La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 694)

Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode précédent N°690) -

La grosse berline noire roulait depuis plus d'une heure quand tout à coup, elle s'approcha d'un haut et grand portail constitué d’une grande grille en fer forgé, faisant suite à un très long et haut mur de propriété qui longeait déjà depuis quelques minutes la route départementale que nous suivions. On pouvait deviner au centre de cette grille, des deux montants, le blason des Evans soit 2 lions en fer forgé qui se regardaient avec entre eux, les Initiales M D E, Olivier osa demander au chauffeur, ce qu’elles signifiaient :

- Il s'agit des Initiales de la Noble famille des Evans et donc du Maitre des lieux, Monsieur le Marquis d'EVANS. Tu vas bientôt faire sa connaissance, il tient à accueillir personnellement les nouveaux arrivants.

Olivier remarqua aussi les caméras vidéo de surveillance, visiblement Monsieur le Marquis prenait sa sécurité très au sérieux, ce qui peut se comprendre, vues les richesses que doit posséder son Château. La voiture roula encore sur une allée centrale de graviers rouges, et de part et d'autre on pouvait apercevoir le vaste parc du Château. Olivier reconnut plusieurs espèces d'arbres plus que centenaires : Un cèdre du Liban, des pins parasols, des chênes, platanes et marronniers et plus loin, il lui sembla reconnaitre des allées de hauts buis qui avaient l'air de former un immense labyrinthe naturel et taillé sur mesure. Au bout de l'allée, on distinguait plusieurs bâtiments, mais le plus imposant était à l’évidence le Château de Monsieur le Marquis flanqué de plusieurs tours, il était tout simplement majestueux, imposant... Un grand perron devant le large parvis, tels ces escaliers de pierres majestueux amenant à la grande et double-porte d'entrée principale. Il y avait, de chaque côté aux pieds de ces escaliers, deux grandes et hautes statues en bronze représentant pour chacune d’elle, un lion dressé sur ses pattes arrières scellées dans leur socle, les pattes avant en l’air, montrant des griffes finement sculptées.

Statues hautement placées sur leur socle et ces lions semblaient rugir des flammes par leur gueule grande ouverte ! (les deux lions étaient le symbole des Armoiries des Evans).

D’autres bâtiments étaient flanqués plus loin, un bâtiment très long et haut mais sans étage et à la toiture pentue d’ardoise noire, avait l'air de servir de vastes écuries ou de granges car on y apercevait aussi de nombreux box pour les chevaux. Un autre immense aussi servait très certainement de hangar ou de garages, car quelques portails étaient ouverts et on distinguait des voitures anciennes garées mais aussi des voitures actuelles, tel une porsch, une Ferrari rouge et une Rolls-Royce. Il y avait aussi deux autres bâtiments dont olivier ne put déterminer l'usage mais ils ressemblaient à d’anciennes fermes aux fenêtres à colombages. On pouvait aussi apercevoir une petite maison, celle du garde-chasse peut-être ? et qui se situait tout au fond du parc. Monsieur le Marquis avait visiblement une grande propriété, sans compter ses Terres, forets et étangs. Tout respirait la rigueur, la propreté des lieux, les nombreuses pelouses bien tondues. Tout avait l'air à sa place pour décorer ces pelouses, comme par exemple les fontaines, les statues antiques, ainsi que les nombreux et magnifiques massifs de fleurs… Emilie, la voisine d’Olivier dit alors :

- Vous allez voir, vous allez apprécier votre séjour. Surtout un conseil en tout point, écoutez bien ce que va vous dire le Maitre des lieux, car sa parole est une pure bénédiction, quoi qu’il vous dise, buvez ses mots, même si ceux-ci sont reprochant ou complimentant, savourez le fait qu’il daigne vous parler...

Olivier entendit bien sa remarque, il était là en tant que patient avec un courrier à destination de Monsieur le Marquis, alors il ne comptait pas faire un esclandre, face à ce grand personnage aussi important … La grosse berline noire s’arrêta enfin devant l’imposant perron. Walter indiqua :

- Vous pouvez sortir. Dirigez-vous tous les deux vers la porte d’entrée, Marie, notre chère Cuisinière, va vous accueillir …

Olivier et sa passagère quittèrent donc la voiture et montèrent les larges escaliers du perron et se dirigèrent vers la porte qui, à l’instant, s’ouvrit. Une femme de forte opulence et d’apparence sévère apparut et d’un ton autoritaire elle leur dit :

- Bonjour, dépêchez-vous de récupérer vos affaires, Monsieur le Marquis vous attend. Il veut échanger quelques mots avec tous les arrivants, comme il le fait toujours… Allons pressez-vous, on ne fait pas attendre plus longtemps un homme aussi important …

Olivier entra prestement ainsi qu’Emilie qui fit de même et c’est ainsi qu’ils rentrèrent dans le vaste hall d’entrée. Ils remarquèrent de suite, l’impressionnant lustre de cristal magnifique ainsi que la qualité de la décoration. Olivier fut très impressionné. En revanche, pas question de traîner à admirer la riche décoration car la matrone les pressa avec autorité :

- Allez, allez, on se dépêche ! Monsieur le Marquis vous attend dans son bureau, Walter récupérera vos valises dans le coffre de la voiture et les apportera… il connaît vos numéros de cachots …

Olivier allait dans un instant se trouver enfin en présence de Monsieur le Marquis d’Evans. Son cœur battit la chamade, il ne pouvait s’empêcher de considérer que cette rencontre allez changer sa vie. Monsieur le Marquis les attendait debout juste devant son vaste bureau marqueté. Dans un costume parfaitement taillé et de très bonne facture, il avait les bras croisés, la tête haute, le regard imposant, bref un charisme qui intimidait beaucoup les deux nouveaux arrivants. Malgré les fauteuils présents dans le bureau, il ne leur proposa pas de s’assoir, le ton, l’ambiance était donnée :

- Bonjour à tous les deux, vous êtes ici chez moi donc je vous demanderais de respecter les usages et les obligations de Ma Demeure ancestrale. Vous devez respect et totale obéissance aux personnels du Château. J’ai entière confiance en eux et ils m’assistent depuis des années et donc sont aux faits de Mes méthodes… Certaines zones indiquées du Château vous sont formellement interdites … Vous, jeune homme, venez ici, pour la première fois, je vous recevrai demain matin en tête à tête. Vous êtes ici pour le stage 1, c est à dire que nous allons vérifier vos prédispositions. Demain, vous allez subir une visite médicale complète en Ma présence… Pour vous, Mademoiselle Emilie, c’est la deuxième fois donc vous êtes en stage 2, alors nous avons déjà vérifié, vos prédispositions, si vous êtes de nouveau parmi nous, c’est que j’ai jugé que vous avez un potentiel non négligeable à la soumission. Mais tout d’abord, voyons si vous avez retenu la leçon lors du premier stage :

A ce mot Monsieur le Marquis claqua des doigts en regardant Emilie puis s’adressant à Olivier, il lui dit droit dans les yeux et autoritairement :

- On ne bouge plus jeune homme et on regarde…

Immédiatement, au claquement sec des doigts, Emilie porta ses mains à son chignon et le défit, laissant ses cheveux retomber sur ses épaules... puis, tête baissée, elle défit lentement les boutons de son chemisier de soie, le fit glisser de ses épaules et le laissa chuter sur le sol, dévoilant une belle poitrine nue, aux seins lourds et aux tétons rosés... Puis, sans cesser de garder les yeux au sol, elle défit la fermeture éclair sur le côté de sa jupe et la laissa glisser sur ses cuisses, autour de ses jambes, jusqu'au sol. Elle se tint alors entièrement nue, à l'exception de ses escarpins à hauts talons. Olivier revivait la scène du médecin avec sa secrétaire, une obéissance totale à un simple claquement de doigts et cela le fit bander de nouveau. Emilie demeura immobile, mais le Noble claqua à nouveau des doigts et elle s'avança, s'agenouilla devant Olivier, se pencha sur sa braguette qu'elle entreprit de défaire, afin de dégager son sexe qui, comment le cacher, était déjà dur et tendu...

Olivier ne comprit plus rien à ce qui se passait, mais il ne put résister et il la laissa faire. Emilie dégagea la queue d’Olivier, la tint bien droite et lentement, voluptueusement, lécha d'abord le gland, avant de l'entourer de ses lèvres et de faire glisser la queue jusqu'à la prendre totalement en bouche et de le sucer avidement. Olivier ne put s'empêcher de lever les yeux vers le Marquis; un regard de reconnaissance qui ne rencontra qu'une froide indifférence. Olivier en fut refroidi, soudain, il avait plutôt l'impression d'être un rat de laboratoire, observé par un savant manipulateur... du coup, il débanda quelque peu... Pas grave, puisqu'un nouveau claquement de doigts suffit à faire se relever Emilie qui, sans un mot, se mit à quatre pattes et rejoignit un coin de la pièce, où elle s'immobilisa à genoux, face à l'angle, les mains jointes sur la nuque... Le Châtelain se tint au-dessus d’Olivier tandis que celui-ci tentait maladroitement de refermer sa braguette...

- Relèves-toi ! ordonna-t-il et il joignit le geste à la parole en lui saisissant un bras pour le forcer à se redresser... et le voici désormais debout, sa queue maintenant flasque pendouillant de façon ridicule hors de son pantalon... - Tu viens de voir les effets d'un début de dressage réussi lors du stage 1 de cette chienne... (Il lui fit face et saisit son visage dans une main) Et je suis convaincu que je peux faire aussi bien avec toi... Un large sourire illumine son visage
- Je... je ne comprends pas, répliqua Olivier, faisant semblant de ne pas comprendre, malgré le désir si intense de vivre ce stage 1 et même tous les autres stages !…
- Alors je vais t'expliquer : Je veux que tu sois mon esclave, comme cette femelle, grâce à ce que m’a expliqué mon vieil ami, ton psychiatre qui a su déchiffrer tes plus profonds désirs, je sais que tu as un potentiel hors norme à la soumission la plus absolue, alors tu m’intéresses grandement... Eh bien ces désirs, tu vas les vivre désormais avec Moi…
- Mais... ce sont … ce ne sont que des fantasmes... dit Olivier impressionné pour donner l’illusion (Le Noble éclata de rire)
- Des fantasmes ! Si c'était vrai, il y a beau temps que tu ne serais plus là, dans ce bureau. Or, tu n'as jamais esquissé le moindre geste pour t'en aller... Alors ne mens pas ! Tu vas devenir mon esclave et ainsi, tu accompliras ton destin... celui dont tu rêves, sinon tu ne serais jamais venu ici au Château … Je le sais…

Relâchant brusquement la pression de sa poigne sur son bras, il lâcha Olivier et dans le même mouvement, Il lui infligea une violente paire de gifles... Olivier vacilla, mais le Marquis le rattrapa par la cravate...
- A poil ! Déshabilles toi ! lança-t’il...

Les joues encore brûlantes des deux gifles reçues, il baissa la tête et tandis qu'il le tenait toujours par la cravate, Olivier fit tomber sa veste, puis défit les boutons de sa chemise, avant de dégrafer son pantalon... En un rien de temps, le voilà nu... toujours tenu par la cravate qui est restée nouée à son cou... Il tenta, pur réflexe, de cacher ses parties intimes avec les mains, mais une pression sur la cravate lui fit comprendre que ce n'était pas une bonne idée... Et il demeura ainsi, nu, comme tenu en laisse par la cravate...

- Désormais, tu useras du mot Maître pour t'adresser à Moi ! Tu deviens Ma chose, Mon esclave à tout faire et, crois-moi, il y aura beaucoup à faire quand on est sous Mon joug ! Si tu n’es pas d’accord, tu te rhabilles tout de suite et tu quittes ce Château et tu m’oublies … A genou et reste immobile … Tu as 5 minutes pour réfléchir et me donner ta réponse. Si c’est oui, tu feras ce premier stage comme prévu car tu sais à quoi tu te seras engagé …

(A suivre …)