Camping Cocu (Suite Et Fin)
(Je remercie toutes les personnes qui ont commenté la 1ère partie et surtout ceux qui y ont partagé leur vécu)
A son réveil, Caroline ma raconté quelle sest sentie mal et que Gérard la accompagnée sur la plage du camping pour mieux respirer. Ils y seraient restés jusquà tôt le matin à discuter.
Son mensonge rendait la tromperie plus horrible car je commençais à me demander sil ne servait pas à cacher la vérité sur leur relation. Je commençais à penser que jétais devenu la 5ème roue du carrosse dans notre groupe de trois ; Gérard mayant remplacé aux côtés de ma femme.
Durant les quelques jours qui ont suivi, leur comportement ne laissait rien paraître hormis quelques regards et caresses furtives quand je ne regardais pas. Jétais toujours malade de cette trahison, de ma lâcheté et de mon excitation.
Comme pour massurer de la réalité des faits, il marrivait de faire semblant de mabsenter pour les observer de loin. Il arrivait alors quil lui caresse les cuisses, quelle lui masse le pénis et quils sembrassent.
Je ne voulais pas que cela continue mais je ne pouvais mempêcher de faire ainsi, comme pour massurer que ce nétait pas un rêve, alors même que je leur donnais loccasion de continuer.
Pire, je favorisais leur rapprochement : la colère et lexcitation me faisaient me montrer distant à légard de ma femme. Au cours des activités, je méloignais toujours un peu quand venait le moment de faire des équipes, les laissant ainsi tous les deux, et moi dans léquipe adverse. Jespérais peut être que ça cesserait ou quelle viendrait me chercher. En vain.
Une fois, il a même fallu réorganiser les équipes car ils étaient partis en plein jeu. Je les ai cherchés longtemps pour ne les trouver que 30 minutes plus tard tandis que Gérard remontait son maillot de bain.
Et encore pire. Je nai pas pu mempêcher dinviter Gérard à diner à notre emplacement un soir.
Très tard, cest moi qui ai suggéré à Gérard de rester pour la nuit car il paraissait également trop pompette pour rentrer à pied. Et cest moi qui lui ai suggéré de dormir à ma place dans le lit, à côté de ma femme, car la banquette serait trop petite et trop étroite pour lui.
Je me suis détesté. Je crois que javais envie datteindre le fond dans cette histoire pour avoir la satisfaction que le pire était atteint et quil serait alors plus facile de gérer ainsi.
Gérard et moi étions à table tandis quelle était partie dans la chambre se mettre en tenue pour dormir. Je nosais pas trop le regarder car son regard semblait dire quil allait faire lamour à ma femme dans notre lit conjugal.
Jai fait semblant de mendormir comme une masse et attendu quils se couchent. Je les ai entendus discuter de ma banquette :
Arrête on ne peut pas, il est juste à côté
-Il dort profondément, il a trop bu. Je te veux
-Pas ici, non
-Si justement, je veux te posséder dans le lit que tu partageais avec ton mari
La porte était restée ouverte et jétais allongé sur le côté donc hors de la lumière de la chambre. Je vis Gérard sallonger sur le côté du lit et Caroline se mettre debout dessus. Elle a commencé un langoureux striptease en seffeuillant lentement. Ses mains caressaient son corps et ses hanches allaient de droite à gauche de manière lascive.
Elle se déhanchait tout en ôtant sa nuisette. Elle navait mis aucun sous vêtement et sest retrouvée entièrement nue. Alors quelle ne dort jamais sans sous-vêtement, elle avait donc prévu de coucher avec lui quand elle sest changée
Je la voyais danser au dessus de lui, plier les jambes et écarter les cuisses devant lui pour lui offrir un spectacle délicieux.
Elle sest finalement assise sur son visage et Gérard sest mis à lui lécher la chatte comme un perdu. Je la voyais de dos mais elle se caressait tout le corps, signe de plaisir. Quant à Gérard, je voyais son sexe énorme en érection prêt à exploser.
Le souffle de Caroline était rapide et lourd et ponctué de petits cris réprimés tant bien que mal. Je voyais sa main agripper quelque chose (la tête de son amant jimagine) et son basin se frotter intensément sur son visage.
Cela dura longtemps. Puis Elle sest mise delle-même à 4 pattes, elle était tournée vers moi et jespérais autant quelle ne me voie pas que linverse. Gérard sest placé derrière elle, lui aussi me faisait face, et il la prise en levrette. Le rythme était intense et je voyais ses seins gigoter et son visage
Son visage trahissait le plaisir quelle ressentait : un mélange de délice et de souffrance provoquée par le plaisir. Ce plaisir que lon ressent que quand on aime suffisamment le partenaire pour sabandonner au bonheur quil nous procure. Caroline sabandonnait à son amant, dans notre lit.
Gérard a fait rouler Caroline sur le ventre et il sest allongé sur elle. De là où jétais, je ne voyais que Gérard allongé sur ma femme et ses fesses se soulever et se rabaisser brutalement. Je ne pouvais quimaginer la pénétration de son gros sexe dans lanus de ma femme. Elle devait prendre du plaisir car ses jambes et ses pieds montraient des signes de tension, de plaisir surement.
Ses pénétrations se sont faites de plus en plus rapides et je lai entendu dire à ma femme quil allait jouir. Il sest figé au plus profond delle tandis que Caroline marquait un râle étouffé par la main de Gérard qui recouvrait sa bouche.
Gérard sest écroulé sur le dos de ma femme.
Merci mon chéri, cétait divin. Je nen peux plus tellement cétait bon
-Tu es tellement belle quand tu jouis
-Je nimaginais pas que je ressentirais autant de plaisir à me faire enculer
-Ton cul mappartient maintenant. Je veux que personne dautre ne lai.
-Je ne sais pas si je pourrai tenir cette promesse
Jai eu un petit répit, mais de courte durée :
-Mais sois sûr que ton corps ma marquée et que je noublierai jamais nos étreintes
-Je taime
-Moi aussi, mais je vais devoir retourner avec mon mari à la fin des vacances
Je me retenais aussi fort que possible de ne pas pleurer en entendant ça. Javais déjà joui mais leurs sentiments ainsi dévoilés et leurs corps nus encore enlacés ont provoqué une nouvelle érection chez moi.
Ils se sont embrassés puis endormis. Je me suis masturbé une dernière fois en repensant à tout ça et jai honteusement essuyé mon sperme avec mon tee-shirt.
Conclusion
Ayant trouvé un job dété, ma femme est repartie plus tôt à la maison tandis que je suis resté pour finir la semaine. Jétais soulagé quelle parte, me convaincant que toute cette histoire était finie, aussi bien la tromperie que mon acceptation par dépit et par excitation de la situation.
A son départ, je me suis absenté quelques instants (volontairement) les laissant seuls. Je nai même pas osé les espionner.
Ignorant toujours que jétais au courant de leurs turpitudes, Gérard a continué faire les activités avec moi et à minviter comme si de rien nétait. Je me sentais toujours aussi lâche. Je ne pouvais me résigner à admettre que javais laissé faire.
A lissue dun diner, Gérard est resté discuter. Il ma parlé de Caroline, combien elle était épatante, pleine de vie et joyeuse
Javais limpression quil se moquait de moi et savait que je savais.
Il fut dabord surpris, puis a souri :
-Le soir du bal nétait pas la première fois avec ta femme.
Jétais abasourdi. Je croyais avoir atteint le fond et pouvoir effacer ces vacances de ma mémoire mais en fait, cétait pire.
-4 jours avant, quand nous sommes allés à la plage du camping pendant la randonnée de groupe. Tu dormais. Caroline et moi discutions, jai glissé mes mains le long de son épaule, de son haut de bain, de sa cuisse. Elle ne disait rien. Jai inséré un doigt dans son sexe, il était déjà tout mouillé.
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-Je lui en ai inséré un deuxième puis je lai masturbée. Elle a joui pendant que tu dormais.
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-Le soir du bal était notre vraie première fois, mais les fois où elle te laissait déjeuner seul, elle était avec moi à manger au restaurant ou avec des amis.
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-Pendant votre séjour, Caroline a été ma femme plus que la tienne. Et elle a aimé le sexe et la vie avec moi.
Ainsi la tromperie était allée encore plus loin. Javais envie de pleurer. Il ma dit comment ma femme était devenue la sienne, comment elle avait aimé se faire prendre par lui
Elle avait aimé me tromper avec lui et surtout lavait aimé lui à force de plaisir sexuel. Elle ne serait jamais la même ainsi que notre amour.
A mon retour, jai retrouvé Caroline mais tout avait changé. Elle semblait sincèrement heureuse de me revoir et a voulu faire lamour avec moi. Je nai pas voulu et ai prétendu être fatigué, et cela pendant les jours qui ont suivi. A force de la repousser intimement, elle ma demandé ce qui se passait. Je ne lui ai pas dit que je savais tout pour ses incartades et que jy avais pris un plaisir de honte.
Je ne lui ai pas dit que mes sentiments pour elle nétait plus les mêmes. Je lui ai dit que la reprise des études en dernière année me stressait et que je narrivais pas à mexciter. Je la vois faire des efforts pour me séduire mais limage du sexe de Gérard dans sa bouche me révulse autant quelle m'excite.
Au fil du temps, on na plus couché quune fois par mois quand elle insiste. Elle semble maimer comme avant mais la frustration la poussée à coucher avec dautres hommes en cachette. Même si je nassiste pas aux rapports, je le sais quand je sens sa chatte remplie de sperme ou quand je lentends au téléphone avec son amant quand elle me croit hors de portée.
Je ne sais pas si je laime mais je sais que jaime cette douleur quand elle me trompe et je rêve de connaître son amant actuel pour linviter et favoriser leurs ébats à la maison et les espionner.
Quant à moi, je couche avec des prostituées plus volontiers quavec ma femme pour laquelle je ne ressens plus aucun désir physique si ce nest quand jai le sentiment quelle vient de me tromper. Mais alors cest elle qui ne veut pas faire lamour.
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