Une Soirée Réussie : 11 - Voir... Et Être Vu !

11. Une soirée réussie : Voir, et… être vu !
Résumé de l’épisode précédent :
Au cours d’une journée pique-nique à la montagne avec mes deux amants, nous avons profité de l’isolement pour batifoler en plein air. Bien que très performants, mes mâles ne parviennent pas toujours à me faire oublier certains événements du passé.


C’est seul que je barbote dans l’eau glacée ; eux se sont rincés et l’ont trouvée bien trop fraîche pour y rester, se contentant de me dire que ça raffermit les chairs, et qu’ainsi peut-être allais-je ressortir de là avec un cul tout vierge ! La question est : combien de temps durera cette pseudo-virginité ?
Bon, depuis hier soir, mes deux amants m’ont sauté dans tous les sens à tour de rôle. Là, il est 17 heures, il y a peu de chance pour que j’en reprenne un coup avant que nous soyons rentrés chez nous.
— Et si tel était le cas, m’en plaindrais-je ? me dis-je à moi-même.
Je suis toujours partant, consommant le vît par les deux bouts, cherchant à combler chaque instant de solitude par un sexe gros de préférence plutôt que d’être la proie de mes démons. Et encore, depuis un mois que je fréquente Patrick, je fais dans l’exclusif et ne vais pas chercher ailleurs.
— Depuis combien de temps n’as-tu plus couché avec une femme, au fait ? pensais-je tout haut.
— Depuis… un an. Oui, depuis ce fameux jour. me répondis-je avant de me laisser couler sous l’eau du torrent.
Le froid enveloppe mon crâne d’une main de fer. Vidant mes poumons de leur air, je m’assieds sur les dalles tout au fond, et regarde les arbres se découper sur le bleu du ciel à travers l’eau cristalline.
— Où es-tu ? criais-je dans ma tête, les yeux perdus dans le bleu du ciel. Fais-moi un signe ! Aide-moi !
Je pousse sur les pieds pour remonter à la surface, puis me place sous la chute d’eau un moment avant d’aller les retrouver. Ils pliaient la couverture, ça ne peut pas leur prendre bien longtemps.


— En ben, quel courage ! lance Patrick en me voyant complètement trempé. Tu n’es pas gelé ? On n’a même pas de serviette.
— Même pas mal ! répondis-je. 5 minutes au soleil et je serai sec. Quelqu'un a vu mes cigarettes ?
Franck m’en apporte une et en parfait gentleman me présente la flamme, je n’ai qu’a aspirer la première bouffée. Ils sont déjà habillés, les affaires sont rangées, ils sont parfaits, mes mecs. Et pas qu’au lit apparemment.
Mon jean renfilé, nous démarrons. J’ai retrouvé ma place à l’arrière, la conversation s’enchaîne aussi bien que les kilomètres, tant est si bien que nous arrivons en ville sans avoir vu le temps passé.
Pat nous propose un verre, disant qu’il n’a pas envie que l’on se quitte « comme des sauvages » à peine rentrés. Affalés dans le canapé une bière à la main, Franck nous répète avoir passé une nuit et une journée extraordinaire, et que si nous étions d’accord, ce serait avec plaisir qu’il se joindrait à nous.
— Je ne dirais pas « si », mais plutôt « quand » ! ironisais-je. Je n’imaginais pas vivre quelque chose d’aussi agréable. Laissez-moi un peu de temps pour cicatriser, et je serai de nouveau votre homme ! Parce que là…
— Et si on faisait la garde alternée ? demande Franck à Patrick. Nous l’aurions une semaine sur deux, ce serait bien pour son éducation ! Non ?
— Et qui serait le père ? dis-je en souriant. Et puis c’est ueux, je m’y oppose. En revanche…
— En revanche ? souligne Pat.
— J’avoue que vous me plaisez tous les deux. Et si de temps en temps on se fait un petit délire, c’est génial. Mais serais-tu vexé Pat si… je vous voyais séparément ?
— Comment vois-tu la chose ?
— Oh, rien d’extraordinaire ! Juste passer une soirée seul avec « le piège à filles » de temps à autre, comme nous le faisons tous les deux depuis que l’on se connaît. Rien de plus. Parce que vous deux l’un derrière l’autre, vous allez m’user le cul !
— Mais que je sache, nous ne sommes pas mariés ! Je n’ai aucune propriété sur toi.
Tu me connais, je ne suis pas coureur, et tu me plais beaucoup. Mais quand tu n’es pas là… tu es libre de voir qui tu veux.
— Et toi ? Demandais-je à l’intéressé. Tu en aurais envie ?
— Et comment ! Mais pas ce soir. répond-il. Si vous n’y voyez aucun inconvénient, je vais vous laisser. Si tu as un bout de papier, je te note mon numéro et mon adresse. Pat a déjà mon numéro, puisqu’on s’est déjà appelé.
Ses coordonnées sont soigneusement pliées dans ma poche, et lui en fait de même avec les miennes. Après le départ de Franck, nous bavardons de ce que nous venons de vivre. Il me répète le plaisir qu’il a pris à m’en voir prendre. Et même s’il me savait gourmand, il n’imaginait pas que ce soit à ce point, que je sois autant à la recherche du plaisir absolu.
— Tu es sûr de ne pas vouloir rester ce soir ? insiste-t’il une dernière fois au moment où je me lève.
— Non, je suis crevé. Et si je reste, persuasif comme tu sais l’être, je vais encore me retrouver entre mes fesses. Je te connais ! dis-je en le sermonnant du doigt.
— Non. Promis. Juste une petite pipe ! dit-il en souriant, la main enserrant sa queue contenue dans ses Jeans.
— Et tu me laisses aller me reposer après ?
Si les portes menant à mon cul sont closes, celles accédant à mes lèvres béent. Une fois de plus, victime de ma propre conception des choses — ne rien louper —, je me retrouve la gueule d’abord remplie de sa belle queue, puis, une dizaine de minutes plus tard et pour la énième fois, son irrésistible semence crémeuse change de porteur.
La tête pleine de récentes aventures, je balance trois Efferalgan dans un bain chaud pour détendre ma carcasse. En sortant de l’eau, ramolli, je m’applique une bonne couche de pommade anti-hémorroïdaire pour que la nuit me retape le fondement, puis après avoir avalé deux yaourts, je m’avachis dans mon canapé. La télé que j’allume comble l’insupportable silence et me permet de sombrer lentement dans le sommeil.
Comme presque dans tous mes rêves, elle est présente.
Sa voix, son corps, mon Dieu, qu’elle est belle.




ooOOOoo
Lui ayant tout raconté dans les détails, Danièle est assez impressionnée par le phénomène Hervé. Lorsque je l’ai récupéré tard samedi soir sur le quai de la gare, nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre, sincèrement heureux de nous retrouver. Après un interminable baiser, cette sulfureuse femme me dit qu’elle est trempée depuis qu’elle est partie, qu’elle n’est pas certaine de pouvoir attendre d’être à la maison, et me glisse discrètement dans la main une petite boule de tissu. Ce n’est que son string, trempé, qu’elle a dû enlever tant elle avait dû se masturber souvent dans les toilettes du train.
— Je t’espère en pleine forme. me dit-elle en se collant encore plus fort.
Ses seins contre moi s’écrasent, mon sexe barre son pubis, comme me disait un (très long) collègue noir, ça va couiller ce soir !
Les bagages dans le coffre, je lui ouvre la portière et me place au volant. Ses mains se jettent sur ma braguette et la voilà qui sort ma queue raide, s’exclamant :
— Enfin ! C’est que de mon côté, je n’ai pas trouvé un seul mec qui me donne suffisamment envie. Mais déjà ses lèvres se referment sur mon vit, à 23 h 00, en plein cœur de la ville. Je me contorsionne pour attr sa jupe et la relever, mais Dan juge plus simple de la retirer. La chose faite, elle me reprend en bouche pour m’aspirer puissamment, tandis que mes doigts redécouvrent sa petite chatte trempée avec une réelle joie : ma nana est de retour.,
Sa main passe sous mes couilles pour me planter un doigt au bon endroit, ses lèvres et sa langue me dégustent avec brio, elle me pompe comme si c’était la dernière fois.
— Ta bouche, ta merveilleuse bouche ! lui dis-je en lui travaillant le clito.
— Jouis, s’il te plaît, jouis, je n’en peux plus ! m’implore-t-elle.
Je lui mets mon pouce dans son petit trou, l’index et le majeur dans son vagin. Dan ondule en émettant toutes sortes d’onomatopées.
Je ne résiste plus. Trois jeunes passent juste à côté de la portière, l’un d’eux remarque la scène et prévient les autres qui s’agglutinent, penchés au-dessus du pare-brise. Nous sommes dans notre bulle, la terre pourrait s’ouvrir sous notre voiture que nous n’arrêterions pas. Alors six yeux…
Je sens le foutre me remuer dans le ventre, je vais jouir dans quelques secondes, et préviens ma pompeuse que je vais lui donner ce qu’elle attend.
— Allume le plafonnier, ça m’excite ! me dit-elle contre toute attente. Sans réfléchir, concentré sur cette divine pipe, j’envoie alors le bras gauche au plafond et bascule l’interrupteur. Au moment où mon sperme gicle dans la bouche de Dan, j’entends un des jeunes dire :
— Putain, le veinard, vous avez vu le canon qui le suce !
Elle avale mes jets de semence avec un réel plaisir, essorant ma queue avec de grands mouvements de tête afin d’en extraire la moindre goutte, puis, mes doigts retirés, elle vient m’embrasser langoureusement. Jouant le jeu, celle-ci soulève son tee-shirt, sort un de ses impressionnants seins de son bonnet pour me le donner à lécher en reprenant ma queue à la main, ses jambes bien écartées pour leur montrer sa chatte.
— S’ils ne se cassent pas le poignet après ça… lâche-t-elle avec un sourire complice.
Je me remets en quelques dizaines de secondes de mes émotions, et éteins le plafonnier pour ne pas attirer la police. Rapidement, nous filons ; une nuit chaude nous attend.
— Ton sperme m’a beaucoup manqué. J’ai envie que tu me bouches tous les trous, encore et encore.me dit-elle en rajustant sa jupe et son Tee-shirt.
La nuit fut longue et très agitée, redécouvrant son vagin soyeux, sa mouille si goûteuse, son anus divin, et une Danièle sur vitaminée. Très tard dans la nuit, repus de sexe et d’amour, elle me fit parler de mon dernier amant, me demandant si elle pourrait, à défaut de pouvoir participer, au moins de pouvoir nous observer. Elle est… irrésistible, j’en suis raide dingue.
— Je te le présenterai. Promis, je lui en parle au plus vite.
Après un copieux petit-déjeuner (et un délicieux 69 dans la douce lumière du matin), nous programmons une petite promenade en montagne. Après une semaine enfermée dans des bureaux à écouter toute une ribambelle de bonimenteurs, un peu d’air pur ne saurait nuire. La météo clémente de cette fin de printemps va nous ressourcer, recharger nos accus, et un petit restaurant nous changera les idées. Action, moteur… nous levons l’ancre.
Une journée délicieuse qui vraiment nous permet non seulement de nous retrouver, mais Danièle s’ouvre, se livre davantage. Allongés dans l’herbe à l’ombre d’une futaie, elle me parle de son enfance, dans son petit village accroché contre la montagne, vivant des années véritablement privilégiées. Lorsqu’elle quitta son cocon pour se diriger vers l’université, la transition lui fut plus difficile. Perdre ses repères, la protection de son environnement (familiale autant qu’amicale) l’a déstabilisée la première année. Sans compter les jeunes mâles en rut qui ne la regardaient que comme un joli morceau de viande à baiser, et qui la harcelaient 5 jours sur 7, l’obligeant à rester sur la défensive à tous les instants.
Son amour de jeunesse ne survivra pas à cette séparation, rentrant épuisée les week-ends, ses motivations étaient plus posées que de faire la fête, ou boire plus que de raison. Rapidement, leurs centres d’intérêts divergèrent, ce qui finalement lui permit de se retrouver quelque peu, de faire le point sur sa vie, et d’être certaine de choisir une voie professionnelle qui l’intéresse. Le sport prend une grande place dans sa vie depuis toujours, ski, natation, tennis, et surtout le volley-ball en équipe régionale. Trois entraînements par semaine, les matchs et les déplacements les week-ends, bref, de quoi meubler ses temps libres.
Naturellement, elle coucha avec quelques mecs, effectuant une sévère sélection pour ne pas attr les plus douteux ! Mais aucun ne lui tourna la tête au point de la perturber dans ses études. Aucun, sauf… un. Un beau nageur aux épaules larges, au visage d’ange, aux bras musculeux. Il lui fit une cour dans les règles de l’art, ne cherchant pas à « la sauter vite fait bien fait » pour l’épingler à son tableau de chasse. Il se fit presque distant au début, et Danièle dut déployer beaucoup d’énergie et user d’ingéniosité pour finalement obtenir son attention, puis… son corps.
Elle m’en parle avec beaucoup de respect, m’expliquant que ce jeune homme lui révéla son corps de femme, qu’elle lui doit son premier orgasme. Dès l’instant où il posa ses mains sur elle, son extrême sensualité, sa force de Dieu grec lui donnèrent une impression d’apesanteur. Pour la première fois de sa vie, un homme lui faisait l’amour, prenant la globalité de son corps en considération, ne se contentant pas de quelques va-et-vient entre ses cuisses pour s’endormir ensuite. Plusieurs soirs par semaine, ils nageaient ensemble, puis se carapataient dans une de leurs deux chambres pour s’aimer éperdument.
Danièle, la voix chargée d’émotion, m’explique comment en quelques semaines, il a su faire sauter tous les verrous, lui procurant des multitudes d’orgasmes de toutes les façons possibles. Comme s’il lui remplaçait des parties de son corps par de nouvelles pièces, plus innervées et… interactives.
Et comme sur terre, rien n’est durable, ce jeune homme réussit sa licence en fin de cycle, et regagna sa région. Danièle, après quelques jours de doute, se résigna, et resta pour finir ses études, mais en se jurant de ne plus s’amouracher tant que son diplôme ne sera pas sous verre. Forte de son épanouissement, cela lui permit de vivre une sexualité un peu plus débridée, et de ne pas avoir de scrupules lorsqu’un mec lui plaisait au cours d’une soirée, et de « se le faire ». Prise à son propre jeu, les aventures d’un soir, ce dont elle avait peur au début, devint un agréable passe-temps, et étudier l’anatomie masculine sur un support vivant s’est avéré beaucoup plus passionnant !
Je lui demande si elle a déjà goûté aux filles, ayant si souvent entendu parler des torrides soirées étudiantes, et surtout de leur débauche ! Et ce n’est pas lors de ces soirées que l’expérience s’était faite, mais lors d’un déplacement sportif, en partageant sa chambre avec sa copine Hélène. Deux filles entre elles ne sont pas trop pudiques ; sortant de la douche avant d’aller au lit, sa copine lui dit qu’elle était jalouse de sa poitrine, que la sienne, en plus d’être assez petite, ne se tenait pas. Elle la rassura, lui dit qu’au contraire, elle la trouvait plutôt à son goût. Hélène lui posa alors des tas de questions plutôt intimes, et rapidement, les deux jeunes femmes en arrivèrent à un triste constat : pas d’homme sous la main.
C’est encore Hélène qui lui demanda si elle pouvait lui « toucher » les seins, juste pour voir. Surprise, Dan n’osa pas refuser, et accepta de se laisser palper. Mais son étonnement fut encore plus grand lorsque pour lui palper les seins, cette dernière se plaça dans son dos, et qu’elle se plaqua tout contre elle pour lui soupeser la poitrine. Le chatouillis que lui procura cette toison pubienne contre ses fesses, le contact étrange de ces seins contre ses omoplates, la caresse plutôt entreprenante des mains d’Hélène…
— Tu m’excites ! lui dit-elle, plaquée contre ses fesses. Sa main glissa jusque vers sa petite chatte… trempée.
Les deux filles se retrouvèrent vite en 69, chacune buvant le jus de l’autre, découvrant respectivement leur intimité de leurs doigts et de leurs langues agiles. Se dévorant avec beaucoup de conviction, elles jouirent rapidement, et en conclurent que c’était bien plus efficace et agréable que la masturbation. À plusieurs reprises, elles recommencèrent lors de soirées solitaires, ou bien au cours de déplacements.
— Même si cela m’a fait très plaisir à chaque fois, je n’irai pas draguer une femme par nécessité ! Contrairement à toi, je ne me sens pas bi du tout, même si lécher une femme ne me déplaît pas. Mais je préfère de loin sucer un homme. me confie-t-elle, au terme de son explication.
Son récit m’a déclenché une belle érection. Dan pose sa main sur ma bosse en me disant :
— Oh, pardon. Je n’avais pas réalisé qu’il nous écoutait. Il est tout traumatisé. Attends, je vais le cajoler.
À peine a-t-elle terminé sa phrase que ma hampe se retrouve ornée d’un magnifique collier de dents. Ses lèvres jouent toute la partition d’un de mes morceaux préférés, alors que sa main réconforte mes testicules avec beaucoup de délicatesse.
Je ne suis pas décidé à résister très longtemps. La douceur de sa langue s’évertuant autour de mon gland m’arrache déjà les premiers frissons, et sans un bruit, je me déverse dans sa chaude bouche en quelques soubresauts. Comme elle en a pris l’habitude, elle vient ensuite me faire partager ma chaude semence dans un long baiser.
— J’aime t’embrasser, la bouche pleine de toi, c’est super-bon. On pourrait sucer ton copain tous les deux en même temps ? Ça me plairait beaucoup d’essayer.
18 h 00, nous garons la voiture à deux rues du sex-shop. Je regarde Dan dans les yeux, et lui confie avoir le trac de faire cette démarche. Comme toujours, elle sait trouver les mots justes, appuyant là où cela stimule, ne me mettant en exergue que le positif.
— Et puis je n’ai jamais mis les pieds dans un endroit pareil, j’aimerais beaucoup que ce soit toi qui me prennes par la main. Je ne vais pas le manger, ton Hervé. Quoique…
Sa main dans la mienne, nous parcourons les quelques centaines de mètres qui nous séparent de la porte de l’établissement, porte que nous franchissons sans prendre le temps de la réflexion.
Comme à l’accoutumée, quelques personnes d’un âge bien avancé parcourent les gondoles, nous observant du coin de l’œil. Il est vrai qu’un couple dans un sex-shop surprend toujours. Et puis la plastique de ma compagne ne laisse pas indifférent, même sobrement vêtue d’une robe longue d’été et de petites spartiates. Hervé, tranquillement plongé dans ses cours, marque une seconde d’arrêt lorsqu’il nous aperçoit :
— En voilà une belle, de surprise ! sourit-il en nous saluant, son naturel « très à l’aise » revenant instantanément. Tu m’as menti ! Tu m’as dit que c’était une femme splendide, mais c’est resplendissante qui lui conviendrait le mieux !
Sans trop parler fort, nous bavardons quelques instants, puis Danièle me demande si je peux lui montrer les cabines, histoire de mettre quelques images sur des explications. Hervé nous demande d’être vigilants avant de nous asseoir, nous sommes dimanche soir, il risque d’y avoir quelques belles traces. Je prends des jetons, puis nous dévalons l’escalier…
En voyant sa moue, je comprends que l’odeur forte qui règne dans cet endroit ne lui est pas des plus sympathiques. Tenant toujours ma main, ses yeux parcourent les lieux. Quelques cabines sont occupées, et une tourne la porte ouverte. Nous avançons et voyons qu’un homme d’une cinquantaine d’années s’y tient debout, le jean ouvert. Sa main coulisse sur une belle queue plutôt épaisse en regardant une femme se faire tringler par un tatoué à queue-de-cheval. Lorsqu’il nous aperçoit, sa nature exhibitionniste prend le dessus, et l’homme se tourne davantage vers nous, visiblement fier de se montrer, fier de sa virilité. Son gland très volumineux semble servir d’arrêtoir, obligeant son poing à repartir lentement en arrière, jusqu’à ses couilles bien pourvues. Son méat, très ouvert, ressemble à un troisième œil qui nous fixe.
Je sens la main de Dan me serrer un peu plus, elle se colle lentement à moi, pose son menton contre mon épaule. L’homme, le regard fixe, la bouche entrouverte, continue le lent branle de sa belle pine, tandis que la main de ma nana pétrit ma queue bandante par-dessus mon pantalon. Elle sait jouer les furies, et je constate de plus en plus son côté exhibe, provoc. Sa langue pointue chatouille mon oreille.
— Tu en as déjà sucé, des grosses comme ça ? chuchote-t-elle.
En retournant ma tête pour lui répondre, sa bouche se plaque contre la mienne et sa langue part à la rencontre de la mienne. Ma main relève le bas de sa robe pour que mes doigts explorent sa petite chatte libre de toute culotte. Je plaque ma queue sur sa hanche, mon bras la ceinture et tient le tissu relevé pour que notre branleur voit bien sa belle chatte alors que mon autre main lui doigte son petit vagin trempé.
C’en est trop pour lui. Son râle nous indique qu’il va juter. Sa main s’immobilise en tenant sa queue bien tendue, le bassin en avant, et quatre abondantes giclées de sperme volent dans les airs dans notre direction, venant s’écraser à quelques centimètres de nos pieds. Sans aucune pudeur, il essore sa queue déjà à demi-molle entre son pouce et son index, secoue la dernière goutte, remballe son matos et file sans même un mot. Je relâche la robe de Dan, et celle-ci me tire dans une cabine, chauffée à blanc par ce qu’elle vient de vivre. Je mets un jeton, le film démarre. Personne n’est sorti de sa cabine pendant notre petit divertissement, et c’est très bien ainsi.
Mais Dan revient à la charge, me redemande si j’ai déjà sucé de grosses queues comme celle de notre exhibitionniste. Alors que le film tourne sans que nous y prêtions attention, je lui explique qu’il m’est arrivé d’en voir de belles, de bonnes, et qu’Hervé réunissait les deux à lui seul, en plus d’une certaine endurance, et qu’il m’avait donné énormément de plaisir, avec et par sa queue. Excitée au possible, elle se frotte contre moi, m’embrasse, caresse mon sexe raide au travers du jean.
— Je voudrais te voir le sucer, et le sucer avec toi, s’il te plaît.
Je ne suis pas certain qu’il veuille, là, ce soir, et lui propose d’organiser une rencontre, un autre soir, d’en parler maintenant, mais… elle insiste, me dit être déjà tellement excitée, et me fait capituler. Et justement, lorsque nous arrivons dans la boutique, Hervé est en train de fermer à clef. Il nous retrouve là, le regard un peu brillant ; puis ses yeux se posent sur mon pantalon bien tendu, et, toujours avec un beau sourire, me dit que si je n’ai pas eu le temps de terminer, je savais où se trouvait la réserve ! Danièle rebondit sur ces mots, arguant qu’il ne lui reste plus que cette pièce à visiter pour tout connaître.
— Presque tout ! s’exclame-t-il alors. Allez, suivez le guide ! dit-il en se saisissant de la caisse.
Passé le premier, il éclaire la pièce et nous invite à le suivre. La caisse déposée dans un des tiroirs, il pose ses fesses contre la fameuse table.
— Ce n’est pas le Ritz, comme établissement, mais le personnel y est fort sympathique. ironise-t-il, avant de rajouter que ce n’est pas non plus un très bel endroit pour une aussi jolie femme, que les seules femmes généralement présentes le sont… en vidéo.
— Je suis justement venue pour me faire une idée de l’ambiance, et afin de pouvoir mettre un visage sur un… prénom.
Elle en a déjà beaucoup dit. Je n’ai plus grand-chose à ajouter, si ce n’est que son fantasme est, comme je lui ai déjà expliqué, de voir deux hommes faire l’amour. Depuis que je lui ai TOUT raconté, y compris la beauté de sa queue, Dan rêve de me voir au moins lui faire une pipe, et se joindre à moi.
— Comment voyez-vous la situation ? Là ? De suite, sur cette fichue table ? Je reconnais que la situation est tentante, tu es très belle, je sais également ce qu’il sait faire avec sa bouche et ses fesses, mais certainement que dans un lieu plus approprié, avec un éclairage choisi, après un petit verre, nous y trouverions plus de plaisir ! Non ?
Vingt minutes plus tard, nous sommes chez moi, assis autour d’un verre. Je me rends compte que le plus embarrassé est… ma pomme. Très à l’aise avec les femmes, et les hommes aussi, je suis pourtant gêné de la présence de Danièle, et me pose beaucoup de questions. Sûrement trop. Une femme de rêve, un mec de rêve, et je prends conscience de l’ambiguïté de mes sentiments, de mon porte-à-faux sexuel. Pourtant, mes deux comparses attendent une action de ma part, et savent très bien que j’en suis capable.
— Alors, qu’as-tu vécu d’extraordinaire aujourd’hui ? risquais-je auprès d’Hervé.
Ce dernier me répond qu’à part des « Oh oui, baise-moi ! » et autres « Ah-ah-ahhhhhh ! » venant des cabines, finalement pas grand-chose ! Mais sentant que je compte sur son intervention pour casser la glace, il rajoute amicalement :
— Malgré la présence de Danièle, je rajouterai que depuis la dernière nuit que nous avons passée juste à côté, il ne m’est rien arrivé d’extraordinaire, et que… tu connais mes besoins, non ?
Dan rajoute que depuis quelques semaines, elle n’est jamais restée sur sa faim, que je la comble de plaisir, et qu’elle comprend tout à fait que l’on veuille « y revenir » !
L’érection d’Hervé tend lentement son pantalon. Je me lève et viens entre ses jambes pour le dégrafer, et enfin libérer son magnifique sexe. Avant de tenter quoi que ce soit, je tire complètement le pantalon et le caleçon sur ses chevilles pour que Dan puisse avoir une vue d’ensemble. Les yeux brillant de lubricité, elle nous félicite, tant pour mon bon goût que pour son bel organe. Ma main sous ses lourdes boules, ma bouche avale son gros morceau à demi bandé, et commence à le sucer lentement, prenant bien le temps de le déguster, la main d’Hervé posée sur ma nuque.
— Que c’est bon ! Quelle bouche ! lâche-t-il dans un soupir.
Danièle n’en perd rien, ses doigts massent son pubis par-dessus sa robe. Les quelques hésitations que j’ai eues précédemment se sont dissipées, et je savoure la belle barre de mon « copain », le pompant régulièrement, sans vouloir non plus aller trop vite. Je propose que nous allions plutôt dans la chambre, confortablement installé sur le lit. Calmement, il retire ses chaussures et chaussettes, puis se lève et tombe sa chemise pendant que je me déshabille également. Les choses sont bien engagées ! Contre toute attente, Dan passe les bretelles de sa robe de chaque côté de ses épaules, et la robe d’été glisse sur le sol, livrant à notre regard toute sa beauté. Elle part la première, sans aucun doute pour qu’Hervé puisse admirer son magnifique cul de déesse.
Je demande à notre invité de se coucher en plein milieu du lit et de se laisser faire alors que je glisse entre ses jambes. Assise au coin du lit, Danièle regarde cette grosse bite disparaître entre mes lèvres, en se titillant doucement son bouton d’amour. Hervé s’émerveille de sa poitrine, lui disant qu’elle est magnifique, que j’ai beaucoup de chance. Lentement, elle s’allonge alors à mes côtés et vient m’embrasser sur la joue. Je me mets légèrement de côté, la bite d’Hervé sort de ma bouche, droite, majestueuse son gros gland menaçant entre nos deux visages. Nos bouches s’approchent de l’objet, et nos deux langues se rejoignent sur cette magnifique queue, s’effleurant de la pointe, léchant le bord de son gland comme un gros bonbon, une friandise.
— Putain, je n’y crois pas ! dit Hervé. Nos bouches se succèdent et se complètent, aspirant tantôt son gland, tantôt ses testicules, mais ne lui laissant aucun répit, l’attaquant sous tous les angles.
Danièle me serre les couilles de sa main libre, la mienne pétrit son sein arrogant sans trop de finesse et notre jouet, lui, souffle de plus en plus fort, nous avertissant que quand il va décharger, il va nous noyer sous des litres de sperme, et… dans peu de temps !
Dan saisit alors sa queue à la base et la tient tendue, nos lèvres de chaque bord de son gland. Je prends les couilles d’Hervé dans ma main pour l’aider à se lâcher. D’un cri, il nous annonce le départ. Danièle place alors ses lèvres sur son gland et reçoit la première giclée pendant que les miennes, collées aux siennes, attendent leur averse brûlante.
Toujours aussi abondamment, Hervé nous abreuve de sa crémeuse semence, éclaboussant nos lèvres, remplissant simultanément nos deux bouches entrouvertes de plusieurs lourdes giclées, sa queue vibrant à chaque passage. Notre amant n’est pas avare de son foutre, et lorsque toute sa fougue à changer de propriétaire, Dan att mes lèvres pour une « pelle » d’anthologie, pendant laquelle nous dégustons sa délicieuse liqueur. Puis nous retournons autour de son splendide gland pour le lécher amoureusement.
Son sperme est d’un équilibre parfait, tant en viscosité qu’en goût. L’aspect sucré salé ne prédomine pas vraiment, et lui confère une certaine neutralité. Il se glisse sur nos langues avec onctuosité, et nous l’avalons ensuite avec délectation.
Danièle nous remercie pour ce moment très hot qui l’a mise dans un état d’excitation hors du commun. Elle s’empare de ma queue et me demande de la prendre sur le champ, de ne plus la faire attendre. Sa tête devant la queue qu’elle vient de quitter, je passe derrière sa croupe, m’enfonce entre ses lèvres et la prends à grands coups de reins. Les secousses que je lui inflige amusent Hervé, les cheveux de Dan lui chatouillant agréablement les couilles. Mais elle n’est plus à l’humour, ses petits cris de satisfaction nous le font bien comprendre. Chaude comme un soleil d’été, elle part dans un orgasme puissant, libérateur, prenant dans sa main les belles burnes de notre ami comme otage dans ce long voyage.
Je n’ai pas encore joui, je caresse les flancs et les seins de Dan, qui enfin semble apaisée, tandis qu’Hervé, lui, a profité de la main douce posée sur son intimité pour lentement rebander. Il se lève, passe derrière moi et d’une main, vient caresser la poitrine de Danièle.
— Mon Dieu qu’ils sont fermes ! Tu as vraiment une poitrine somptueuse. Tu me fais bander rien qu’à les regarder.
Puis sa main descend doucement sur son ventre, sa hanche et sa fesse, n’hésitant pas à se glisser entre mon ventre et sa croupe alors que ma queue raide palpite en elle. Je sens son vagin se contracter autour de mon membre lorsque les doigts d’Hervé s’immiscent entre ses fesses, et que l’un d’eux pénètre son petit cul tout trempé.
—Que l’on doit être bien au chaud, là ! s’exclame-t-il. Mais Dan lui explique qu’elle veut le voir me prendre d’abord !
Tous deux couchés de côté, Dan se place en 69, m’offrant sa petite chatte à dévorer fougueusement. Hervé s’allonge dans mon dos, posant son beau et solide mât contre mon scrotum, sous les yeux ébahis de notre belle complice. De sa main passée par-dessus ma hanche, elle m’écarte les fesses, et de l’autre, se saisit de la hampe pour la placer contre mon anus.
— Je vais essayer de te faire autant jouir que la dernière fois. Quand j’aurai fini avec toi, je suis sûr que Dan voudra la même chose !
Il est toujours aussi sûr de lui ! Alors que ma langue se perd entre le vagin et l’anus délicat de ma nénette, Hervé, lui, commence à pousser son membre bandé dans mon cul étroit. Je pousse pour l’accompagner, et la bouche de Dan vient aspirer mes burnes et les gobe tendrement.
— Tu es loin d’être vierge ! Grand et gros comme il l’est, tu te le prends plutôt facilement. Hummmm, tu as raison, il me la faudra…
En quelques poussées, mon cul a tout avalé, et Dan maintenant pompe ma queue entre ses lèvres gourmandes. Pendant qu’il me met de longs et lents coups de bite, Hervé me dit que mon cul est si souple qu’il pourrait m’enculer des heures, et que comme on l’a bien pompé juste avant qu’il puisse maintenant jouer avec nos petits culs, nous saillir longuement. C’est ce qu’il s’emploie à faire, enfonçant du même coup ma bite dans la gorge de Danièle lorsque ses lourdes burnes viennent frapper les miennes.
J’ai chaud, la tête entre ses douces cuisses, le cul bourré par cette belle bite, sucé en même temps. Je leur crie que c’est moi qui ne tiendrai pas la longueur tant ils s’occupent bien de moi, tant ils me comblent !
— Tu jouis quand tu le voudras, c’est trop bon de te voir si bien pris. Laisse-toi aller, donne-moi tout, je vais jouir aussi. me dit Dan en me reprenant entre ses lèvres.
Hervé accélère alors la cadence, me plantant franchement le cul. Une main douce vient prendre mes couilles et les maintient. Sa queue remonte jusque dans ma gorge, et au moment où Dan me trempe le visage de mouille en ruant du bassin dans sa jouissance, mon ventre se crispe et je décharge abondamment dans la bouche qui depuis le début m’accueille. En 5 minutes, j’ai joui comme un puceau, trop excité par toutes ces stimulations. Mais que c’est bon !
Conscient de notre orgasme commun, Hervé s’immobilise patiemment au fond de mes fesses, nous répétant que nous avons le temps, qu’il bandera le temps qu’il faudra. Pour l’instant, c’est d’un peu de répit dont nous avons besoin. Lorsque nos esprits se rassemblent, Hervé quitte mon anus fraîchement calibré, et nous nous retrouvons tous les trois assis sur le lit à raconter nos sensations, les yeux rivés sur cette belle barre à plaisir.
Le temps d’un verre pour nous changer les idées, nous restons entièrement nus, toute pudeur ayant naturellement disparue. Et c’est tout aussi naturellement que nous prenons tous les trois ensemble une bonne douche pendant laquelle chacun savonne l’autre. Les seins pointant, nos queues lourdes à l’horizontale, tous trois gorgés de désir, nous en voulons encore.
Séchés, Dan att nos queues et nous entraîne vers la chambre, s’assied au bord du lit et nous prend par les couilles.
— Deux beaux mecs, deux belles queues… je craque ! Qu’elle est grosse ! Je vais certainement la sentir passer !
En effet, ses doigts n’en font pas le tour complètement tant le diamètre en est important. Sa phrase à peine terminée, elle nous prend en bouche tour à tour, nous suçant avec beaucoup d’entrain.
— Tu as envie de l’essayer, hein ? Tu vas voir, il est impressionnant, mais… si bon ! lui dis-je alors qu’elle nous pompe.
Nos glands sont devant son visage, et se succèdent entre ses lèvres.
— Attendez, je vais vous enculer tous les deux, laissez-moi vous placer. Elle est bien dure, ça va le faire ! sourit-il en se retirant.
Je suis allongé sur le dos en travers du lit, et il me relève les jambes sur mon torse, comme s’il voulait me prendre, mais invite Dan à me chevaucher. Ma bite raide s’enfonce alors dans son vagin. Entravé, c’est à elle qu’incombe le mouvement. Tout en m’embrassant, je lui glisse qu’en fait, c’est moi qui bande, mais bien elle qui me baise ! Hervé, lui, la queue invariablement à l’horizontale, lèche enfin le petit cul de sa future « enculée » avec une certaine voracité, ce qui n’est pas pour lui déplaire.
— Hummm, oui, j’ai hâte que tu me prennes, mouille moi bien, j’adore.
Évidemment, dit comme cela… il se place alors derrière son superbe cul, prend appui d’un pied sur le lit, pointe son gland sur la rosette de Dan, puis vient de ses mains se saisir de ses énormes seins en lui chuchotant :
— Pousse avec moi, je vais te prendre doucement. Oui, pousse encore, comme ça. C’est bon, tu me sens glisser en toi ?
Dan ferme les yeux, se mord un peu la lèvre, elle la sent passer, c’est manifeste. Je lui caresse le visage en lui disant qu’elle va adorer, qu’Hervé est un bon amant, qu’il ne va pas lui casser le cul, bien au contraire !
Immobile, enfoncé aux deux tiers entre ses fesses, Hervé décrit ce qu’il ressent, nous confirmant que l’on était deux beaux cochons faits pour le cul, et qu’il ne regrette pas d’être là ce soir. Il sent bien ma queue contre la sienne, Dan commence à reprendre le sens du rythme, remuant lentement son fondement. J’essaie de bouger mon bassin de mon côté, la pression de cette grosse queue contre moi m’excite, et lorsqu’il reprend sa progression, j’ai l’impression qu’il me pénètre la verge.
— Ohhhhh, je suis pleine de vous ! Doucement, c’est bon, mais… tout doucement, les garçons. Vous ne vous rendez pas compte de la grosseur de vos queues !
Mais il commence doucement à limer son cul distendu en faisant de petits mouvements, auxquels elle répond tendrement. En la baisant, c’est comme s’il me branlait, sa large bite frottant la mienne avec intensité. Nous nous détendons, et chacun exprime son ressenti, ce qui finalement nous stimule encore plus.
— Tu t’y habitues à ma bonne queue. Je te sens te détendre. Maintenant, je vais prendre un peu ton copain, puis je reviens entre tes fesses.
Alors qu’il se retire, Dan lui demande de vite revenir, appréciant sa large présence. Son ogive retrouve facilement le trou du mien, de cul, et s’y enfonce en deux coups de reins, me coupant le souffle quelques secondes.
— Maintenant, je comprends ce que tu ressens. C’est la première fois que je me fais sodomiser par une aussi grosse queue, mais les frissons qui me parcourent sont trop bons ! Embrasse-moi pendant qu’il te prend.
Sa langue me fouille tandis qu’Hervé me remplit les fesses et que Danièle s’empale sur ma queue de plus en plus fort. Cette sensation est exquise, sentir le ventre de mon baiseur écraser mes couilles en me besognant, Dan gigoter sur ma queue… Ses coups de queue sont appuyés, il me la met franchement, sans discontinuer, s’arrêtant seulement lorsque ses grosses burnes butent au bas de mon dos. Il me baise ainsi un bon moment, et je sens mon plaisir monter graduellement. Sa queue est si bonne. Mais Dan veut sa dose également ! Et j’aime partager, avec elle.
— Vas-y, encule-moi maintenant, je crois que je vais bientôt jouir entre vous deux ! Baisez-moi !
Elle réclame son morceau de queue, chaude au possible. Hervé lui présente et je le sens frotter le long de la mienne, la pénétrant d’un coup.
— Oui, c’est bon, encule-moi, faites-moi jouir, n’arrêtez surtout pas !
Les freins ont lâché, la course folle commence. Hervé met cette fois ses deux pieds sur le lit, et reprenant sa monture par les seins, il nous annonce qu’il va bientôt gicler en s’enfonçant régulièrement entre ses fesses, lui fouillant maintenant le cul sans ménagement. Ayant changé d’angle, sa bite écrase encore plus la mienne, déjà bien stimulée par les ruades de Dan.
— Je jouis, oui, je jouiiiis ! crie-t-elle en transe, ses reins se contractant. Au travers de la mince paroi vaginale, la queue de son enculeur vibre puissamment, m’indiquant clairement qu’il est en train de l’inséminer, vidant ses belles couilles dans ce si joli petit cul. Toute cette agitation finit par avoir raison de mon éjaculation, et je m’oublie également contre le col de son utérus.
Je ne sais combien de temps nous restons ainsi, mais mes hanches n’en peuvent plus, et nous nous désaccouplons. Nous gisons tous les trois sur le lit, repus de sexe.
— Je suis vidé. lâche alors péniblement Hervé.
— Moi, je suis remplie ! Vous m’avez transformée en citerne à sperme ! rit Danièle, vraiment complice.
Je lui demande alors de venir s’asseoir sur mon visage pour lui faciliter la suite. Son cul béant et sa petite chatte se placent juste au-dessus de mes lèvres. Le foutre chaud ruisselle doucement de ses orifices, s’écoulant dans ma bouche pour mon plus grand plaisir.
ooOOOoo

La nuit, bien que forte en émotions oniriques, a été réparatrice. Une nouvelle journée, un lundi d’une nouvelle semaine qui débute. Rien d’exceptionnel. Une clope au bec, je me prépare un café en cherchant un truc à grignoter avant d’aller bosser.
Juste avant de partir, je repense au papier plié dans la poche du pantalon de la veille. Je l’en extrais, le déplie, relis ses coordonnées et le dépose prêt du téléphone. Je dois y aller pour ne pas être en retard, même si l’envie de tout envoyer valser n’est jamais bien loin.
Mardi, 18 h 55, une bouteille de champagne à la main, je pousse la porte de sa boutique. Bien qu’occupé avec un client, Patrick me fait un petit signe de la main. Je patiente en regardant les fringues, juste histoire de ne pas rester bêtement planté là. L’attente ne sera pas longue, le voilà déjà vers moi :
— Que me vaut l’honneur de ta visite ? demande-t-il. Je ne m’attendais pas à te voir cette semaine. Tu vas bien ?
— Très bien, merci ! figure-toi qu’en sortant du taf tout-à-l’heure, je me suis rappelé qu’on était mardi.
—Je te le confirme : c’est bien mardi. Mais… le champagne est pour quelle raison ? s’intrigue-t-il, un sourire aux lèvres.
— C’est symbolique, juste parce qu’aujourd’hui, ça fait 5 semaines que j’ai renversé mon verre sur toi.
— Oh... excuse-moi ! me dit-il, confus. J’étais à cent lieues de penser à un événement aussi sympathique. Je ferme la boutique et te rejoins derrière.
Ah, cette arrière-boutique… En deux minutes, j’att deux verres à whisky, me déshabille et m’assieds au bord de cette grande table, la bouteille juste entre mes jambes. Depuis cet après-midi, mes fesses me démangent, j’ai envie de sa grosse queue un peu de partout. Il me tarde de la sentir en moi.
Lorsqu’il passe la porte, son visage s’illumine. Pendant qu’il ouvre la bouteille en me disant qu’il est très content de me voir, c’est sa ceinture et son pantalon, moi, que je déboucle. Le liquide coule dans les verres, son futal glisse sur ses chevilles, ma main dans son caleçon : je me sens déjà mieux. Elle est bien là, renflée,
— On trinque ? dit-il en me tendant un verre.
— On baise ? répondis-je en serrant ma main autour de son membre, le regard salace.
De l’autre main, je me saisis du verre, percute traditionnellement le sien et en avale une gorgée. Rapidement dégagé de ses vêtements, il prend ma place sur la table, les jambes écartées pour que je puisse embrasser son intimité. J’admire quelques instants les proportions éléphantesques de ses organes ; ses grosses couilles m’aguichent autant que cette verge mi-longue et déjà bien lourde me fait saliver. Je me penche sur cet irrésistible ensemble, aspire son prépuce, puis fait lentement glisser sa verge en moi.
— Elle te plaît toujours ma grosse queue ? chuchote-t-il en caressant mes cheveux. Tu aimes bien t’en occuper. Hein ? Tu lui fais tant de bien…
Son goût se propage sur mes papilles lorsque entre mes lèvres je le décalotte. Comme des phéromones cette combinaison de goût et d’odeur musquée de son sexe fort agit sur mes instincts, libérant tous les verrous de mon corps.
En appui sur ses bras derrière son dos, il avance son bassin tout au bord de la table. La gravité s’empare de ses bourses, les transformant en gros sac de lest. D’abord cajolées dans ma main, c’est ma bouche qui l’un après l’autre les aspire, tire dessus, ou encore les mordille.
— Hummmm… tu sais me faire bander, toi.
Je prends une gorgée de champagne et sans l’avaler, reprends son gland en bouche en branlant l’obèse hampe. Des centaines de bulles éclatent au contact de nos muqueuses, le faisant glousser. Son nœud ainsi emprisonné, attaqué par ma langue et le liquide glacé, tressaute d’excitation. Ma tête pivote de tous sens pour le stimuler plus efficacement avant d’avaler sa queue d’un bon tiers pour bien la lui pomper.
Il bande maintenant dur et son foutre m’intéresse bien plus que le meilleur des champagnes. Je ne lui laisse aucun répit, ma bouche fond sur lui comme un aigle sur une proie, changeant d’angle à chaque aller-retour. Une main sous ses couilles et l’autre accrochée à la hampe, le branlant en cadence, je m’accroche à son vit bien plus qu’à la vie.
Ma salive coule le long de mes doigts tant mon addiction à ce membre me fait baver d’excitation. Son nœud enfle encore, les corps spongieux se gorge de sang, les corps caverneux écartent davantage mes doigts qui déjà ne font pas le tour de sa queue : il est mûr.
Les couilles remontent jusqu’à la base de la hampe tendue à rompre. Son ventre plat se creuse trois fois de suite au rythme de son diaphragme avant de s’écraser dans un spasme équivoque. Les muscles ceinturant l’urètre claquent contre mes doigts pour propulser un énorme jet de sperme droit contre mon palais, compromettant l’étanchéité de mes lèvres en remplissant un espace déjà comble par la simple présence en moi… de sa queue.
J’avale alors qu’il gicle de nouveau, me servant de son nœud comme le piston d’une seringue pour m’injecter son foutre dans l’estomac. Mes doigts serrent la hampe en remontant compulsivement, comme pour mieux en extraire le nectar qui, jet après jet, nourrit un peu plus le besoin de le sucer de nouveau.
Son sexe hors norme aux capacités éruptives extraordinaires finit par désamorcer, toute bonne chose à une fin. L’homme halète, son poing serré dans mes cheveux, immobile, pire même : inerte.
J’extirpe les quelques larmes que son puissant dard daigne encore m’offrir avant de lâcher son sexe pour un repos que je désire des plus court. Lui faisant face, je le regarde, souriant, satisfait, non pas de ce que je lui ai donné, mais du plaisir que je viens de lui arracher pour mon compte.
— Tu es de plus en plus doué. Lâche-t-il à voix basse.
— Avant toi, je n’imaginais pas qu’un homme puisse décharger autant, ni aussi souvent. Tu comprends pourquoi j’aime tant te sucer ?
— Ça s’arrose, une pipe pareille. répond-il en levant son verre. À la santé de ton petit cul !
— Je me demandais si tu l’avais déjà oublié. dis-je en m’auto-claquant la fesse. Un cul pareil, ça s’arrose !
Au risque de dénaturer l’exquis goût de son sperme, je bois un peu de champagne. L’alcool semble directement passer dans mon sens, ajoutant une pointe d’euphorie à mon dévergondage déjà bien exacerbé.
— Patrick, j’ai envie que tu me baises. Occupe-toi de mes fesses, s’il te plaît.
Loin de me repousser, il se lève. De tout mon long, j’étale mon buste et une jambe sur la table, laissant l’autre au sol. Les reins cambrés, mes fesses s’écartent d’elles-mêmes, offrant mon anus, mon scrotum et mes bourses à sa convoitise.
Il s’agenouille derrière moi, pose une main au bas de mon dos, saisit mes couilles gonflées de désir et de ses lèvres embrasse mon cul de petits baisers. Il l’aime, mon cul. Le bouffer, le lécher, le prendre… tout lui convient.
La pointe de sa langue effleure la rosette striée hyperréactive, s’en amuse à quelques reprises, puis c’est une passe bien large que son organe effectue, du scrotum jusqu’au sacrum, déposant une couche de salive uniforme. Puis sa main quitte mon dos pour mon sexe, qu’elle empoigne sans hésitation. Pelotant mes couilles, il me branle lentement en revenant attaquer mon mignon, palpitant à chaque touché.
Sa langue le contourne, tantôt le traverse, large ou pointue, faible ou forte, comme s’il disposait d’un trousseau et qu’il veuille en tester toutes les clefs. Pour varier, il n’hésite pas à poser ses lèvres autour et à faire ventouse, aspirant toute la couronne très fort pour mieux y plonger sa langue.
À chaque instant, mon cul s’ouvre un peu plus, devient plus souple, plus élastique, plus… baisable. Il n’épargne ni sa salive, ni sa peine, certainement pour mieux arriver à ses fins. Ma croupe ondule malgré moi, j’aime être ainsi dévoré. Je sursaute quand il me pénètre, et la caresse de sa langue en moi me chatouille jusqu’au nombril.
— Donne-moi ta queue à sucer. L’implorais-je, impatient. Je vais te refaire bander, je n’en peux plus.
Aidé de ma main sur ses fesses, je l’avale prestement. Il pose un genou sur la table, et pendant que ses doigts écartèlent mon cul, il donne des petits coups de bassin, me baisant la bouche. Je salive, le mouillant au maximum, car je ne veux aucun lubrifiant. C’est à moi de m’ouvrir à mes amants, de me rendre accessible. Je le pompe cinq bonnes minutes, tirant sur ses couilles pour bien lui imposer le tempo.
De lui-même, il se retire et vient se placer derrière moi. Je sens un long filet de salive remplir le cône inversé de ma rondelle, puis l’imposant nœud se déposer dans la mare improvisée. Un genou se place sur la table, tout contre ma hanche, il n’a plus qu’à se laisser peser pour me prendre.
— Viens ! Encule-moi lentement comme j’aime. chuchotais-je, mes mains écartant mes globes le plus possible.
Le gland me pénètre aisément. Il effectue par principe de petits va-et-vient pour bien assouplir mes muscles, puis s’enfonce d’un tiers en feulant de plaisir. Mes doigts se plantent presque dans mes propres fesses, et mes poumons se vident de tout leur air, et probablement qu’une dose d’endorphine vient d’être larguée dans mes artères.
L’énorme queue recule un peu, pour mieux se renfoncer, mais de toute façon, la largeur est maintenant constante. Son boulot, outre celui de me faire jouir, est de repousser mon rectum pour espérer pouvoir poser ses couilles sur mes fesses. Il s’y emploie, me faisant geindre à chaque poussée, élevant graduellement ma température corporelle.
Je ne saurais dire pourquoi, mais à cet instant, je pense aux gens qui passent dans la rue, devant le rideau fermé. Ils sont probablement très loin de se douter que là, juste derrière, un homme est en train de se faire casser le cul… rien que parce qu’il adore ça et en redemande !
— Oh, ce qu’elle est bonne ! J’adore ta queue. Baise-moi.
Encore deux poussées, et Patrick fait parti de moi. Nos organes sont étroitement impliqués. Il s’allonge sur moi et commence à remuer en moi. Son nœud est juste… dans mon ventre, et pourtant, il est moins long que Franck ! Il ondule, glisse d’avant en arrière, ne se servant que de son énorme taille pour me faire frissonner de tout mon être.
Il me parle à l’oreille, me souhaite un joyeux anniversaire, ne décollant que son pubis pour se réintroduire de quelques centimètres. Puis m’envoie une volée de coup de testicules très rapide, me faisant presque hurler de bonheur et s’arrête soudain pour m’entendre lui dire :
— Encore ! N’arrête pas.
Il entraîne ma jambe au sol, me laissant le cul perpendiculaire à la table, et avec douceur va et vient sur toute sa longueur. Puis sort de moi, regarde et commente mon cul grand ouvert, me pointe de nouveau et se renfile jusqu’aux couilles. En magicien du cul, il joue à faire disparaître mon plaisir pour mieux le faire revenir ailleurs.
Sans sortir de moi, il att mes chevilles pour me faire rouler sur la table. Sa queue faisant un demi-tour en moi est une sensation indescriptible. Mes mollets contre son torse, il me baise gentiment, malaxant ma prostate dans cette position avec la courbure naturelle de son sexe. Mes couilles tressautent lorsqu’à ma demande il s’emballe, faisant monter de plus en plus les éléments constituants un orgasme ravageur.
— N’arrête pas. Tu vas bientôt me faire jouir avec ta grosse bite. Encule-moi. Baise-moi. Fais ce que tu veux, mais ne t’arrête surtout pas.
Dynamisé par ma requête, il dé cule, me fait glisser sur la table et monte me rejoindre. Il la présente à mes lèvres. Je l’att des deux mains et la pompe d’une façon effrénée, la sentant dure est prête à me défoncer.
— Tu en veux encore un peu ? ironise-t-il en plantant trois doigts entre mes fesses.
— Oui, je veux que tu me sautes jusqu’à me faire jouir.
— Bois un peu. dit-il en me tendant la bouteille.
J’avale une grosse rasade, il en fait de même, et retourne se placer entre mes jambes. En appui sur ses bras, mes genoux coincés dans le pli de ses coudes, je guide sa queue en moi. Ainsi écarté, il joue à se faire désirer, ne coulissant que de quelques centimètres pour me taquiner, puis finalement se rengage totalement.
Malgré la position, je parviens à le saisir par les hanches pour le tirer compulsivement en moi. La pression monte, je glisse vers un état second pour lequel l’alcool n’est sûrement pas innocent. Ma tête tourne de gauche à droite, mes reins me brûlent, mais lui ne le voit pas ainsi, il sort de mes fesses.
Assis les jambes écartées, ses couilles s’étalent sur la table de part et d’autre de son mât pointé vers le plafond. Je me lève et viens m’asseoir sur mon pal préféré, face à lui. Ses mains sous mes fesses, il m’encourage à me laisser glisser, répétant que nous allons jouir en même temps.
Ma tête sur son épaule, j’embrasse son torse de mes bras et lui dis de m’achever. Son nœud retrouve le fond de mon ventre, ma prostate, elle, retrouve tout le massage dont elle a besoin. Il me fait naviguer d’avant en arrière, de haut en bas, je ne peux que le sentir.
— Putain que j’adore baiser avec toi. Lance Patrick. Tu as un cul de rêve que bien des femmes t’envieraient ! Oh oui, saute sur ma queue !
Il se lâche, mon sphincter tente en vain de l’écraser, mais c’est peine perdue. Si je le sens bien, j’en veux plus, et lui demande de s’allonger complètement. Mes jambes enfin repliées, je démarre une série de coups de cul d’anthologie. Il me perce le ventre, ma queue mi-molle virevolte dans les airs. Loin d’être inactif, mon fougueux amant entame lui aussi la danse du bassin, m’assénant des coups de queues à une vitesse que je ne lui savais pas envisageable.
Les yeux clos, le visage déformé par la violence de mon orgasme, je vais sur lui comme une locomotive folle. Lui, ses mains sur mes cuisses, crie d’un râle continu, comme ses athlètes ayant recours à leurs dernières forces pour atteindre la victoire. Mon cul semble exploser, mon ventre est en feu, et le gland de Patrick lance explose en longs jets dans mon ventre.
Nos cris sont à l’unisson, chaque jet claque quelque part en moi, plus rien n’a d’importance. Le rythme se calme légèrement, nous sommes trop emballés pour arrêter net. Mécaniquement, j’envoie encore quelques coups de reins en arrière pour répondre à ses spasmes. Puis, épuisé, je m’affale sur lui.
Il caresse mon dos machinalement. Nos poitrines sont collées de sueur, elles se soulèvent rapidement tant nous sommes essoufflés. Mon cul me brûle énormément, mon ventre est hors concours, mais je m’en fiche. Ce n’est vraiment rien au vu de la puissance de notre plaisir.
Une dizaine de minutes s’écoulent ainsi. Mon mec commence à perdre de sa consistance. Je redresse le torse et découvre une mare de sperme. Je me dégage avec lenteur pour qu’il sorte de mon ventre. Dans un « floc » caractéristique, sa queue tombe dans mon sperme. De mon anus dilaté, sa semence liquéfiée s’écoule sur son sexe. Il n’a encore pas fait semblant.
Je descends entre ses jambes. Son sperme a maculé tout son sexe. De la langue, je commence par lui lécher les testicules pour enlever toutes les coulures. Puis je lèche ensuite le dessus de sa verge en priorité, récoltant son doux cadeau mélangé au mien. Lorsque son ventre est enfin propre, je décolle la verge et en nettoie l’autre face ; mes lèvres embrassent le gland pour terminer sa toilette en douceur.
Nous finissons la bouteille, au point où nous en sommes, maintenant que la bougie est soufflée… puis nous renfilons nos vêtements. Je reprends mes esprits lentement. La clef tourne dans la serrure et déjà nous voilà dans la rue.
— Tu viens prendre une douche à la maison ? demande-t-il en souriant.
— Et comment ! rétorquais-je.

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