Actrice Porno

Le chômage
Sans boulot comment vire, même avec des allocations misérables. Un copain m'adresse à un autre copain. Je me trouve projetée dans un monde nouveau : je suis engagée comme « artiste » Dans une boite de production porno. A priori j’aurais du refuser. Entre le besoin de gagner ma croûte, la découverte d'un métier rare, je me suis présentée.
Il a fallut que je fasse mes preuves. D'abord, c'est naturel me montrer nue. Devant le producteur et sa compagne, je suis vite à poils. Ensuite je doit montrer que je sais bien masturber. Je commence par monsieur, relativement bien monté, sans plus. J’empoigne sa queue, je la fais gonfler et je commence mes aller et venue. Il gicle assez vite convaincu de ma dextérité. Au tour de Madame, là je sais bien comment je fais pour moi ? J'applique ma méthode. Elle me laisse faire instant. Elle me demande la suite. Je comprends bien ce qu'elle désire. Alors pour la première fois je lèche un chatte. J'arrive à son orgasme. J'en suis la première étonnée. Le pire est que j'en suis excitée.
Je reste mouillée jusqu'au moment où j'ai un rôle.
Une femme, blondasse au possible se fait enculer par un homme quelconque. Je dois aller près d'eux, lécher les couilles, mettre un doigt dans la chatte. Je fais ce qu'on me dit, sauf que je n'ai aucun attrait tant pour elle que pour lui. Je suis payée pour, alors je m'exécute. Je sens bien la chatte de la fille. Mon doigt fait plus rester immobile : je la branle carrément comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Elle ne résiste pas, elle jouit entre la pine dans le cul et mon doigt, la nana se tortille de plaisir.
La baise continue sans que je sois présente. Ils me réserve pour une scène inédite avec un type monté comme un cheval. Je dois le sucer, lui bouffer le gland, les couilles, puis mettre un puis deux doigts dans le cul. Je m'ocuppe de son anus, il s'occupe de mon con en me léchant : c'est un as du cunnilingus. Il passe ensuite sa langue sur l'anus.

Ça j'aime beaucoup. Il arrive à mettre facilement le bout de la langue dans le cul. Il est presque sur moi, je lui tiens la bite. J'essaie de la mettre dans ma bouche : je m'étrangle presque à cause de la grosseur. Il force mes lèvres. Il me la met presque toute dans la bouche. La langue ne peut pas en faire le tour.Je frotte mon palais contre le gland : j'arrive à le faire jouir assez vite. Il décharge tout son sperme dans la bouche : je suis noyée. Heureusement il le comprend : il sort à peine le gland qui reste au bord des lèvres. En plus il a bon goût. J'avale tout lentement même si j'ai le menton plein de sa sève. A scène dit dure encore, un autre homme est sur nous. Il met sa queue entre les jambes du premier. Je regarde : il commence à l'enculer. Il ne reste pas longtemps, il est près de ma bouche, il me l'ouvre pour que je suce et son dard et le reste du cul. Je connais ainsi mon goût de l'anus. C'est relativement bon.
La fin de la scène, une autre filles bien fichue elle vient s'occuper de ma chatte. Sa bouche a l'habitude de donner ce genre de plaisir. Sa langue fouille ma chatte, s'attarde sur le clitoris, suffisamment pour que je jouisse. L'homme est parti, elle se tourne pour me donner son fouillis d'entre les jambes sur ma bouche. C'est assez agréable, plus que la bite du type. Je m’entraîne à lui donner du plaisir : nous éclatons presque ensemble.
La journée est heureusement finie. Avec Claire, ma partenaire nous dons rapidement au restaurant. Elle m'invite chez elle pour baiser. Je ne peux refuser, elle a mis sa main dans le jean.
Chez elle je me défoule : elle possède une bonne collection de godes. Elle me demande de la baiser devant puis derrière. Elle me rend la pareille. En plus elle le lèche la chatte. Claire me propose de venir avec elle dans un autre lieux où seules les filles participent. C'est dit-elle plus cool. C'est plus cool je ne tourne plus que pour cette boite. Les filles sont aimables, douces, bref lesbiennes. Je n'en suis jamais sortie.