Rencontre Avec Max
Je mappelle Sylvie, jai 44 ans, je vie en parfaite harmonie depuis des années avec mon conjoint et nos deux s. Notre quotidien est rythmé par le boulot, le dodo et les activités avec nos s à chaque fois que nous pouvons leur consacrer du temps. Sexuellement, je dois avouer que sous mes airs de petite fille très sage, je suis assez gourmande et dévergondée, ce qui nest pas pour déplaire à mon cher et tendre qui prend plaisir à me satisfaire à chacune de mes sollicitations. Tous les ingrédients sont réunis pour que nous puissions vivre une parfaite vie de famille remplie de bonheur.
Je travaille depuis longtemps pour une société de logistique, au bureau, nous sommes sept agents sur le même étage ou chaque espace personnel est séparé par des panneaux vitrés. Nous formons une équipe qui se compose de cinq filles et deux garçons. Tout comme à la maison avec ma petite famille, ici aussi, jai la chance de vivre en très bonne harmonie avec mes collègues de travail. Le rythme de travail est assez soutenu, mais les pauses du midi nous permettent de tous nous retrouver dans la salle commune ou nous pouvons déjeuner ensemble. Malheureusement, Katy, une des cinq filles que nous sommes a posé sa démission il y a un peu moins de deux mois, elle termine son préavis et dois nous quitter à la fin de la semaine prochaine pour suivre son mari qui est muté dans le nord de la France. Notre directeur a eu quelques difficultés pour trouver une remplaçante qui pourrait convenir pour le poste, mais de ce que lon sait, cest chose faite et il doit nous la présenter en début de semaine prochaine à sa prise de poste.
Le weekend étant passé, lundi matin au café, les discussions étaient ciblés autour de cette fille qui sapprêtait à nous rejoindre, nous étions tous impatient de la découvrir. Je vous laisse imaginer nos interrogations lorsque notre directeur est arrivé à notre étage accompagné dun charmant jeune homme.
- Sil vous plait, je vous demande votre attention !
Je vous présente Max, il va passer une semaine en double avec Katy pour pouvoir ensuite la remplacer.
Nous sommes tous rester sans mot, très certainement surpris de voir que contrairement à ce que nous avions imaginé, cétait un garçon qui venait rejoindre notre équipe.
Rapidement, au cours des jours qui ont suivis sa prise de poste, en plus de traiter correctement les taches qui lui étaient confiées, Max sétait très bien intégré au groupe. Pour ma part, jai la chance que son bureau soit installé juste derrière le panneau vitré qui se trouve sur ma droite, ce qui me permet de pouvoir profiter de ce beau physique à chaque fois que jen ai loccasion. Dapparence assez jeune, au physique sportif, il entretient régulièrement une barbe de quelques jours, il a également lhabitude de porter des hauts moulants qui font ressortir le volume de ses pectoraux. Les manches de ses tee-shirts laissent apparaitre le début dun tatouage sur son biceps droit. Les filles, je pense que vous saurez de quoi je parle si je vous dis quil ressemble plus au plombier de nos fantasmes qui vient réparer notre fuite deau, quau collègue de bureau que lon a lhabitude de côtoyer au quotidien.
Son ouverture desprit nous a permis de le découvrir dans son intimité lors de discussions à la pause du déjeuner, nous avons alors appris quil était célibataire depuis peu, sa dernière compagne âgée de dix ans de moins que lui avait préférer se diriger vers un compagnon de son âge pour pouvoir envisager de fonder une famille, contrairement au souhait de Max.
Après quelques semaines, un soir en quittant le bureau, alors que je mapprêtais à monter dans ma voiture pour rentrer chez moi, Max sest approché pour me proposer de prendre un verre avec lui au pub du coin. Cette invitation ma tellement surprise que je nai pu accepter en prétextant devoir récupérer mes s qui mattendaient chez la nounou. Ce soir-là, sur la route du retour, je nai cessé de penser à cette proposition. Des questions sans réponses fusaient dans mon esprit :
« Etait-ce une invitation sans arrière-pensée, en toute camaraderie ? Pourquoi voulait-il passer encore du temps avec moi après le boulot ? Il noserait tout de même pas imaginer quoi que ce soit, il sait que je suis mariée ! Avait-il remarqué mes regards répétés vers lui lorsquil travaillait ? Quelle idiote, pourquoi nai-je pas accepté cette invitation alors que jen avais envie ? , il nallait tout de même pas me manger ! ».
Le lendemain matin, à lembauche, alors que nous étions tous devant la machine à café, Max ma demandé si je pouvais lui accorder cinq minutes pour lui monter une subtilité quil ne maitrise toujours pas sur notre logiciel de gestion. Une fois la manip informatique acquise, Max a profité que nous soyons seul et à lécart pour me relancer :
- Et le midi, tu es libres ?, nous pourrions aller manger un morceau ensemble à lextérieur.
- Toi ça ne te pose pas de problème, tu tabsentes souvent le midi pour aller faire du sport, mais moi, ça fait des années que je mange avec eux, que vont-ils penser ?
- Si réellement ta retenu nest autre que ton absence vis-à-vis des collègues, tu nas quà leur prétexter un rendez-vous important.
Je ne voulais pas une nouvelle fois regretter davoir refusé une telle proposition.
- Bon, ok pour ce midi, je prétexterai une course importante à faire.
- Très bien, on se retrouve au snack au bout de lavenue ?
- Ok
Durant la matinée, je me découvrais assez excitée à lidée de me retrouver en tête à tête avec Max, de nombreuses questions envahissaient mon esprit mais je savais que jallais obtenir des réponses dans une poignée dheures.
Installés à table devant nos salades, contrairement à moi, Max était très décontracté, il me posait beaucoup de questions comme si il voulait tout savoir de moi au-delà de ce quil avait déjà appris lors de nos pauses du midi en salle commune. Jétais de plus en plus détendu, son attitude me mettait à laise, mais je restais par ailleurs très troublée par son physique de beau gosse qui aurait pu jouer dans une pub pour coca. Petit à petit et de façon très subtile, ses questions se sont faites plus personnelles, plus intimes, à la limite de lindiscrétion, mais je me prenais au jeu et lui répondais volontiers. Nous avons passé un moment très agréable, et contrairement à ce que javais pu imaginer, même si ces discussions étaient parfois border line cest avec une petite pointe de regret que jai constaté quil ne ma fait aucune avance.
Cest une semaine plus tard, alors que nous étions isolés devant la machine à café que Max ma proposé un autre repas ensemble pour la pause déjeuner. Cette fois, cest sans aucune hésitation que jai accepté que lon se retrouve au snack le midi. Tout comme la fois précédente, il sintéressait beaucoup à ma vie intime, et de mon côté, je le laissais franchir toutes les barrières.
- Tu ne mas pas clairement répondu la dernière fois, tu as eu beaucoup dhomme dans ta vie ?
- Et bien si tu veux tout savoir, jen ai connu quun seul,
. mon mari.
- Ha, ok, cest pour ça que tu ne me répondais pas franchement !
- Non pas du tout, je nai aucune honte vis-à-vis de ça, cest simplement que ta question est très personnelle.
- Tu nes pas frustrée ?
- Non, je suis comblée, jai ce quil me faut à la maison.
- Oui, je veux bien te croire, mais tu nas pas de petits fantasmes érotiques qui te traversent lesprit de temps en temps ?
- Bien sûr, ça marrive, comme pour toutes les nanas, mais je sais en rester là, nous ne sommes pas comme vous les mecs, à vouloir attr tout ce qui bouge !
- Tu sais, avant de me mettre sérieusement en couple avec ma dernière partenaire, jai connu des filles qui savaient se faire plaisir.
- Certainement, mais moi, je ne fais pas partie de ces filles là
- Tu es sure ?
- Oui, bien sûr que jen suis sure !
- Et si je te proposais une petite aventure, uniquement pour le plaisir, tu refuserais ?
- Evidemment, je suis fidèle
- Dommage !
Sur ces paroles, jai perçu une chaleur incontrôlable envahir mes joues, jai regardé ma montre dans lespoir quil soit lheure de devoir retourner au bureau, mais une dizaine de minutes nous séparaient de ce gong qui pouvait me libérer de cette emprise.
- Et Sylvie
, je te taquine, je plaisante !
Je ne sais pas ce quil ma pris mais à cet instant je nai pu contrôler ma réponse :
- Ha, tu plaisantes ? tant pis pour moi alors !
Un court silence est venu sinstaller avant que Max me réponde tout souriant :
- Vraiment, tu aimerais ?
- Je suis confuse, oui, jaimerai mais il ne faut pas, ce nest pas raisonnable.
- Moi, jen ai vraiment envie, et puis nous pouvons être très discrets.
- Soyons fou, pourquoi pas !
- On peut se voir ce vendredi après midi, on irait chez-moi si tu veux, le boss ne devrait pas refuser notre absence le vendredi après midi cest toujours très calme.
- Ok, je pose un RTT pour ce vendredi après-midi.
Durant les trois jours qui nous séparaient de ce fameux vendredi après-midi, jai eu dénormes difficultés de concentration, mon esprit tournait en boucle autour de ce que je mapprêtais à vivre.
Ce midi-là, afin déveiller aucun soupçon, nous sommes partis séparément, jai rejoint Max qui mattentait dans sa voiture devant le snack pour que nous puissions nous suivre jusque chez lui. Arrivée dans son appartement, je ne pouvais maitriser ce petit tremblement dangoisse mélangé à lexcitation qui menvahissait le corps. Max ma pris la main pour mattirer contre lui.
Debout collée à lui, jai senti sa deuxième main glisser dans mon dos pour terminer sa course sur le haut de mes fesses. Nous nous sommes embrassés langoureusement de longues minutes avant quil me dirige vers sa chambre toujours en me tenant par la main. Devant son lit, il sest placé derrière moi, au travers de nos habits, je devinais son sexe bandé bien écrasé contre mes fesses. Il a dégagé mes cheveux de mon coup avant dattr mes seins dans ses mains. Tout en malaxant mes globes, il baladait ses lèvres légèrement humides sur ma nuque, puis il a laissé glisser sa langue sur le contour de mon oreille. Un frisson de plaisir à traverser mon corps lorsque jai senti la pression de ses dents sur mon lobe accompagné de son souffle chaud propulsé dans le creux de mon oreille. Il ma libéré un instant pour que nous puissions nous dévêtir. Il avait un corps de rêve, un corps musclé, imberbe et tatoué. Ses tatouages agressifs laissaient deviner le male viril quil doit être lors dune relation sexuelle. Jétais impatiente de me faire prendre pour découvrir ce plaisir interdit. Son sexe semblait beaucoup plus large et long que celui que je connaissais.
Une fois entièrement nue, je me suis allongée sur le dos sur son lit, jambes écartées. Il était debout devant moi, le sexe raide prêt à menfourcher. Il ma regardé et cest accompagné de son sourire charmeur quil me dit :
- Non pas comme ça, mets-toi plutôt à genoux, sur le lit,
Je me suis exécuté, il sest approché de moi, tout en restant debout contre le lit. Sa main est venue parcourir mon dos en partant de ma nuque jusque sur mes fesses, la caresse était douce, sensuelle. Un de ses doigts est venu glisser le long de ma raie bien ouverte par la position imposée. Jai senti une légère pression de son majeur sur mon anneau, à cet instant je craignais quil ait lintention de me sodomiser. Sans insister, ce même doigt est venu se noyer entre mes lèvres intimes avant de senfoncer entièrement dans mon conduit vaginal.
- Recules un peu jusquau bord du lit dans cette position, je meurs denvie de te gouter.
Je me suis une nouvelle fois exécutée. Il a installé deux coussins au sol au pied du lit, il a posé ses genoux dessus, son visage était désormais à la hauteur de mon sexe. Il a posé ses mains sur mes fesses pour bien me figer puis sa langue est venue parcourir mes lèvres intimes dans ses moindres recoins. Sous cette caresse que jadore, mon plaisir montait en intensité, je devais me maitriser pour ne pas aboutir trop rapidement. Devinant ma jouissance proche, il a abandonné mon sexe pour faire glisser sa langue vers le haut jusque sur mon petit trou, sur lequel il a multiplié les rotations et pressions humides. Je sentais mon anneau se détendre sous cette caresse agréable. Pour cette première relation, il semblait navoir aucune retenu, aucune gêne. Jai mis tellement longtemps avant de découvrir ces plaisirs qualifiés de cochon avec mon conjoint que je navais pas imaginer possible de se faire lécher de la sorte lors dune première relation sexuelle avec un homme. Ma respiration sintensifiait, mon bas ventre bouillonnait de plaisir, je pense que ces caresses sur mon anus auraient pu me faire jouir dans les secondes qui ont suivis sil ne sétait pas arrêté. Il sest redressé, il sest positionné debout contre le lit, cette fois cest son sexe qui était à la hauteur du mien. Lintensité de mon humidité vaginale a permis à son bâton de me transpercer dun seul mouvement. Il est resté figé ainsi au fond de mon ventre sans bouger, sans parler, avant quune de ses mains glisse le long de mon dos jusque sur ma nuque. Il a attrapé mes cheveux pour tirer dessus de façon à faire basculer ma tête en arrière. Toujours sans mouvement de son bassin, son autre main est venu claquer à plusieurs reprises sur mes fesses, dabord gentiment, puis de plus en plus énergiquement. Pour la première fois de ma vie, je recevais des fessés pendant lacte sexuel. Il a rapidement entamé une série de va et vient de sa queue dans mon conduit, jétais à la fois très surprise mais aussi très excité dêtre prise de la sorte. Il alternait fessées et caresses sur mes fesses tout en accentuant ses mouvements de hanches pour me pénétrer au plus profond à chaque butée. Son endurance était stupéfiante, ses allers-retours étaient très énergiques et je vous laisse imaginer ma stupeur lorsquentre deux essoufflements je lentends me dire :
- Tu aimes ca hein ?
ma petite salope ! ça te plait de te faire baiser comme une garce ! Tu vas voir ce que tu vas prendre !
Je naurai jamais pu accepter de telles paroles de la part de mon conjoint, mais là, je ne saurai expliquer pour quelle raison ces mots ne mont pas choqués, bien au contraire, ils ont eu pour effet lamplification de mon excitation. Max me faisait bien comprendre que nous étions là uniquement pour le sexe, les sentiments navaient pas leur place ici. En temps normal, je naurai jamais pu imaginer entrer dans ce genre de jeu et sans pouvoir réellement me contrôler, des mots qui nont jamais été à mon image se sont échappés :
- Oui, vas-y, baises moi fort !
- Mets tes deux mains dans ton dos !
Avec une de ses mains il a maintenu mes poignets croisés dans mon dos au-dessus de mes reins. Il a libéré son sexe de mon vagin pour positionner son gland devant mon petit trou. Lorsque jai ressenti la pression de son sexe sur mon petit anneau, je me suis manifesté :
- Non pas par-là !
- Chut, laisses toi faire !
Jétais en mauvaise posture pour pouvoir me libérer, en moins de temps quil le faut pour le dire, son gland a le passage.
- Aie, ça fait mal !
- Ca y est, je suis dedans, le passage est fait
Je craignais quil entame immédiatement des vas et vient énergiques, mais à linverse, il est resté un instant immobile en moi.
- Il est vraiment très étroit ton petit cul !
- Je nai pas lhabitude !
Après trois petits allers-retours dune courte pénétration, Max a libéré un cri de délivrance et jai pu percevoir son liquide chaud séchapper dans mon conduit.
- Ah oui, quel pied, jai rarement croisé un trou du cul aussi serré !
Sur ces mots, il a lâché mes poignets et il sest retiré de mon postérieur. Son sperme sest immédiatement évacué pour venir sécouler sur mes lèvres intimes.
- Je crois que tu en as besoin dun bon nettoyage, les WC sont juste en sortant sur ta droite.
Lorsque je suis retournée dans la chambre, Max sétait déjà habillé, jen ai fait de même.
- Alors ma petite Sylvie, tu as apprécié ?
- Je ne mattendais pas du tout à un tel comportement de ta part mais, mais je dois lavouer, jai bien aimé
- Ton homme ne te baise pas comme ça ?
- Non, jamais, nos relations sexuelles ont toujours été tendres et respectueuses.
- Ouai
, il te fait lamour comme un bon mari, papa de tes s !
- Voilà, cest exactement ça.
- Tu as déjà fantasmé sur une relation à trois ?
A cette question, une bouffé de chaleur est venue instantanément colorer mes joues.
- Non jamais
- Tu es sure ?
Insistes-t-il en rigolant.
- Peut-être une fois ou deux, je me suis imaginée dans une telle situation
- Si tu veux, je peux torganiser ca la prochaine fois.
- Non surtout pas ! je préfère que ça reste de lordre du fantasme
Avant de retrouver mon cocon familial, durant le reste du temps libre dédié à cette après-midi, nous avons discuté de sujets variés mais tous ayant un lien avec la sexualité.
Ce soir-là, dans le lit conjugal, je nai pas sollicité mon conjoint pour faire lamour, mon esprit restait concentré sur cette après-midi qui me laissera certainement un souvenir mémorable quoi quil arrive par la suite. Jétais troublée, jusquici je ne savais pas que je pouvais prendre autant de plaisir dans une relation sexuelle comme celle que je venais de vivre. Jessayais de me convaincre quil ne serait pas raisonnable de convenir dun nouveau rendez-vous charnel avec Max.
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