La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 696)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°691) - L’esclave MDE face à lui-même -

Endymion MDE avait été reconduit au Château par David, et plus précisément dans la chambre de Monsieur le Marquis d’Evans. Il était bien rare qu’un soumis ou une soumise soit amené ici, dans ce sacro-saint lieu, richement meublé, somptueusement orné. La luxueuse pièce était vaste, éclairée par trois hautes et larges fenêtres, plusieurs toiles de Maître y étaient exposées, un immense lit à baldaquin trônait. Cette chambre possède une véritable Histoire de France car les archives du Château attestent qu’en 1784 et 1785, le fameux Marquis de Sade aurait dormi dans cette chambre lors de son séjour au Château (lire les Origines de la Saga). D’autres archives manuscrites attestent et mentionnent aussi que le Roi Louis XVI Lui-même, en 1788, y aurait également dormi lors de son passage dans la région alors qu’Il revenait du Sud de la France et que Sa Majesté aurait fait étape au Château pour une nuit et royalement reçu par l’aïeul de Monsieur le Marquis… Donc une fois entrés dans cette historique chambre, David tenta d’ajuster avec précaution mais difficulté une cage de chasteté sur la nouille semi-molle de l’esclave MDE. David le commanda avec tact :

- Tu as suffisamment pris de plaisir avec la fellation que je viens de te donner petit chienchien, il faut maintenant remettre … (il se mit à faire des rimes chantonnées) … ‘’Ton petit oiseau en cage, Pour rester bien sage’’ lalala ! ... ‘‘Mignon et bel oiseau, A la verge de moineau’’ lalala ! … ‘’Petit chou et docile soumis, Que je ramène près du Marquis’’ lalala ! … chantonnait joyeusement David, le poète et compagnon du Maître !

Sans bouger, mains derrière le dos, l’esclave MDE se laissait tripoter, et ces tripatouillages compliquèrent un peu plus encore les choses. Les fines mains de David malaxant avec tant de douceur avec ses doigts baladeurs, la bite et les couilles et produisirent un effet contraire à celui espérer.

La queue d’Endymion MDE s’était redressée et enflammée de plus belle !

- ‘’Allons, allons petit chien, C’est pour ton bien’’ lalala ! … ‘’Calme tes ardeurs, Ramolli-moi cette raideur ‘’ lalala ! ‘’Il faut que ta nouille rentre là-dedans, Sinon Monsieur le Marquis ne sera pas content’’ lalala ! …

Non sans mal, en forçant et comprimant cette bite altière, David arriva à ses fins, la nouille était encagée ! Dès lors qu’il eut rempli sa mission, il exigea que l’esclave de Monsieur le Marquis prenne la posture qui lui allait si bien, et pour cela il avait arrêté de chantonner, même si le ton de sa voix était toujours aussi doucereux, tendre presque aimant. David avait ce don d’exiger, de se faire obéir toujours avec une douce voix sensuelle, quasi efféminée :

- ‘’Mets-toi vite en levrette petit chien, Relève tes fesses et creuse bien tes reins’’… lalala ! … ‘’Offre à mon regard ton fessier, Et montre-moi bien ton intimit钒 lalala ! …, ‘’Sans oublier de bien plaquer tes épaules à terre, Ainsi tu es beau dans l’assujettissement pervers !’’ lalala ! …

David sifflotait après ses douces rimes improvisées et contempla en caressant longuement l’esclave MDE. Ses gestes doux et tendres permirent à Endymion MDE de lâcher prise. Il s’offrait sans retenue, sans le moindre ressenti de honte. Il était bien dans cette posture plus qu’humiliante. Lui ne la considérait pas comme telle, elle lui était devenue familière, il avait appris à se tenir ainsi, humblement, respectueusement, outrageusement, elle faisait même partie de son quotidien et des rites installés en ces Nobles Lieux. Cette posture lui permettait même de s’évader, de mettre son mental au repos. Il était confiant, serein, calme et apaisé, heureux d’être ce qu’il était, une simple petite chose à exploiter… Il était tellement bien ainsi, qu’il ne s’était même pas aperçu que David était reparti sur la pointe des pieds en sifflotant de moins en moins fort… Il resta ainsi de longues minutes, seul, sans plus rien penser, sans plus rien réfléchir….


Au bout d’un certain temps, il entendit causer derrière la lourde porte de la chambre du Maître. Il reconnut la voix du Noble. Endymion MDE tendit l’oreille, retint son souffle, malgré lui son cœur accéléra ses battements, un peu plus encore lorsque Monsieur le Marquis entra seul dans Son illustre chambre. Il ne fit cas de Son esclave pourtant posé et prosterné tout près de l’entrée. Il le contourna simplement, puis revint et alla dans l’immense salle de bain attenante à la chambre. L’esclave MDE entendit que le Maître urinait. Ensuite, Celui-ci repassa tout près du chien MDE toujours parfaitement prosterné, puis alla s’asseoir sur un lourd et large fauteuil de cuir, tout près d’une des hautes fenêtres. Il feuilleta machinalement le dernier Paris-Match posé sur une petite table et relatant la naissance d’un héritier à la couronne d’Angleterre. Concentré et aux aguets, Endymion MDE restait vigilant. Il savait qu’à tout moment un ordre pouvait tomber. Et c’est bien ce qui se produisit.

- Approche, salope !

Instinctivement, l’esclave MDE avança à quatre pattes près du Noble. Celui-ci se tenait assis, jambes écartées, cuisses moulées dans un jean étroit (Parfois pour se mettre à l’aise le Noble délaissait ses beaux costumes) …

- Défais ma ceinture et dégrafe ma braguette, la pute !

Le Maître parlait sévèrement mais très calmement, il avait juste un peu plus appuyé et accentué sa diction sur les deux derniers mots de sa phrase « la pute ». Juste assez pour faire admettre, sans compromis possible, qu’Endymion MDE, de toute évidence, en était une ! L’esclave MDE resta à quatre pattes, son visage entre les cuisses du Noble, son regard pointé sur Son entrejambes. Monsieur le Marquis sortit son sexe plus tout à fait flasque, passa l’élastique de son sous-vêtement sous ses testicules et exhiba son membre devant les yeux de Son chien soumis.

- Vénère et Adore Ma Noble Queue, salope !

Les yeux de l’esclave MDE brillaient de plaisir, il ne put s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres sèches pour les humidifier.
D’une main, le Maître se caressait, de l’autre, il avait empoigné la chevelure de Son esclave lui imposant ainsi de poser son regard dans le sien.

- Tu es à Moi salope, tu le sais ?

Endymion MDE n’ayant pas reçu l’autorisation de parler dodelina tant bien que mal la tête de haut en bas, pour acquiescer.

- Dis-moi que tu es Ma pute, ma grosse salope !
- Oui Maître, je suis votre pute, votre grosse salope.
- Plus fort ! Exigea le Maître, en lâchant son sexe et en assenant une claque sur la joue gauche de Son chien soumis.
- Oui Maître, je suis votre pute, votre grosse salope. Répéta l’esclave MDE en haussant la voix

A peine avait-il fini de répéter sa phrase qu’il vit le Maître se redresser. Il fit glisser pantalon et slip à mi-cuisses puis engouffra Son Noble Sexe dans la bouche de celui qu’il tenait par sa chevelure.

- Suce-moi, catin !

Quel plaisir pour Endymion MDE que de sentir grossir, grandir et s’épaissir ce Vénéré Sexe au contact de ses lèvres et de sa langue… Quelle émotion que de sentir le Maître frémir, que de l’entendre doucement gémir, que de le voir bander aussi drument.

- Tu suces divinement bien grosse salope, peu de soumis m’ont sucé avec un tel savoir-faire !

Il n’en fallait pas plus pour qu’Endymion MDE s’acharne délicatement sur ce mandrin de chair brûlant, alors que le Maître le tractait par sa chevelure à lui en faire perdre l’équilibre. Endymion MDE se rattrapait paumes des mains au sol, en posture de quadrupède servile. Le gros gland, déjà bien juteux s’enfonçait entre les lèvres gourmandes de l’esclave MDE, il se sentait merveilleusement esclave de cette virilité, il se mit à biberonner cette bite à grandes goulées, savourant, yeux clos, le musc puissant, corsé qui perlait. Il suçait ce chibre de tout son art de fellateur, puisque tels avaient été les propos du Maître, cou ployé, joues creusées, yeux fermés de plaisir à se soumettre.
Puis Endymion MDE calma ses ardeurs, millimètre par millimètre, son fourreau buccal progressait le long de cette Noble queue, du plus loin au plus profond qu’il pouvait. Monsieur le Marquis gémissait, vibrait sous cette langue parcourant son membre insatiable, des couilles au sommet écarlate, boursouflé, en passant par la hampe déployée. Il se cambrait parfois, donnait des coups de reins amples pour emplir la bouche de Sa pute, frottait son gland boursouflé, étouffant presque Son chien soumis Et puis soudainement, le Noble se releva, attrapa avec véhémence le collier de son esclave, le tira brutalement et le poussa sur le lit à baldaquin.

- En levrette, la pute !

L’esclave MDE comprit qu’il n’y échapperait pas… il allait se faire mettre profondément, se faire sodomiser bestialement, se faire enculer sauvagement. Effectivement le Maître le pénétra en force, avec vigueur et fougue, il sentit cette bite lui ravager le cul, glisser et s’immiscer dans ses entrailles, les fendre et les écarter pour se loger au plus profond de lui… Quoi de plus sublime, que de plus merveilleux, que de se sentir envahi et pénétré, totalement possédé ! Endymion MDE sentait les couilles du Maître battre tout contre son cul de lope, sa transpiration se mêler à la sienne, il percevait toute cette énergie se répandre en lui, au plus profond de ses entrailles, dans tout son être, avec pour le Maître, cette volonté farouche de faire comprendre sinon admettre que son esclave n’était bon qu’à être enculé ! Et comme si ces sensations n’étaient pas suffisantes, tout en le forniquant et en le limant profondément, Monsieur le Marquis le traitait de putain, de salope, de catin, de sous merde, de deux trous à disposition, de vide-couilles et de tir jus pour mâles affamés ! Et plus l’esclave MDE était humilié, plus il était infériorisé, plus il était excité et avait envie de s’offrir et de subir ce coït bestial, acceptant cet abaissement, cet avilissement à en tirer un vrai et authentique plaisir mental.

Les coups de reins étaient puissants, violents, dominants, presque redoutables, y compris lorsque le Maître le reprit cette fois-ci dans cette position du missionnaire. Endymion MDE avait immédiatement écarté les jambes, relevé ses cuisses et tendu son cul. Le Noble maitrisait à sa guise cette pénétration anale, parfois lentement, parfois rapidement, il obtenait le contrôle total de celui qu’il enculait. Les jambes de l’esclave MDE s’étaient enroulées autour de la taille du Maître, comme si elles cherchaient à retenir ce profond coït, ses reins ondulaient à chacun des coups de butoir, les yeux clos, il gémissait et espérait se donner correctement pour que Monsieur le Marquis puisse jouir abondamment, merveilleusement. Mais le Noble en décida autrement. Subitement, il se retira, attrapa Endymion MDE par son collier et l’extirpa du lit. Il l’entraîna sans ménagement près de la salle de bain et lui ordonna de se tenir à quatre pattes devant un immense miroir qui occupait tout un pan de mur…

- Je veux que tu vois, ce que tu es ! Je veux que tu te prennes toi-même à témoin de ce que tu es devenu. Regarde toi te faire enculer, regarde-toi, alors que je te baise, dans tes propres yeux dans ce miroir. Mémorise bien ton regard soumis, celui d’un esclave en train de se faire posséder, de se faire prendre par le Maître. Soit le témoin visuel de ta propre soumission, comme si ce miroir est un écran où le film projeté de Ma possession sur et dans ton corps, passe en direct …

Et l’enculade reprit de plus belle, la Noble queue pénétra ce trou dilaté. L’esclave MDE se donnait encore, acceptait cette ruade, renonçait à ses propres intérêts, dans l’altruisme, le dévouement, le sacrifice et la générosité. Obligé de se regarder en train de se faire sodomiser, tel qu’il était, face à lui-même, face à son destin d’enculé, il se laissait besogner et pilonner et c’est ainsi qu’il comprit encore une fois sa vraie nature, obsédé par son destin de catin et de putain. Il se voyait dépravé, tenu fermement par son collier, à en être presque étranglé, il sentait et voyait ces coups de bite lui démolir le cul, lui provoquant de bien terribles excitations mentales. Asservi, chevillé par son trou de catin, secoué par le rythme que le Maître lui imposait, mais nullement accablé, Endymion MDE se découvrait, face à cette image, sa propre image de lui-même, reflétée depuis cette glace ! Et cette scène l’excitait grandement mentalement et physiquement.

- Tu n’es qu’une salope à tringler ! confirmait le Maître

L’esclave MDE se voyait hocher de la tête de haut en bas pour confirmer les dires de Monsieur le Marquis.

- Un garage à bite, une videuse de couilles…

Haletant, gémissant, toujours devant ce miroir reflétant son image asservie, Endymion MDE se vit onduler les reins, tel un appel à la bite, avec obscénité pour manifester toute son envie de se faire plus encore emmancher. Le Maître lui attrapait la base de sa chevelure, s’y cramponnait pour le faire se cambrer toujours plus.

- Tu n’es plus qu’un enculé !
- Oui Maître, lui répondit-il en subissant une nouvelle poussée sauvage et bestiale

Monsieur le Marquis menait cette sodomie à Sa seule convenance, selon Ses lubies, seulement attentif à Ses envies, à Son propre tempo. L’esclave MDE se voyait subir cet assaut, il se voyait, toujours devant ce miroir, secoué et réduit en une femelle en rut ! Le Maître lui ravageait son trou, le tronchait, le niquait, n’avait aucune pitié, ne lui offrait aucune tendresse, ne lui accordait nul répit. Il le pistonnait, culbutait, rabotait furieusement, avec sa bite en furie. Endymion MDE ne pouvait que gémir, ahaner, râler, couiner comme une truie, hors de tout langage articulé : le plaisir primaire, à l’état brut, à l’état cru, absolu, intense… Comme un automate, l’esclave MDE se laissait guider, ses hanches captaient cette bite, accompagnaient ses heurts de râbles syncopés, lents, rapides, s’accélérant, ralentissant. Il n’avait plus la force de s’opposer à cette furieuse enculade. Tout son corps était prisonnier, ses reins creusés, ondulants frénétiquement, comme si lui-même menait la danse. Alors le Maître se figea, logea sa bite au plus profond de ses reins et éjacula longuement, copieusement en râlant sauvagement tel un cerf en rut et resta ainsi bien planté profondément un long moment dans un divin silence, marquant ainsi Sa totale possession…

- T'es vraiment une salope, juste bonne à tailler des pipes et à te faire enculer !

Le Maître se retirait, attrapait Son esclave par les cheveux, le regardait longuement, droit dans les yeux et lui dit :

- J’espère qu’avec lucidité, tu as compris ce que tu es devenu, ce que tu es tout simplement et surtout ce que tu as besoin pour continuer à être ce que tu es.

Le visage défait, les yeux remplis de larmes de joie, l’esclave MDE remercia chaleureusement mais humblement Monsieur le Marquis d’Evans.

- Humblement merci Vénéré Maître, je vous ai fait don de tout mon être, en toute confiance, sans compter, miséricordieusement et non égoïstement et non parcimonieusement… merci d’avoir fait de moi, ce que je suis devenu en Vos Nobles Mains...

(A suivre…)

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