La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1485)

Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1403) -

Et l'autre de jouer les dominatrices, aspirant au contraire se retrouver à la place de l'autre… Quelques jours passèrent... Sandra essayait d'oublier sa mésaventure au Château, bien que le souvenir honteux et des plus humiliants pour elle, de sa nudité avec ses mains entravées et menée en laisse tel un animal par Carole dans les couloirs du Château, puis à l'extérieur dans la froideur matinale et humide de la forêt entourant le parc du Château, et cela jusqu'à sa voiture. Voiture qui, pour rappel, avait permis à Sandra de suivre Carole sur son scooter de Villefranche/Saône, jusqu'au Château, avant de se garer loin de la route départementale dans un des chemins en sous-bois afin de pouvoir poursuivre à pied sa filature discrète de Carole.) De cet endroit-ci, Sandra y avait retrouvé également ses vêtements et, plus que tout, sa liberté. Ses souvenirs marquants étaient accompagnés de ceux de sa nuit entravée dans la pénombre de la cellule et de l'histoire folle, paranormale de fantôme que Carole lui avait raconté, et qui emplissait depuis, ses nuits de rêves et de cauchemars étrangement érotiques et pervers. Rêves qui la poursuivaient même le jour, à présent.

La première idée de Sandra ce jour-là, une fois libérée par cette salope de Carole, comme elle la dénommait maintenant, fut évidemment d'aller voir les flics pour porter plainte à la gendarmerie, comme elle en avait menacé Carole de le faire à plusieurs reprises en se remémorant même avec énervement, la beauté nue de la jeune femme, avec son petit air enjoué tout souriant, quand Carole lui répondit à cela :‘‘que d’abord les flics ne croiraient pas à cette histoire rocambolesques de fantômes. Et que même s’ils la croyaient et envoyaient au mieux une patrouille, que le Château était si vaste, empli de mille coins secrets, souterrains et issues dérobées, qu’ils ne trouveraient rien de probant’’… Sandra, aurait voulu pouvoir effacer du visage de Carole, son sourire au petit air enjoué de gagneuse pleine de joie, en la faisant arrêter, pour la voir menée de force, menottée entre deux gendarmes, toute déconfite et honteuse hors du Château.

Seulement voilà, comme Carole lui avait dit, il y avait peu de chance que les gendarmes la croient. Qui croirait d'ailleurs à une telle histoire de spectre ? Sans compter que ce serait une épreuve encore plus d’humiliation pour Sandra que de devoir raconter cela aux gendarmes…

Histoire invraisemblable donc et ce serait là une conclusion des plus évidentes pour les gendarmes. Ainsi, Sandra avait dû ravaler sa rancœur et ses idées de vengeance, cherchant à oublier tout cela... Sauf que sans cesse dans sa tête, la nuit comme le jour, revenaient en boucle les images de ce qu'elle avait vécu là-bas au Château avec Carole dans la plus vraisemblable des réalités, bien loin du rêve... Mainte fois, elle essaya donc de chasser cela de son esprit, n'arrivant cependant pas à les empêcher de revenir en force jusqu'à les rendre visibles par des manifestations dérangeantes d’hallucinations et qui la mettaient dans tous ses émois. Telle une personne traumatisée, elle n'arrêtait pas de repenser ou de revivre avec obsession, et l'espace d'un instant trop récurrent, sa promenade e toute nue dans et hors du Château, à chaque fois qu'elle croisait une personne promenant son chien en laisse. N'arrêtant pas de faire aussi des cauchemars récurant, même si son corps ne semblait pas les considérer comme tels, même si certaines nuits elle sent réveillait toute en sueur, le souffle cour...

Pendant ce temps au Château, Carole découvrait sa nouvelle vie auprès du fantôme du Noble... De servitudes, sous les Exigences et dans les bras de son amant et du Maître aimé, le spectre de Monsieur le Marquis d'Evans. Apprennent sous son instruction à obéir docilement et comment se tenir devant le Maître, comment attendre, et dans quelle position, comment demander quelque chose, comment marcher, de quelle manière répondre à Ses Exigences, et ce qu'elle devait faire pour Lui plaire et Le satisfaire. Le Châtelain savait se montrer patient (n’avait-il pas l’éternité devant Lui !), même si parfois, Il devait sévir, lorsque Carole, oubliait d'appliquer certaines règles ou quand elle avait du mal à apprendre et exécuter correctement certaine choses humiliantes à ses yeux, et qu'Il tenait à lui inculquer à tout prix.
Carole découvrit également les vertus qu'il y avait à vivre en permanence toute nue. Plus aucune entrave vestimentaire, plus besoin de perdre du temps à mettre ou enlever une culotte, soutien-gorge, robe, pantalon, tee-shirt, ou autre atours. Le corps exulte dans sa nudité naturelle, il se sent plus libre, plus d'attache (sauf si on aime particulièrement cela !), on respire, le corps n'est plus emprisonné à des normes vestimentaires de mode

Ainsi, Carole s'habitue à dormir toute nue et elle adore ça. Elle a l'impression que sa peau est plus douce d'ailleurs depuis. Si au début, elle en fut gênée de se balader entièrement dénudée, à présent dans les couloirs et pièces de l'immense Château, cela lui semble naturelle. D’ailleurs, l’incroyable magie paranormale du fantôme du Noble a fait en sorte qu’il règle toujours une chaude température à l’intérieur de cette ancienne Demeure, où logiquement le froid et l’humidité devraient régner sans concession. Mais le spectre du Châtelain a voulu créer les conditions parfaites d’une douce température ambiante afin que Sa soumise puisse trouver du plaisir ambiant à évoluer dans sa nudité la plus totale... Mais aussi dormir en tenue d'Eve booste chez Carole ses rêves et sa vie sexuelle, se sentant d'avantage excitée, toujours offerte, disponible, ayant plus confiance en elle, se sentant plus à l'aise avec son corps. L'érotisme et la sexualité sont souvent plus intenses quand on sort des sentiers battus, surtout quand ses propres instincts primitifs de l’animal chienne bien ancrés en sont fond intérieur désormais, sont mis en exergue par la situation à laquelle Carole est en train de vivre… Magnifiquement bien traitée par le fantôme du Marquis, elle avait sa propre chambre, même si parfois, elle devait dormir par terre enchaînée au pied de son lit tel l’animal canin évoqué. Chaque jour, Carole avait de bons petits plats cuisinés et préparés à son attention par la magie paranormale du Maître, dégustant cela de bon cœur à la table de la cuisine ou dans son écuelle à quatre pattes à même le sol…

Même si Carole souffrait de sublimes délices des mélanges d’excitations et de douleurs toujours sous les coups terribles et cinglants des lanières de cuir d’un fouet, elle en était récompensée après et à chaque fois par de nombreux plaisirs jouissifs même si ceux-ci n’étaient pas toujours finalisés par un orgasme selon qu’il soit autorisé ou non.
Appréciant de se retrouver ainsi fréquemment attachée et soumise aux Exigences perverses du Maître, qui l'éduquait et la prenait sexuellement au moins 4 à 5 fois par jour, en lui imposant Sa belle hampe de chaire bien dure dans sa bouche, sa chatte ou son fondement. Il lui arrivait, le soir, en s'allongeant dès que cela lui était permis sur son lit, rompue de fatigue, ressentant souvent encore des douleurs lancinantes de-ci de-là, de repenser à son ancienne vie. La nostalgie de certains aspects de celle-ci, la surprenant alors. Cela faisait pourtant à peine quelques jours que Carole séjournait au Château. Seulement, elle s'avait qu'elle n'était pas en ces lieux juste le temps de vacances, puisqu'elle avait choisi d'y vivre à demeure désormais avec le fantôme de Monsieur le Marquis en devenant Sa soumise. Ne regrettant nullement, malgré ses brefs petits moments de blues, sa décision. D'ailleurs, même si elle le pouvait, elle ne désirerait pas retrouver son ancienne vie. Même si elle se demandait si l'une ou l'autre de ses connaissances s'inquiétait de sa disparition... N'ayant reçu aucun message en retour aux siens dans sa messagerie sur Internet. Mais peut-être était-ce encore trop tôt…

Un matin, très tôt alors qu’elle pensait à tout cela, et heureusement que le fantôme de Monsieur le Marquis, était là à hanter les lieux pour s'occuper d'elle et chasser aussi ses pensées nuageuses, le Maître venait la tirer des bras de Morphée qui commençaient à l'emporter, pour exiger qu'elle le satisfasse de sa bouche. Carole cligna alors des paupières, tout en s'extirpant de son lit, pour venir s'agenouiller aux pieds de spectre Noble. Son regard rivé sur le magnifique sexe translucide en érection devant ses yeux, tremblante d'anticipation, alors que ses lèvres s'entrouvrissent déjà volontairement pour le recevoir... Il est primordial de préciser que le revenant Châtelain avait compris, savait que plus il jouirait d’une mortelle et plus il reviendrait à la vie, enfin pas dans le sens de ressusciter, mais dans le sens de ressentir les émotions ainsi que les cinq sens d’un mortel, comme par exemple, ressentir l’amour, la joie, le plaisir, l’excitation, l’érection, l’éjaculation autant que le toucher ou l’odorat… C’est donc aussi pour cette raison qu’il pénétrait, possédait autant de fois quotidiennement Sa soumise par tous ses orifices… Ainsi Ses érections étaient beaucoup plus spontanées, Ses éjaculations plus fortes et abondantes en sensations et plaisirs devenant de plus en plus celles d’un commun des mortels.
Le fantôme arrivait donc à jouir désormais de son véritable sperme… Pour nous, tout mortels que nous sommes, cela nous parait bien utopique, irréaliste, improbable qu’un spectre puisse éjaculer, mais pour le fantôme du Noble cela était d’une telle évidence, d’un tel ressenti démultiplié à chaque copulation…

Le fantôme du Noble, ne pouvant plus attendre, planta aussi sec Sa grosse verge veineuse, dans sa bouche, se noyant dans sa chaleur humide tout en ressentant ses lèvres charnues étreindre Sa hampe étroitement. Carole frissonna en l'accueillant, à demi étouffée sous la poussée brusque de ce bâton de chair volumineux jusqu’au fond de sa bouche. Elle l'attrapa dans sa main, s'accordant une marche de sécurité et se mit à le sucer vigoureusement, utilisant son autre main pour venir lui malaxer ses belles couilles qui avaient l’air de se développer grandement un peu plus chaque jour. Monsieur Le Marquis lui concéda ses deux actions, bien qu'il lui apprendra à l'avenir qu'une esclave n'utilise pas ses mains pour sucer une queue, mais doit les croiser dans son dos. Devant juste s'offrir et prendre oralement le plus profondément possible qu'elle puisse le sexe qui lui est présenté. Mais pour l'instant, il était trop accaparé par Son propre plaisir, profitant de la beauté et de la soumission docile de Carole, qui n'était encore en somme qu'une débutante à formater, à éduquer…

Le fantôme du Châtelain posa une main sur sa tête pour contrôler le rythme des allers et venues fellatrices, essayant de l'amener à le gober plus profondément. Soumise à ses Exigences, Carole ravie, se laissa guider, même si elle avait encore un peu de mal à le sucer en gorge profonde. Monsieur Le Marquis aurait pu, s'il l'avait voulu lui attr fortement la tête des deux mains, pour lui baiser littéralement la bouche. La prenant d'assaut, transformant cette fellation en une sorte de baise brutale, en utilisant cette suave bouche humide et chaude comme un vagin trempé, pour son plaisir sans se soucier de ses glapissements étouffés et de ses larmes. Oui, il aurait pu, si Son plaisir n'était pas aussi de voir les beaux yeux soumis de Carole lorsqu'elle les levait vers lui, suçant ou léchant Sa queue avec un visage gourmand, empli d'une forme d'extase heureuse, de plénitude infinie... Un instant plus tard, l'énergie de vie, qu’est Sa Semence même, preuve de la jouissance du revenant Maître, jaillit, emplissant abondement la bouche de Carole. Le Noble, libérant Son sexe de cette divine bouche, observa le filet de bave, mélanger à Son sperme coulé, nectar sorti de Sa queue revenue à la vie. Il scruta la commissure des lèvres de Carole jusque sur ses beaux seins, qui se soulevaient au rythme de sa respiration un peu vive. Carole le regardait, la bouche entrouverte, plongeant ses yeux étincelants d'excitation dans les siens, attendant Son acquiescement. Et quand il le lui octroya, elle avala docilement avec délice Sa Semence, éprouvant une certaine fierté d'être désormais la seule soumise à avoir l'honneur de recevoir et d'avaler le sperme divin du grand Maître qui fut, qui est et le seras à jamais de Monsieur Le Marquis d’Evans… … …

Pendant ce temps, chez elle, Sandra se réveilla en ce petit matin, en sursaut, seule dans son lit en bataille, complètement bouleversée, la peau moite, respirant vivement, son cœur battant à vive allure dans sa poitrine. A demi découverte, elle poussa sa couverture au fond de son lit et se leva en direction de la salle de bain. Ni une, ni deux elle fit couler l'eau froide du robinet du lavabo et s'éclaboussa le visage à l'aide de ses mains, le choc thermique finissant par la réveiller pour de bon et lui permis de se calmer et de reprendre peu à peu sa respiration habituelle. La jeune femme expira profondément, s'observant épuisée dans le miroir rectangulaire. N'arrivant pas à expliquer les raisons de ses nuits agitées mélange de cauchemars et de rêves érotiques...

(A suivre …)

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