Ma Femme Et L'Ami De Son Ami Version Longue

Emeline, ma chère épouse, avait un ami d’enfance : Remy. Un de ses amis précieux à qui l’on peut tout dire. Ils avaient toujours été ensemble, ils avaient même un peu couché ensemble. Aujourd’hui tout cela était fini : Rémy est marié à Stéphanie et nos deux couples s’entendent à merveille.

J’aimais beaucoup Rémy mais malgré moi, j’étais un peu jaloux de cette relation dans laquelle je n’avais pas de place. Et puis Rémy est quelqu’un de drôle, qui parle fort et que tout le monde écoute lorsqu’il nous raconte des histoires. 

Régulièrement il nous parlait d’un de ses amis, que Stéphanie n’aimait pas beaucoup. Cet ami s’appelait Will et selon lui aucune femme ne lui résistait avec son physique de rêve. Ce Will avait visiblement tout connu. Nos deux épouses trouvaient qu’il était l’image même du macho et jugeaient  toutes ses histoires franchement écœurantes et rabaissant les femmes.

Un jour, je fus convié à l’anniversaire de Rémy : une soirée juste entre mec, me dit-il. Je fis donc la connaissance de Will. Ce mec était tel que l’avait décrit Rémy : pas franchement de grandes discussions mais un physique travaillé et la certitude de plaire aux filles.  

Il passa sa soirée à draguer quelques filles, en montrant ses abdos saillants et finis par se trouver une bombe sur la piste de danse. Nous tous nous en bavions. Une jolie brune de dix moins que lui avec un cul phénoménal et de très jolis seins bien fermes. Pas très farouche, elle se faisait peloter sur la piste de danse. Il finit par la conduire dans les toilettes hommes. Elle le suça dans cet endroit dégeulasse qui sentaient l’urine pendant que la copine surveillait la porte. Il revint auprès de nous et chacun nous lui avons montré combien il nous avait impressionné. Peu content de lui, il se décida d’entreprendre quelque chose auprès de la copine. Celle-ci pas plus farouche que son amie et tout aussi bonne que l’autre se laissa inviter au milieu de notre bande de mec pour boire une coupe de champagne.

Will commença à la peloter gentiment. Au bout de quelques minutes, il lui caressait la chatte devant nous et la demoiselle écartait allégrement les cuisses. Will lui glissa un mot à l’oreille et la salope se retourna sur Rémy pour lui prendre les mains et les poser sur ses seins. Rémy lui massa les seins puis Will le repoussa. Il entraîna sa conquête vers l’extérieur. Il nous expliqua qu’il l’avait conduit dans sa voiture et qu’il l’avait sodomisée. Les deux copines nous rejoignirent au bout de quelque temps et Will leur ordonna de se léchouiller devant nous, ce qu’elles firent bien aimablement. Comme ces deux chaudasses réclamaient ses bras, Will se rapprocha d’elle et doigta chacune d’elles devant nous en jetant la culotte de l’une d’entre elle sur la table.

Je racontais cette histoire à Emeline qui me dit combien elle était dégouttée. Le soir cependant elle était particulièrement excitée quand nous avons baisé. Elle me posa souvent des questions sur cette soirée, de décrire les filles, leurs tenues, leurs comportements : prétextant une inquiétude à la fréquentation de Remy.

La curiosité de mon épouse était grande. On revenait souvent à parler de cette soirée en me disant qu’elle ne pouvait pas croire que des filles puissent se comporter ainsi devant nous tous. Elle estimait même que nous étions un peu complices de ce Will puisque nous n’avions rien dit. Pourtant, lors de nos relations,  je sentais un changement. Elle me réclamait parfois de la  traiter ou de lui tenir la tête quand elle me suçait.

Quelques semaines plus tard, nous avons eu l’occasion de rencontrer Will chez Rémy et Stéphanie. Il sortait de chez eux quand nous arrivions et nous n’avons fait que nous croiser, mais ce fut l’occasion pour Emeline de faire sa connaissance et de discuter avec lui cinq minutes. Nous n’étions pas monté en voiture que Emeline me caressait l’entrejambe et me demanda de rentrer vite ayant envie de faire l’amour.

Sans m’en parler, elle en discuta un peu avec Rémy. Elle voulait rencontrer cet ami si particulier. Elle voulait sentir en fait son pouvoir de séduction auprès de ce Will après l’histoire que je lui avais raconté. Elle passait beaucoup de temps à échanger sur le sujet avec Rémy.

Elle voulait savoir : lui plairait-elle ou pas ? Elle n’a absolument pas le même physique que ces petites minettes au corps sculpté. Non, Emeline est une jolie métisse d’une trentaine d’année avec des formes et des seins généreux. Elle est belle certes mais plairait-elle à ce bellâtre ?

Un jour que j’étais en déplacement, elle demanda à Rémy s’il pouvait organiser une soirée chez eux avec Will. Rémy dit que oui mais prévint tout de suite que Stéphanie serait absente. Tout cela devait se faire à mon insu, la prévint-elle.

La soirée fut organisée, mon épouse me passa un petit coup de fil pour m’avertir qu’elle profitait de mon absence pour sortir avec des copines puis se prépara pour sa soirée. Elle hésita puis opta pour une tenue assez provocante. Elle voulait faire de l’effet. Elle choisit une décolleté plongeant avec une veste puis après hésitation prit un pantalon en simili cuir, extrêmement moulant et taille basse. C’est un pantalon qu’elle avait vu dans un magazine porté par des célébrités très sexy. Il y avait des zips un peu partout et laissait apparaître la naissance des fesses.

Elle arriva chez Rémy ainsi vêtue tanguant légèrement sur des hauts talons et un string rose dépassant légèrement. Il rougit un peu en la voyant ainsi et voulut la prévenir :

Ça me gêne un peu par rapport à ton mari cette soirée

Ne t’inquiète pas, il ne se passera rien. Je veux juste savoir si je peux plaire encore.

Habillée comme ça, ça m’étonnerait qu’il ne se passe rien.

Oh écoute, j’ai assez couvert des petits écarts. Si jamais il arrive quelque chose, je suis assez grande et puis ça restera entre nous.

Je t’aurais prévenue. Que Will t’excite, ok mais sache qu’il est prêt à tout. Ne vient pas te plaindre si la situation t’échappe.

On sonna à la porte. Will fit son entrée. Il embrassa ma femme sur le coin des lèvres puis la complimenta sur sa tenue, son parfum. Ils prirent un apéritif sur la terrasse puis les hommes s’allumèrent des cigarettes. Will en proposa une à mon épouse qui accepta bien qu’elle avait arrêté depuis des années, mais elle voulait se donner une contenance. Il alluma sa cigarette, se positionna à côté d’elle et lui mit immédiatement la main aux fesses. Elle se laissa faire. Il lui malaxait le cul et commença sa gentille drague :

 

On se rencontre enfin.

Oui Rémy m’a beaucoup parlé de toi

Et moi de toi mais il ne m’avait pas dit que tu pouvais te faire aussi belle.

C’est assez inhabituel en fait,

Tu as tort, le cuir met particulièrement tes fesses en valeur.

Merci, ça te plait ? J’avais peur que ça fasse un peu trop…

…Chaudasse, c’est ça ?

Oui,

Non, c’est juste ce qu’il faut : salope mais pas trop

Il se retourna sur elle pour l’embrasser vigoureusement. Emeline laissa faire. Il ne lâchait plus ses fesses cuirées qui faisaient un bruit quasiment sexuel. Tout à coup il lui asséna une claque sur lecul que bizarrement elle apprécia.

Ça fait longtemps que je me suis pas tapé une fille avec des gros seins, dit il tout à coup en prenant la main de mon épouse pour la poser sur ses abdos

Je veux te baiser et Rémy m’a dit que tu rêvais de mon corps, c’est vrai ?

Devant l’hésitation de Emeline, Will serra plus fort les fesses de ma femme et entortilla son string autour de son index

Vrai ou faux salope ?

Oui c’est vrai

Emeline le regarda et l’embrassa. Le signal était donné.

A quoi es-tu prête ?

A tout, dit-elle sans réfléchir.

Ok

Will quitta la terrasse pour aller chercher quelque chose dans le couloir. Revenu Il souleva les cheveux d’Emeline et lui mit un collier de chien autour du cou. Elle protesta légèrement mais il rappela


- T’es prête à tout non ? Rassure-toi, il ne t’arrivera rien, ton meilleur ami est juste là

Rassurée elle se laissa faire et mit le collier elle-même.

C’est bien, t’es une bonne pute.

Ils filèrent sur le canapé et s’embrassèrent avec des grands coups de langue. Parfois il lui crachait dessus. Emeline était déchainée, elle caressait ses abdos, elle matait ce corps, il ne faisait rien. Agenouillé au-dessous de Will elle offrait une vue totalement déplacée à Will : les fesses tournées vers lui, le pantalon de cuir tendu au possible avec le string qui dépasse. Elle se plaignit du collier :

Il bouge, sers le plus fort s’il te plaît !

Will serra d’un cran le collier de cuir clouté.

C’est bon j’ai l’air d’une salope maintenant ?

Attends, lui dit-il

Il lui retira son haut et lui tendit une laisse. Mon épouse installa elle-même la laisse au collier. Ma femme était maintenant en soutien-gorge rose, avec un collier de chienne, une laisse qui pendait entre les seins avec un pantalon de cuir trop serré qui laissé déborder un string rose assorti au soutien-gorge.

Je vais fumer une clope annonça Will. Rémy pelota lui les seins à cette salope, je ne veux pas qu’elle se refroidisse.

Will tendit la laisse à Rémy qui hésitait. Emeline l’aida à se décider :

Viens s’il te plait, je veux être disponible quand il aura fini

Rémy empoigna la laisse et s’approcha de ce corps qu’il avait connu dans son adolescence. Mais ce n’était plus la même personne.

Retire mon soutif, dépêche-toi.

Elle se plaça devant lui, le cuir contre son sexe, la laisse qui pendait entre les seins en regardant son amant qui fumait devant eux.

Emeline tendit la laisse à Rémy qui commença à lui peloter les seins. Ma femme commença à trouver son plaisir, elle ne lâchait pas de yeux Will qui ne faisait que les regardait. Elle écarta les jambes. Ses seins, ses têtons commençaient à durcir au contact des mains de Rémy. Elle faisait coulissait la laisse autour du sein droit, elle appréciait le contact de la chaîne sur sa peau.

De la main droite, elle se massait le clitoris contre la couture du pantalon en cuir. De la main gauche, elle faisait roulait la chaîne sur ses têtons. Les mains de Rémy n’étaient que le prolongement du corps de Will qui ne bougeait pas mais qui bandait très clairement.

Will commença à se déshabiller et approcha son sexe du visage d’Emeline. Il frottait sa verge contre son visage, Emeline voulait ce sexe dans sa bouche. Elle ouvrit la bouche

C’est bien, t’es une bonne pute. Suce moi.

Enfin, elle put le prendre en bouche. Rapidement, il enfonça sa bite au fond de sa gorge. Ma femme hoquetait me repartait à son œuvre aussi vite que sa bouche était laissée à l’abandon.

Rémy conduit-là dans ta chambre, elle mérite que je la baise

Rémy emmena Emeline. Will interrompit :

Stop ! Donne lui la laisse salope et rampe jusqu’au lit en me montrant ton cul.

Emeline tendit la laisse à son meilleur ami et se mit à ramper sur le parquet. Le pantalon de cuir crissait avec cette démarche particulière

Arrivée dans la chambre, Will reprit la laisse et Rémy sortit de la chambre.

Suce moi encore et suce moi la raie, salope

Ma chère épouse repris sa fellation puis glissa sa langue dans son cul. Il lui assénait de léger coup avec son sexe sur le visage.

Il empoigna la laisse et glissa son sexe dans sa bouche jusqu’à l’. Puis il la déshabilla sans ménagement en déchirant le pantalon à l’entrejambe. Il la pénétra, elle hurla de plaisir. Il la besognait en tirant sur la laisse et en la traitant de pute.

Mets-toi un doigt dans le cul, salope,

Elle ne se fit pas prier et inséra un doigt manucuré dans son anus, puis deux.

Je vais t’enculer

Oh oui encule moi comme une pute, hurla-t-elle

Il lui mit sa bite dans l’anus, elle en voulait plus, elle se doigta, puis n’y tenant plus appela son ami :

Rémy, vient me baiser aussi

 

Rémy entra dans la chambre un peu hésitant mais clairement en érection, et trouva son ami d’enfance les cheveux hirsutes sodomisées en levrette avec un collier de chien et une laisse

Will lui tendit la laisse et Emeline lui réclama à nouveau :

Baise-moi comme une pute.

Cette fois Rémy ne se fit pas prier. Il se glissa sous elle, elle engouffra son sexe dans la bouche au passage, et puis elle se retrouva doublement pénétrée. Rémy saisit la laisse et Will continuait sa sodomie les couilles tapant sur pantalon de cuir. Rémy saisit ses seins entre ses dents et commença à la mordiller, ce qui accrut le plaisir d’Emeline. Il lui pelotait le seins en la traitant de salope.

N’y tenant plus, les deux la firent mettre à genou et lui jouirent sur les seins