La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 697)

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°693)-

Alors que je me léchai encore les babines des dernières gouttes du précieux nectar du Maître, je me mettais en position comme Le Maître l'exigeait de moi. Il me laissa comme cela, en me tournant tout autour et en effleurant mon corps avec une douceur que je n'avais jamais ressentie auparavant. Ses doigts étaient comme des plumes caressantes sur ma peau, avec de plus est, une douce lenteur fortement excitante dans Ses gestes maîtrisés. Mon corps en était irradié de savoureux frissons de plaisirs. Aucun homme ne m'avait jamais fait autant d'effet que Le Maître. Ma chatte coulait abondamment entre mes cuisses sans discontinue. Je gémis doucement en fermant les yeux car j'allais finir par avoir un orgasme rien que par le divin toucher du Maître. Mais je fus sortie de mes sensations de bien-être par sa voix exigeante mais paradoxalement ponctuée d’un calme apaisant.

- Debout Ma chienne, main à plat sur le mur, bras tendu au-dessus de ta tête et le cul cambré en arrière, en ayant les jambes bien écartés, exigea-t-il, avec une sérénité assumée.

Je fis ce que Le Maître m’ordonnait le plus rapidement possible. Une fois en place, j'essayais de calmer les battements de mon cœur car celui-ci battais la chamade. J'entendais Le Maître se déplacer derrière moi. Il s'était approcher du bureau et appuya sur son interphone.

- Oui, Monsieur le Marquis ? demanda celui que Marie avait appelé Walter.
- Walter, je veux qu'il me soit apporté un café immédiatement !
- Bien, Monsieur Le Marquis, répondis le Majordome.

Moins de trois minutes plus tard, le café du Maître était apporté par le Majordome lui-même. Le Maître s'était installé dans un confortable fauteuil. Je pouvais sentir Son regard dominant sur mon corps alors qu’il m'avait laissé dans la même position. Le Majordome servit le café au Maître et me regarda avec une envie vicieuse.



- Walter, voudrais-tu rester avec moi ? Entendis-je, le Maître avec un sourire complice sur les lèvres.
- Mais avec joie, Monsieur le Marquis. Merci de l'honneur que vous m'accordez.
- Tu me sers depuis si longtemps maintenant, tu me connais ! Et je sais que la suite va te plaire ! dit Le Marquis d'Evans. Mes chiennes, esclave Phryné MDE et soumise Laïs MDE, vous allez lécher chaque parcelle du corps de notre nouvelle pensionnaire, soumise Cypris MDE pour vérifier qu'aucuns poils ne soit présent sur sa jolie peau. Vous commencerez par ses pieds. Et j'exige de toi Ma Chienne Cypris MDE, que tu ne laisses échapper aucun bruit ou gémissement sortir de ta bouche, sinon tu seras punie et ce sera ce cher Walter qui s'occupera de ta punition ! Aller, commencez maintenant, Mes chiennes !

Tournant le dos, étant face contre le mur, j'entendis donc les deux soumises se diriger vers moi à quatre pattes et toujours, d’après ce que je pus apercevoir, dans un déplacement félin et raffiné de quadrupédie. Je me mis à penser rapidement à autre chose. C'était très dur pour moi de rester concentrée mais je me devais de tout faire pour satisfaire Le Maître. Je m’étais donnée corps et âme au Maître Vénéré. Je me mis alors à penser aux divers achats que je devais effec pour mon appartement. Cela marchait plutôt bien, enfin pendant un moment, car les deux soumises mettaient vraiment de l'ardeur à leur tâche. Elles avaient commencés par mes pieds en gardant la position de la levrette, leurs fesses relevées et tournées vers Le Maître et le Majordome. J'entendis du bruit et vis dans mon champ de vision les deux hommes s'approcher des deux soumises en baissant leur pantalon. Ils sortirent leur verge déjà bien dressée à l’évidence et se positionnèrent derrière elles. Monsieur le Marquis frappait de ses larges mains le fessier de Sa belle soumise Phryné MDE avant de mettre ses mains sur les hanches de la belle et ainsi la pénétrer en levrette sans aucun préambule dans une chatte largement offerte et déjà trempée d’excitation.
En effet, elle avait l’air de mouiller un maximum tant la pénétration fut aisée. Quant au Majordome, il fit de même avec soumise Laïs MDE, à la différence près, qu’il s’amusait avec perversité à passer ses bras sous les aisselles de la belle pour aller lui pincer ses tétons pendouillant dans le vide, tandis qu’il la pénétrait à grands coups de reins, également dans un intromission humide, aisée et virile.

Elles avaient l’air d’y trouver un énorme plaisir, telles deux chiennes en chaleur, à bouger leur bassin pour faciliter une meilleure profondeur de pénétration. Ainsi, ils pilonnèrent longtemps, pour chacun, la chatte d'une soumise alors que celles-ci continuaient la tâche qui lui avait été confiée à me lécher les pieds passant d’orteil en orteil. Ma cyprine coulait aussi continuellement, les deux soumises continuèrent de me lécher ensuite le bas des jambes avec régularité dans leur jeu de langue. Elles laissaient s'échapper parfois quelques gémissements de plaisirs. Au bout d’un moment, les deux hommes sortirent de leur chatte béante en échangeant leurs places. Mais cette fois, ce n’est plus dans leur vagin, mais plutôt dans leur cul qu’ils décidèrent de les défoncer. Ils les sodomisèrent alors, également sans ménagement et toujours sans la moindre préparation anale de dilatation. Enfin si, en fait, il y en avait une puisque car je pus apercevoir qu’ils retirèrent un plug diamant enfoncé dans l’anus de chacune d’elles. Et la lubrification de leur verge enduite de cyprine suffisait à la subite sodomie par la suite. Les deux soumises s’exprimèrent par des gémissements de plaisirs, ce qui paraissait évident à l’ouïe. Ils continuèrent ainsi à labourer les femmes quelques instants et déchargèrent leurs semences au fond des entrailles des deux soumises presque en même temps. Après être resté planté dans le cul de la belle, Walter s'écarta de la soumise et partit s’asseoir dans le fauteuil comme si rien ne s'était passé. Le Maître, quant à Lui, remonta son pantalon et passa ses doigts entre mes jambes.


- Tu aimes ça, Ma chienne ! Tu es complètement trempée ma parole ! Léchez-la bien Mes chiennes, un traitement spécial l'attend plus tard, annonça Le Maître en me présentent ses doigts à nettoyer.

Le Maître repartit s'asseoir également. Et ainsi sous les yeux des deux Dominants, les deux soumises continuèrent leurs besognes et s'attaquaient maintenant au haut de mes cuisses après avoir remonté par mes genoux de leur divine langue. Une des soumises MDE se glissa devant moi alors que la deuxième se plaça sur mes fesses. Elles se trouvaient toutes les deux maintenant à genoux de chaque côté de moi. Je sentais leurs langues se rejoindre alors qu'une léchait ma chatte et l'autre mon cul. Elle faisait tourner leurs langue chacune dans un de mes orifices. Je me mis donc à réciter les tables de multiplications pour essayer de penser à autre chose. Je ne pensais pas que je pourrais autant mouiller par le fait que des femmes me touchaient. Je n'avais jamais été attirée par les femmes mais cette expérience ne me montrait-elle pas le contraire ? Est-ce le fait que cela se passait devant Le Maître qui m'allumait autant ? Est-ce aussi leur divine langue qui excitait mes orifices ?... Les deux femmes continuèrent à me lécher de part en part. Elles tournèrent autour de moi et échangèrent leurs places à leur tour. Leur langue continuait alors qu'une d'elle arrivait au niveau de mes seins. Une des soumises se mit à les sucer alors que l'autre commença à lécher mes aisselles. Leur savoureux travail continua encore une quinzaine de minutes avant qu'elles ne se laissèrent toutes les deux retomber à genoux quand elles entendirent le Maître s’exclamer :

- Parfait, Mes chiennes ! Vous avez bien travaillé ! Avez-vous senti le moindre poil sur le corps de ma nouvelle chienne-soumise ? Tu peux me répondre esclave Phryné MDE !
- Je vous remercie Maître. Il n'y a aucun poil disgracieux sur le corps de votre nouvelle soumise, Maître !
- Bien parfait ! Walter va vous ramener à vos cachots.
Il faut que je m'entretienne avec Ma nouvelle chienne.

Walter se leva et attrapa les laisses des deux esclaves-soumises et se dirigea avec elles vers la sortie et elles évoluèrent toujours dans cette grâce féline. J'étais restée dans la même position car je n'avais pas reçu l'ordre de bouger. Une fois tous sortie, Le Maître se rapprocha de moi et passa ses doigts dans mon dos, ce qui me tira un énorme frisson de plaisir.

- As-tu froid, Ma Chienne ? As-tu aimée ce qu'il vient de se passer ? Demanda-t-il

Je ne répondais pas car je n'avais pas reçu l'autorisation de parler. Il plaça alors ses doigts entre mes jambes et taquina mon entrée déjà fort humide.

- Oui, Ma Chienne. Tu as aimé cela ! Maintenant, je veux que tu me répondes !
- Bien Maître. J'ai aimée tous cela et je vous remercie de l'honneur que Vous me faites en me touchant Maître Vénéré. De plus, Maître pour répondre à votre question. Je n'ai pas froid, Maître, mais Votre touché me fait de l'effet et je pourrais jouir rien qu'avec celui-ci si cela m’était autorisé.
- Bien Ma Chienne. J'aime le fait que tu sois franche dans tes réponses et que ton corps réponde aussi bien quand je le touche ! Tu t'es très bien comportée et tu n'as laissé aucuns mots ou gémissements sortir de ta magnifique bouche. Je sais aussi que tu t'es très bien comportée depuis que Marie t'a récupérée à la gare.
- Oui Maître. Je ne vis que pour Vous satisfaire et si Vous m'avez envoyé Madame Marie, c'est que vous avez confiance en elle. Alors je me devais de Vous obéir et de Vous faire honneur, avouais-je.
- C'est très Ma très belle chienne. Maintenant, je vais te prendre car tel est mon droit. Je veux que tu te laisses complètement aller mais que tu ne jouisses uniquement quand je t'en donnerai l'autorisation.
- Bien Maître, je ferais selon Votre bon vouloir, mon corps Vous appartient.
- Cambre plus ton cul, Ma chienne ! Je vais te prendre dans tous tes trous aujourd'hui et à la fin, tu nettoieras ma bite de ta cyprine et tu me remercieras !
- Oui Maître Vénéré, soufflais-je alors que j'obéissais au Maître avec une excitation rene à la simple pensée que le Maître allait me pénétrer, allait prendre pleinement possession de ce qui Lui appartient...

J’étais toujours en cette position debout mains plaquées contre le mur, jambes largement écartées et cul cambré en arrière, prête pour une saillie, quand je l'entendis se déshabiller derrière moi. Puis je sentis Le Maître se coller à mon dos en me pénétrant d'un seul coup de sa grosse et noble queue dans ma chatte trempée tout en écartant de ses mains, mes deux fesses. Je la trouvais énorme mais alors qu'il était en moi, je la sentis encore grossir et se raidir d’avantage. Il me besognait et ses mains lâchèrent mes fesses pour prendre mes seins en coupe alors qu'il pilonnait ma chatte sans douceur. J'avais besoin d'être prise de cette façon par Le Maître, bestialement, sauvagement, virilement car j'éprouvais le besoin de sentir que je lui appartenais et que mon corps ne le répugnait pas. Il continua à me labourer et à pincer mes mamelons dressés.

- Aaaaah ! Maî … Maître… c'est trop bon ! criais-je sans pouvoir me retenir
- Tu aimes ça, Ma chienne, dit-il en se mouvant plus vite dans mon antre en accentuant ses coups de reins.
- Ouiii…Ouiiiiiiii Maître ! … encore … encore …

(A suivre …)

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