journées à nous balader et bronzer au bord de la piscine. Magali était un peu de mauvaise humeur, mais je ne faisais pas trop attention, conscient que cétait un de ses traits de caractère. Catherine était, elle, toujours très souriante avec moi. Bien évidemment je trouvais que cétait vraiment une belle femme pour son âge, et je ne comprenais pas que Jacques ne soit pas plus soigneux avec elle, mais bon. Je ne cache pas que parfois, au bord de la piscine, jadmirais ses formes derrière mes lunettes de soleil, faisant semblant de lire. Je veillais à ne pas avoir dérection visible, mais Catherine était décidément le stéréotype du fantasme de la femme mûre que lon aimerait tous avoir au moins une fois. Le genre de fantasme que lon a tous un jour plus ou moins eu, mais dans mon esprit il était évidemment impossible que cela dépasse le stade du fantasme
Un soir au milieu du séjour, nous sommes allés tous les quatre dîner dans un restaurant sicilien. Certes la cuisine sicilienne me régalait, mais ce soir-là cest surtout Catherine qui occupait mes pensées. Je lavais vue toute la journée en maillot de bain, et je navais fait que penser à elle quand Magali et moi avions fait lamour sous la douche avant daller dîner. Elle avait un débardeur blanc, qui laissait à travers le tissu se dessiner son soutien-gorge, une petite jupe noire qui lui arrivait à mi-cuisse, et dadorables petites chaussures à talons.
Au moment de partir, Magali, toujours un peu de mauvaise humeur, décide de monter à lavant. Je me retrouve donc à ouvrir la portière à Catherine pour la faire monter. Elle sassoit en me souriant et en me remerciant, et je regarde très furtivement ses belles jambes nues saligner sur la banquette avant que je referme. Cette vision était déjà un merveilleux cadeau, et je bouillonnais intérieurement à lidée que nous allions faire 15 minutes de voiture ou je pourrais les regarder discrètement de temps en temps. Je fais le tour de la voiture, et viens masseoir. Jacques démarre et nous partons. Le soleil est encore haut et jai mes précieuses lunettes de soleil, indispensables pour moffrir cette vision providentielle. Nous discutons tous gentiment, mais je ne cesse de jeter des coups dil à Catherine. La position assise a fait légèrement remonter sa jupe le long de ses belles cuisses, et je vois ces longues jambes, là, à 50cm de moi. Je rêve de doucement venir effleurer ces jambes de ma main, mais je me contente de limaginer. Une chaleur ne tarde alors pas à me donner un début dérection. Je porte un pantalon dété et un caleçon en dessous, je me dis donc immédiatement quil faut me contrôler pour ne pas me faire découvrir. Mais je réalise vite quil est plus difficile que dhabitude de contrôler ce durcissement de mon sexe, surtout que je narrive plus à détourner mon regard des jambes de Catherine. Je tente alors de croiser les jambes, sans trop de succès. Catherine a alors un regard vers moi, se demandant ce que je fabrique. Et à ce moment-là, jai limpression quun furtif coup dil de sa part en direction de mon entre-jambe lui fait comprendre mon malaise. A-t-elle compris ce qui marrive ? Jai soudain un peu peur et cela calme légèrement ma bosse. Mais bon, Catherine continue à parler. Jai du rêver, elle na sûrement rien vu.
Le dîner se passe, la discussion est un peu plate.
Quelle ne fût pas ma déception en voyant Magali, cette fois-ci, directement sinstaller à larrière ? Jaurais préféré quelle reste de mauvaise humeur. En plus je suis assis derrière Catherine, je ne pourrais même pas la voir en diagonale de larrière. Mais bon, je reste positif, en me rappelant quil sagit juste dun fantasme, regrettant même un peu cette idée perverse que javais eue de tenter, caché dans lobscurité, deffleurer la cuisse de Catherine. Nous prenons alors le chemin du retour, et Catherine, toujours joyeuse sous leffet de lalcool, déclare alors :
- « Oh jirais bien prendre un petit bain de minuit en rentrant au lotissement ».
Immédiatement mon cur accélère. Cette idée me remplit de joie et je me dis que je vais pouvoir la voir une nouvelle fois aujourdhui en maillot. Mais une fois de plus ma joie retombe. Jacques répond :
- « Non moi je suis épuisé, jai pas envie de me mettre dans leau ».
Magali à son tour annonce :
- « Et moi ca me soule de marcher jusquà la piscine, il y a au moins 5 minutes de marche ».
Mais curieusement, Catherine ne semble pas déçue. Elle fait mine de tempérer son enthousiasme, mais elle se retourne vers moi et me dit :
- « Dommage un autre soir, à moins que tu veuilles quand-même y aller Eric ? »
Là je ne pense plus. Je vois son regard et je réponds immédiatement :
- « Je trouve que cest une bonne idée, ça me détendra avant daller dormir ».
- « Très bien alors on ira tous les deux un petit quart dheure ».
- Jacques répond « Faites ce que vous voulez moi je vais dormir »
- et Magali « Moi aussi je suis crevée jai aucune envie daller nager, je vais meffondrer dans le lit ».
Inutile de vous dire que mon cur bat à 180 à lidée de me retrouver seul avec Catherine, la nuit, dans une piscine. Mais je fais un effort surhumain pour ne rien laisser paraître.
Nous arrivons enfin, nous descendons. Nous nous disons bonne nuit, Catherine me dit de la rejoindre dans le salon dans 5 minutes, et je monte me changer. Le temps que je me brosse les dents et que jenfile mon maillot de bain, Magali dort déjà à point fermé. Je redescends alors dans le salon, où je retrouve Catherine, en maillot, enveloppée dans une serviette. Elle me sourit et me dit que Jacques dort déjà lui aussi. Elle me sourit et nous nous dirigeons alors vers la piscine. Le temps dy aller, nous bavardons gentiment, je sens que Catherine nest pas comme dhabitude. Elle rit abondamment et semble plus libre. Je mets ça sur le compte de lalcool. Je prie intérieurement pour quil ny ait personne à la piscine, et effectivement, je découvre en descendant vers le bassin que nous sommes seuls. Catherine retire alors sa serviette et me regarde en souriant avant de se diriger vers les marches pour descendre dans leau. Cet instant est magique, je voudrais, sur un coup de folie, me jeter sur elle et lembrasser fougueusement et la serrant contre moi. Mais ma conscience mempêche évidemment ce rêve et je lui dis que je vais essayer de trouver la commande pour allumer les lampes sous-marines de la piscine. Et là, à ma grande surprise, Catherine me répond :
- « Oh non cest plus sympa de se baigner dans lobscurité, viens ! »
Là les choses prennent tout de suite un caractère surréaliste pour moi. Je sens que Catherine est dans un état desprit spécial ce soir. Je rentre alors à mon tour dans leau. Leau est bien chaude et je peux enfin laisser libre court à ce début dérection qui me chauffe le ventre depuis une demi-heure. Il ny a quun faible clair de lune qui permet de nous voir dans lobscurité. Catherine est déjà assise sur les sièges sous-marins dune partie du bassin. Je viens alors à coté delle et, un peu émoustillé par lalcool et la situation, je décide de jouer la carte du maladroit, et je viens masseoir suffisamment près delle pour que ma cuisse touche la sienne. Elle bouge lentement les jambes sous leau pour se détendre, et elle penche la tête en arrière en fermant les yeux. Moi je sens cette cuisse qui frotte par ses mouvements sur la mienne. Mon sexe est maintenant complètement dur, mais peu mimporte. Alors je laisse ma main aller au grès du courant, et lapproche doucement de Catherine. Nous discutons doucement, à voix basses, et là ma main vient enfin en contact avec la cuisse de Catherine. Je fais mine de ne pas faire attention, mais mon sang frappe fort dans mes tempes tellement lémotion est intense. Je décide de ne pas retirer ma main. Catherine, à cet instant, cesse de parler, moi également, mais elle ne fait rien qui mindique quelle refuse. Jouant le tout pour le tout, je me risque alors à bouger légèrement mes doigts pour caresser, presque imperceptiblement, la jambe de ma belle Catherine. Quelques dizaines de secondes se passent, et elle finit par sourire, en disant, avec une voix encore en peu plus basse :
- « Coquin
»
Là je ne sais quoi penser, jarrête immédiatement ma caresse interdite, soudain terriblement gêné à lidée que jai pu en fait être vraiment grossier par cette folie. Mais là, Catherine ouvre les yeux, tourne la tête vers moi, me sourit et me dit :
- « Pourquoi tu tarrêtes ? Je nai jamais dit que ça me déplaisait
»
Et sous leau elle me reprend la main et la remet sur sa cuisse. Je nen reviens pas, je suis dans un rêve, mais je ne veux surtout pas me réveiller ! Je narrive même pas à répondre, je ne fais que me concentrer sur cette caresse. Je masse plus franchement sa cuisse en parcourant le long de sa jambe. Elle me sourit et sapproche alors plus de moi. Je me retrouve le dos collé au mur du bassin, elle vient devant moi, ferme les yeux et vient coller ses lèvres aux miennes. Ce baiser est délicieux, ses lèvres fraîches sont une vraie gourmandise. Elle passe ses bras autour de mon coup, je passe les miens autour de ses hanches. Le rêve continue
Dans un dernier sursaut de conscience, je me détache de ses lèvres et lui dit :
- « Catherine, vous ne pensez pas quon est en train de faire une bêtise à cause de lalcool ? »
- « Pourquoi tu nas pas envie ? »
- « Si terriblement mais je ne voudrais pas que vous regrettiez demain matin en vous réveillant »
- « Ecoute ça fait des mois que je pense à ce moment et que, à chaque fois que tu viens à la maison, jai envie de ça. Je te supplie de ne rien dire à personne, surtout pas à Magali. Mais si tu es daccord, ça sera notre secret. Pourquoi crois-tu que jai proposé ce bain de minuit ? Je savais très bien que mon mari et ma fille ne voudraient pas venir. Jespérais juste que tu aies envie de venir. Et comme jai limpression que depuis un certain temps tu me regardes avec un peu denvie, je me suis dit que ça marcherait »
- « Alors vous saviez que javais envie de vous ? »
- « Les femmes sentent quand on les désire. Et ca me flatte tellement quun beau jeune homme comme toi ait envie de moi, alors que mon mari ne sintéresse plus a moi »
Tout en parlant et en comprenant quen fait nous avions envie lun de lautre depuis plusieurs mois, langoisse et les derniers remords mavaient définitivement quitté. Je savais bien que ce que nous faisions nétait pas bien, pour Jacques et pour Magali, et à me lire vous pensez que je suis un salaud. Vous avez sûrement raison, mais en toute humilité je vous le dis, jétais incapable à ce moment là de résister et de faire machine arrière. Imaginez-vous : Catherine est à califourchon dans leau sur mes cuisses, elle se colle à moi et membrasse. Moi je lui caresse les hanches, et je glisse ma langue dans sa bouche. Sa langue est sucrée, et je lui lèche avec un grand plaisir. Je viens ensuite lembrasser dans le coup, et je descends vers son haut de maillot. Depuis le temps que je rêve de ses seins, je réalise que je vais les posséder dans quelques instants
Elle passe une main dans mes cheveux, pour guider ma tête, et de lautre, elle prend son sein droit enveloppé dans son maillot. Et elle présente son sein devant ma bouche.
- « Vas-y je suis sûre que ça fait longtemps que tu as envie de mes seins »
- « Oh oui Catherine vous mexcitez tellement »
Je passe alors ma langue sur ce beau globe que jai tant désiré. Elle se le masse pour mieux me loffrir, et déjà à travers le tissu du maillot, je sens sous ma langue son téton qui durcit. Elle commence à doucement gémir. Elle passe alors ses mains dans son dos pour dégrafer son haut de maillot. Elle libère alors ses magnifiques seins à quelques centimètres de mon visage. Ils sont encore plus beaux que dans mes rêves. Bien ronds et volumineux, ils ne tombent presque pas pour son âge. Elle se les prend dans les mains et se les pressent lun contre lautre, pour me les offrir à nouveaux.
- « Vas-y suce moi les tétons bébé, jadore ça, ça mexcite ! »
- « Hummm oui vous mexcitez trop, jadore vos seins jai tellement fantasmé en y pensant »
- « Ah oui, tu te masturbes souvent en pensant à mes seins ? »
Cest la première fois que jentends Catherine parler ainsi et je suis surpris, mais terriblement excité. Alors, la voyant devenir vraiment coquine, je décide de rentrer dans son jeu, qui visiblement lexcite autant que moi :
- « Oh oui jadore me masturber en pensant à vous, je ne fais que çà ! »
- « Hummm ça mexcite que tu me dises ça. Moi aussi tu sais je me branle souvent en pensant à toi. Tu ne le sais pas mais un jour la porte de la salle de bain où tu prenais ta douche nétait pas bien fermée, et je tai vu sortir de la douche. Voir ton sexe ma trop excitée et je me suis souvent doigtée en y pensant ! »
Je nen revenais pas. Catherine, la mère de ma petite amie, avait en fait le même fantasme aussi intense que moi ! Elle abandonnait ses dernières retenues et je voyais quelle avait envie de devenir vraiment cochonne. Je décide alors de la suivre sur ce chemin. Je commence à moi aussi prendre ses seins dans mes mains. Elle sassoit plus franchement sur moi et son entre-jambe se retrouve ainsi sur mon bas ventre. Elle sent ma bosse et me dit alors :
- « Humm tu bandes déjà mon salaud »
- « Oui je bande depuis que je vous ai vue dans la voiture avec votre jupe sexy »
- « Cest bien ce que je me disais. Cest dailleurs pour ça que jai décidé de tenter de mettre mon projet à exécution ce soir »
- « Humm alors jai bien fait de pas trop cacher mon érection »
- « Oui en plus tu me faisais envie à bander, javais envie de te caresser »
- « Eh bien allez-y je suis tout à vous »
- « Hummm jen ai de la chance
»
Alors je vois ses mains descendre dans leau le long de mon torse et, tout en continuant à membrasser, elle commence à masser ma queue durcie à travers mon caleçon. Moi je lui masse bien les seins, et je descends sur ses fesses. Je commence à lui caresser et je lui découvre les fesses en faisant rentrer son maillot dans sa raie, comme un string. Elle commence à onduler le bassin de façon extrêmement sensuelle et érotique, pour frotter son entre-jambe sur ma bosse. Nous continuons à nous embrasser, avec de plus en plus de fougue. Cest la première fois que jembrasse une femme de cet âge, jaimerais pouvoir trouver des mots pour vous décrire la volupté de cet instant. Le temps sarrête et jai limpression de boire une liqueur de bonheur à chaque fois quelle enroule sa langue autour de la mienne. Elle me caresse le torse et me masse le sexe avec ses mouvements de bassin, je sens mon sexe qui coulisse dans le creux de son maillot. Quel instant magique ! Moi je ne sais même plus où la caresser. Je passe alternativement de ses magnifiques seins aux pointes érigées à ses hanches qui se dandinent doucement, puis à ses fesses que je masse abondamment pour accompagner ses mouvements. A chaque aller-retour de son bassin jappuie doucement sur ses fesses pour que son entre-jambe se colle un peu plus à mon sexe. Elle gémit à chaque pression de sa fente sur ma queue. Je lembrasse, viens ensuite lui lécher les seins, lui titille les tétons en lui prenant les seins à pleine main. Je bande incroyablement fort, à tel point que jai presque mal de sentir ma queue emprisonnée dans mon maillot. A cet instant elle mannonce :
- « Hummm tu as lair dêtre bien dur mon chéri, je vais libérer ton oiseau
Jai très envie de le sentir dans mes mains »
Alors ses mains descendent de mon torse vers mon sexe. Elle se recule pour pouvoir ouvrir mon caleçon de bain, elle défait le scratch, louvre et glisse sa main à lintérieur
Hummmm ce souvenir est encore parfaitement intact dans ma mémoire. Je sens sa main qui prend contact avec mon sexe dur comme du béton, nouvel instant démotion intense ! Sa main experte commence dabord par leffleurer par petite touche, comme pour me faire languir de plaisir. Cest presque frustrant car je suis tellement excité que je voudrais quelle lempoigne à pleine main pour me masturber sauvagement. Encore une fois, comme si elle lisait dans mes pensées, elle a le bon geste : je sens sa main se refermer sur ma queue dressée sous leau. Cette pression me procure immédiatement une très forte vague de plaisir qui me fait tourner la tête.
- « Oh mais tu mas lair bien équipé
Cest si bon de sentir ta queue dans ma main. Elle a lair bien longue, je vais adorer je crois »
Je suis tellement excité que mes doigts se font de plus en plus coquins. Je passe mes mains sur ses fesses et je commence à glisser un doigt dans sa raie. Je viens, par ses fesses, caresser sa fente à travers son maillot, et au moment ou je commence à faire de petites pressions sur sa chatte à travers le tissu, je sens que la pression de sa main augmente, comme pour me signifier quelle aime ça. Jaccentue alors ma caresse, et elle se jette à nouveau sur mes lèvres, en continuant à me branler de sa main experte. Jécarte alors le tissu, et je viens titiller sa chatte avec mes doigts. Malgré le fait que nous soyons dans leau, je sens quelle mouille car sa chatte est un peu visqueuse. Que cest bon de sentir que je lexcite moi aussi ! Je glisse alors doucement un doigt dans sa chatte, je le fais pénétrer doucement et elle gémit plus distinctement :
- « Oh oui vas y, met moi tes doigts ! Hummm que cest bon de les sentir dans ma chatte ça mexcite tellement. Vas-y branle moi la chatte ça me donne des chaleurs
. Oh oui !! Vas y tarrêtes pas surtout bébé, hummmm je te ferais tout ce que tu veux je veux être à toi ! »
Imaginez ce que lon ressent quand une femme comme elle vous dit cela, avec en plus une petite voix de coquine, presque vicieuse
- « Hummm jadore vous exciter avec mes doigts et sentir vos mains qui me branlent le sexe Catherine, continuez ! »
Alors elle saccroche à mon cou, viens membrasser dans le cou tout en me branlant de lautre main, et elle se cambre bien pour me faciliter laccès à sa chatte, pour que mon doigt senfonce plus profondément. Elle branle ma queue au même rythme que moi je lui doigte la chatte, et me murmure à loreille en continu :
- « Oh oui, comme ça, oui
humm je sens ton doigt, vas y, à fond, humm
Oh oui là, comme ça, bouge-le à lintérieur
oh OUII voilà, cest là, vas y mon bébé, titille-moi lintérieur comme ça
hummmm cest trop bon je sens la chaleur dans mon ventre
oh je ten supplie ne tarrête pas
encore, oui
encore !!!... »
Je suis terriblement excité de la sentir gémir sous laction de mes doigts
Plus je la doigte de façon vicieuse, plus elle accélère son mouvement de poignet.
- « Oh oui tu me doigtes tellement bien, je vais te faire tout ce que tu veux pour te récompenser, oh oui, humm continue
»
On sefforce de parler à voix basse mais lexcitation est tellement forte que cest de plus en plus difficile. Nos respirations haletantes sont de plus en plus marquées. Je mactive les doigts, et lui en glisse maintenant deux en même temps.
- « Oh oui vas-y mets-en deux, humm cest trop bon ! Oh tu vas me faire jouir avec tes doigts vas-y
vas-y
vas-Y, VAS-Y OUIIII !!!!! Oh oui ça vient, ça vient ouiiIIII, OUIIIIIII !!!!!! JE JOUIS OUIIIIIII !!!!!! »
Elle se cramponne à mon cou pendant son orgasme et jouis en me serrant contre elle, elle pousse un long soupire et commence à sourire, les yeux fermés. Elle recommence à me branler lentement et me dit :
- « Oh Eric tu mas donné un orgasme, ça faisait longtemps que je nen avais plus eu en dehors de ceux que je me procure moi-même. Hummm tu es trop bon avec tes doigts. Et cest bon de sentir ta grosse bite dans ma main pendant que tu me branles. Maintenant je vais moccuper de ta queue car tu as été très gentil avec moi. Assis toi sur le rebord de la piscine et écarte les cuisses
»
Je comprends immédiatement ses intentions et je ne réalise pas ! Mais je mexécute, et pendant que je me hisse sur le rebord elle fait glisser mon maillot le long de mes jambes pour me le retirer. Jécarte les cuisses et Catherine sapproche, en restant dans leau, et vient entre mes jambes. Ma queue est bien dressée devant son visage, cest une vision incroyable de la voir là, entre mes cuisses, à regarder mon gland tout lisse qui est à quelques centimètres de son visage. Elle le regarde et me regarde en souriant :
- « Oh quel bel engin, je vais me régaler tu mexcites trop »
Et joignant le geste à la parole, elle commence à astiquer mon mandrin en donnant des petits coups de langue experts sur mon gland. Puis elle enfourne ma queue dans sa bouche. Je vois mon gland disparaître entre ses lèvres, et elle engloutit ma bite. Hummm je noublierai jamais cette sensation de ma queue qui vient dans cet affolant fourreau chaud, et de la langue qui tourne autour de mon gland pendant quelle me prend en bouche. En plus elle ne me quitte pas de yeux pendant quelle se régale à pomper mon gros dard, ce qui est extrêmement excitant. Elle a les yeux rieurs, et semble aimer me regarder prendre du plaisir à chaque aller retour quelle fait faire à ma bite décalottée dans sa bouche de suceuse experte. Quel délice ! Elle sort quelques secondes ma bite de sa bouche et me dit :
- « Hummm tu as un gout délicieux, jadore sucer ta bonne queue je me régale »
- « Oh oui jadore quand vous me sucez, humm je sens ma bite dans votre bouche. Oui sucez-moi bien à fond comme ça, entourez mon gland avec votre langue
humm oui comme ça ! »
- « Oui vas y prend ton pied, je te sucerai autant que tu veux et où tu veux dès quon pourra, jai envie de te faire jouir dans ma bouche, jai envie dêtre ta salope humm »
- « Hummm oui on fera tout ce que vous voulez je vous donnerai ma bite à sucer dès quon peut quand on se retrouvera tous les deux
»
- « Hummm je vais te branler avec mes seins. Ca te fais envie une branlette espagnole entre mes gros nichons hein mon cochon ? »
- « Oui allez-y jadore ça, branlez ma queue entre vos seins »
Incroyable, je nen reviens toujours pas de découvrir que Catherine est en fait vraiment chaude. Elle sapproche et place ses deux seins de part et dautre de ma queue. Elle me regarde alors, et ressere ses seins dessus, observant mon visage pour voir le plaisir que me procure cette pression sur mon sexe. Alors elle commence à bouger sa poitrine de bas en haut, et mon gland apparaît et disparaît alternativement entre ses beaux globes. Elle donne des petits coups de langue à mon gland à chaque fois quil réapparait entre ses seins, sa branlette espagnole est une pure merveille. Elle continue plusieurs minutes ainsi, cest tellement bon que je sens que si elle continue, je vais éjaculer trop tôt. Je décide alors de devenir plus actif. Je redescends dans leau, viens lembrasser et lui reprenant les seins. Puis, sous leau, je lui retire son bas de maillot. Je viens passer mes mains sur le devant de sa chatte. Incroyable : Catherine est intégralement épilée ! Je réintroduis un doigt dans sa chatte, et elle écarte franchement les cuisses pour me faire comprendre quelle le veut vraiment profondément. Hummmm jadore. Alors je la prends par les hanches, la soulève un peu dans leau en la dirigeant à son tour vers le bord, elle comprend immédiatement. Elle vient sasseoir là où jétais assis quelques minutes auparavant, et écarte immédiatement ses belles cuisses. Quelle vision féérique. Je mempresse de venir minstaller devant sa chatte pour la lécher. A peine ai-je commencé à titiller son clitoris quelle prend ma tête dans ses mains pour me coller la bouche contre sa fente. Alors, le visage collé à son entre-jambe, je glisse ma langue dans sa chatte. Sa fente est délicieuse, presque un petit gout sucré. Je lui enfonce ma langue et je lentends gémir. Plus jenfonce ma langue, plus elle mappuie la tête contre se chatte.
- « Vas-y mon chéri lèche-moi bien à fond ! Oh oui je sens ta langue cest trop bon »
Je mapplique à bien la lécher. Elle resserre les cuisses de plaisir, mais je lui maintiens bien écartées pour pouvoir lui enfoncer ma langue. Jadore la lécher. Elle se dandine le bassin comme pour accompagner et accen les mouvements daller-retour de ma langue dans sa chatte. Alors elle me relève la tête, redescend dans leau, me tourne le dos en sappuyant sur le rebord, se cambre en se tournant vers moi et mordonne :
- « Jen peux plus Eric, je te veux au fond de moi, prend moi je veux sentir ton sexe dans le mien »
Alors je me colle à elle, je frotte mon gland dans la raie de ses fesses, puis le long de sa fente. Je sens quelle est impatiente car elle essaie de senfoncer ma bite dans la chatte en donnant des petits coups de bassin vers larrière.
- « Vas y jen peux plus met-la moi maintenant ! Prend moi tout de suite ! »
Alors dun coup de bassin, jappuie mon gland sur sa chatte et je fais pénétrer mon gland. Il rentre immédiatement. Je reste quelques secondes ainsi à lentrée de sa fente, avec juste mon gland en elle. Une fois que je sens bien que je nai plus quà pousser un grand coup, je me lâche ! Elle veut que je la prenne, elle va être servie ! Je lui donne un grand coup de bassin et ma queue coulisse alors immédiatement au fond delle. Elle, surprise, laisse échapper un petit cri. Puis jentame mon mouvement de va et vient, bien ample. Je sens ma queue qui coulisse en elle, qui la lime. Jen ai tellement rêvé, voilà que cest arrivé, je suis en train de baiser Catherine en levrette. Je donne des mouvements si amples que cela fait des vagues. Ses seins émergent de leau alors je lui att. Je menfonce bien à fond en me collant à elle, je menfonce jusquà la garde. Cest vraiment bon, je viens buter sur ses fesses bien rebondies. Elle gémit :
- « Oui Eric ta queue, je la sens bien là, vas y prend moi, baise moi jen ai envie depuis tellement longtemps oui ! oui ! oui ! »
- « Han oui voilà ma queue, je vous la donnerai autant que vous voulez je veux vous baiser à longueur de temps ! »
- « Hummm oui mon salaud tu mauras et tu me baiseras autant que tu veux je veux te sentir bien au fond là comme ça hummmm »
Je continue ainsi à la limer de longue minute, en lui pressant les seins et en lui faisant sucer un de mes doigts de temps en temps.
- « Vient on sors de leau on va sinstaller sur un transat. Jai envie de te grimper dessus »
Je mexécute. Je suis obligé de ressortir ma queue et on sort de leau. Là elle me prend par la main pour mentrainer vers des transats, je ladmire et je réalise que cest la première fois que je la vois entièrement nue, car avant leau la dissimulait. Elle est si belle dans ce clair de lune. Et dire que dans quelques secondes je vais me renfoncer en elle ! Elle me fait allonger sur un transat et vient à califourchon. Elle se penche pour me sucer quelques instant. Sa bouche est vraiment un trésor elle suce tellement bien. Puis elle approche son bassin et vient se placer sur mon sexe. Alors elle me regarde, me sourit avec un air de vicieuse, et se laisse tomber sur mon sexe. Elle sempale littéralement dessus, et elle se surprend presque elle même car elle repousse un petit cri. Puis elle commence à imprimer la cadence. Elle se dandine et contrôle le rythme de la pénétration. Je vois devant moi ses beaux seins qui bougent eux aussi, je les prends à pleine main. Ma bite rentre et sort de sa chatte, elle accélère le rythme cest délicieux. Elle se laisse aller, penche la tête en arrière pendant que je lui masse les seins, elle ferme les yeux et accélère le rythme. Moi jaccompagne en donnant des coups de bassin vers le haut pour que ma bite la pénètre plus brutalement, car elle semble adorer ça.
- « Oh oui vas y plus fort comme ça Eric, oui ! Donne moi ta queue comme un sauvage oui ! »
Je continue à la limer ainsi plusieurs minutes durant lesquelles elle me dit des mots très cochons, je la vois, toute entière qui prend un immense plaisir à sempaler sur ma grosse queue, sentant mon gland venir au fond delle. Je sens lorgasme monter, je ne peux plus résister, elle est trop belle, trop sexy, trop coquine, je vais tout lui donner ! Elle comprend alors que je ne suis plus très loin de lorgasme car ma respiration se fait beaucoup plus bruyante.
- « Hummm oui chéri vient, jouis vas y. Jai envie de gouter ton sperme, donne le moi ! »
Alors elle se relève, me fait me lever, elle se met à genoux et enfourne immédiatement ma bite au fond de sa bouche. La voir ainsi machève. Elle na pas besoin de faire beaucoup daller retour dans sa bouche. Je lui prend le menton, lui lève légèrement, pose ma bite sur sa langue, elle me branle et me dit :
- « Vas y bébé donne moi tout, je le veux dans ma bouche je veux le gouter, humm oui chéri vas y balance moi tout ton foutre ! »
- « Oh oui Catherine je vais jouir, oui, oui, OUIIII !!! »
Une immense contraction me parcourt alors tout le sexe, et je sens les grandes quantités de sperme qui montent dans ma tige. Je lui lâche tout dans la bouche, jéjacule généreusement en giclant de longs jets de sperme. Une bonne partie dans sa bouche, mais comme elle tourne sa langue en gémissant pendant que jéjacule, une partie vient aussi couler le long de ses lèvres et sur ses joues. Je termine en me vidant totalement et en la regardant. Elle me regarde elle aussi, toute souriante.
- « Hummm merci mon chéri, jadore te faire jouir dans ma bouche et avaler ton sperme »
- « Oh Catherine cétait incroyable, je nai même pas de mots pour vous dire ce que je ressens »
- « Et bien ne dis rien, et pense juste à la prochaine fois »
- « Vous voulez dire que lon pourra recommencer ? »
- « Moi jen ai très envie, jespère que toi aussi »
Cest ainsi que cette relation sest installée entre elle et moi. Nous nous sommes rhabillés, nous sommes rentrés main dan la main vers la maison endormie, ou personne ne se doutait de ce rêve que nous venions de vivre. Catherine ma embrassé langoureusement avant que nous nous séparions pour aller dormir. Pendant la suite des vacances, nous navons pas eu dautre opportunité comme celle-ci, jai juste pu au détour dun couloir la caresser et lui masser les seins. Elle ma sucé une fois quelques minutes dans la salle de bain alors que les autres étaient en bas. Nous avons du attendre le retour en France pour pouvoir enfin recoucher ensemble, et ce fût tout aussi féérique, je vous raconterai peut-être prochainement si vous le désirez. Pour cela dites moi dans vos commentaires si cela vous fait envie. Ainsi se termine cette première histoire, en espérant quelle vous ait plu et que jai un petit peu réussi à partager avec vous ce moment démotion si intense.
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