Histoire Vraie - Un Petit Plaisir Dans La Réserve

Bonjour à toutes et à tous,
L’histoire qui va suivre est mon premier récit publié sur HDS. Pour ceux qui n’auraient pas lu ma fiche, je m’engage à seulement écrire de vraies histoires. Celles que j’ai vécues. J’espère qu’elles vous plairont. Si c’est le cas, laissez un commentaire. Et même si vous n’aimez pas, dites-moi pourquoi, cela m’aidera à améliorer mon écriture.

Je suis un jeune homme de 25 ans, athlétique (je pratique plusieurs sports), 1m83, 79kg (d’après ce que le pèse-personne m’a indiqué ce matin), brun, les yeux noirs. Nous sommes en janvier 2016, peu avant le début des soldes d’hiver. Je suis étudiant à Paris. Notre belle capitale, ville culturelle, lieux branchés mais le coût de la vie est difficile à supporter pour un simple étudiant qui vit avec 600 € par mois. Je décide donc de travailler en dehors de mes études pour améliorer mes conditions de vie sommaires – surtout en fin de mois.
J’ai postulé dans une agence Intérim qui m’a décroché un petit boulot de vendeur dans une grande enseigne de prêt-à-porter. Je sers de renfort pendant la période des soldes. Vous savez, le moment où les gens se dépossèdent totalement de leur corps. L’équipe est plutôt sympa : quatre filles et trois garçons. Je trouve très attirant un des trois mecs. Brun, grand, yeux gris (oui, vous avez bien lu).
Les semaines défilent. L’affluence des premiers jours est déjà loin, l’ambiance est détendue. On prend même le temps (très court, certes) de discuter, apprendre à mieux se connaître, savoir d’où l’on vient, ce qu’on fait. J’ai sympathisé avec le beau gosse aux yeux gris. Hétéro, célibataire, travaille ici en attendant de trouver mieux ailleurs. Il nous arrive d’aller boire un verre ensemble après le boulot, pour décompresser. De plus, nous ne voulons pas vraiment rejoindre nos appartements respectifs, minuscules et désertés de présence humaine.
Il sait que je suis gay et cela ne le gêne pas. Il est ouvert d’esprit, me dit-il.

Son meilleur pote est gay, lui aussi. Je commence à le taquiner. A-t-il déjà été intéressé par un homme ? La réponse est rapide : non. Même pas un acteur ? Non. Un chanteur ? Non. Un sportif ? Il hésite. Il me dit qu’il pourrait virer sa cuti pour un ancien footballeur anglais. Il rigole. Il rougit. Il est gêné. Il tente de savoir ce qui m’attire chez les hommes. Ma réponse est aussi vive que la sienne. J’aime le corps d’un homme, sa démarche, ses muscles (c’est mieux). Et niveau sexe ? Il veut en savoir plus. Il est tard, je décide partir pour attr le métro.
Dernier jour de travail dans cette boutique. On me charge d’aller dans les réserves pour mettre les vêtements sur des cintres. J’y retrouve mon ami aux yeux gris en plein inventaire. Je le rejoins. Je m’approche et lui passe une main dans le dos. Il sursaute mais ne me repousse pas. Il se retourne et me regarde dans les yeux. Il devine ce qu’il va se passer mais ne tente pas de partir. Je lui caresse l’entrejambe. Son pantalon slim devient tout à coup beaucoup trop serré. Je m’agenouille sans quitter son regard. J’ouvre sa braguette, descend son boxer et hume son sexe. Je sens son odeur de mâle, celle que j’aime. J’ouvre ma bouche, fait glisser son prépuce et avale son gland. Il se cambre. Sa respiration est de plus en plus forte. Avec ma main, je caresse ses couilles. Il me prend la tête entre ses mains. Son sexe grossit encore. J’essaie de gober entièrement son sexe, ses poils me caressent le visage. Il me dit qu’il va jouir. Je sors son sexe, le branle et regarde son sperme gicler sur le sol de la réserve. Je m’approche de son oreille et lui chuchote :
— Tu voulais savoir comment c’était le sexe gay ? Tu ne sais pas tout mais tu sais au moins que c’est comme ça que je suce le plus beau de mes collègues.

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