Journée D'Été 3.
La porte refermée, nous nous dirigeâmes à nouveau vers le salon. En chemin il retira son t-shirt et se débarrassa à nouveau de son short, il était nu de nouveau et toujours aussi craquant, aussi sexy... J'adorai la vue de son corps exposé à mon regard, à mes yeux qui le dévoraient. Il n'avait aucun poil sur le torse, juste un peu sur les bras et jambes, presque rien en comparaison de l'imposante touffe brune qui entourait son sexe. Il ne bandait pas mais sa hampe était légèrement gonflée et son gland décalotté.
Alors que je faisais de même et me mettais de nouveau à l'aise, il se plaqua contre moi par derrière, enlaçant ses bras autour de ma taille. Il m'embrassa dans le cou et me demanda si j'avais faim. Oui j'avais faim, non seulement mon estomac criait famine, ce n'était pas les quelques morceau de fruits frais que nous avions picorés en jouant au jeu de stratégie qui m'avaient rassasié, mais j'avais aussi encore faim de son amour, de son corps, de son sexe. Lui aussi car les petites ondulations de son corps trahissait son désir, frottant son sexe le long de la raie de mes fesses, dans le creux de mon dos. Je sentais qu'il bandait de nouveau. "On se commande une pizza ?" il me demanda, cela me surprit mais je ne puis qu'acquiescer. Il rompit le contact et se dirigea jusqu'au téléphone. Il nous commanda une végétarienne, cela pris quelques minutes et il sourit alors qu'il était au téléphone, je me suis mis à genoux devant lui et je commença à lui pomper ce si merveilleux phallus qui était le sien. Il était toujours au téléphone à commander alors que mes lèvres coulissaient sur son pieux, il plongea ses doigts dans mes cheveux et grogna son plaisir avant de raccrocher.
" Trente minutes pour la pizza... Affamé on dirait." Il me taquina alors que je suçotai son gland comme un bébé le sein de sa mère. Je le laissa glisser hors de ma bouche, gardant sa verge pressée contre mon visage, embrassant, léchant ses bourses.
Son corps ondulait lentement, ses mains glissaient sur mes flancs, ses hanches se soulevaient et se baissaient alors qu'il appuyait sur ses pieds, il me pénétrait lentement, poussant jusqu'à sentir ses touffe de poils pubiens contre mon anneau; contre ma raie... Moi je poussais lentement contre lui, mon visage masqué, enfui dans son cou, mordillant son épaule, la base de sa nuque, poussant de petits gémissements de plaisirs alors qu'il répétait dans un murmure "A moi." Pendant de longues et délicieuses minutes nos corps glissèrent l'un contre l'autre dans une danse d'amour sensuelle et passionnée. J'adorai cela, mon corps s'ouvrait à de nouvelles sensations, cette tendresse dont Vincent me choyait, il ne m'avait jamais pris de la sorte, cela tranchait tellement avec la fougue de nos ébats précédents. Ce n'est que lorsqu'il senti son orgasme inévitable qui pressa le rythme, donnant de rapide coups de reins avant de finir dans un long et puissant râle en moi. Ses testicules projetant sa semence au fond de moi. Je ne m'en étais pas rendu compte mais j'avais joui en même temps que lui étalant mon sperme chaud entre nos abdominaux.
Nous restâmes ainsi de longues minutes en silence, reprenant notre souffle. ses mains étaient toujours posées sur mes fesses et il maintenait son sexe en moi. "Vincent..." je murmurais et il me regarda dans les yeux. "Oui?" je lui demanda alors pourquoi il agissait ainsi, pourquoi il disait "A moi.
J'aurais pu me sentir offusqué, blessé mais non a cette idée qu'il me possédait et qu'il embrassait ce sentiment me plaisait. J'éprouvais même une certaine fierté à être désiré de la sorte. Lentement je l'embrassais dans le cou avant de presser mes lèvres sur les siennes et de murmurer "A toi." Il sourit malicieusement et me donna une petite claque sur les fesses, me rappelant que la pizza allait bientôt arriver et que je pouvais aller la chercher. Je lui retourna le sourire et me glissa en arrière, me redressant. Alors que j'enfilais mon short je le vit agripper mon t-shirt sur l'accoudoir et il s'en servi pour se frotter les couilles et la queue ainsi que le bas de son ventre recouvert de mon sperme. Il me tendit le T-shirt que j'enfila négligemment ne faisait pas attention a la belle tâche visible et gluante. Je ne sais pas si le livreur devina ce que c'était mais pour sur il la remarqua car elle était en plein sur mon torse.
Une fois la pizza posée sur la table basse, je me déshabilla à nouveau à sa demande et vint me lover contre lui, nous partageâmes le repas et regardâmes un film après, trop épuisé de notre folle journée. Il étais assis alors que moi allongé je reposais ma tête sur ses cuisses, l'odeur puissante de son sexe me remplissant les narines et j'aimais cela, j'aimais cette fragrance. Minuit était passé lorsque nous montâmes vers les chambre, partageant une douche ensemble.
J'étais parti pour la chambre d'ami quand Vincent me tira par le bras dans sa chambre, couché l'un contre l'autre, mon dos contre son torse, sa carrure plus grande que la mienne enveloppant la mienne. Nous nous sommes rapidement endormi. Ce n'est que vers quatre heure du matin que je fus tiré de mon sommeil. Comme il me dit par après il s'était réveillé pour aller aux toilettes, en revenant il m'a vu nu dans son lit et comme il a dit sa queue a frémi, n'écoutant que sa fougue, il s'était masturbé jusqu'à être bien bandé et enduit la verge de lubrifiant. Se glissant à nouveau dans le lit il se plaqua contre moi, m'enlaça d'un bras et de l'autre main guida son gland entre mes fesses, le frottant contre ma rondelle. Cela me tira du sommeil et à mon interrogation il m'embrassa dans le cou murmurant "A moi" avant de pousser sa queue en moi. Il s'enfonça jusqu'aux couilles et me pris avec force.
Les bruits de sa peau se frappant contre la mienne, de ses hanches épousant mon postérieur, de ses bourses claquant bruyamment contre la raie de mes fesses résonnaient dans la pièce couvrant à peine mes gémissements et ses grognements de plaisir. Son bras se glissa autour de mon cou, ses dents s'enfoncèrent dans mon épaule et sa main libre referma ses doigts au tour de mon sexe, me masturbant avec la même vigueur, presque bestialité qu'il me sodomisait. Il me pris ainsi de longue minutes avant de redoubler de fougue, nos corps sur le flanc, il se cabra fortement et éjacula en moi, poussant une grognement rauque. Dans son orgasme il me poussa dans le mien, ma semence s'écrasant en de longs jets sur le parquet au bord du lit.
J'haletais avec force de cet jouissance intense, mais mon diable brun en voulait plus, il bandait encore et me poussa sur le ventre, s'alignant au dessus de moi il me pris ainsi de longues minutes, poussant sur ses genoux, sur ses pieds sur ses mains tout en m'embrassant dans la nuque, sur les épaules et dans le cou.
Lorsque je me réveilla des heures plus tard, Vincent somnolait encore contre moi, son sexe débandé avait glissé hors de moi et sa semence perlé sur le matelas. Lentement je me glissa hors du lit et remarqua que moi aussi j'avais éjaculé une seconde fois, répandant mon sperme sur le matelas alors qu'il me remplissait du sien. Je me dirigea aux toilettes puis dans la salle de bain, prenant une longue douche avant d'être rejoins par mon beau brun. Il m'embrassa et me serra contre lui me disant qu'il avait vécu quelque chose d'extrêmement intense, il me demanda même pardon pour s'être montré si possessif. Je le rassurais mais ne lui avouais pas que j'avais savouré chaque instant, cela je le gardais pour moi. Lorsqu'il me demanda si cela avait changé quelque chose à notre amitié car oui nous le savions tous les deux ce n'était pas de l'amour autre que l'amour d'une amitié profonde et sincère. Je ne dis rien mais m'agenouilla et pressa mon visage contre son entrejambe, ma langue se mêla au jeu, mes lèvres aussi et ses doigts vinrent dans mes cheveux. Il me laissa faire et soupira d'aise en éjaculant dans ma bouche après d'intenses minutes d'une délicieuse fellation. Je dégluti et avala son sperme chaud, lorsqu'il me tira sur mes jambes il me sourit et m'embrassa profondément, goûtant lui aussi à sa semence. Il me donna une petite claque amicale sur les fesses et me dit que c'était là la plus belle des réponses possibles.
Nous primes ensemble le petit déjeuner dans la cuisine, nus comme des vers, un dernier geste de notre amitié renouvelée. Je ramassa toutes mes affaires et m'habilla avant de l'embrasser sur la joue et de lui souhaiter une bonne journée car il était pour moi temps de rentrer j'avais promis à ma mère d'être là pour l'accompagner et je tenais toujours mes promesses.
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