Le Bois Du Délice

Six mois, c'est exactement le temps qu'il s'est écoulé depuis notre dernière rencontre. Et cela va faire un an dans quelques jours que nous avons pris une douche ensemble, et que j'ai fini par le pénétrer, tant il m'avait chauffé. Ce mec de 29 ans , je l'ai rencontré sur un site. Il voulait sucer un sexe épais et disait être prêt pour se faire sodomiser. Nous avions convenu d'un rendez-vous. Ou plutôt j'étais allé à sa rencontre, parce qu'il n'avait pas de moyen de locomotion ce soir là.

Sébastien est son prénom, un mec viril, brun ténébreux, 1,75 pour 65 kilos. J'avoue que lorsqu'il est monté dans ma voiture, j'en étais baba. Il m'avait masturbé au travers de mon jean, et nous avions pris une douche ensemble après avoir fait plus ample connaissance. Enfin tout cela me ramène quelques mois en arrière. Lors de notre dernière rencontre, il était ivre et fumait pétard sur pétard, et j'avais ce soir là pris la décision de ne plus le voir. Ce mec est paumé, sans travail, il vit chez ses parents et j'ai l'impression qu'il n'a pas de volonté pour se sortir de cette impasse. Il est hétéro à vécu avec des nanas, qui ont du se lasser de son comportement, car lorsqu'il est ivre, il n'est pas agréable du tout. Complètement désinhibé. Il m'a raconté avoir été par un mec à se faire prendre un jour. Je n'ai pas cherché à en savoir davantage. Par contre il adore caresser un sexe de mec et le faire bander un max pour le sucer ensuite. Il excelle dans cet art.

Dimanche je reçois un sms, et j'ai la surprise de voir son nom s'afficher. Je l'avais gardé dans mon index, tout en l'ayant effacé de ma mémoire, pour les raisons précédemment exposées. Après les questions: Comment vas tu ? Que deviens tu ?, il me dit qu'il a fortement envie de me voir. Il est en manque d'un sexe épais comme le mien. Bien sur argumente t-il : - je vois un autre mec de temps en temps, mais son sexe est plus fin. J'ai envie de toi, de te sentir en moi me dilater.

Une telle supplique est déjà un bel argument à lui tout seul. Je ne peux résister à une telle invite, surtout que je n'ai rien fait depuis deux jours et que rien que de penser à son petit cul étroit, humm..... Mon sexe se dresse d'instinct. Tu as gagné Seb, je ne peux que m'y résigner. On décide de se retrouver dans un bois ce soir à 21 heures. Le bois dans lequel nous nous sommes bien éclaté à l'automne dernier.

J'arrive le premier, j'ai apportée une couverture pour que l'on puisse s'allonger. J'ai entré mon véhicule dans le chemin forestier. J'entends un moteur qui se rapproche. Le bois est désert en cette soirée. Seb arrive on se sert la main, et nous entrons dans le bois à pieds pour nous éloigner du sentier. Il porte un pantalon de treillis beige et un tee shirt bleu. Moi je porte un short en jean. Il est vraiment beau mec, même s'il n'est pas rasé. On s’arrête au pieds d'un chêne. En parlant de banalités, il vise de sa main droite mon sexe. Il me pétri au travers du tissus en jean. Et découvre mon pénis en semi érection. Moi se sont ses fesses que je vise et que je pétri dans ma main. Mon autre main, parcourt son torse et s'infiltre sous son tee shirt. Cette peau satinée m'électrise. Il dégrafe sa ceinture, mes doigts ouvrent la braguette pour peloter son sexe au travers de son boxer. Lui ne bande pas ou du moins pas encore. Il ouvre le bouton qui retient mon short. Et ses doigts s'infiltrent dans l'élastique de mon sous-vêtement. Là je suis très tendu. Et sa main s'empresse de découvrir l'objet de ses désirs. Un gourdin de 20 centimètres se sent d'emblée libéré. Sa main s'active pour décalotter entièrement le gland. Putain Seb qu'est ce que tu me fais bander. J'avais oublier l'effet que tu peux produire sur moi. Je le sens encore plein de retenues, ce soir, un peu comme s'il s'agissait de notre première rencontre. Je me baisse et vient emboucher, son sexe, légèrement sombre. Parfaitement lisse car rasé. Il est d'une douceur au toucher que j'affectionne. Ma main ne l'a pas encore mis totalement en forme. Je décide de le faire glisser dans ma bouche. Je pointe ma langue pour lui titiller le prépuce. Son sexe est propre, tout comme le mien. Une queue bien propre, je me jette dessus et commence à le pomper en douceur. La réaction est immédiate. Il prend de l'ampleur. Il bande enfin. Il faut dire que je ne ménage pas ma peine. Ma langue est très active ainsi que mes lèvres qui l'aspirent entièrement, pour revenir en arrière, le libérer et replonger dessus. Seb fait un 16-17 cm et son sexe est assez fin. Je dirais qu'il est dans la moyenne. Je lâche sa queue. Il se penche à son tour et vient happer mon sexe. Il trépigne, je le sens fiévreux de l'avoir. Sa langue et sa bouche sont rapides. C'est comme s'il voulait tout avoir en même temps. Ah mais cette bouche ! J'avais oublié le bien qu'elle pouvait me prodiguer. Je caresse et parcours tout son corps. Ma main droite par en dessous son buste courbé, branle son sexe et caresse ses deux petits noyaux. La main gauche part de son cou et descend le long de sa colonne vertébrale. Elle remonte palper ses biceps. Seb n'est pas hyper musclé mais il possède des muscles bien dessinés. Et mes doigts descendent jusqu'à atteindre son fessier merveilleusement rebondi. Je caresse ses fesses, tout en feulant, car sa bouche sur mon sexe, fait monter en moi des sensations de plaisir. Et déjà un doigt ose violer son intimité. Son petit cul est déjà ouvert et je sens poindre une humidité intérieure qui en dit long sur son désir.

Je ne souhaite pas aller trop vite en besogne, et j'aime prolonger les bons moments. Je lui propose de nous allonger sur la couverture pour un 69. Nous nous allongeons cote à cote sur le coté. Et je ré-embouche son sexe, qui a débandé. Je vais vite lui faire reprendre de la vigueur. Je lèche ses testicules et en mordille la peau en douceur. Il miaule à son tour. L'une de mes mains caresse les poils de ses jambes. Je kiffe, car autant il n'a pas de poil sur le corps autant ses jambes sont fortement poilues. Ainsi que son entre cuisse entre ses burnes. Je palpe encore et toujours car j'aime trop cela. Et mes doigts s’insèrent l'un après l'autre en douceur entre les poils de son fessier. J'humecte mon majeur en crachant de la salive et je masse sa prostate en douceur. Seb se trémousse. Sa bouche s'active encore davantage sur mon sexe. Et sa main me masturbe avec vigueur en serrant mes couilles. Quel gourmand. Je pense que le moment est venu, de passer à l'action. Je me redresse att une capote dans la poche de mon short, ainsi que le gel. J'ouvre l'emballage et déroule la fine pellicule du condom sur mon sexe prêt à exploser tellement il est tendu par les caresses buccales reçues. J’introduis du gel dans le sillon de Sébastien.
Il se positionne à quatre pattes. A genoux derrière lui , je me positionne à l'entrée de sa fente. Je sais qu'il veut que je le prenne en douceur pour commencer. Et je le sens venir s'empaler par de petits à coups en arrière. Il s’emboîte à merveille, je sens que ses sphincters se libèrent. Qu'il est bon de sentir son sexe entrer en douceur et prendre possession du corps de ce mec. J'ai comme l'impression de le posséder tout entier, qu'il m'est soumis au bon sens du terme. Mon sexe le possède. Il était fortement demandeur et je comprends pourquoi il est entré tout de go dans
son antre. Je suis à fond et je n'ai encore rien fait, j'ai suivi son positionnement sur mon chibre. Mon calibre de 5 centimètres d'épaisseur écarte ses chairs.

Il éructe le petit Seb, sa tête rentrée entre les épaules, je l'entends qu'il ahane. Je lui demande si cela va bien, avant d'entamer de savants et progressifs va et vient, tout en douceur, très lentement pour qu'il s'habitue. Il y prend goût, et ses soupirs deviennent une plainte de plaisir. Je ne le vois pas de face mais je l'imagine pinçant ses lèvres, en les recouvrant de ses dents blanches. Rien ne peut plus m’arrêter. C'est un délice de coulisser en lui. J’att ses hanches de chaque coté et je le fais venir se ramoner sur mon vit. Et cela glisse à merveille, et il redouble de soupirs. Une de ses main plonge par dessous et il se retrouve appuyé sur ses coudes. Sa main enserre mes testicules et me caresse. Et pourtant j'adorais sentir mes couilles claquer ses fesses à chaque butée au fond de son boyau. Ce que j'aime ton petit cul Seb, j'avais oublié qu'on y était s'y bien. J'accélère la cadence car il accepte mes assauts. Ce qu'il n'arrivait pas à supporter avant. Souvent sa main faisait rempart en se serrant autour de ma bite pour l’empêcher de pénétrer davantage. Ce soir j'y vais à fond et je l'imagine sautant une meuf. Et mon énergie redouble. Je fais passer ma main sous son ventre et vient choper sa queue. Il vient de quitter mes bijoux et branle sa bite en soufflant de plus en plus fort. J'att ses épaules désormais et je me déchaîne sur ses fesses. Et je sens ses couilles cogner aux miennes désormais. Nos peaux se touchent et se pénètrent ainsi également. Et ce chaloupe ment de nos corps sonne comme une osmose. Ton petit cul me va si bien Sébastien, ma queue est adaptée à ton anus. Elle y va comme un gant. Mon plaisir monte telle une poussée d'adrénaline. J'entends Seb me dire ou plutôt râler :
-je vais jouir, je.... viiiieeens.
Et je donne le coup de grâce au même moment. Un puissant orgasme me ravage l'intérieur. Tout mon corps se crispe. J'ai l'impression que ma tête est prête à exploser.
Cela part du sexe, remonte à la tête pour venir se libérer dans un sachet plastique . Un flot me submerge et je sens l'extase , le bien être absolu, de se relâcher dans une explosion de jets qui font trésailler tout mon corps. Quel bien être. Je reste ainsi planté au fond de ce mec, qui vient de me donner tant de plaisir, quelques minutes. Le temps de reprendre mes esprits. Nous sommes comme sonnés l'un et l'autre par tant de bien être. Son sperme parsème la couverture qui sera lavée à mon retour.

Il est certain qu’après une telle communion de nos corps, nous ne resterons pas six mois sans nous revoir.