Le Gîte Naturiste. 4 Ème Chapitre. 2 Jeunes Filles Veulent Se Faire Dépuceler Par Le Quinqua
HISTOIRE INTERACTIVE.
Les aventures dAnne et Patrick racontées par les deux protagonistes.
Vous êtes lecteurs de cette histoire mais si vous le voulez, vous pouvez aussi en être un des protagonistes. Il vous suffit de vous identifier à une des personnes présentes ou den créez une que je rajouterai dans le récit. A vous de voir si votre personnage vivra une histoire indépendante ou avec lun des 2 protagonistes
A vos claviers !!! en cherchant un peu vous trouverez mon mail sur ce site.
Ps ; Un couple sest joint à nous, (couple libéré) au chapitre précédent et « lovebit » vient de nous rejoindre.
LE GITE NATURISTE
Chapitre 5
PATRICK
Vive le naturisme !!!
Je ne sais pas si ça se passe toujours comme ça ou si cest dû à ma queue un peu plus grande que la moyenne mais je nai même plus besoin de draguer.
Les filles, (et même les hommes) se précipitent sur ma bite. Ca ne fait pas 2 jours que je suis là et jen suis à ma deuxième conquête, je vais aller les rejoindre ce soir dans leur chalet et on verra bien. Mais je crois quelle nattend que ça !
Ce qui me gêne un peu, cest que jai remarqué que le groupe de jeunes nest jamais bien loin de moi, on dirait quils me pistent.
Jai découvert quil y avait une activité tir à larc et je pratique ce sport à un bon niveau dans un club. Je my rends et tire quelques flèches, les jeunes sont là aussi mais sy prennent en dépit du bon sens. Je leurs demande sils veulent bien de mes conseils et comme ils sont daccord, je leurs montre les gestes et les manières de faire. Je me positionne derrières eux pour corriger leurs postures.
Je suis quand même un peu gêné de me serrer contre eux pour reprendre leurs mauvais gestes.
Je moccupe maintenant dune fille assez grande belle à croquer aux petits seins fermes et me colle à ses fesses pour laider à armer larc, ma main à coté de la sienne sur la poignée et lautre sur la main qui tire sur la corde en la conseillant :
-Tu dois écarter un peu plus les jambes, te tenir bien droite les bras à lhorizontal et bander larc, ta main doit venir au visage mais fais attention à ton sein, tu nas pas de plastron et si la corde en accroche la pointe, tu vas avoir sacrément mal.
Je ne sais pas ce qui marrive, ces termes que jemploie souvent avec les jeunes du club prennent un autre sens quand lélève est une admirable jeune fille complètement nue entre mes bras.
Entre chaque flèche, elle se trémousse contre mon corps, indépendamment de ma volonté, ma queue gonfle, se redresse jusquà se trouver stoppée dans son ascension dans le compas ouvert de mon élève.
Elle sent quelque chose qui la gêne, baisse les yeux et voit dépasser entre ses cuisses ma verge.
Elle me regarde ensuite avec un drôle de sourire et serre les cuisses.
Je me recule, lui fais mes excuses et méloigne, tout honteux, ne sachant plus ou me mettre sous les regards de tous ces jeunes.
Quest-ce quils vont penser de moi ?
MARGOT par « lovebit »
Je nen reviens pas !...
Depuis que lon a surpris « le vieux en pleine forme », je ne pense quà ça, pouvoir « toucher » un tel organe. Et voilà que ça cest fait tout seul !
Quand il a proposé de nous initier au tir à larc, jétais aux anges, jai parié à voix basse avec ma copine que jarriverais à le faire bander quand jai vu comment il se mettait derrière les autres.
Cest mon tour, il se positionne derrière moi, je fais exprès de mal faire, écartant les bras de mon corps pour le forcer à se serrer encore plus contre moi.
Je sens son corps contre le mien, la bosse de son bas ventre touche de temps en temps mes fesses. Je me baisse pour prendre une autre flèche, frottant mon popotin contre son pubis, prolongeant le plus longtemps possible le contact.
Je remarque un début de réaction, je sens durcir son sexe contre ma cuisse gauche, son engin continue sa croissance et frotte maintenant entre mes 2 jambes, forçant le passage de mes cuisses pour apparaître en bas de mon ventre, butant sur ma chatte qui lempêche de sélever plus haut. Je resserre un peu mes jambes, emprisonnant limpressionnant mandrin.
Jy suis peut-être allé un peu fort, il se recule et senfuit, bafouillant des mots dexcuses.
Sylvie sexclame :
-Putain, tu na pas fais dans le détail ! Il bandait comme un taureau et cest encore plus impressionnant vu de près ! Tu veux toujours quil te dépucelle pour ton anniversaire ? La bougie risque dêtre un peu trop grosse pour tes 18 ans !
Je lui rétorque :
-Si une « vieille » peut le faire, je ne vois par pourquoi je ny arriverais pas !
Ça fait deux jours quil nous évite mais je veux forcer le destin. Avec Sylvie, nous avons déjà joué à touche pipi avec les garçons du camp mais navons jamais osé aller plus loin.
Nous nous sommes promis que cette année serait la bonne. Jai réussis à la décider que quitte à y passer, autant que ça soit avec un homme expérimenté plutôt quavec un blanc-bec à petite bite.
Maintenant, il faut trouver un moyen et je crois avoir trouvé lequel. Il semblerait quil fréquente assidûment Anne, une habituée du gîte et je sais quelle est assez jalouse de ses conquêtes. Je vais le faire chanter
Sylvie et moi lépions, il vient de gagner la tente qui abrite le billard, lendroit est désert, je laborde et lui mets le marché en main.
-Salut Patrick, on a quelque chose à te demander, tu vas nous prendre pour des folles ou des petites putes mais on veut faire lamour avec toi. Sinon on dit à Anne que tu te fais Stéphanie, et même Léo, on vous a espionné et on a filmé avec nos Smartphones.
-Bande de petites salopes
Je ne sais pas ce qui me retient
Vous me tenez
Je cède parce que je nai pas le choix mais je vous préviens que je ne vous ménagerez pas ! Vous allez vous en souvenir toute votre vie, je vous le promets !
Il reprend :
-Bien, Margot, tu sais ty prendre pour me faire bander alors action !
Le cur battant je tends ma main et la dépose sur le membre, mes doigts enserrèrent sa queue, jimprime à mon poignet des mouvements davant en arrière qui glisse sur la peau fine de la hampe, la consistance molle se transforme rapidement en un tuyau rugueux recouvert dun revêtement soyeux sous mes doigts, le gland violacé pointe à lextrémité quand je le décalotte.
Je mouille, un torrent de cyprine déferle dans ma chatte et suinte sur mes cuisses tel un ruisseau sauvage.
Sylvie veux saisir sa queue qui séchappe de mes doigts et bondit vers son ventre. Il lui ordonne :
- Prend-là et décalotte le gland, tire le prépuce en arrière
Nais pas peur ça ne me fait pas mal.
Son gland apparaît en entier, gros comme un champignon, je nen reviens de la différence de taille avec celle de Jean, son gland fait bien le double en longueur et en épaisseur.
-Vous pouvez vous y mettre toutes les deux, il y a la place !
Je le regarde dans les yeux et lui obéis, nous joignons nos deux mains sur son chibre et commençons une sarabande folle, ses couilles, son gland, sa hampe, tout y passe !
Une goutte perle de la fente, translucide, je me jette dessus pour la happer de la langue
ne voulant surtout pas laisser perdre ça.
- Vous allez me faire jouir les filles !
- Tu veux quon te suce?
-Je nattends que ça, ouvrez bien la bouche, jai envie dune bonne pipe !
Il sest assis sur le bord du billard et en profite pour mettre ses mains dans nos chattes détrempées.
Ses doigts fouillent notre intimité, nous gémissons en cur, ses doigts restent en
surface excitant nos clitoris sans chercher à trop sintroduire, un clapotis significatif lui indique que nous sommes lubrifiée à souhait.
Je respire fort confrontée à limposante verge bandée, je ressens les battements de mon cur dans ma chatte et ma poitrine.
Mes doigts étroitement serrés autour de son membre ne peuvent se fermer complètement à sa base.
Je pose mes lèvres à lextrémité du gland, darde ma langue, lèche la peau si fine. Il mencourage :
- Ooohhh! Cest divin! Prend-là dans ta bouche ! Suce-la ! Tu en meurs denvie. Ooohhh !!!
Graduellement, mes lèvres glissent sur le gland puis sattaque à la hampe, absorbant centimètre après centimètre cette colonne sans fin.
Les yeux fermés, je commence à sucer sa queue à la rigidité fabuleuse qui devient de plus en plus dure.
Mais Sylvie simpatiente et je dois lui céder la queue de Patrick.
Elle avance son visage vers la colonne charnue, écarte les mâchoires autant quelle peut pour prendre en bouche la queue énorme. Le gland trigonocéphale pointe de façon obscène vers le haut, elle le gobe enfin.
Des bruits obscènes de succion emplissent la tente mélangés à ses gémissements.
Ses doigts sont serrés comme ils peuvent à la racine de son membre. Elle secoue vigoureusement le mandrin tout en avalant le plus quelle peut, faisant tournoyer sa langue autour du gland.
Je me bats avec elle pour reprendre la flamberge et essaie de faire encore mieux pour lamener au point de non-retour.
Je pompe ce grand manche du mieux que je peux, mes joues déformées par sa raideur fantastique. Ma main sest transformée en un piston qui sactive de plus en plus vite sur sa bielle gigantesque. Je suis impatiente quil décharge dans ma bouche, davaler tout le sperme dégorgé
-Je vais juter les filles, approchez vos bouches
Hhhmmm
Je vais tout lâcher ! Vous êtes 2 suceuses fantastiques !
Nos lèvres frôlent le gland congestionné, son corps se raidit quand un geyser sélève devant nos yeux éblouis, une source blanche jaillit du méat.
Comme dans un ralenti, son sperme jaillit avec la même puissance que dans mon souvenir atteignant mes cheveux, puis mon visage, il se tourne vers Sylvie pour quelle ait droit, elle aussi au baptême de son foutre, il dirige alors sa bite alternativement devant nos bouches pour que nous récupérions une partie du précieux nectar.
La puissance déjection du sperme est encore si forte quelle englue le fond de ma gorge et que je métouffe presque en déglutissant.
Ses derniers jets maculent nos poitrines.
Ce nest pas la première fois que nous dégustons du sperme, on est quand même pas des oies blanches. Mais je sien a un goût assez fort qui ne me déplais pas et la dose a été copieuse, pourtant la plupart sest perdue sur nos corps.
Il nous félicite :
- Bravo les filles! Cétait génial avec vos 2 bouches! Mais fini de jouer, passons aux choses sérieuses, vous êtes mouillées juste comme il faut
..
PATRICK
-Couchez-vous sur le billard, les jambes dans le vide
Avant daccéder à votre demande, il faut que jexplore un peu vos grottes pour savoir si un train est déjà entré dans le tunnel !
Je passe mes mains sous les cuisses de Margot pour porter sa petite chatte à hauteur de ma bouche, mes lèvres embrassent ses lèvres intimes, jinsinue ma langue au plus profond de la vulve, je doigte son fourreau étroit
Elle ne ma pas menti, lhymen est bien là !
Sous mes doigts et ma langue, jobtiens mon premier tribu sous ses couinements :
- Houaaaaa
. Que cest boooooonnn !!! Ouiiiii !!! Je coule, je mouille !!!
Je me délecte de ce nectar, la cyprine coule à flot dans ma bouche
.
.
- A toi maintenant Sylvie, viens voir « docteur Patrick » !
Je pose ma bouche encore dégoulinante du jus de chatte de sa copine sur sa vulve pour le même exercice, là, petit contrôle de Doc. Jai bien 2 jeunettes à dépuceler !!!
Par contre, je dois memployer plus longtemps avec toute ma science pour avoir droit à sa liqueur. Elle mouille moins que Margot. Ma langue goutte sa rosée un peu plus sucrée mais moins abondante.
- Qui veut commencer, les filles?
- Toi
Non toi, passe la première
Elles se renvoient la balle, pleines dappréhension au moment fatidique. Margot prend son courage à deux mains et se décide :
- OK, je me dévoue mais tu me soutiens, hein, Sylvie ?
-Compte sur moi et ne te dégonfle pas! La rassure-t-elle.
Je leur demande :
-Jespère que vous avez prévu le coup, je veux bien vous déflorer mais il est hors de question que je le fasse sans préservatif, je ne veux pas vous mettre en « cloque » !
Elles me répondent que oui et Sylvie va chercher des condoms disposés à cette effet dans un petit meuble, déchire avec les dents lemballage et séchine, pleine dinexpérience à le dérouler sur ma verge.
Je mécrie :
-Mais quest-ce-que tu tiens ? Fait-voir lemballage
Taille L, tu nas pas trouvé plus grand ?
Il fallait sy attendre, comme souvent quand on vous propose des capotes en distribution libre, il ny a que le modèle commun à 95% des hommes, mais moi je me chausse en XXL !
Je lui donne un coup de main pour la mettre, le préservatif ne couvre quune partie de mon chibre mais le plus chiant cest que ça étrangle ma verge à la base du condom.
Vous connaissez leffet que ça a sur une bite ? Le sang est pulsé dans les corps caverneux sous pression et a du mal à circuler ce qui fait que vous avez la teub plus dure et plus grosse, enfin, elles lon voulu !
Résolue, Margot se rallonge sur le dos, écarte les jambes, me présentant son petit con entrebâillé en minformant dune voix tremblante :
- Je suis prête
.
Fin du cinquième chapitre.
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