Je Vais Baiser Ma Belle-Mère Pour Me Venger. 2Ème Partie
Je vais baiser ma belle-mère pour me venger.
suite de (je déniaise le fils de ma meilleure amie)
Je mappelle Claude. Je viens dapprendre de Julie, sa meilleure amie, que ma belle-mère lui avait demandé de me dépuceler et quelle en a même profité un jour que je portais une cagoule pour sencanailler sur ma bite à mon insu.
Je suis sidéré de ce quelle a osé faire et surtout de la voir tous les jours se comporter comme si de rien nétait à la maison. Jai décidé de me venger.
Deuxième partie
Annabelle.
Je suis sur un petit nuage, je ne sais plus ce que je fais, jai si honte mais jai trop envie de toi.
- Hummm, Annabelle je taime !
- Moi aussi! Viens mon bébé
Nous nous allongeons dans son lit. Tu as à peine débandé, ton bélier a ramolli mais est toujours aussi gros, je me couche sur toi et frotte mon corps contre le tien.
Je massieds sur ta poitrine pour te branler et te sucer pour que ton sexe soit de nouveau bien dur, tu as tiré mes hanches pour que ta langue explore ma chatte, que tes dents mordillent mes lèvres, un de tes doigts titille mon clito.
Tu lèches ma longue fente. Ta langue explore le plus loin possible mes replis vulvaires d'où suinte une abondante rosée au goût épicé. Je tressaute de plaisir laissant échapper une sorte de gémissement :
Oh oui !... Que cest booonnn, enfonce bien ta langue dans ma chatte !... Ouuuiii...
Je te trouve enfin à mon goût, ta verge a retrouvé toute sa majesté, elle est ferme à point.
Tu mas tellement excitée que le lâche les grandes eaux, je noie ton visage sous des flots de cyprine mais courageusement, tu lapes comme un petit chien assoiffé.
Il me faut une bonne dose de courage pour retirer ma chatte de ta bouche qui ma donné tant de plaisir pour me positionner un peu plus bas, le cul en lair, face à toi, offerte à mon futur bourreau.
Tu as compris et tiens ton jonc vigoureux bien à la verticale, frottant de ton gland massif ma vulve pour m'exciter encore plus, jen mouille déjà et ma cyprine dégouline le long de ta formidable hampe.
-Tu sais mon Claude, je nai jamais connu un si gros gourdin que le tien ! Ce nest pas courant, une telle flamberge !
-Tu es sûre mère ? Je ne savais pas que jétais un cas. Tu es vraiment SURE de navoir jamais connu de telles bites ?
-Non !!!
Ca y est je me lance, je me rappelle de la sensation que jai ressentie la première fois que mon vagin a absorbé ce colosse, jai cru quil allait me déchirer tout lintérieur.
Je plie les genoux pour que ma vulve se pose sur ton gros champignon, mes grandes lèvres emprisonnent ton gland et s'écartent doucement sous la pression de mon corps sur ta verge, tu retires ta main devenue inutile car ma chatte vient de faire disparaître ton gland et se resserre ce gros morceau passé, je patiente nallant pas plus loin, remuant mon bassin dans tous les sens.
Mais je nen peux plus, je veux retrouver au plus vite les sensations dont je me souviens, centimètre après centimètre, mes parois intimes sont repoussées pour laisser place à l'intrus tant désiré, 7 cm, puis 15, puis 20 sont en moi mais je dois mavouer vaincue.
Pas plus que la 1ère fois, je ne peux engloutir la totalité de cette colonne sans fin.
Je reste un instant sans bouger parce-que ma chatte doit s'habi à la grosseur exponentielle de ce véritable démonte-pneus qui si je ny fais pas attention va me déchirer au plus profond de moi.
Je commence alors ma spécialité dont tous les hommes que jai connus naguère raffolaient.
Je contracte les parois intimes de mon sexe autour du tien. Ma chatte lui fait un massage intime, je serre si fort mes muscles que jai de la difficulté à me mouvoir sur ton épi.
Je te broie littéralement la pine et si tu navais pas déjà joui 2 fois, je sais que jaurais eu mon tribu très rapidement.
Mais ton manche est si gros est va si loin en moi que je cède la première.
Je suis ce quon appelle une femme fontaine, sous la violence du plaisir qui métreint, je me relève pour expulser de mon corps ton pieu qui tombe sur ton ventre musclé, cachant ton nombril, et me mets à éjecter des flots de cyprine. Je suis encore pire quun homme dans ces moments là.
Des jets dun liquide transparent senvolent et inondent ton corps et ta tête sans oublier la literie. Heureusement que ça ne tache pas mais il va falloir sécher tout ça. Je me vide en criant pendant que tu rigoles comme un bossu en redressant à la verticale ta queue toujours aussi raide.
Je laisse retomber mon corps et mempale illico sur ta queue dairain au plus profond pour une nouvelle chevauchée.
Tu me questionnes à nouveau :
-Tu es sûre de ne pas avoir déjà chevauché une telle pine ? Il y a des choses dont on se souvient toujours. Moi, une femme qui me presse la queue comme un citron et qui me fait prendre une telle douche, je peux te dire que je la reconnaîtrais en mille !
Juste-ciel ! Je me suis trahie !
Mon traitement « spécial » suivi du flot de cyprine qui tas inondé, sont si caractéristiques que tu as démasqué linconnue qui a profité de toi chez Julie.
-Oh oui Claude, je lavoue bien volontiers maintenant que tu mas prise sur le fait!
Je vous ai surpris un soir et quand jai vu le piston démentiel que tu avais entre les cuisses, je nai plus pensé quà ça et jai supplié Julie pour quelle organise un rendez-vous mais en lui demandant que tu portes une cagoule pour ne pas que tu te rendes compte que cest ta propre belle-mère qui faisait du rodéo sur ta queue.
-Tu sais, tu es la 3ème femme à qui je fais lamour Annabelle, et je peux te dire que tu as une sacrée technique. Mais es-tu sûre de mavoir tout dit ?
Pour te faire pardonner, je veux que tu sois ma vraie esclave sexuelle ou je dirai tout à papa.
Je tinterroge, interloquée :
-Comment-ça la 3ème ? Julie et moi, ça ne fait que 2 !
Tu me répliques :
-Ah oui ? Tu ne sais pas tout ! Pendant les vacances chez Julie, sa fille Emilie nous a surpris en train de faire lamour. Et pour la consoler et quelle ne dise rien elle aussi à son père, Julie ma « incité fortement » à la joindre à nos galipettes et je lai dépucelée sous les yeux de sa mère.
Mon Dieu ! Quais-je fais ? Mon beau-fils est passé de linnocence au mâle assoiffé de sexes !
Je recommence à bouger autour de ton bélier à mon rythme, montant et redescendant lentement puis de plus en plus vite, déclenchant à nouveau les grandes eaux mais tu refuses que je « débite ».
Ton manche fait chéneau et mon liquide ambré coule le long te ta hampe, de tes couilles et fait une grosse tache sur le drap qui s'agrandit au rythme de mes orgasmes.
Mais tu veux montrer que tu es le mâle dominant et que je suis ta femelle soumise.
Tu me bouscules sans ménagement pour poser tes jambes au sol, passes tes bras dans mon dos, me dis de serrer mes mains autour de ton cou et te redresses.
Je me retrouve suspendue à ton corps, sous mon poids, ta colonne de chair me pénètre encore plus loin, quand tu vois que je grimace sous la douleur, tu relèves mon corps et recommences encore et encore, essayant à chaque fois de gagner quelques millimètres supplémentaires.
Je nai jamais été aussi (remplie).
Je crie, je gémis mais tu nen a cure et continues à me baiser en force.
Je suis une vraie chienne fidèle à mon maître, la femme indigne qui se fait baiser par le père et le fils.
Je devrais avoir honte mais ta queue me procure trop de bien et javoue que jadore ça
Comment je peux penser à de telles choses dans ces moments là mais si tu me demandais de tout quitter pour toi, je le ferais illico.
Mais tu fatigues et chaque pénétration est plus profonde, je gémis de plus en plus fort de douleur et de plaisir, cest tellement bon.
Tu te retournes et me couches sur le dos, tu prends mes seins à pleines mains et me besognes maintenant comme un fou.
Tu me poignardes sur ta verge qui décidément ne veut plus cracher.
Tu vas si vite et tes mouvements sont si amples que tu déchausses de ma grotte damour.
Je redresse ton boutefeu plusieurs fois pour le remettre en position mais tu veux aller si vite que ta dernière poussée dé et finit un peu plus bas, ton gland violacé et boursouflé tellement tu bandes rencontre lentrée des artistes qui ne peut résister à la violence de ton coup de rein.
Mon illet fripé, tel une porte de château-fort, doit se distendre et céder sous le choc pour absorber la rigidité sans faille de ton bélier sur 10 bon centimètres.
Je hurle de surprise, de douleur et de joie mêlés.
Tu te retires, la queue toujours aussi dure et comme je tencourage à aller plus loin, tu mets ta tête entre mes cuisses pour me lécher lanus, tu le lubrifies de ta salive.
Tu enduis bien ma rondelle et appuis de nouveau ton gland contre mon petit trou et pousse ton poteau noueux avec une lenteur exaspérante, regardant disparaître en moi, centimètre après centimètre ton défonce-cul de compétition.
Tes mains ne restent pas inactives, lune me pince un teuton pendant que lautre explore ma chatte.
Comme tu sens que tu es le bienvenue ici aussi, Tu mencules de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Le morceau est dur à supporter mais cest celui de mon fils et ça me fait encore plus deffet.
-Plus fort, encore plus fort, défonce-moi, détruis-moi le cul avec ton gros dard !!! Je repars, je jouuuiiisss !!!
Pendant que tu me tronches le cul, je râle, gémis, jenfonce mes ongles dans ton dos, jéjacule un flot de cyprine qui tinonde la poitrine et le bas ventre suivant tes enculages.
Jamais je nai ressenti quelque chose daussi intense, je suis complètement dans les vapes après un tel orgasme mais ça tas tellement excité que tu ne peux plus te retenir.
Tu donnes un dernier coup de queue bien profond et te vides en moi pour la troisième fois en puissantes saccades dans mon fondement.
Quatre énormes jets de sperme giclent profondément à l'intérieur de mon rectum, avec une telle force qu'ils remplissent mes entrailles de ton jus! Ma rosace se resserre sur ta merveilleuse verge.
- Aahhhh... ouiiiii...je te sens bien....ouii... donne-moi tout....huuuummm que cest bon... encore.... ouiiiii... continue !!!
Je peux sentir ton sperme qui minonde et recouvre ton engin quand tu te retires et qui coule même sur tes burnes qui finissent de se vider.
Mon cul en feu est complètement dilaté, quelle baise !
- Oh mon Dieu...Tu as baisé mon cul comme un dieu ! Cétait...cétait...unique, formidable, incroyable... jaime ta bite géante, elle est intarissable... et je taime, toi, pour tout lamour que tu me donne !
Je ne résiste pas au plaisir de nettoyer ta queue avec ma langue, elle a un peu perdue de sa superbe mais est toujours aussi grosse. Quand je serre les fesses, jexpulse ta semence qui glisse sur ma chatte avant de finir sur les draps. Je crois quils seront bons à jeter.
Je ne me rappelle plus combien dorgasmes mon corps a subit avant que tu ne jouisses enfin, je pense que ça sarrêtera là, tu as obtenu ta vengeance, mais je suis loin du compte.
Je te supplie :
-Tu me promets que tu n'en parleras pas à ton père ?
Tu me rétorques :
-Si tu veux que je me taise, il va falloir que tu y mettes un peu plus dentrain. Souviens-toi de la soirée avec Julie ou vous mavez vidé les burnes, tu sais que jai encore de la ressource.
Et tu ne ma pas encore tout avoué. Elle ma dit que cest toi qui lui as demandé de me dépuceler et ça tu vas me le payer. Fais-moi bander à nouveau que je te baise encore et encore!
Je suis atterrée par tes révélations, que dois-tu- penser de moi ? Mais je nai plus le choix et dois me plier à tes caprices qui ma fois me comblent de bonheur.
-Ton père ne tarrive pas à la cheville dans ce domaine.
Je reprends les choses en mains, ou plutôt LA CHOSE. Je maccroupis devant toi pour prendre ton tuyau enflé dans ma bouche pour te tailler une pipe denfer jusqu'à ce que tu retrouves toute ta vigueur. Il me faut quelques minutes pour que tu retrouves ta trique habituelle.
Tu me mets en levrette pour une reprise pleine de violence, tu ne me ménages pas et je déguste salement. Tu changes de position, je suis écrasée sous ton poids et mon vagin est si endolori par tes coups de boutoir que je ne ressens plus rien.
Tout y passe, tu mencules avec la même hargne, tu veux glisser ta queue entre mes seins, tu les compresses autour de ta hampe magnifique, jessaie de coller mes lèvres sur ton gland en suivant le rythme des tes coups de reins quand tu glisses entre mes mamelles.
Je guide ta verge tout contre ma vulve et tu recommences à me labourer de toute ta puissance. Tu me pilonnes en me mordant les tétons déclenchant en moi un énième orgasme sans fin.
Tu as tellement jouis que tu narrives plus à me donner ta semence et me besognes depuis si longtemps quand soudain tu mannonces :
-Je veux cracher dans ta bouche mais je veux aussi goûter encore une fois à ta mouille !
Tu te retires et tallonges sur le dos en me demandant de masseoir sur ton visage pour que je te donne ma chatte.
Je glousse de plaisir sous ta langue et me baisse pour engloutir ta queue, la suçant de toute ma science.
Je te dis que je vais encore jouir. Tu colles tes lèvres à ma chatte pour que je gicle dans ta bouche. Cest délicieux et irréel. Tu bois à ma source avant de grogner :
- Oh maman, cest à mon tour !
Que cest beau, tu mas appelé maman. Je pars dans ton délire.
- Vas-y mon fils, décharge dans la bouche de ta maman !
- Avec plaisir maman.
Et je reçois sa dernière sève, plus fluide et moins abondante que les précédentes mais je nen perds pas une goute.
-Maman, maintenant je te prendrai quand je veux et ou je veux sinon je dis tout à papa !!!
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