Sauter Le Pas... L'Expertise.
Il y a des phrases toutes faites, on se demande qui les a pondues mais elles cloisonnent nos vies et, par habitude, convention ou morale, elles nous fixent naturellement des limites. Celui (ou celle) qui saventure à franchir les fameuses barrières reçoit une volée de bois vert de ses pairs mais, soyons honnêtes, sur le coup, le jeu en vaut largement la chandelle ! Après, bien sûr, cest le bordel ! Mais bon, ce qui est pris est pris, cest comme ça que je vois les choses !
Je persiste et je signe : sucer, cest pas tromper ! Baiser avec une capote, cest pas vraiment tromper non plus ! Sucer avec une capote alors là, cest carrément ne rien faire !!!
Dans la série des phrases toutes faites, il y a « no zob in job ». Même les anglophones sy mettent, cest dire si la situation est critique ! Eh bien moi, jai déjà « zobé » au « job », si si ! Et même plusieurs fois ! Le pire est que je suis toujours vivant et même prêt à recommencer, non mais !
Dailleurs, je suis sûr que dans tous ceux qui liront cette histoire, il y en a aussi, ne mentez pas, jai les noms ;-)
Je bosse pour une compagnie dassurance, cest moi qui débarque chez vous pour faire des expertises après un sinistre. Les mecs, je peux vous assurer que certain(e)s sont prêt(e)s à tout pour que lexpertise leur soit favorable. Ça ne change rien, je vous rassure seule la chair est faible, pas les clauses des contrats ! Et, contrairement à une autre expression toute faite, tout ne sarrange pas ment sur loreiller !
Je mappelle Alexandre, 30 ans, 1m78, 68 kg, sportif, brun, plutôt mignon daprès ce que lon me dit. Javoue mêtre laissé tenter par quelques pipes et quelques coups vite faits bien faits lors dexpertises. Uniquement de la part de ces charmantes dames car je me croyais exclusivement hétéro. Maintenant que jy repense, il y a bien des mecs qui mont allumé mais, à lépoque, je nai pas capté les signaux pourtant gros comme le nez au milieu de la figure.
Le soir de mes 30 ans, jai couché avec un mec pour la première fois, depuis, je lai revu et on a remis ça avec toujours le même plaisir. Jai donc compris que ce nétait pas un simple « accident » de parcours mais la découverte de ma bisexualité jusqualors insoupçonnée.
Histoire de bien confirmer cette évolution, jai rencontré Jonathan, un jeune beur qui ma offert son pucelage. En entrant dans son corps, je suis aussi entré dans son âme, on noublie jamais sa première fois !
Vous trouvez, quand un assureur vient faire une expertise chez vous, quil est dur en affaires. Il y a encore pire, lors dun sinistre qui engage plusieurs assurances, les experts sont impitoyables les uns avec les autres ! Cest à celui qui fera porter le plus gros chapeau à lautre pour que les indemnités soient les moins fortes possibles, et oui, « business is business » ! Cest ce que jai vécu récemment.
Un assuré, propriétaire dun appartement, a déclaré une inondation venant dun défaut de la toiture refaite il y a trois ans. Je constate les dégâts et je lencourage à faire fonctionner lassurance de la copropriété ainsi que la garantie décennale de la toiture auprès du couvreur. Donc, deuxième expertise avec en plus, cette fois, lexpert de la copropriété et de lassurance du charpentier, nous étions sous la toiture. Je vous passe les détails, cétait Verdun puissance Hiroshima entre nous. Lexpert de la copropriété a claqué la porte en me traitant de tous les noms, je suis resté avec mon confrère et voilà que lon recommence de zéro. Il en avait de plus en plus marre, il était rouge et transpirait, moi dans ces cas-là, je garde le cap et je suis un vrai pitbull, je ne lâche rien. En plus, je sentais bien que javais pris le dessus. On finit par sentendre et là, vaincu, il me dit : « Heureusement que tes mignon sinon jaurais pu te mettre mon poing dans la gueule ». Je lui réponds : « Quel est le rapport ? Cest quoi ces menaces ? On est là pour appliquer les textes et pour trouver un arrangement.
Je retrouve mon client, je lui fais un topo devant David, mon suceur. Celui-ci rajoute à mon intention : « De toute façon, on doit se revoir vite pour finaliser et signer laccord ». « Bien sûr » ai-je rajouté. On descend ensemble, arrivés en bas, il ouvre la porte, je suis derrière lui, il stoppe net, je lui rentre dedans, il retourne sa tête vers moi et me dit : « Demain soir ça tirait ». « OK ! ». « Tinquiète, tu ne seras pas déçu ».
Le lendemain soir, on se rejoint dans un bar sympa. On ne sait pas trop quoi se dire, on a une discussion banale, je suis super excité, jai juste envie de menvoyer en lair, je vois bien que lui aussi donc, je lui dis : « Bon, tu voudrais pas quon bouge ? ».
Je suis dans le même état que lui, je frotte mon bassin contre ses fesses, je suis de plus en plus à létroit dans mon jeans, du coup, de ma main libre, je le déboutonne, il sen rend compte et me le descend à mi-cuisses. Je ressors ma main et jen fais de même avec son pantalon. Il se retourne, menlève mon sweat et mon T-shirt puis nos deux bouches, comme aimantées lune par lautre, se collent, ma langue explore sa bouche et va débusquer la sienne pour la caresser et la faire tourner.
Comme je suis collé à lui, je lui masse les fesses, ma bite est passée entre ses cuisses, juste sous ses couilles, je fais des va-et-vient en caressant son périnée. Il a lair dapprécier, il gémit de plus en plus fort. Sa bite, bien dressée, caresse mon ventre au rythme de mes coups de hanches. On sexcite comme ça un long moment puis il se décolle de moi et me dit : « Viens, on va pas faire ça ici, il y a plus confortable, je sais recevoir quand même ». Je me dis quaprès tout, on peut bien baiser nimporte où, il ma bien fait une pipe sous les toits dans la poussière et au milieu des toiles daraignées, mais bon, allons-y !
Il memmène au salon, on finit de se déshabiller, il me jette sur un immense canapé, sallonge tête-bêche sur moi, il avale ma bite, jen fais autant avec la sienne et nous voilà parti pour un beau 69.
Nous basculons sur le côté tout en continuant à nous occuper lun de lautre, jintroduis désormais un deuxième doigt en lui et je le lime tout en le suçant. Il est de plus en plus ouvert et humide, je tente un troisième doigt, ça rentre et le limage reprend. Les sensations sont plus fortes, il ne me suce plus mais gémit assez fort, se cramponne à ma bite et la branle de temps en temps.
Je me relève, lui demande de se mettre à quatre pattes sur le canapé et de poser ses avant-bras sur le dossier, jappuie sur son dos pour le cambrer au maximum, il me tend son cul ouvert et humide comme la pire des salopes. Je le doigte encore un peu, je prends un préservatif quil a posé tout à lheure sur la table basse, je mapproche de lui et je le pénètre. Il est tellement ouvert que jentre en lui dun coup jusquau fond, je nai même pas le temps de mhabi quil me dit :
« Défonce-moi de toutes tes forces, jen crève denvie depuis hier quand je tai vu ».
Il ne faut pas me dire des choses comme ça, surtout dans cette situation ! Je le saisi par les hanches et je commence les va-et-vient rapides, secs, profonds et brutaux. Jalterne entre des grands coups de reins et un rythme très rapide. Il gueule littéralement à chaque coup, moi je défonce mon partenaire comme je ne lavais jamais fait auparavant. Je ne pensais même pas être capable dune telle violence, mes couilles claquent fort sur ses fesses, à chaque pénétration, le choc est tel quil est poussé, jai de plus en plus chaud, je transpire comme lors dun marathon. Je nai jamais baisé comme ça, dune façon aussi bestiale mais que cest bon !
Je me retire, je lallonge sur le dos, lui relève les jambes, je les cale sur mes épaules et je me réintroduis en lui. Il avait débandé mais dès quil se branle, sa bite redevient raide. Je remarque quil transpire aussi mais il mencourage à continuer. Ça fait bien près de 10 minutes que je mactive ainsi en lui, je sens que je ne vais plus tarder à venir, il craque le premier et éjacule sur son ventre une belle quantité de jus. Ça mapporte la touche finale dexcitation quil me fallait, je jouis aussi au fond de sa chatte et je meffondre sur lui en sueur et essoufflé. On sembrasse le temps de se remettre puis on se relève et on sassoit côte à côte. Cest lui qui rompt le silence :
« Eh ben dis donc, jai bien fait de tallumer hier, jaurais jamais cru que tu me fasses jouir comme tu viens de le faire. »
« Tas pas idée de tout ce que je sais faire ! Je me devais être à la hauteur, tes un sacré coup ».
Sur ces belles paroles romantiques, on sest douchés et rhabillés. Il ma payé un coup à boire et on a finalisé les conditions de lindemnité de mon client, faut savoir rester pro en toutes circonstance ! Celui-ci ne saura jamais tout ce que jai dû faire pour lui ! Cest terrible lingratitude !!!
Ma première idée a été de ne plus revoir David mais bon, cest un super coup quand même. Alors je me dis que peut-être, pourquoi pas, sur une autre expertise
Je ne sais donc toujours pas qui a dit « No zob in job » mais cest encore une belle connerie ! A bon entendeur.
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