Enfin Enceinte

Je m’appelle Tina.
J’ai 29 ans, mariée depuis 4 ans avec Sam et depuis 9 ans avec lui.
On a arrêté de prendre tout contraceptif depuis 3 ans maintenant mais malheureusement, sans succès. Pourtant, nous aimons le sexe et y avons mis du cœur à l’ouvrage.
Après plusieurs examens, il s’avère que le taux de spermatozoïdes de Sam est faible, très faible. Nous avons très peu de chance de faire un de manière naturelle.
Cela n’a pas entamé la solidité de notre couple, en tous cas pour l’instant, même si ce n’est pas facile à vivre.

Un soir, en rentrant d’une soirée très arrosée, Sam n’arrêtait pas de parler, à moitié bourré.
Il me disait qu’il était désolé de ne pas réussir à me faire un , qu’il s’en voulait terriblement. Je le rassurais du mieux que je pouvais, lui disais que je l’aimais.
Mais il a continué à parler.
- Tu sais Tina, j’ai une chance folle de t’avoir. Tu es douce, tendre. Je t’aime.
- Moi aussi.
- Et tu es si belle… Je ne t’en voudrais pas tu sais ?
- Tu ne m’en voudrais pas de quoi ?
- Je ne t’en voudrais pas si tu me quittais. Je comprendrais complètement.
- Maintenant arrêtes de dire des bêtises. Je viens de te dire que je t’aime et je le pense. Je n’ai aucune intention de te quitter.
- Dans ce cas, il faut que tu trouves un donneur.
- Quoi ?
- Ben oui ! C’est simple. Tu trouves un mec qui soit capable de te mettre enceinte. Vous faites votre petite affaire et 9 mois plus tard on a un .
- Je ne te tromperais jamais. Je ne suis pas comme ça. Tu as vraiment trop bu.
- Eh ! Peut-être un peu mais ce que je dis est vrai. Et puis ce ne serait pas tromper puisque je te donne l’autorisation. Un acte purement physique qui aboutit à notre bébé 9 mois plus tard.

J’ai préféré ne pas répondre et lui faire croire que je dormais.

2 semaines sont passées sans reparler de ça.



Un soir, on a commencé par faire l’amour, puis, c’est devenu plus physique, plus primaire. J’étais en levrette. C’est une position très excitante pour moi. Je n’ai couché qu’avec 3 hommes dans ma vie mais j’ai toujours aimé cette position, très excitante pour moi. La raison principale, était connue de moi seule.
C’est, je pense, mon seul vrai fantasme, ma seule perversité. J’aime imaginer être prise virilement par un mâle. Je suis fidèle dans l’âme et je n’ai jamais vraiment personnifié ce mâle qui me prend en levrette. J’étais justement dans cet imaginaire, Sam me pénétrant par derrière quand il a parlé.

- Tina, je pensais tout ce que j’ai dit l‘autre soir. Trouve un homme. Fais lui l’amour ou baises le. Prends du plaisir à faire notre . Jouis quand tu recevras son sperme.

Mon gros problème à cet instant est que j’imaginais un homme puissant et puissamment membré. J’ai joui vraiment très fort. En tous cas, ça faisait un moment que je n’avais pas eu une jouissance aussi forte.
Sam a joui en moi et on s’est effondré.

- Ecoutes Tina, je ne parlerai plus de ça après ce soir…. Je veux, j’exige que tu penses sérieusement à l’option de faire un naturellement avec un autre homme. Si ça fonctionne, je serais le plus heureux. Est-ce que je serais jaloux qu’un autre homme couche avec toi ? Oui… et non. Je veux ton bonheur, et je suis de plus en plus persuadé que tu veux absolument être mère dans le sens biologique du terme. Tu veux sentir un dans ton ventre. Je veux ça pour toi.
- Sam tu te rends compte de ce que tu me dis ? Tu veux que je couche avec un autre homme. Je t’aime. C’est toi que je veux en moi pas un autre.
- Ma chérie, tu es splendide et encore plus belle quand tu fais l’amour. Tu vas rendre un autre homme heureux pendant une heure ou une nuit. Tu vas me rendre heureux toute une vie. Penses à cette possibilité. S’il te plaît ?
- ….

Le ton de sa voix était sûr, affirmé.
Je l’avais rarement entendu si sérieux.

- Avant même d’imaginer y réfléchir, je veux que tu sois transparent avec moi, complètement honnête. Tu peux faire ça ?
- Qu’est- ce que tu veux savoir ?
- Laisses-moi te faire un dessin. Je vais à la salle de sport, je fais des exercices, et là, un homme beau, séduisant, physiquement bien fait, m’aborde, me drague. Je me dis « tiens, pourquoi pas lui ? Il a l’air bien. Je pourrais peut-être faire un essai avec lui ? » Il me ramène chez lui, me sert un verre mais on n’est pas là pour ça. Je commence à me déshabiller et il m’emmène dans sa chambre. Jusque-là, tu me suis ?
- ….. Oui…
- Rapidement, on est nu. Il est décidément beau et bien bâti et il bande fort, très fort. Heureusement pour moi, c’est un mec bien. Il me fait tous les préliminaires que j’aime puis je lui fais une fellation comme tu aimes tant.
- ….

Je sentais de manière incompréhensible son sexe durcir contre ma cuisse.

- Tu imagines bien qu’il va profiter de mes gros seins, qu’il va sucer mes tétons. Tu les adores mes tétons toi ! Je vais écarter mes cuisses et il va pénétrer mon sexe trempé. Je vais sentir sa progression en moi. Ensuite, on va enchaîner les positions. Je vais jouir ! Peut-être même plusieurs fois avant qu’il éjacule en moi et qu’éventuellement il me mette enceinte.
- …..
- Après, je viendrais te retrouver sans que tu soupçonnes quoi que ce soit. Oups non ! Il aura laissé un suçon sur mon sein et un autre à la base de mon cou… Que tu vas voir bien sûr !
- ……

Sam bandait très fort.

- Maintenant, ma question. Tu ne seras pas jaloux qu’un autre ait profité de moi, ait joui en moi, m’ait fait jouir ? Peut-être bien plus fort que toi ? Tu sais que si l’homme est doué, peu importe que je n’aie pas de sentiments pour lui, mon plaisir avec lui sera quelque chose que je ne pourrais pas contrôler. Tu réussiras à ne pas m’en vouloir, à m’aimer autant ?
- Oui mon amour.
Si le résultat est un bébé pour nous deux, j’y arriverai. Je serais dévasté si tu y trouvais un côté émotionnel, si cela t’amenait à me quitter pour un autre. Mais jaloux, non. Tout ce que tu as dit est dur à entendre… Mais si excitant en même temps. Je crois qu’en me faisant imaginer que tu puisses y prendre réellement du plaisir, tu as donné toi-même un autre argument pour que tu y réfléchisses encore plus. Je te le redis encore. Si l’occasion se présente, j’espère que tu saisiras l’opportunité. Je ne t’en voudrais pas car ce serait vraiment hypocrite et tu sais que j’ai horreur de ça. Promets-moi d’y réfléchir.
- … Je te promets d’y réfléchir… Mais ça ne veut rien dire… On ne trouve pas quelqu’un si facilement.

Sam m’a regardé en souriant.

- Ma chérie, tu es intelligente, tu as du caractère… Mais tu es très naïve aussi. Je vois très fréquemment des hommes te regarder, hésiter à t’aborder si je suis un peu loin de toi et qu’ils te pensent seule. Il te suffirait d’être un tout petit peu plus attentive et tu verras ces signes comme moi.

J’ai mis beaucoup de temps à m’endormir.

Pendant les 2 mois qui ont suivi, j’ai repensé par moment à la demande de Sam. J’ai remarqué en effet que certains hommes me regardaient, que quelques autres draguaient un peu. Sam a tenu parole et n’a rien dit d’autre à ce sujet.
Moi par contre, je me suis réveillée plusieurs fois en pleine nuit, dans mon rêve, un homme me prenait et me faisait jouir, m’inondant de son sperme. L’homme n’avait pas de visage particulier, mais je savais que ce n’était pas Sam.

Je suis sportive. Je vais à la salle de sport un soir par semaine et à la piscine le midi sur le temps de ma pause déjeuner quand mon travail m’en laisse le temps.
Tout a basculé en quelques instants.

Je suis sortie du bassin de nage après un bon nombre de longueurs. Je me suis dirigée vers les douches. Comme je retourne au travail après, j’aime utiliser une cabine de douche individuelle, pour éviter de mouiller trop mes cheveux et surtout, enlever le plus possible l’odeur de chlore.

Je suis rentrée dans la première cabine sans vraiment faire attention et j’ai refermé la porte. C’est seulement là que j’ai remarqué qu’elle était occupée.
Je suis restée scotchée sur place ce qui m’a semblé être une éternité alors que ça n’avait pas dû durer plus de 2 secondes.
Un homme était savonné en entier. Il avait le corps d’un dieu grec, réellement. Tout son corps luisant, et musclé dégageait une véritable puissance. Mais le plus impressionnant pour moi, était son sexe. Son sexe était presque à l’horizontale, long et gros. Je veux dire vraiment imposant.
J’ai réussi à lever les yeux et à croiser ses yeux rieurs avant de ressortir en coup de vent.

J’ai pris ma douche dans une autre cabine, mettant beaucoup de temps à retrouver mes esprits. J’avais quand même du mal à penser à autre chose qu’au corps parfait du bel inconnu, à son sexe et à son sourire moqueur, absolument pas gêné.

15 minutes plus tard, je sortais de la piscine. Je ne savais plus où me mettre quand je l’ai vu s’approcher de l’arrêt de bus.
J’ai dû rougir en un temps record, bredouillant des excuses. Son regard était d’une intensité troublante. Il m’a détaillée des pieds à la tête. On aurait dit un prédateur et je me sentais complètement dans la peau d’une proie qu’il pouvait achever. La phrase qu’il m’a dite a fini de me déstabiliser.

- Bonjour, malgré l’intimité qu’on a partagé, on n’a pas eu le temps de se présenter tout à l’heure. Je m’appelle Matt. Et toi ?
- Bonjour, moi c’est Tina.
- Alors ? Ce que tu as vu t’a plu ?
- Hein ?
- Tu as bien compris ma question ! Tu as aimé ce que tu as vu tout à l’heure dans la douche ?
- Je… Non… Enfin…

Il a saisi ma main gauche en souriant encore plus, touchant volontairement mon alliance.

- Quand est-ce qu’on peut se voir ?
- Quoi ? Je ne peux pas ! Je suis mariée !
- Je n’ai pas demandé si on « pouvait » se voir. J’ai demandé « quand » ?
- Je…
- J’ai vu ton regard sur moi et accessoirement sur… mes attributs. Tu ne le regretteras pas. Et tout ça m’a donné très envie de toi. Je peux t’offrir ce que tu n’as pas chez toi.

Je le regardais, complètement incrédule. Quel abruti !
Mais il semblait tellement sûr de lui.

- Si tu viens ici à la piscine et que tu prends le bus, c’est que tu bosses près d’ici. Tu finis à quelle heure ?
- Hein je…
- Quelle heure ?
- 16h30
- Ok dis à ton mari que tu seras en retard.

Il m’a tendu une carte avec son nom, son numéro de téléphone et son adresse au moment où le bus est arrivé. Le pire est que je l’ai prise.

- Je ne viendrais pas.
- Si, tu vas venir. Viens à 17h00 maxi chez moi… A tout à l’heure Tina.

Je suis rentrée dans le bus et je me suis assise à l’opposé de lui.
Je l’observais du coin de l’œil. Il était bien habillé, élégant. J’avais vraiment du mal à ne pas regarder cet homme qui venait de me faire du rentre dedans comme on ne m’en avait jamais fait.
J’ai passé l’après-midi au travail mais le moins que je puisse dire, c’est que je n’étais pas productive du tout. Il avait beau être arrogant, il était vraiment beau et bien bâti. En temps habituel, la carte aurait atterri à la poubelle directement mais là…
La proposition de Sam me revenait sans cesse en tête. Que faire ? L’occasion se présentait finalement. Côté émotionnel, aucun danger. Je n’aimais pas son côté arrogant. Mais physiquement, son corps et son sexe étaient une réelle promesse de plaisir.

Ce Matt représentait à 100% mon fantasme d’être prise, baisée par un mâle viril qui en plus pourrait me mettre enceinte.
Plus l’après-midi avançait et plus je me disais que c’était exactement ça. Matt serait le mâle fertilisant la femelle consentante. Je me suis aperçue avec honte que je mouillais depuis un moment.

Un autre point me troublait. J’étais dans ma période la plus fertile et Sam, en déplacement professionnel depuis la veille, ne rentrerait que le surlendemain. Le timing était parfait.
Que faire ?

Je suis partie du travail et comme dans un état second, je suis allée devant l’immeuble de ce Matt. Je ne savais pas quoi faire. J’ai essayé d’appeler Sam. Lâchement, je voulais son avis, son consentement, pour prendre ma décision. Après 5 appels dans le vide, j’ai envoyé un texto « Sam, rappelle-moi, c’est très important. J’ai besoin de toi…. Et que tu sois sûr de toi. Il est possible que l’occasion dont tu m’as parlé se soit présentée »
J’ai failli sonner, je suis partie, revenue, partie encore. Toujours pas de réponse de Sam. J’étais à l’arrêt de bus quand j’ai eu le souvenir de son corps, de son sexe, tout ça mêlé aux paroles de Sam me disant de saisir l’occasion si elle se présentait.

A 17h10, je sonnais à son interphone. Il a décroché rapidement.

- Appartement 35, 3ème étage

J’avais une boule au ventre mais 2 minutes plus tard, j’étais devant sa porte. Il a ouvert à une Tina intimidée, pleine d’appréhension.
Il m’attendait en boxer. Pas la peine de perdre du temps ! Et puis, il savait que j’avais aimé son corps. Ça s’était ment vu sur mon visage.
Je n’ai pu m’empêcher de regarder ses épaules larges, son torse et ses abdos, et bien sûr la bosse de son boxer.

- Entre Tina !
- Qu’est-ce qui me dit que vous n’allez pas me faire de mal ?
- Juste ma promesse que je n’ai jamais agressé quelqu’un et que je n’ai aucune envie de commencer aujourd’hui.
- C’est léger !
- Tu peux partir quand tu veux ! tu dis non une fois et je te laisse t’en aller. Je ne suis pas un monstre.

Il a maintenu la porte ouverte et je suis entrée, résignée, j’allais céder, me donner à lui, c’était certain maintenant.

- Tu es là jusqu’à quelle heure ?
- Je n’ai pas d’heure. Mon mari est à l’étranger en voyage d’affaires
- MMMHHH ! Parfait !

J’ai posé mon sac sur le meuble d’entrée. Il m’a adossée à la porte et s’est collé à moi pour m’embrasser. Plusieurs baisers, d’abord légers, tout en me regardant dans les yeux, puis de plus en plus passionné, jusqu’à ce que je passe mes mains sur ses flancs. Sa peau était douce et chaude.

Je me sentais petite dans ses bras. Je mesure 1.60m pour 55kg. Il me dépassait d’une tête.

- J’aime les femmes comme toi, bien faites, un peu BCBG… Et incapable de résister à un vrai mec.

Sa langue a pénétré ma bouche et ma respiration s’est accélérée, mon excitation grimpait. C’était déjà gagné pour lui.
Ses mains parcouraient déjà mon corps par-dessus mes vêtements.

Il m’a guidé jusqu’à sa chambre. Il a commencé à me déshabiller. Il l’a fait lentement, en caressant chaque nouvelle partie de mon corps qui lui était dévoilée.

Je voyais son regard sur mes seins volumineux, aux tétons déjà dressés de désir. Ses mains passaient sur ma taille fine avant de caresser le globe de mes fesses.

Fréquemment, je passais mes mains sur ses pectoraux, ses épaules. Son corps mon dieu ! Quel homme ! Il me regardait avec un sourire de vainqueur, fier de voir que je le trouvais beau.

Je n’avais maintenant que ma culotte et mes chaussures à talons.

Parfois, ma main allait tâter son boxer, comme pour vérifier que ce que j’avais deviné sous la douche était bien là. Il commençait à bander fort, à déformer complètement le boxer

- C’est ça que tu es venu chercher Tina ?
- … Oui…
- Tu veux le voir… Encore…
- Oui… Montre moi

Il a enlevé son caleçon et s’est allongé sur le dos sur le lit en me faisant signe de venir.

J’admirais son corps, purement et simplement : des cuisses puissantes, un torse en V, des abdos nets, des pectoraux biens marqués. Son sexe reposait maintenant sur son ventre, atteignant aisément son nombril.

Mon mari n’était pas fait comme lui, plus fin, mignon, beau mec aussi, mais pas comme lui.

Je suis allée à lui, enlevant mes escarpins, à genoux sur le lit. J’ai commencé par l’embrasser. C’était agréable, mais ce n’était pas pour ça que j’étais là. Très vite j’ai embrassé son torse, puis son ventre, en évitant de toucher son sexe, l’objet ultime de mon désir.

J’ai pris son sexe en main, le branlant doucement. Le gros gland était comme un aimant pour moi. Mon sexe était une fontaine. De temps en temps, je lui lançais un regard, encore timide mais je voyais son plaisir de me voir admirer son engin.

- Vas-y Tina ! On ne se connaît pas ! Comment tu la trouve ?
- Elle est grosse ! Si dure !
- Je vais te baiser Tina ! Tu n’es là que pour ça. Tu veux sentir ma grosse queue au fond de ton ventre !

Une boule de désir m’a vrillé le ventre de l’entendre le dire. Je me suis mordillé la lèvre inférieure.

- C’est ça que tu veux Tina ? Te faire baiser par une belle queue !
- MMMHHH ! Oui !
- Plus grosse que celle de ton mari hein ???
- Oui, ça c’est sûr !
- Beaucoup plus grosse alors ???
- Tellement plus !!!!
- Tu as déjà trompé ton mari ?
- Non !
- Encore mieux !

Le sexe de Sam m’a toujours donné du plaisir, 13 ou 14cm, toujours prêt et dur pour moi.

Le sexe de Matt était bien plus long, épais, avec un gland plus large encore, magnifique.

J’ai commencé à le lécher, à aspirer complètement le gland. J’ai toujours aimé le sexe, mais jamais je n’avais eu autant envie de quelqu’un. Et j’avais sans cesse en tête qu’il allait me mettre enceinte. Ça ne pouvait pas être autrement. Il était le mâle qui allait me féconder.

De manière autoritaire, il m’attirée à lui, et a enlevé ma culotte. Il a caressé mes grandes lèvres doucement avant de plonger sa tête ente mes jambes. J’ai sorti son sexe de ma bouche et j’ai gémi d’excitation et de plaisir quand sa langue a lapé mon sexe.

J’avais maintenant une barre de fer dans les mains, un pieu pour m’empaler.

- Alors ma belle ? Est-ce que tu as des exigences pour moi ?
- … Si tu es clean, je veux te sentir jouir en moi… tout au fond de ma chatte !
- J’aime cette exigence… Et je te promets que je suis clean. J’ai fait un test il n’y a pas longtemps.

Matt m’a allongée sur le dos, a profité longuement de mes seins. Il en était fou. Son gland caressait ma chatte. Je bougeais sous lui pour qu’il vienne en moi.

- Tu veux tant que ça le faire cocu ton petit mari ?
- …

Il m’a regardé en souriant et s’est enfoncé doucement, écartant délicieusement les parois de ma chatte qui n’avait jamais rien accueilli de si large. Il était patient, me laissant m’habi, puis reprenait un petit mouvement vers l’arrière puis vers l’avant.

Chaque poussée me faisait gémir de plaisir. Il m’enlaçait dans ses bras forts, son torse musclé contre ma poitrine, bloquant toute possibilité de mouvement pour moi.

J’ai senti monter en moi un plaisir brut, intense. Mon orgasme a éclaté, mon sexe se contractant autour de son manche. J’ai joui silencieusement dans le creux de son cou.

Il s’est redressé un peu, conscient que j’avais déjà joui. Je le sentais tellement bien en moi. Et pourtant, j’ai vu clairement qu’il était loin d’avoir tout entré.

Il m’a saisi par les hanches, mes genoux dans le creux de ses coudes et il a commencé des mouvements plus amples et plus profonds, m’arrachant à chaque fois un petit cri. Puis il s’est stoppé et a ramené mes hanches vers lui, poussant son gland au plus profond de moi. Cette fois, tout mon corps s’est cabré sous l’assaut. J’ai joui en criant cette fois, tête rejetée en arrière.

Il bougeait à peine en moi mais son gland touchait en permanence des territoires inexplorés par mon mari. Quand mon orgasme s’est calmé, je l’ai regardé, il me dominait totalement, son torse luisait déjà d’une fine pellicule de sueur. Bon sang qu’il était excitant.

- J’aime quand tu jouis Tina ! Tu la sens bien ma grosse queue hein ?
- Oui ! OHHHH ! OUIIIII !
- C’est ça ma belle ! Profites !

Il pétrissait mes seins, pinçait les tétons, passait le pouce sur mon clitoris. Rien de tendre, pas d’amour mais qu’est-ce qu’il était doué.

Il s’est penché pour m’embrasser. J’entourais ses reins de mes jambes, appuyant sur ses fesses en rythme.

- Tu es bonne Tina. Je ne me suis pas trompé sur toi.

Il a commencé à montrer les signes de son plaisir proche. Il a affermi sa prise sur mes hanches et m’a inondée de son sperme, déclenchant chez moi un nouvel orgasme.
On a mis longtemps à reprendre notre souffle. J’étais maintenant un peu mal à l’aise. Je ne le connaissais absolument pas.
Mais il m’a prise par la main et m’a entraînée sous la douche.

Je suis sortie avant lui et j’ai regardé mon téléphone. Sam m’avait envoyé 2 texto. Le premier avait dû être envoyé alors qu’il était en réunion. C’était juste 2 pouces levés en l’air et un smiley.
Le 2ème était plus long : « Ma chérie, je suis absent 2 nuits encore. Je vais beaucoup penser à toi. Je ne vais pas le nier, t’imaginer dans les bras d’un autre n’est pas facile mais FONCE. Fais-nous cet et ce weekend quand je rentre, tu seras de nouveau ma femme. Vas y sans remords, sans te faire de souci pour moi. Je te souhaite vraiment sincèrement d’y prendre du plaisir. Je t’aime »
J’ai répondu : « je te dirais s’il se passe quelque chose » Je ne mentais pas. J’allais réellement tout lui dire, seulement, pas tout de suite. Je ne voulais pas qu’il se rende malade.
J’étais en train de poser mon téléphone quand Matt est arrivé derrière moi, me prenant dans ses bras.

- Tina, je n’ai rien de prévu ce soir…. Ni demain soir d’ailleurs ! Si c’est ok, je te propose d’aller manger quelque chose et de revenir ici. Passes la nuit avec moi. Tu ne le regretteras pas.

Encore cette arrogance, cette vantardise. Le problème c’est qu’il m’avait prouvé de quoi il était capable et que le contact de sa peau nue contre moi, de ses muscles rendait toute résistance très compliquée. Une grande culpabilité me dévorait malgré l’accord donné par Sam, une culpabilité par rapport au plaisir ressenti avec un autre que lui.
Il a senti mon hésitation.

- Tina, tu as déjà commis l’adultère. Une fois de plus ne va rien changer à ça. J’ai très envie de profiter encore de ton corps. Il ne saura rien de ce qu’on fait tous les 2.

J’ai fini par dire oui en repensant à l’accord de Sam, à la possibilité d’un , et au fait que ce ne serait pas désagréable pour moi du tout.
On est passé chez moi pour que je prenne quelques affaires pour le lendemain matin mais je ne l’ai pas laissé entrer dans l’immeuble.

Il m’a emmené manger dans un restaurant très branché. C’était sympa, Matt était intelligent et avait de la conversation. Il a su détendre l’atmosphère. On a beaucoup discuté et les 2 verres de vin m’ont aussi aidée à me détendre.

- Matt, est-ce que c’est ça que tu aimes ? Séduire la femme d’un autre ? La mettre dans ton lit ?
- J’aime séduire, oui. Les femmes mariées, pas ment. Tu n’es que la 3ème femme mariée avec laquelle je couche. Et encore, il y en a une qui a voulu me faire croire qu’elle était célibataire.
- …
- Les femmes me prennent pour un salaud, et j’ai vu la tête que tu fais à certaines de mes paroles. Tu me trouve prétentieux, ou vantard. J’assume. Mais je peux t’assurer que ce que j’aime par-dessus tout, c’est réussir à donner du plaisir à une belle femme. Et toi… Tu es une bombe Tina. Ton corps est parfait, c’est sûr. Tout ce que j’aime… Mais pas seulement. Quand tu m’as surpris dans la douche, j’ai vu dans ton regard que je te t’attirais. Une certaine timidité, aussi.
- Je dois avouer que tu as de quoi plaire aux femmes… Et à moi... C’est la première fois que je suis intéressée physiquement par un homme depuis mon mariage. Je veux dire véritablement intéressée. Et puis… Enfin bref, je crois que tu étais au bon endroit au bon moment.
- Et avec le bon équipement ! J’ai bien l’impression que tu avais très envie de découvrir ça aussi.

Je crois que j’ai rougi jusqu’au bout des ongles. Il avait raison.

- Ton mari n’a pas ça et tu voulais savoir ce que ça fait !
- Il est vraiment beau, j’avoue. J’ai été impressionnée. Il fait combien ? Par curiosité ?
- C’est intime !
- Arrête, on a couché ensemble.
- Bon Ok. Je fais 22 cm.
- Ouah !
- Et ton mari ?
- Hein ?
- Je t’ai dit mes mensurations. Je veux connaître celles de ton mari.
- Euh 15cm.

En fait, c’était 13 mais bêtement, je ne voulais pas qu’il le sache. On a terminé le repas en parlant de tout autre chose.
Le restaurant avait une petite salle de danse, faite pour que les couples puissent faire un ou deux slows.

Matt m’a fait danser. On était collés l’un à l’autre. La tension sexuelle montait. Il savait faire monter le désir en moi, par des caresses discrètes, des baisers. Il a su lire en moi que mon envie de lui était très forte. Et il bandait, pressant son sexe contre mon bas ventre.

- Tina, je vais te ramener chez moi. Je crois qu’on sait tous les deux ce qu’on va faire.
- …..
- Moi, je vais baiser la sublime femme d’un autre homme. Là, tout de suite, je voudrais arracher ton chemisier pour plonger ma tête entre tes beaux seins. Tu sais qu’ils sont splendides. Je vais encore lécher ta chatte… tu aimes quand on te lèche. J’ai bien vu.
- Oui j’aime ça.
- Ensuite, je vais te prendre, te baiser comme tu n’as jamais été baisée. Tu comprends non ?
- Mmmhh ! Oui ! Je veux être baisée !
- Par ma grosse queue ?

J’étais plus excitée que jamais dans ma vie.

- Oui par ta grosse queue ! C’est ça que tu veux m’entendre dire ? Je veux jouir Matt !! Sentir au fond de moi le sperme d’un mâle ! Tu peux faire ça pour moi ?
- J’adore t’entendre dire ça ! tu ne vas pas être déçue ! Viens, on part !

15 minutes plus tard, on était à son appartement. Les vêtements ont volé. La tension sexuelle n’était pas du tout retombée. Matt bandait comme un fou. Son gros gland luisant d’excitation. Je me suis faite sensuelle. Ses doigts caressaient ma chatte trempée. Il m’a dévoré les seins, mordillant une nouvelle fois les tétons, zone extrêmement érogène pour moi.

Je l’ai poussé sur le lit et je suis passée sur lui. Je voulais profiter à fond de ce corps sublime. Je lui ai d’abord mis un sein au-dessus de sa bouche qu’il a gobé du mieux qu’il pouvait, puis l’autre.

Ensuite, on s’est embrassé. Matt voulait m’enserrer de ses bras mais j’ai saisi les poignets de Matt pour lui faire comprendre d’être immobile. Son sexe était décollé de son ventre tellement il bandait. Voir cet homme splendide, cet étalon, bander comme ça pour moi était super excitant.

Petit à petit, j’ai déposé des baisers sur tout son corps, mordillant moi aussi ses tétons, ses pectoraux. Son sexe était maintenant calé dans le sillon de mes seins. J’ai joué avec comme ça quelques instants, lui arrachant des râles de plaisir et de désir.

J’ai embrassé le haut de ses cuisses, puis ses testicules entièrement rasés. Je me suis fait une note mentale d’en parler à Sam car j’ai aimé lécher ses boules, les mettre une à une dans ma bouche.

Je pouvais saisir son manche à 2 mains et mettre le gland dans ma bouche. Quel engin !

Je me suis positionnée et je me suis empalée lentement sur sa queue. Il était si gros ! Si dur aussi ! J’ai senti très fort la progression de son sexe en moi. Il m’a laissé gérer entièrement mais en profité pour caresser mes seins.

Il m’a fallu plusieurs minutes pour m’empaler totalement. La progression de son sexe en moi était ponctuée de gémissements, de petits cris de surprise quand il repoussait encore plus les parois de ma chatte. Un petit orgasme a fait son chemin mais je voulais absolument l‘avoir en moi en entier.

Je me suis enfin stoppée, les fesses sur ses cuisses, son gland fouillant très profondément en moi. Il m’a regardé en souriant, un sourire un peu moqueur.

- Tu as conscience que ta chatte est à moi maintenant, que la petite bite de ton mari n’ira jamais où je suis maintenant.

Ses paroles crues, humiliantes, ajoutaient honteusement un plus à mon excitation. Il a donné de tous petits coups de hanches et cela, combiné à ce qu’il me disait, a suffi à me faire jouir comme une dingue, d’un coup. J’ai bougé le bassin, cherchant toujours plus de contact, de friction tout au fond, au plus profond. Et j’ai crié, crié de jouissance, de plaisir. Un plaisir brut, intense, animal, les ongles plantés dans ses pectoraux puissants.

Je ne sais pas combien de temps j’ai joui, certainement moins de 30 secondes mais ça m’a paru très long. Je me suis effondrée sur lui.

Dès que j’ai repris mes esprits, Matt m’a fait rouler sur le dos. Il m’a léché la chatte un moment, léché l’anus aussi. J’étais à la limite de l’orgasme, avec sa langue sur mon clitoris quand il a pénétré mon anus d’un doigt, une première pour moi. Il est entré d’un coup sans aucune douleur, complètement lubrifié. La sensation, inconnue, ma mené à un autre orgasme. Il s’est arrêté et redressé. Son sexe bandait toujours autant.

Je l’ai regardé en rigolant un peu.

- Matt, t’es un salaud, je ne t’ai jamais dit que tu avais le droit de faire ça.
- Tu n’as jamais dit le contraire non plus… Et tu as aimé.

Matt m’a soulevé comme si je ne pesais rien. J’ai senti sa force. Il m’a tournée et mise à quatre pattes sur le lit. Ses mains puissantes m’ont mise en position, écartant mes cuisses, me faisant cambrer les reins, les épaules plus basses que le bassin. Mon excitation a encore grimpé.

Mon dieu ! J’allais me faire prendre comme dans mes plus grands fantasmes.

- Qu’est-ce que t’es belle comme ça ! quel cul !

Il a positionné son gland et ses mains ont saisi ma taille fine. Il est entré au plus profond de moi, puissamment mais pas brutalement, m’arrachant un vrai cri de plaisir. Il a commencé par faire des mouvements amples et plutôt lent, me faisant ressentir toute la taille de sa queue, son gland venant doucement forcer le fond le ma chatte, créant des décharges de plaisir incroyables.

Puis il a accéléré, changeant parfois d’angle de pénétration. Je poussais mes fesses en arrière, à la rencontre des coups de bassin de mon amant.

J’ai regardé par-dessus mon épaule. Il était beau, très viril, très mâle. Il me baisait comme un dieu… Et plus encore que dans mes fantasmes, je me faisais prendre comme une salope et j’aimais ça.

J’ai joui comme une folle, le summum étant l’explosion de Matt au fond de ma chatte. Mon corps était pris de tremblements, de convulsion presque. Après une courte douche, on s’est endormi.

Dans la nuit, je me suis réveillée avec Matt qui caressait tout mon corps. Le désir revenait au galop d’avoir cet étalon en moi, de jouir si fort à nouveau. Matt me murmurait des mots de désir, de passion dans l’oreille.

Il m’a pénétré, de tout son long, me faisant feuler de plaisir. Il m’a donné un orgasme et semblait infatigable.

- Tina, je veux ton cul !
- Oui, en levrette vas y !

J’ai commencé à me positionner.

- Tu n’as pas compris Tina… Je vais t’enculer ma belle !
- Je…. Attends, je n’ai jamais fait ça !
- Tu adore quand je caresse ton petit trou et tu viens à la rencontre de mes doigts alors tu vas aimer.

J’étais comme en transe. Je voulais lui dire non, mais en même temps, j’ai senti un désir de me faire enculer exploser en moi. Je n’allais pas résister.

Il m’a mise sur le dos, les fesses au bord du lit, a sorti un flacon de lubrifiant et m’a caressé longtemps, pénétrant d’un puis 2 doigts. Je me tortillais dans tous les sens.

Il m’a tendu le flacon de lubrifiant et a approché son sexe. J’ai compris le message. C’est moi qui lui donnais l’autorisation de m’enculer en préparant moi-même son sexe.

J’ai mis une bonne dose et je l’ai branlé, étalant bien le lubrifiant. Bizarrement, avec cet énorme engin dans les mains, je n’ai pas eu peur. Matt allait être parfait pour moi.

Il a mis son gland et a pris un temps infini pour entrer en moi. Quel amant ! Quand il a commencé à réellement me baiser le cul, j’ai découvert des sensations incroyables, inespérées. Je suis devenue une adepte de la sodomie cette nuit-là. Quand Matt a commencé à montrer des signes de jouissance, je l’ai à sortir de moi.

Il n’a pas compris quand j’ai couru à la salle de bain. Je suis revenue avec de quoi laver son sexe et une fois bien propre, j’ai commencé à le sucer.

J’y ai mis tout mon savoir-faire et Sam vous dirait que je suis très douée. Je branlais, léchais, suçais, le laissant parfois au bord de l’orgasme pour reprendre plus fort encore.

Il aimait clairement mon petit jeu et prenais beaucoup de plaisir. J’ai senti qu’il était à bout et moi, j’étais là dans un but précis.

J’ai gardé son sexe dans ma main tout en me positionnant très vite. Je me suis une nouvelle fois empalée sur lui et en quelques secondes, j’ai senti ses jets de sperme tapisser le fond de ma chatte.

Je me suis rendormie comblée.

Je n’ai pas de souvenir du reste de la nuit. Je me suis réveillée et je suis rentrée chez moi au petit matin sans réveiller Matt. Je ne voulais pas parler avec lui.

J’ai pris une douche bienfaitrice chez moi. J’avais besoin de laver mon corps, mais aussi de réfléchir. Je m’étais comportée comme une salope. J’avais joui comme une folle, réalisant mon plus ancien et plus grand fantasme.

Je ne suis pas tombée enceinte de Matt et je n’ai jamais été le revoir. Je suis heureuse avec Sam. Je ne lui ai pas tout raconté mais il sait que j’ai utilisé pendant une nuit entière un autre homme et que j’y ai pris du plaisir.

Le miracle a eu lieu naturellement et pour notre plus grand bonheur seulement quelques mois plus tard. Je suis tombée enceinte de l’homme de ma vie. Il faut dire que pendant ces quelques mois, Sam a tout fait pour me montrer qu’il était suffisamment capable de me satisfaire. Et il avait raison.

Sam évoque de temps en temps ce moment et nous ne manquons pas de faire l’amour. Il bande comme un fou ces fois-là et le souvenir m’excite aussi beaucoup mais ce n’est tout simplement pas moi. Je ne le referai jamais. J’aime trop Sam, la vie avec lui et notre adorable bébé.

Une seule chose a véritablement changé entre nous depuis cette aventure. Il profite de mon petit trou pour notre plus grand plaisir à tous les deux.

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