Leslie Nr20

Leslie NR20 – Nouveaux récits
Souvenirs de voyage – Venise Paris avec l’Orient-Express, suite

Le thé nous est servi par le steward qui m’a adressé un clin d’œil discret en quittant le compartiment, puis j’ai fermé le loquet du compartiment avant de tirer les rideaux donnant sur le couloir.
- Nous voilà enfin tranquilles, dit-elle et si on se tutoyait, tu veux bien ? Moi, c’est Eva, et toi ?
- Leslie, dis-je en la regardant.
- Je suis bien avec toi !
- Moi aussi Eva.
- Tu sais, si tu veux nous pourrions nous aimer, je suis bi et cela ne me pose aucun problème et cela m’aiderait certainement à oublier !
Voilà qui est dit, franc et direct, Eva va mieux et me fait des propositions.
- Tu sais avant tout, et surtout avant que tu ne sois déçue, il faut que je te parle de ma différence.
- Oui, dit moi, dit-elle en se rapprochant de moi et en commençant à dégrafer son corsage
- Tu dois savoir que je ne suis pas une femme au sens propre du terme, je suis différente avec un plus que les femmes n’ont pas…
- Un petit plus ? demande-t-elle intriguée.
- Eva ! Dis-je sur le ton de la confidence, je suis une femme avec un corps d’homme.
Elle a déjà les seins nus, le chemisier rejeté en arrière et comme pour vérifier mes dires, elle tend la main sur mon entre-jambe pour palper mon sexe et s’exclame.
- Tu appelles ça un petit plus, dit-elle en riant.

Le feu lui monte aux joues, le chemisier glisse le long de ses épaules et de ses bras, le haut du corps nu elle se redresse et défait sa jupe pour se retrouver en bas et porte-jarretelles et je constate qu’elle n’a pas de culotte.
Elle m’a regardé et j’ai vu l’excitation qui donnait la dureté à ses tétons dressés sur de larges aréoles et elle m’a dit :
- Tu seras ma première ambiguë !

Belle ambiguë je l’étais à ce que l’on dit, mais je n’avais pas l’intention de lui répondre tout de suite.

Pour l’instant, je regardais ce superbe corps de femme, nu, juste paré de bas et d’un porte-jarretelles.
Ces jambes recouvertes de bas couleur chair, s’arrêtant à mi-cuisses et retenue par un porte-jarretelles crème encadrant un pubis taillé très raz dont les poils faisaient un V en partant du haut de sa fente, mettant en valeur son intimité aux lèvres apparentes.
Elle est restée ainsi de longues secondes sans bouger, les mains posées sur ses hanches, me regardant la détaillée, tout en tremblant d’excitation, je crois et en laissant monter mon désir…

Puis j’ai passé deux doigts sur sa vulve nue et offerte, l’attirant vers moi, et recueillant sur le bout de mes doigts un peu de la liqueur retenue entre ses lèvres humides
Eva ne semblait pas embarrassée d’être nue devant moi, frémissante encore de mes doigts sur sa vulve, elle se tenait offerte avec sa chatte à mes prochaines caresses et dont les lèvres brunes ne demandaient qu’à s’ouvrir à des attouchements approfondis…
Je l’ai senti prête à s’offrir à moi sans aucune retenue, lorsqu’elle m’a demandé :
- Et toi, tu n’as pas envie de te mettre à l’aise ?
Un long frisson me parcourant le corps, elle s’est penchée vers moi pour m’embrasser avec des yeux brillants pour lentement dégrafer mon corsage et dévoiler ma poitrine que rien ne retenait.

- Pas mal, tes jolis petits seins et le reste est tout aussi joli ? Me demanda- t-elle.
- Pourquoi ne pas vérifier maintenant par toi-même !
Alors qu’elle s’apprêtait à s’agenouiller entre mes jambes largement écartées, elle m’a lancé un regard malicieux avant d’éclater de rire, elle avait ce petit air lubrique qu’ont les femmes pleines de désir.
Eva s’est revenue agenouillée entre mes cuisses, pour défaire la ceinture et les boutons de mon pantalon, et libérer mon membre raide de désirs.
- Humm… Dit-elle, pas mal du tout, tu permets ?
Mis sans attendre ma réponse, Eva avait déjà mise mon sexe dans sa bouche et m’administrait une fellation digne de figurer dans un film porno.

Eva avait perdu sa tristesse et me suçait à merveille, les va-et-vient de ses lèvres et de sa langue sur mon sexe, s’accompagnaient de doigts recherchant mon petit trou, la belle devait avoir l’habitude de sucer ses amants… Elle avait pratiqué pour connaitre tout cela !
- À ton tour à présent ! Me dit-elle.
D’un bond, elle s’est retrouvée allongée sur la banquette, une jambe relevée contre le dossier et l’autre tendue dans ma direction, caressant ma queue dressée de son pied gainé de soie.
Un moment, je la regarde faire en même temps qu’elle glisser ses doigts sur les lèvres de petite chatte, puis enlevant ses mains de sa vulve, elle m’a dit :
- Viens !
J’ai plongé ma tête entre ses deux cuisses écartées pour poser mes lèvres sur sa vulve pour déguster le nectar qui s’échappait de ses lèvres luisantes, lui créant du même coup des spasmes de plaisir traversant tout son corps.
Visiblement, Eva aimait cette caresse intime, ses doigts glissés dans mes cheveux, elle pressait mon visage contre son con débordant, poussant de longs gémissements à chaque fois qu’une nouvelle vague de plaisir venait l’emporter.

Epuisée par ses orgasmes successifs, à bout de souffle, elle a fini par me repousser en me disant :
- Prends-moi maintenant !
Les yeux brillants de désir, elle se tenait là, allongée les cuisses écartées m’offrant sa chatte ruisselante, j’ai présenté mon gland à l’entrée de son orifice et je me suis introduit lentement dans la gaine soyeuse de son vagin, elle gémissait en disant :
- Oh, que c’est bon !
Une fois au fond d’elle, elle a noué ses jambes autour de moi pour s’offrir davantage et me permettre d’aller encore plus loin. Pendant que je la pistonnais, tout en râlant elle me plantait ses ongles dans la chair de mes épaules en répétant sans cesse :
- Encore, oui encore !
Durant une heure peut-être la cabine fut remplie de ses cris de jouissance, alors que je la prenais dans toutes les positions possibles.


Affolante femme guidée par son désir, qui m’offrait son corps sans retenue, à un certain moment alors que je la possédais en levrette, j’ai osé lui caresser d’un doigt son petit œillet plissé, la faisant sursauté et se cambrer aussitôt et la faisant émettre un :
- Ohhh !
Ne s’échappant pas de cette caresse, j’ai alors enfoncé mon doigt dans son anus, lui arrachant aussitôt un :
- Ahhh !
J’ai senti son cul s’ouvrir un petit peu et je me suis dit qu’elle devait pratiquer la sodomie, mais j’ai continué à la baiser, pour jouir en elle.

Nous nous sommes séparées et après s’être rhabillée vite-fait, elle est partie dans sa cabine se refaire une beauté et se changer, en partant elle m’a dit :
Bien-sûr, nous dinons ensemble, je viens toquer à ta porte dans une demi-heure, à plus ma chérie…
Et la voilà qui disparait.

A suivre…

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