A La Découverte De Mon Amie Martine 1/2
J'ai maintenant des souvenirs en commun avec mon amie Martine:
Chez elle nous avons fait l'amour avec deux techniciens, à cette occasion après bien des hésitations elle a cocufié son mari pour la première fois.
Ensuite ensemble nous avons satisfait les exigeances sexuelles d'un homme de passage dans la ville, ce qui l'a amenée à faire certaines choses qui ont contribuées à la libérer.
Maintenant elle a un amant attitré (un black fortement membré) qui la mets dans un état pas possible lors de leurs ébats. Et elle en prend d'autres qu'elle garde d'une journée à plusieurs mois suivant qu'ils font l'affaire ou pas.
Mais ce qui l'a le plus marquée c'est qu'à un moment je l'ai un peu caressée surtout au niveau de son sexe. Ce qui lui a donné envie d'avoir une relation avec une femme et elle a jeté son dévolu sur moi.
Je ne penche pas du tout du côté lesbienne et je commence à comprendre qu'elle doit être bisexuelle alors qu'elle même n'en avait pas conscience jusqu'à maintenant.
Dorénavant à chaque fois que l'on se voit Martine me harcèle.
<<tu as réfléchis à ma proposition, tu ne vas pas me laisser tomber>>.
<<je ne suis pas lesbienne ni bisexuelle, cherche une femme que cela intéresse>>.
<<non, c'est avec toi que je veux essayer car j'ai confiance en toi et tu sais ce qu'une femme désire pendant une relation sexuelle>>.
Je refuse longtemps puis un jour je capitule car elle s'obstine et est connue pour son entêtement.
<<bon, d'accord, la semaine prochaine on couche ensemble, ce ne sera pas forçément ce que tu attends mais il faut aussi que je trouve des accessoires car je ne me vois pas faire l'amour sans pénétration>>.
Cette perspective la rend euphorique et sans réfléchir elle m'embrasse sur les lèvres.
Dans la semaine elle vient me rendre visite, nous ne parlons pas du sujet brulant mais je la sens impatiente.
J'achète deux godes (un pour la chatte et un pour l'anus qui avec sa collerette et ses différences de diamètre reste en place et ne peut pas disparaître dans le cul), je trouve également des carottes de différente tailles.
J'arrive chez elle, elle m'ouvre la porte tout sourire et vêtue élégamment.
Elle veut me faire la bise, je passe mes bras autour de son cou, me colle à elle et pose mes lèvres sur les siennes, j'introduis ma langue dans sa bouche et commence à la faire bouger dans tous les sens. Surprise elle ne réagit pas tout de suite puis elle m'enlace et répond à mon baiser. Nos langues se cherchent et se mêlent.
J'y mets de la passion et fais durer le baiser.
<<je ne comprends pas d'habitude on se fait la bise>>.
<<la bise c'est entre amies, entre amants comme aujourd'hui c'est différent. Quand tu te fais sauter par un homme est ce que tu te contentes de baisers sur les joues>>.
<<tu as raison, je n'avais pas réfléchi à ça>>.
Elle est décontenancée et je lui demande de nous servir un verre d'alcool pour faire monter la température dans son corps et qu'elle se sente plus libérée.
Assises côte à côte sur le canapé je caresse ses joues puis longuement sa poitrine et ensuite ses cuisses, ça lui fait de l'éffet: ses narines frémissent et ses yeux brillent.Timidement elle essaie d'en faire autant sur moi, je la laisse faire un moment pendant que la moiteur envahit mon intimité.
Je décide qu'elle est assez échauffée et je me lève.
<<si tu veux on va passer aux choses sérieuses maintenant>>.
<<on fait ça ici sur le canapé ou sur la moquette>>.
<<non, si je fais cocu ton mari c'est dans son lit>>.
<<salope tu ne manques pas d'air>>.
Une claque violente s'abat sur sa cuisse. Elle pousse un cri mais ne se rebelle pas.
<<tu ne me parles pas comme ça, c'est toi qui est une petite salope et dorénavant je vais t'appeller comme ça.
<<non, pardonnes moi, j'ai méritée que tu me frappes>>.
Je la prends par la main et lui demande de me mener à sa chambre. Elle le fait sans dire un mot, troublée les joues empourprées car elle appréhende la suite.
Debout je l'enlace, je l'embrasse et cherche sa langue. Elle répond avec fougue à mes baisers en passant ses bras autour de mon cou.
Je m'attaque à son chemisier que je jette au sol, son soutien-gorge prend le même chemin.
Je caresse sa poitrine, mes doigts agacent et tordent les tétons pendant qu'elle soupire.
Ma bouche et ma langue viennent embrasser et lêcher ses seins. Mes dents mordillent et nt les tétons qui sont érigés. Elle gémit.
Je dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds, je baisse son string qui est très humide et le fais glisser le long de ses jambes qu'elle soulève pour que je le débarrasse du vêtement devenu inutile.
Je caresse longuement son ventre et ses cuisses puis ma main éffleure son sexe déjà bien mouillé.
<<petite salope tu ne fais pas semblant quand tu mouilles>>.
<<j'ai beaucoup d'envies depuis ce matin>>.
J'arrête les caresses.
<<à toi, montres moi ce que tu sais faire>>.
Elle retire mon maillot et mon soutien-gorge et s'inspire des caresses que je lui ai faites.
Je constate qu'être caressée par un femme ou un homme est très différent. Les hommes sont plus brutaux et virils et les caresses des femmes sont plus douces.
Elle s'attaque à ma jupe et mon string et caresse mon ventre, mes cuisses et mon sexe.
<<tu n'es pas en reste côté mouillure>>.
Une claque sur une de ses fesses.
<<je me passes de tes commentaires petite salope>>.
<<excuses moi>>.
<<tu n'as pas un caractère de meneuse, restes dans le rôle de soumise qui te va bien sinon je vais te punir à chaque dérapage>>.
Mes paroles ne semblent pas la troubler.
Ma main étant sur son sexe je constate qu'elle mouille de plus belle et que j'ai bien cerné sa personnalité.
Je la pousse sur le lit et me couche sur elle. Un long baiser nous unit pendant que je frotte mon pubis contre le sien et que ma poitrine écrase la sienne.
Le désir monte dans mon ventre.
J'embrasse et lèche son corps en partant de sa figure, en passant par sa poitrine, son ventre et ses cuisses. Aux mouvements de son corps je constate que ses tétons sont très sensibles.
Je m'allonge tête-bêche sur elle.
J'embrasse son sexe à l'épaisse toison brune. Elle écarte les cuisses, ma langue pénètre sa chatte et l'explore longuement, elle frémit. Je caresse son anus puis y enfonce un doigt, je m'évertue à agrandir son orifice. En même temps ma main libre masturbe violemment son clitoris.
Martine embrasse et lèche mon sexe, ses mains écartent les lèvres de ma chatte et sa langue s'insinue à l'intérieur et la fouille dans tous les sens. Elle caresse mes cuisses et mes fesses.
Ses fesses remuent de plus en plus et comme je m'y attendais le plaisir l'emporte très vite, prise de spasmes elle atteint l'orgasme et des jets de cyprine éclaboussent ma figure.
Je me déplace et je l'embrasse afin qu'elle profite de l'odeur et du goût de ses secrétions.
Pendant que je caresse son corps, elle lèche et embrasse ma poitrine puis martyrise mes tétons avec ses doigts et ses dents. Je lui parle, je lui montre comment me masturber et lui dis qu'elle doit s'occuper de mon anus (dont j'interdis l'accès aux hommes mais elle n'en est pas un donc je ne faillis pas à la promesse que j'ai faite à mon mari: aucun mâle autre que lui ne doit y pénétrer).
Je suis allongée sur le dos, un coussin sous les fesses pour les surélever, elle lèche tour à tour mon sexe et mon anus et me doigte la chatte et le cul avant de martyriser mon clitoris. Les envies augmentent rapidement en moi. Elle insiste jusqu'à ce que mes fesses se soulèvent et que agitée de tremblements l'orgasme m'emporte accompagné des jets de liquide qui sortent de mon intimité.
Je l'embrasse, le goût et l'odeur de nos mouillures se mélangent dans nos bouches. Elle répond avec fougue à mes baisers que je fais durer.
Nous nous caressons partout en insistant sur les endroits les plus sensibles, le plaisir remonte dans nos corps puis nous commençons un 69 ce qui nous excite encore plus.
Un de mes doigts ne quitte plus son cul dont l'orifice s'est élargi, La masturbation de son clitoris l'amène encore à la jouissance. Je continue à lêcher son intimité ou à la masturber.
Comme elle en fait de même sur moi et que le plaisir ne faiblit pas j'ai un orgasme et ma cyprine éclabousse son visage juste avant qu'elle ne jouisse à nouveau.
Je quitte le lit pour récupérer les choses que j'ai amenées dans un sac.
Je lui donne un gode pour qu'elle s'occupe de ma chatte avec.
J'écarte ses fesses et lui met l'autre gode dans le cul. Pendant qu'elle me défonce le vagin avec le faux pénis j'en fais autant en me servant des carottes en commençant par la plus petite pour finir par la plus grosse quand sa chatte est en mesure de l'accepter. régulièrement je fais coulisser le gode qui est dans son anus en même temps que la carotte qui emplit son vagin. Les mouvements désordonnés de son corps me gênent pour ce que je fais subir à ses orifices
Elle gémit et râle de plus en plus puis elle commence à avoir des orgasmes à répétition et ne s'occupe plus de me goder que quand elle redevient lucide ce qui dure de moins en moins longtemps.
Pendant que je la défonce je me masturbe le clitoris jusqu'à l'orgasme car mes envies sont très fortes.
Je ne compte pas le nombre d'orgasmes qui emportent de plus en plus vite Martine, son corps s'agite en permanence et ses gémissements ne arrêtent plus, la cyprine qui s'écoule de son vagin semble intarissable.
Finalement j'ai affaire à un corps qu'elle ne contrôle plus car elle est dans un état comateux alors après l'avoir fait jouir une dernière fois je la laisse se remettre, le gode qui tient bien en place est toujours dans son cul.
Je me lave dans la salle de bain puis je vais dans la cuisine nous servir un verre d'alcool.
Je bois le mien et je retourne dans la chambre. Je soulève la tête de Martine et lui fais boire des petites gorgées d'alcool, elle tousse et s'étrangle.
Progressivement elle reprend du poil de la bête et commence à me parler:
<<tu m'as tuée, j'ai eu beaucoup de plaisir, plus qu'avec un homme, tu m'as bien fait l'amour mais je n'étais plus capable de te donner du plaisir>>.
<<ce n'est pas grave du moment que tu as eu ce que tu voulais, vas prendre une douche ça te remettra et garde ce que tu as dans le cul>>.
<<je le retire quand>>.
<<demain matin s'il ne te gêne pas trop>>.
<<d'accord puisque tu le veux>>.
Elle se lève et va dans la salle de bain la démarche mal assurée.
Rhabillées et assises sur le canapé nous buvons un verre, Martine pose sa tête contre mon épaule amoureusement, je caresse sa joue.
<<j'ai bien aimé faire l'amour avec toi Laure, tu es douée mais la prochaine fois il faudra que je m'occupe plus de toi avant que tu me fasses trop jouir>>.
<<tu as pris du plaisir et c'est ce que tu voulais alors c'est bien>>.
<<souhaites tu autre chose pour la prochaine foi>>.
<<si tu es d'accord dès nos prochains ébats je vais te conditionner au rôle de soumise qui va bien avec ton caractère>>.
<<Tu parles de dressage et je pense qu'il y aura des punitions, que tu risques de me frapper>>.
<<tu as bien compris mais je ne t'imposes rien, si tu ne veux pas tu le dis et on fait juste l'amour comme deux bisexuelles>>.
<<je suis partante, quand j'étais je cherchais à me faire punir et une fois la souffrance passée j'en retirais du plaisir. L'amant que j'ai gardé le plus longtemps était assez brutal et me frappait les fesses et les cuisses pendant que nous faisions l'amour et j'ai été déçue quand il a quitté la région>>.
<<finalement tu as beaucoup de défauts, il y a longtemps que tu aurais du te libérer et céder à tes pulsions>>.
<<tu as certainement raison, j'ai une question à te poser et ça un rapport avec un de mes fantasmes>>.
<<dis toujours>>.
<<tu as déjà fait ça pour de l'argent>>.
<<pour être franche avec toi, oui j'ai tapiné dans les bois en bordure d'une nationale et ça m'a amusée. J'ai eu des rapports tarifés avec des hommes dans des hôtels ou chez eux. Pas pour l'argent mais parce que c'est mon tempérament>>.
<<je rêve de ça mais je n'ose pas franchir le pas>>.
<<je ne veux pas te conseiller car c'est passer de l'état de salope à celui de putain et c'est une décision personnelle et je suis mal placée>>.
<<tu as raison je vais bien réfléchir>>.
Je lui donne mes instructions pour la fois suivante et elle rougit car elle est surprise par mes souhaits.
<<tu es exigeante et en plus tu me prends pour une chienne, tu es sérieuse>>.
<<comme je te l'ai dit tu peux refuser je ne veux pas te forcer à faire quelque chose qui ne te convient pas>>.
<<tes demandes sont surprenantes mais je vais faire en sorte de les satisfaire, c'est excitant>>.
<<je ne doute pas de toi et le terme "petite salope" te vas comme un gant>>.
Nous échangeons un long baiser ou nos langues se livrent un combat acharné puis je la quitte avant de la recevoir le surlendemain comme une amie cette fois.
Moi qui a l'habitude d'être punie et frappée par mon mari pour mes écarts de conduite, je vais prendre du plaisir à maltraiter Martine lors de nos rencontres amoureuses.
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