Un Mariage Pas Comme Les Autres 2

- Ce récit fait suite à l'histoire : https://www.histoires-de-sexe.net/un-mariage-pas-comme-les-autres-30181

Il y a quelques années, j’avais écrit sur ce site l’histoire : « un mariage pas comme les autres ». A l’époque, je n’imaginai pas que je vivrai un épisode 2 (j’ai même perdu mes codes du site) !

Etant officiant de célébration laïque, j’avais célébré l’union officielle entre un couple d’amis et l’amant de madame.

Après la fin du premier confinement, j’ai été contacté par un couple qui était présent lors de cette cérémonie. Ils souhaitaient me rencontrer. Cette fois, je savais à quoi m‘attendre … et cette période saitaire très dure pour notre profession, il était clair que j’accepterai sans problème leur proposition.

Delphine et Paul me reçurent dans une belle villa marseillaise avec vue sur la mer. J’avoue que je n’avais aucun souvenir d’eux. Delphine était une belle d’une trentaine d’année tandis que Paul avait déjà dépassé la quarantaine. Ils me dirent combien ils avaient apprécié ma prestation pour la mariage de Stéphanie et Arnaud. Ce jour-là, ils s’étaient promis de faire appel à moi lorsqu’ils voudraient officialiser leur relation.

Ils ne voulaient pas un copier/coller mais avoir la célébration qu’il rêverait. Bien-sûr que cela ne me posait aucun problème car c’est dans l’essence même des célébrations laïques de s’adapter à 100 % aux amoureux (petite pub au passage pour la profession!). J’acceptais donc de les accompagner dans ce moment important pour eux. Après plusieurs rendez-vous, le mariage était réglé dans les moindres détails.

En ce début d’été, la quinzaine de convives arriva. Les femmes étaient toutes habillées de manière provocante mais nous étions en cercle fermé et initié. Arnaud et Stéphanie étaient là. Cela me fit u bien fou de voir des personnes connues car si j’étais très excité, j’étais aussi très intimidé par ce milieu que je ne connais pas.

Comme pour tout mariage, le marié arriva seul et se plaça devant pour attendre sa bien-aimée. Les témoins suivirent. Et enfin, Delphine arriva aux bras de son mari (je le voyais pour la première fois). Elle s’assis à côté de son amant pendant que son mari alla trouver un siège au dernier rang.

Et classiquement, j’introduis la célébration par « Nous sommes réunis aujourd’hui pour officialiser la liaison entre Delphine et Paul ». Plusieurs personnes prirent la parole entrecoupées par de la musique.

Tout devant avait été installée une table sur-laquelle était placé un matelas recouvert le tout pas un magnifique draps brodés. Cet autel devait être le lieu de l’union physique des deux amants.

J’interrogeais Paul : « T’engages-tu à honorer sexuellement, à faire vibrer Delphine maintenant et pour toujours ? ». Il répondit par un oui massif. Les deux témoins de la mariée vinrent la prendre par la main et l’aidèrent à quitter sa robe et à s’allonger sur l’autel. Paul la rejoignit. Devant toute l’assemblée, il mit une capote et la pénétra et lui donna du plaisir. Quelques minutes après, il me fit un signe et j’interrompis leur accouplement en prenant la parole pour inviter le mari de Delphine à s’approcher :

« Christophe, renonces-tu a tes droits du mariage au profit de Paul ». Il répondit par « oui » mais moins massif qu’avait pu dire Paul. Je lui montra des papiers pour lui montrer qu’ils avaient fait des tests sanguins enfin de s’assurer qu’ils n’avaient aucune IST et que désormais ils feraient l’amour nature. Il montra ces documents aux témoins.

« Puisque que tu as accepté, je t’invite à aller retirer le préservatif de la queue de Paul et à venir la déposer dans cette boite souvenir ». Il y alla sous les applaudissements de l’assemblée !

Nos tourtereaux reprirent leurs ébats jusqu’à ce que Paul jouisse en Delphine. Pour conclure cette célébration, je demanda à Christophe d’aller nettoyer sa femme avant que les témoins aident la mariée à remettre sa robe maculée par le sperme de son amant.

Comme vous pouvez l’imaginez, la soirée fût très chaude. Je ne pensai jamais officier pour une telle célébration … et j’en suis à 2. Et comme on dit « Jamais 2 sans 2 », peut-être aurais-je l’occasion d’en faire un 3e !