La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 692)
Eriliel au Château (suite de l'épisode 624) -
Doucement, nous arrivâmes à la salle à manger. Plusieurs esclaves étaient déjà occupés à mettre en place le repas. Monsieur le Marquis savança majestueusement avec un pas noble et dune grande élégance et alla sasseoir au bout de la table, moi je le suivis toujours au bout de la corde. Une fois assis, il se tourna vers moi. Je métais mis à genou, par terre, à côté de lui, la tête baissée et les mains sur les genoux.
- Cest bien chienne, tu vois quand tu veux...
Le Noble me tapota la tête comme on le ferait à un chien qui est sage, puis son attention se reporta sur le repas quune esclave noire entièrement dénudée et dune superbe silhouette plastique aux seins magnifiques et aux tétons annelés venait de déposer devant lui. Il mangea calmement, dabord une belle entrée avec du melon, quelques morceaux de tomate et de concombre. Lassiette avait lair délicieuse, et Monsieur le Marquis maccorda un morceau de chaque aliment quil me donna à becqueter du bout des doigts. Je mangeais chacun des morceaux, un sentiment étrange en moi. Cétait bon et doux, javais vraiment limpression dêtre comme un animal de compagnie à qui on accorde un peu de nourriture. Cétait bizarre comme sensation car cela me rendait honteuse, mais dune certaine manière cela mexcitait beaucoup dêtre traitée comme une chienne et mon bas-ventre réagissait par une douce et agréable montée de plaisir intérieur
Ce sentiment me troublait, javais les joues rouges, les yeux baissés et je sentais mes sécrétions sur le haut de mes cuisses. Dautres plats furent apportés et Monsieur le Marquis me les fit gouter à chaque fois. Je mangeais à chaque fois, silencieuse. Marie La cuisinière, que javais vue à mon arrivée, vint rejoindre un moment le Noble à table. Ils discutèrent un moment ensemble pendant que le Marquis prenait un dessert à lodeur de chocolat. Je nosai lever les yeux pour regarder ce quétait le dessert à la douce odeur, car jétais trop honteuse de moi-même dêtre dans cette position sans me rebeller et de surcroit, den apprécier une certaine excitation.
- Alors ma chère Marie, tu ne trouves pas quelle est plus douce et mignonne comme ceci ? dit-il, se doutant de mon trouble et sen amusant.
- Je trouve que cette place lui va mieux que sa fière et assurant allure, lui répondit Marie. Et puis, elle a lair déjà bien docile, se moqua-t-elle.
Cela fit sourire Monsieur le Marquis. Il indiqua ensuite la fin de son repas et quil prendrait une tisane dans la bibliothèque. Il se leva et tira sur la corde.
- Allez, viens chienne, dit-il en commençant à marcher.
Nous allâmes donc vers la magnifique et Grande Bibliothèque, cependant lallure était plus rapide et jeu du mal à suivre cette fois. Le Marquis dû tirer plusieurs fois sur la corde avec un regard réprobateur. Une fois arrivé, le noble alla sasseoir sur un confortable fauteuil style Louis XV et exigea de me mettre à genou comme je lavais fait durant le repas mais en écartant les jambes. Je me mis alors comme exigé sans attendre. Javais beaucoup mouillé durant le repas et cela devait se voir. Javais la tête baissée de honte et de gêne dêtre nue dans cette position. Certes, je létais aussi durant le repas, mais là, son attention était sur moi et je sentais son regard inquisiteur me détailler. Jétais fortement excitée et lorsque je lentendis se lever, cela augmenta dun cran si bien que mes tétons se dressèrent.
- Eh bien, cela à lair vraiment de te plaire dêtre à ta place, dit-il se mettant debout devant moi. Nous allons parler de ta situation maintenant. (Il se mit à marcher en tournant autour de moi) - Tu mas lair bien douce et en bonne forme. Tu ferais vraiment une belle chienne pour mon Cheptel.
Le châtelain sarrêta de parler, reprit son souffle et me dévisagea, puis une fois quil était derrière moi, il se pencha à mon oreille pour rajouter doucement.
- Réfléchis bien, vois lexcitation que tu ressens, à ce que tu as vécu depuis que tu es arrivée et à ladmiration que tu as ressentie devant cette grande toile
Il ne te reste quà honorer ton Maître et te mettre à Ses pieds ou te lever et repartir, dit-il en se plaçant devant moi de toute sa hauteur.
Je sentais son regard dominateur sur moi. Je ne bougeais pas, osant à peine respirer. Javais du mal à réfléchir à tout ce que cela impliquait et une petite voix dans ma tête me disait de me jeter corps et âme aux pieds de mon Maître, que cela avait toujours été ma place. Je fermai les yeux et inspira fortement pour me donner un peu de courage. Je levai la tête et regarda le Maître dans les yeux, avec mes yeux légèrement suppliants. Alors cest en balbutiant sur mes premiers mots que je me mis à parler dune voix craintive mais sincère :
- Je
Je
veux de
devenir votre chose, Maître, faites de moi ce que vous voudrez
Je me donne à vous et vous laisse libre de droit sur ma vie, mo esprit et mon corps, dis-je, la voix légèrement tremblante.
- Hmmm
Fort bien ! Alors lèche, Ma belle petite chienne, me répondit-il en avançant un de Ses pieds.
Je me penchai, alors en avant et lécha doucement du bout de la langue la chaussure du Maître. Ma langue léchait doucement le cuir. Jétais hésitante au début, puis comme lorsque javais léché ma propre mouille, je me concentrai sur ma tâche et lécha de plus en plus de bon cur et avec application.
- Viens ici petite chienne, tu vas lécher autre chose, dit-il en écartant les jambes pour me laisser de la place.
Je mavançai alors à quatre pattes et magenouilla devant Lui. Je défis sa braguette et lécha doucement son sexe à travers le tissu de son sous-vêtement, puis, je sortis son sexe déjà fort dur et dressé de lhabit. Je me mordillai la lèvre inférieure puis sorti la langue et lécha ce beau sexe de la base de la hampe jusquau gland. Je fis le tour du gland du bout de la langue puis le suçota sans marrêter de le titiller tout en aspirant ce gland violacé et gonflé. Je commençai à glisser sa noble queue un peu plus loin dans ma bouche, ma langue continuant de tournoyer sur cette verge aux veines saillantes et jentamai un mouvement de vas et viens avec une régularité la plus concrète possible. Je nallais pas trop loin, nayant jamais fait de fellation profondément en gorge profonde. Monsieur Le Marquis me laissait faire mais avait tout de même posé une main sur ma tête et me caressait affectueusement les cheveux, également avec une certaine régularité dans son tendre mouvement du haut de mon crâne jusquà une de mes oreilles. Je sentais une savoureuse douceur dans son geste caressant. Je posais les miennes soit une sur sa cuisse, lautre sur la base de son sexe que je masturbais délicatement... Jétais comme apaisée par sa main sur ma tête et je ne me posai alors plus de question, occupée à satisfaire mon nouveau Maître. Jétais toujours autant excitée, voir même plus, si cela était possible. Au bout dun moment, le plaisir ayant monté chez mon Maître, il prit ma tête et entra son sexe beaucoup plus profondément.
- Tâche de ne rien perdre ou il ten cuira chienne.
Javalai comme je pouvais et Monsieur le Marquis se recula légèrement pour finir de jouir aussi sur ma langue les dernières gouttes. Le gout était amer mais je préférai avaler promptement plutôt que ça déborde de ma bouche.
- Continue à nettoyer, dit-il après avoir sorti son sexe de ma bouche.
Je léchai avec attention sa belle queue pour bien la nettoyer lorsque Marie la cuisinière arriva dans la pièce pour apporter la tisane au Maître. Elle sourit en me voyant, sachant sûrement déjà que jallais accepter. Le Maître se leva et alla à son bureau. Il prit sur celui-ci un collier en cuir noir épais. Il me fit signe de mapprocher. A quatre pattes, je mapprochai de Lui, et une fois à sa hauteur je me repositionnai à genoux.
- Hmmm, bonne chienne, dit-il en me caressant de nouveau la tête, puis il me montra le collier. - Ceci sera à présent ton vêtement. La preuve de ton appartenance à Mon Cheptel. La preuve que tu es à Moi, tu deviens, de fait, désormais Mon entière propriété, tu mappartiens corps et âme. Tu devras toujours le garder sous peine de forte punition. Tu as compris, petite chienne ?
- Oui, Maître, je le garderai en permanence car je suis à Vous
- Le souhaites-tu vraiment de ton libre arbitre ? Que les choses soient bien claires : Tu acceptes donc en pleine connaissance de cause, en étant saine d'esprit à devenir ce que tu souhaites au plus profond de toi-même, être Ma soumise ?
- Oui je le désire plus que tout
- Oui qui ?
- Oui Maître
- Bien, Ma belle petite soumise, alors soit ce à quoi tu es destinée à être à Mes pieds
Tu es dorénavant et pour toujours Ma soumise et soit heureuse de ton état servile. Tu vis désormais uniquement pour un seul objectif qui doit te remplir de bonheur : Tu vis uniquement pour Me satisfaire. Ma satisfaction sera ton seul bonheur
Tu trouveras la complète plénitude de ton esprit et de ton corps par cette irrévocable réalité
Quil en soit ainsi
Monsieur le Marquis dit ces dernières paroles en passant le collier autour de mon cou et le ferma derrière ma tête et ainsi scella mon destin. Je dus tenir mes longs cheveux en lair le temps quil me lattache. Il fronça les sourcils en regardant mes longs cheveux.
- Marie, pourrais-tu tresser, avant de partir les cheveux de cette esclave ? Ils sont beaux, jaimerai quils restent longs, car une femelle aux cheveux longs fait beaucoup plus ressortir sa belle féminité. Mais ce soir ils vont me gêner, dit-il en regardant Marie sapprocher.
Marie la cuisinière me tressa alors les cheveux en une natte allemande. Elle prit un malin plaisir à les tirer fort, ce qui me fit serrer les dents. Javais donc tous les cheveux tirés en arrière sauf quelques mèches plus courtes qui encadraient mon visage. A la fin, Marie tourna la tête vers Monsieur le Marquis qui semblait satisfait du résultat. Il lui fit donc signe quelle pouvait disposer. Le châtelain caressa alors la tresse de sa main. Il sorti ensuite dun tiroir un petit objet. Je compris quil sagissait dun plug pas très épais mais je nosais deviner où il allait le mettre. Il se pencha vers moi et prit mes lunettes quil posa doucement sur le bureau.
- A quatre pattes Ma petite chienne, mordonna le Maître.
Une fois positionnée ainsi, il se mit derrière moi et humidifia le plug avec mes sécrétions en le faisant pénétrer dans mon vagin trempé et caressa en même temps le haut de mon cul et lentrée de mon anus. Puis, tandis quil me caressait les fesses, il inséra dans mon anus le plug fin. Je gémis mais vu comment jétais mouillée et que le plug en était copieusement lubrifié, cela rentra facilement. Je sentais, toutefois, que la base était plus épaisse et écartait mon anus serré. Le Maître me caressa un peu le clitoris et entra deux doigts en moi, me faisant gémir. Je reçus une claque sur le cul et compris que je devais me taire. Il les retira de mon sexe et sessuya sur mes joues. Puis, il alla sasseoir.
- Ce soir, je vais lire un peu et tu vas me servir de repose pieds, alors ne bouge pas.
Je me glissais sous le bureau où je pensais que cela serai plus agréable pour lui de poser Ses pieds sur mon dos. Il prit alors un livre, ajusta un peu son siège et posa les pieds sur mon échine dorsale. Jessayais de bouger le moins possible. Javais peur de lâcher au bout dun moment, mais je tins bon, la tête baissée, les yeux légèrement fermés, je réfléchissais. Javais limpression que le fait davoir accepté dêtre à Lui avait débloqué ou ouvert quelque chose en moi, comme une paradoxale liberté, une sensation dun bien-être incroyable. Jétais calme et sereine bien quencore troublée et légèrement honteuse dêtre ainsi, à quatre pattes à servir dobjet, un plug dans le cul, nue, un collier au cou
. Mais cétait bon
Je sentais mes sens être poussés au maximum, ma mouille glissait sur mes cuisses et je cambrai bien le dos pour que les jambes de mon Maître soit le plus à laise possible
Jétais, dune certaine manière, bien aux pieds de mon Maître, malgré la douleur naissante dans mes bras et mes épaules. Javais ce sentiment dune délicieuse extase qui irradiait mon esprit et mon corps. Monsieur Le Marquis lu longtemps dans le silence de la pièce et je me demandais ce qui mattendrais ma première nuit de soumise au Marquis dEvans
Mais désormais, oui je savais que javais enfin trouvé la seule place qui, à lévidence, était naturelle dans lordre des choses, cette place était naturellement à Ses pieds
(A suivre
)
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