Bm... W La Suite !

Le vendredi tire à sa fin et je ne vais pas m’en plaindre. Putain de semaine à la con. D’abord, car je me suis fait larguer par ma brune et que ma queue se dresse rien qu’en pensant à sa croupe — c’est vachement pragmatique, un mec. Surtout un jeune mec —, mais en plus ma voiture m’a coûté une blinde à cause d’une panne.
Alors que je noie ma colère sous une douche brûlante, le bigophone sonne. Qui tente encore de me les briser ? Bougonnant, je reste placide et continue mes ablutions en tentant de trouver un point positif en cette veille de week-end...
Lundi, facture d’électricité. Mardi, panne de réveil le matin, sodomie de Gaby le soir...
— Tiens, c’est positif, ça ! me dis-je tout haut. Sauf que mercredi, elle t’a jeté comme si de rien n’était.
Putain de cervelle ! me dis-je encore tout haut.
C’est à cet instant que Jérôme me revient à l’esprit. Jérôme est sa belle bagnole, certes, mais surtout sa belle, même très belle queue. Si la soirée avait mal débuté à cause de Gaby, les choses s’étaient bien emboîtées avec ce mec !
Et bing, de nouveau le téléphone. C’est sûrement lui ! J’arrête l’eau et vais répondre. Deux fois en 5 minutes, c’est peut-être important.
— Salut Max, dit une voix masculine.
— Jérôme ! Content de t’entendre. Je pensais à toi à l’instant même. mentis-je à demi.
— Ah... en bien ou en mal ?
— En bien, rassure-toi.
— Nous sommes vendredi, et nous avions dit que nous pourrions nous voir. Tu en a toujours envie ?
— Plus que jamais ! Dis-je en serrant ma queue à travers la serviette nouée autour de ma taille.
En nous quittant, on s’était entendu pour le vendredi soir... et nous sommes vendredi ! Quelques banalités plus loin, je dois le rejoindre chez lui avec deux pizzas vers 21 heures. Du coup, retour sous la douche pour un coup de rasage intime et préparer mon arrière-train à subir ses fougueux assauts.
La sodomie, ça peut très vite tourner scato, surtout si ça dure vraiment et qu’il y a insémination.

Et ce sont ces deux points qui rendent cet acte si bon. Donc un lavement à l’eau tiède, un peu de glycérine et me voilà fin prêt pour aller faire la queue... devant le pizzaiolo.
Mon cœur prend une petite secousse en passant devant la rue de Gaby. Ma belle brune me manque, mais construire quoi que ce soit avec une fille est purement inenvisageable en l’état. Et si un doute subsistait, ne suis-je pas en route pour passer la soirée dans le lit d’un homme ? Perverse, la bisexualité.
Je m’efforce de refouler toutes mes pensées négatives pour me focaliser sur Jérôme. Quand on a faim, la saveur des aliments que l’on imagine hante notre palais. Là, ce sont les goûts de sa queue et de son sperme qui me font saliver.
Les pizzas sentent bon, j’ai pris des clopes en passant et je me paie le luxe d’être 5 minutes en avance. Ses explications étaient précisent, je gare ma voiture devant l’entrée de sa villa, juste à côté de sa BMW.
Jean, chaussures en cuir et chemise presque ouverte, c’est ainsi qu’il me reçoit. Sur un coin de table, une bouteille de rouge et deux beaux verres attendent patiemment une étreinte. La pièce est vaste, l’atmosphère agréable, l’éclairage y est certainement pour beaucoup.
— Ça me fait plaisir de te revoir ! lance mon hôte, tout sourire.
— Pour être tout à fait franc, moi aussi. Après une semaine déplorable, mais je suis très content d’être avec toi ce soir. C’est officiellement le week-end, je me mets en mode “détente”.
— Tu as raison, buvons un verre. Tu aimes le vin ?
— Très bien. Depuis mercredi, le whisky ne me dit plus grand-chose !
— Il t’a donné mal aux fesses ? ironise l’homme, souriant et taquin.
Le glouglou qui va bien accompagne son geste délicat. Indéniable, ce mec à du savoir-vivre. En trinquant, je lui demande comment il a vécu ses deux derniers jours, après avoir découvert la sexualité en mecs. Il affirme ne pas avoir eu trop le loisir d’y penser avant de rentrer ce soir, mais qu’une fois seul chez lui, il m’a presque immédiatement appelé.
Son visage rougit à peine alors que je lui souris.
— Bon, il faut arriver à digérer le fait d’avoir “couché” avec un mec ! se confie-t-il. Une fois l’excitation retombée, j’en ai pris un coup dans mon orgueil. Mais rien qu’en repensant aux deux pipes que tu m’as offert..
— Pour faire simple, en gros, t’as culpabilisé une nuit avant d’apprécier.
— C’est exactement ça. Et donc, tu n’es pas là par hasard ! confirme un Jérôme rougissant et arborant un début d’érection ne passant pas inaperçue à travers la toile de son jean.
— Cette fois, nous allons prendre le temps pour nous apprécier. Tchin ! Je compte bien tout mettre en œuvre pour que tu n’ai aucun regret.
— Je pense pouvoir compter sur toi ! Tchin !
Pas besoin d’être sommelier pour trouver ce Bourgogne délicieux. La soirée commence par quelques questions concernant mes tracasseries ; je lui fais gentiment remarquer ne pas être là pour me plaindre, mais bien pour profiter de sa présence, ainsi que de sa personne !
Sans autre forme de procès, je m’agenouille devant lui et commence à dégrafer son jean. Impatient de retrouver son splendide sexe, je n’y vais pas par quatre chemins et baisse son pantalon libre de tous sous-vêtements sur ses cuisses, exprimant ainsi mon besoin impérieux de le sucer.
J’adore un mec à poils sous ses jeans, je trouve cela irrésistible. Pendant que son membre prend vie entre mes doigts, je suis fasciné par ses bourses. Je ne peux que les soupeser, les malaxer en lui affirmant que je ne les voyais pas aussi volumineuses dans la pénombre. Jérôme dispose d’un braquemart à roulette, un véritable appel à la débauche.
— Je ne m’étais pas aperçu que tu étais aussi sévèrement burné. Hummm... j’en ai trop envie pour attendre. dis-je en embouchant son gland gonflant à vu d’œil.
Son goût de mâle parvient à mes papilles alors qu’il déforme agréablement ma bouche. À demi molle, je l’engloutis à en coller mon nez contre son pubis, ses couilles collées contre mon menton.
“Dieu que c’est bon, une bite !” ne puis-je m’empêcher de penser en savourant ces premières secondes. Sa queue balaye tout sur son passage, dissipant tout le stress de ces derniers jours.
Ses mains saisissent mon crâne à la base, plus pour simuler une domination que pour me soumettre à son vît. Dans un long mouvement oscillant de gauche à droite, mes lèvres coulissent le long de sa hampe qui n’en finit plus de gonfler. J’occulte pour l’instant son nœud, bien qu’à chaque aller-retour, il vienne délicieusement s’écraser dans mon arrière-gorge. Ce contact lui arrache d’ailleurs quelques feulements, preuve, s’il en fallait une, qu’il apprécie.
Cela ne fait pas 10 minutes que je suis chez lui, et déjà il me traverse la tête. D’une main, je dégrafe mon pantalon pour libérer ma queue bandée. Mon partenaire me plaît, c’est incontestable. De belles queues grisent presque toujours, mais lorsque l’homme en entier est séduisant, tous les verrous se libèrent pour vivre l’instant au mieux.
Devant tant d’excitation, il m’invite à m’allonger, il aimerait bien partager mon plaisir. En moins d’une minute, nous sommes à poils, vautrés en 69 sur le cuir de son immense sofa. Alors qu’il engouffre ma verge, j’aspire amoureusement ses burnes l’une après l’autre. Son petit trou se trouve juste sous mes yeux et n’attend qu’un de mes doigts humectés. Ce n’est pas que le cul des mecs m’attire, bien au contraire ; mais j’apprécie mon partenaire et le stimuler accena son plaisir. Il accueille d’ailleurs mon geste d’un grognement équivoque, sans pour autant cesser sa fellation.
De ma main libre, je saisis sa verge à la base pour m’occuper maintenant presque uniquement de son gland. J’en lèche la couronne, darde le méat du bout de la langue, puis l’aspire fort quelques secondes avant de réitérer mes sévices en massant fort sa prostate. J’espère bien qu’il ne résistera pas bien longtemps à ce traitement. J’ai vraiment besoin de ses puissants jets, sans compter qu’ensuite, il sera plus patient pour donner suite à cette soirée qui débute très bien.
En revanche, je ne suis pas pressé de jouir, car j’espère bien décoller pendant qu’il me prendra, plus tard dans la nuit.
J’accélère légèrement la cadence, m’activant sur son sexe et dans son anus en pompant fort son nœud gorgé à bloc. En quelques minutes, son bassin propulse sa verge loin dans ma bouche pour décharger. Il me noie en plusieurs rasades, sa bouche rivée autour de ma hampe, ses mains crispées sur mes fesses qu’il écartèle compulsivement. Son sperme est délicieux, j’essaie de ne pas en perdre malgré un impressionnant débit. Voilà ce qu’il me fallait pour calmer mes nerfs : une bonne décharge. Je me sens instantanément plus apaisé.
Une fois l’orgasme passé, je le câline tendrement en veillant bien à ne pas insister sur son nœud devenu hypersensible. Mon doigt recule lentement pour sortir de son rectum et ma main retrouve alors son gros paquet dans une douce étreinte. Sa verge perd de sa rigidité, j’en profite pour lui soutirer les dernières gouttes de sperme encore prisonnières de son urètre.
Mon mâle, vaincu par le plaisir, pose sa tête sur ma cuisse. J’ai beaucoup de peine à délaisser ce bel organe, même si je sais que ce n’est que le début de nos ébats. Toujours en 69, nous profitons de notre sérénité en caressant nos corps avec beaucoup de sensualité, pas pressés de nous désunir.
— C’est sympa en fait, de sucer. Confie-t-il en reprenant ma verge en bouche.
— Tu prêches un convaincu. C’est comme établir une connexion avec un homme. Tu ressens tout de l’autre et, cadeau ultime, il te délivre toute sa puissance.
— Hummm... ta queue me fait envie. Finalement, je crois que j’en ai envie depuis longtemps.
En effet, il me suce avec une envie manifeste. Sa langue s’enroule autour de mon gland puis il enfonce ma verge au fond de sa bouche, tantôt langoureusement, tantôt rapidement. Mes couilles dans une main, malaxant mes fesses de l’autre...
Sucer est inné; pour un homme. Il suffit d’en avoir réellement envie et de reproduire ce que l’on aime ressentir. L’homosexualité offre la possibilité de prodiguer ce que l’on aime. Deux mecs speed se feront plaisir, deux tendres également, il suffit de trouver le partenaire qui nous convienne.
Jérôme, au bout d’une dizaine de minutes, m’arrache un bel orgasme. En plusieurs spasmes, je me déverse au fond de sa bouche en abondantes bordées. Revenu de mes émotions, je suis heureux de voir qu’il a consommé mon offrande.
— Tu m’as fait voyager en première, c’était juste parfait. Tu as aimé ?
— C’est très surprenant. De là à dire que c’est bon, je n’en suis pas convaincu, mais c’est... excitant de sentir que tu vas jouir, que c’est imminent, et d’un coup...
— Ce qui est bon, ce n’est pas que le goût, c’est ce que ça représente, non ?
— Tu dois avoir raison, j’avais vraiment envie de le faire. Par contre, étalé dans un Kleenex, on ne se rend pas compte du volume que ça représente à avaler.
Quelques rires qui nous font du bien et nous mettent plus à notre aise. Une dizaine de minutes plus tard, enfin nous trinquons. Nus, totalement désinhibés, nous grignotons les pizzas en discutant. Plus mon estomac se remplit, plus j’ai envie de lui, de sa belle queue. Mais je tente de rester sage pour l’instant. L’un comme l’autre, nous savons très bien que la soirée est loin d’être terminée.
Une bonne cigarette vient naturellement agrémenter mon café. Je suis à l’aise avec lui. Même mieux, il m’émoustille. Mon ventre le réclame. Ma main glisse sur sa verge chaude. Même complètement débandée, c’est déjà un monument.
— Qu’est-ce que tu es bien monté, c’est impressionnant.
— Elle te plaît tant que ça ?
— Plus que jamais. J’ai toujours été fasciné par les grosses. Une sorte de défi permanent. En avoir plein les mains, plein la bouche, se sentir complètement rempli, c’est hyper excitant.
Sa main descend dans le bas de mon dos tandis que je décalotte son gland redevenu orgueilleux.
— Regarde ce nœud ! Je vais encore être obligé de te sucer. Lui dis-je en me penchant sur son sexe.
— Toi, t’as un de ces culs ! répond Jérôme en saisissant ma fesse à pleine main. Je vais être obligé de te sauter.
Mes globes sont écartés au point de presque percevoir la puissance de son regard se poser sur mon anus. Mais déjà ses doigts me sondent avec douceur. Son gland dans ma bouche me stimule, je l’imagine déjà me pénétrant en quelques coups de reins. Ses deux doigts sont bien maigres, en comparaison de son sexe. Ils me permettent juste de m’assouplir, de me détendre. La glycérine fait des merveilles, car il suffit d’un peu de salive et “ça rentre tout seul”.
— Si on allez dans le lit... suggère-t-il.
On a baisé comme des lapins la première fois, un peu de confort nous permettra probablement d’en profiter davantage.
Les lampes de chevet diffusent une belle lumière. D’un geste précis, Il retire la couette, découvrant notre espace de jeu. Sa belle queue qui se balance à chacun de ses mouvements retient toute mon attention, il ne faut pas que l’attente s’éternise.
Comme il s’allonge en travers du lit, je m’agenouille entre ses jambes. Sa queue, qui n’a pas faibli d’un iota, bénéficie d’une bouche avide et débordante de salive. Je bave volontairement autour de son gland, en récupère sur mes doigts pour bien m’humecter l’anus.
Le sucer, le violer, mon homme n’a qu’une seule verge, il me faut trancher. L’instant d’après, ma main le positionne à l’entrée de mon ventre pendant que Jérôme écarte mes fesses. Impatient, je pousse de toutes mes forces sur mon sphincter en me laissant glisser en moi.
— Ce que tu es chaud... murmure mon amant en me sentant le phagocyter. C’est trop bon de retrouver ton ventre.
Le temps n’est pas à la parole, mais à l’absorption. L’homme est gros, large, épais, ce qui nécessite un minimum de concentration lorsque son nœud est passé. De longues inspirations diluent les tiraillements. Conscient de son anatomie, il ne cherche pas à précipiter les choses et ne démarre que lorsque mon bassin ondule d’avant en arrière.
Mes mains sur ses flancs, nous sommes immédiatement synchrones. Sa colonne me pénètre davantage à chaque aller-retour pendant que ma verge et mes bourses caressent son ventre dans ce mouvement alternatif. Quelle exquise sensation que celle d’un gland déformant sans violence mon rectum. Je ne céderais ma place pour rien au monde.
— J’aime être pris tout en douceur pour sentir ta grosse queue dans mon ventre.
Maintenant que la moitié de son sexe est en moi, je remonte jusqu’à sentir le chanfrein de son gland buter contre mon anneau pour redescendre d’une lente poussée.
— Quel piston tu as ! ne puis-je m’abstenir de commenter.
Ma prostate ressent clairement l’ourlet de son nœud au passage. Certains mecs, plus modestement membrés, me bassinaient pour me prendre. Je préférais mentir en prétextant ne pas trop aimer la sodomie. Mais en fait, c’est qu’ils leur manquait deux centimètres de diamètre, et je savais très bien qu’en les laissant faire, je risquais de m’ennuyer ferme.
Pour qu’une sodomie soit jouissive, il y a deux critères : un diamètre qui permette de se sentir suffisamment “rempli” et surtout que ça dure assez longtemps. Sinon, c’est un enculage. Je rajouterai que mes plus beaux orgasmes anaux, je les obtiens avec beaucoup de douceur.
Mes fesses plongent de plus en plus vers son pubis sur lequel mes bourses s’écrasent allègrement. Son bassin répond en cadence, engageant son gland toujours plus loin dans mon ventre. À ce stade, je marque encore une pause pour mieux le savourer.
En me redressant, j’att ses couilles chaudes en tortillant mes fesses pour mieux sentir mon homme investir mes entrailles. il ne nous faut pas longtemps pour que les derniers centimètres de sa verge me pénètrent. Les petits mouvements que nous faisons diffusent des ondes qui traversent tout mon corps et m’encouragent à en demander encore plus.
— Fais-moi sentir ta queue. lui dis-je en soulevant mes fesses. Baise-moi doucement, s'il te plaît.
Ses reins se soulèvent alors pour venir combler mes attentes. Je me penche sur lui et pose mes mains sur sa poitrine. Je peux ainsi bien mieux le sentir coulisser dans mon rectum et profiter de son fort diamètre. Selon mon envie, je m’empale plus ou moins à sa rencontre, ce qui n’a pas l’air de le déranger.
Les changements de position à la recherche de notre plaisir s’enchaînent aussi naturellement que nos corps s’emboîtent. Entre deux, j’aime retrouver le goût de sa queue dans ma bouche avant qu’il ne replonge en moi. Notre plaisir croît, il me comble à chaque coup de reins. Ivre de toutes ces ondes qu’il véhicule en moi, je lui demande de jouir dès qu’il le désire.
— J’ai besoin de te sentir te vider en moi, je crois que je vais jouir aussi ; j’y suis presque !
Sur le dos les jambes relevées, ses mains tirent mes cuisses pour bien m’enfoncer sur son pal. Sa queue me paraît soudain monstrueuse tellement mon sphincter se contracte autour d’elle, je le supplie alors de m’enculer. Jusque là, il s’est montré doux et précautionneux. Mais il répond à mes suppliques en s’enfonçant maintenant comme un forcené. Il me baise à grands coups de reins. Plus il m’en donne, plus j’en attends. Ses couilles frappent mes fesses et son gland me déchire le ventre lorsque les os de son bassin heurtent ma croupe.
— Oui, baise-moi encore, remplie-moi de foutre ! crié-je en tenant mes fesses écartées de mes deux mains. Je jouis !
Mon ventre est secoué de multiples contractions et une vague de chaleur partie de mes reins remonte ma colonne vertébrale tandis que dans un râle continu, Jérôme laisse sa jouissance exploser. Hyper réceptif, mon rectum perçoit chaque spasme de sa hampe expulsant son sperme. Son nœud vibre à maintes reprises en s’enfonçant compulsivement aussi loin qu’il le peut, avant de s’immobiliser au fond de moi.
Commence alors un long moment de plénitude. C’est à cet instant que nos énergies se transfert, que l’effort passé devient profitable. Sans cet emballement, il ne peut y avoir cette détente, aussi importante et bénéfique que notre orgasme lui-même.
— Hummmm... c’était si bon ! soupirais-je dans un souffle. Quel homme !
— Quel pied ! Si avec ça tu n’es pas enceinte, c’est que tu es stérile !
Lorsqu’il se retire de moi, mon ventre a autant de sperme à l’intérieur qu’à l’extérieur. À peine est-il allongé à côté de moi que je me penche amoureusement sur son sexe. La sensation de brûlure dans mon ventre contraste avec la fraîcheur que mon anus grand ouvert ressent. Ses bourses dans ma main, j’embouche le gros gland mollissant maculé de sperme, autant par gourmandise que pour le réconforter pour m’avoir donné autant de plaisir.
— Tu l’aimes ma quéquette, on dirait.
— Elle est juste parfaite pour moi : énorme, douce et pleine de sperme.
— C’est en gros tout ce que me reprochait ma femme. Moi, j’adore tes deux orifices.
Sa verge monopolise longtemps encore toute mon attention, jusqu’à ce que son sperme s’écoulant de mon ventre m’oblige à me relever. Le temps de filer sous la douche, j’ai beau serrer les fesses, sa semence coule le long de mes cuisses.
À mon retour, je le retrouve sur le lit. Nos verres de vin sont sur la table de nuit, ainsi que mes clopes et un cendrier. À titre exceptionnel, pour bienfait sur sa personne, il m’autorise à fumer dans la chambre. Le vin est encore meilleur, chambré, et révèle tous ces arômes.
— Lui aussi, il s’est ouvert. dis-je avec humour.
— J’ai l’impression que tu l’es depuis fort longtemps.
— J’avais à peine 19 ans, la première fois. Depuis, le passage est fait, ce n’est plus que de l’entretien, en gros.
— Ça ne te fait pas mal ? Enfin... j’ai l’impression de forcer grave pour te prendre.
— Pas lorsque c’est bien fait et que le désir est là. Et c’est justement la largeur d’une queue qui me plait. La longueur ne change pas grand-chose.
— La première fois, tu as dû la sentir, quand même ?
Me voilà parti à raconter quelques-unes de mes “expériences”, à commencer par mon tout premier. Celui qui m’a révélé ce que pouvait être “le cul” entre mecs avec de bons ingrédients de bases, à savoir une grosse quéquette et de la douceur. Puis les parties fines avec Franck et Patrick, tous deux très bien membrés. Patrick et sa capacité à me sauter quatre fois dans la soirée, tant il était insatiable. Mais toujours tendre.
— Et il déchargeait toujours en toi ?
— Avec lui, j’étais une vraie amphore romaine. Surtout quand on couchait à trois !
— Tu aimes bien ça ?
— Oui, j’adore sentir que l’on jouisse en moi, en bouche comme entre les fesses. Ça fait tellement partie de l’instant, une éjaculation, que j’ai du mal à le concevoir autrement.
Ma cigarette terminée, il éteint la lumière et m’attire à lui en me demandant de bien le sucer, car il aimerait de nouveau me prendre. Ses doigts dans mon fondement, j’aspire son beau membre qui ne tarde pas à redevenir menaçant.
Sans effort, le mandrin glisse en moi avec la facilité d’un index, graissé par le reste de son sperme encore présent dans mon rectum. Allongé en chien de fusil, ses couilles dans ma main, il me prend pendant ce qui semble être “une douce éternité”.
Sa queue est si bonne ! Sans violence, il m’insémine de plusieurs jets avant de s’immobiliser. Nous restons ainsi longtemps, l’un dans l’autre. Ses bourses contre mes fesses, sa verge obstruant mon sphincter de sa large présence.
Bien plus tard dans la nuit, après de multiples discussions, je ne résiste plus à l’envie de lui tailler une bonne pipe. J’engloutis sa verge dans un balai de langue et de succions jusqu’à ce qu’il explose une dernière fois.
Fort de mon forfait, je repars avec le goût de son sperme plein la bouche tout en le sentant s’écouler de mon anus distendu à chaque pas.

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