Edwige Mon Initiatrice.
Premier de 4 récits dans lesquels vous retrouverez les divers protagonistes.
Pour nos 17 ans, Gwenaëlle, ma sur jumelle sétait arrangée avec la mère dArmelle, une copine de lycée pour que nous allions tous faire la fête dans leur résidence secondaire située à quelques centaines de mètres de la plage. Pour ce pont du mois de mai, nous nous sommes retrouvés à une douzaine de garçons et de filles.
Divorcée, la mère dArmelle était là aussi. Nous étions tous mineurs et nos parents respectifs avaient incité à la présence dau moins un adulte dans la maison. Notre mère nous avait conduit et amené tous ce quil fallait pour bien nous amuser le vendredi et le samedi. Elle était repartie à Guer et devait venir nous rechercher le samedi. A lapproche des examens, il ne fallait pas plaisanter avec les révisions.
La fête a commencé par un barbecue préparé par Edwige et notre mère. Laprès midi, comme il faisait beau et chaud, nous sommes allés jusquà la plage où les plus courageux se sont baignés. Les autres se sont contentés de lézarder au soleil tout en flirtant tranquillement.
Edwige nous avait préparé le goûter dans la salle de séjour décorée pour la circonstance. La surprise était totale. Après nous être restaurés, nous avons commencé à danser. Javais invité une copine et ma sur était avec sa complice habituelle des plaisirs de Lesbos. Ce nétait un secret pour personne dans notre petite bande de copains.
Chacun avait sa partenaire et les flirts allaient bon train. Au cours de la soirée, jai peut être eu tort de vouloir pousser trop loin avec Odile car nous nous sommes disputés et, fâchée, elle nous a quittés pour rentrer chez elle en scooter. Pour une soirée danniversaire cétait réussi. Je me retrouvais seul. Je me suis donc occupé de la musique et du ravitaillement en boissons diverses et sans alcool.
Vers minuit, Edwige est arrivée avec deux magnifiques gâteaux et deux bouteilles de cidre.
Au bout de quelques temps, les danseurs se sont éclipsés pour aller dormir ou faire autre chose... Je me suis retrouvé seul avec ma cavalière qui, devant mon air morose, cherchait à me faire oublier ma déconvenue en bavardant quelques instants.
- Il sera temps de mettre de lordre demain matin
Soudain Edwige se leva comme pour membrasser avant daller nous coucher mais elle ma pris dans ses bras et sest collée contre moi en cherchant mes lèvres pour un baiser ardent ! Elle ondulait du bassin, faisant naître dans mon jean une belle érection. Remontant mon polo, elle a agacé mes tétons dune main et de lautre, elle est partie explorer mon slip, massant ma bite de bas en haut et pelotant les bourses :
- Je vais toffrir un cadeau danniversaire original, viens, ne fais pas de bruit »
Alors que tous étaient montés à létage, Edwige ma conduit dans sa chambre située dans un petit bâtiment relié à lhabitation principale par une galerie vitrée.
- Là nous serons tranquilles !
Avec des chaussures à talons, elle était presque aussi grande que moi, sportive accomplie, elle avait su garder une silhouette longiligne malgré ses grossesses, une taille très fine au dessus de hanches évasée et une poitrine haut perchée dun volume important.
Elle a ôté tous mes vêtements. Nu devant elle, jétais un peu intimidé mais elle ma encouragé en disant de la déshabiller à mon tour. Cela fut vite fait car elle ne portait quune robe un peu vague que je fis passer par-dessus ses épaules, dévoilant des dessous de dentelle blanche qui tranchaient sur sa peau mate.
Ma bite, déjà fort bien bandée, se redressa encore plus. Edwige se mit à genoux devant moi, embrassant légèrement mes tétons au passage, et emboucha mon sexe jusquà la garde. Je connaissais cette caresse, mais là, demblée faite par une femme qui allait minitier, quel plaisir. Je passais ma main dans ses cheveux, descendant sur sa nuque, ses épaules puis, je cueillis ses deux seins. Elle cessa de sucer ma bite pour aller sallonger sur le lit où elle mattira.
Je ne cherchai pas mon chemin pour la pénétrer. Ma bite trouva comme par enchantement lentrée de sa vulve et cest avec délices que je mintroduisis dans ce fourreau chaud et humide.
- Prends ton temps, ne précipite pas les choses
En posant ses mains de chaque côté de mes hanches, elle a jouté :
- Laisse-moi te guider !
Cest vrai que jallais un peu vite en besogne, si Edwige navait pas freiné mon ardeur, jaurais certainement pris mon plaisir égoïstement sans penser à elle. Ses gémissements étaient de plus en plus forts et elle sagitait sous moi :
- Viens, cest le moment !
Elle imprimait les mouvements de va et viens à mon bassin pour finir par le plaquer contre le sien au moment où notre jouissance éclatait.
Pour la première fois, je déversais mon sperme dans le sexe dune femme. Cétait bien meilleur que la masturbation à laquelle je me livrais assez souvent. Nous fîmes lamour une seconde fois au cours de cette nuit merveilleuse. Après quelques caresses, Edwige me fit mettre sur le dos pour venir sempaler sur mon sexe dressé. Je me laissais faire, je sentais mon gland pressé par des muscles intimes au fond du fourreau. Le plaisir nous entraîna à nouveau et Edwige sécroula sur moi, ma bite restant fichée en elle.
Au petit matin, elle me fit regagner ma chambre discrètement. Je la remerciai de son cadeau si original. Quand nous nous rencontrons incidemment, nous échangeons un clin dil complice mais nous navons plus jamais couché ensemble.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!