A Deux Dans Ma Nièce

La nièce de ma femme ressemble à une poupée malgré ses 25 ans. Elle joue à des jeux vidéo sur son ordinateur et entretient un comportement ambivalent, comprenant celui de la petite fille innocente et futile, qu'elle joue très bien, et la fille intelligente, froide et calculatrice qu'elle est au fond d'elle, et qu'elle cache assez facilement.
Elle a réussi à nous faire inviter à la maison, un copain de travail, lequel joue le rôle du petit frère d'Alice, ma nièce.
Hier matin, je suis allé aux toilettes, vers 2 heures du matin. J'ai vu de la lumière sous la porte du salon. Le copain d'Alice était couché sur le dos, sur le canapé. Son pantalon était baissé jusqu'à mi-cuisses. Les lèvres d'Alice montaient et descendaient le long du manche du garçon. Je n'ai pas fait de bruit pour regarder la scène, excité.
Alice, le sexe toujours dans sa bouche, se souleva et retira sa culotte. Je n'avais jamais vu son cul, mais je savais qu'il était beau. La voir évoluer tous les jours à mes côtés, la rendait bandante, quand elle bougeait son petit cul devant moi. Toujours distante, elle me décochait un sourire aguicheur, pour voir juqu'à quand je résisterais à son charme. Quand elle me regardait de cet air-là, je savais que tôt ou tard, je la baiserais.
A genoux en train de pomper le chibre du garçon, la culotte en bas des cuisses, la vue de son petit cul bien rond, me mit en émoi. Ma queue était raide et ma main se glissa dans mon slip.
Alice lâcha la bite du garçon et monta sur le canapé. Elle passa ses jambes de part et d'autre de celles du garçon, et complètement nue, elle commença à s'asseoir sur son sexe. Je regardais, fasciné, le sexe du garçon s'insinuer dans la moule d'Alice, et celle-ci poussant un soupir, à mesure que sa chatte descendait le long du pieu de chair. Bientôt, elle l'engloutit en entier. Le garçon se souleva, et embrassa Alice. Celle-ci commença à soulever son cul pour le faire glisser sur le sexe. Elle glissa son visage sous son bras et me vit en train de regarder.

J'avais sorti ma bite, et j'étais en train de m'astiquer le manche.
Est-ce qu'elle m'avait repèré plus tôt et qu'elle avait décidé de m'offir le spectacle ? Je ne le saurai jamais. Elle se releva et me lança :
- Georges ! Tu étais là ! Viens !
Je m'approchais, et son sourire se fit égrillard, une nouvelle fois. Elle m'attrapa par le bras et m'attira vers elle. Le sexe toujours au fond de sa moule, elle se pencha, et ses lèvres se refermèrent sur ma bite. Elle saliva un maximum, m'arrachant un soupir de plaisir. Puis, se relevant, elle me dit :
-Il fallait que je te lubrifie un peu, si je veux pas avoir mal, quand tu me la mettras dans le cul.
Joignant le geste à la parole, elle se pencha et se colla sur la poitrine du garçon. Dans le geste, elle avait saisi ma bite et la guida vers son trou du cul.
- Allez, dit-elle ! Mets-la moi. Depuis le temps que tu attends ça ! Et moi, d'ailleurs ! Si tu savais ! Depuis que je suis arrivée, je rêve que tu me baises ! J'ai vu qu'avec ma tante c'était fini pour toi. Je veux que ta dernière fois, soit une apothéose. D'un autre côté, si tu visites ma chambre la nuit, je suis pas contre. Je comprends pas tante. T'as pourtant une belle bite. Et je vois que tu portes bien tes 60 ans. Quand elle dormira, mon cul t'accueillera quand tu voudras. Ma bouche aussi d'ailleurs.
Elle se recoucha sur le garçon, ses mains m'attrapèrent par les hanches, m'invitant à lui limer le cul un peu plus vite. En fin de compte, le garçon et moi, avons inondé de sperme, le cul et la moule de ma nièce.
Alice s'est relevée. La queue du garçon toujours dans sa moule, elle se retourna vers moi, et nettoya ma bite avec sa langue. Elle lécha mon sperme mélangé avec les humeurs de son cul. Ses lèvres serrées autour de mon sexe, et, sous les coups de boutoir du garçon qui la baisait, Alice laissa glisser mon gland, jusqu'au fond de sa gorge. Son visage collé sur les poils de mon pubis, je lui déchargeai une nouvelle giclée de sperme dans la bouche. Son regard de gratitude finit de me convaincre qu'elle aimait ça.
Depuis le temps que je la baise, maintenant, elle n'en n'a jamais laissé une goutte. Une nuit, elle m'a tellement rallumé et ranimé, que je suis sûr qu'elle pourrait baiser tout le temps et en continu. Elle m'a déjà dit que baiser ne suffisait pas. Elle a besoin d'être prise aussi par le cul, et, simultanément.
Ce soir-là, après avoir été baisée et enculée toute la nuit, elle s'est allongée sur le canapé, l'air fatiguée et heureuse. Et pourtant, elle a exigé, que, le garçon ou moi, reste enfoncé dans son cul.