Pouvoirs.
Ronan et moi, Gwenaëlle, nous sommes jumeaux et comme tous les jumeaux, nous sommes inséparables. Agés de 20 ans, nous vivons encore chez nos parents à quelques dizaines de kilomètres à louest de Rennes où nous poursuivons nos études en faculté.
Notre père est maitre de manège à lEcole militaire de Saint Cyr et notre mère passe le plus clair de ses journées à peindre. Elle a un talent certain et commence à être connue. Ils se sont rencontrés à Paris, au Salon du cheval où notre père, alors à la Garde républicaine, participait à une présentation et ma mère, qui était aux Beaux Arts, croquais sur le vif des scènes quelle allait peindre ensuite ou faisait des caricatures au fusain. Malgré une dizaine dannées de différence dâge, ce fut le coup de foudre.
Alors que nous avions une douzaine dannées, nous avons quitté Paris et nos parents sont venus sinstaller dans une ferme à quelques kilomètres de Guer où nous avons pu facilement abriter les chevaux de la famille. De longues chevauchées occupaient notre temps libre. Nous courrions cette forêt bretonne pleine de légendes quest la belle et grande forêt de Paimpont, tantôt seuls, tantôt accompagnés de notre mère qui était devenue une écuyère remarquable.
Quand nous étions adolescents, nous nous arrangions pour espionner nos parents lors de leurs étreintes amoureuses. La première fois, nous avions quinze ans, notre attention avait été attirée en pleine nuit par des sortes de gémissements venant du rez de chaussée de la maison.
Ronan et moi nous sommes sortis de nos chambres et, depuis la mezzanine, nous avons découvert nos parents en train de baiser sur la table de la salle de séjour. Notre mère, dans la plénitude de ses 40 ans était allongée nue sur la table, les jambes relevées en appui sur les épaules de notre père qui la besognait avec vigueur. Nous nétions pas ignorants des choses du sexe mais nous navions encore jamais vu un couple faire lamour.
Le spectacle nous a particulièrement excités. Je sentais comme une sorte de chaleur dans ma chatte et en me tournant vers mon frère, je vis quil caressait sa bite par-dessus son boxer. Sans bruit, nous sommes retournés dans sa chambre où nous avons continué de nous caresser. Pour être à notre aise, nous nous sommes mis nus tous les deux. Ce nétait pas la première fois que je me caressais ainsi, mais là, devant mon frère jumeau, ma jouissance fut encore plus vive.
Lui, de son côté, se masturbait également avec vigueur jusquà ce quune giclée de sperme vienne maculer mes pieds. Discrètement nous avons éclaté de rire puis, tout aussi discrètement, jai regagné ma chambre.
Après cette nuit mémorable, il nous arrivait encore de surprendre nos parents qui ne se doutaient de rien. Ronan et moi, nous nous retrouvions chaque fois pour des séances de masturbation et de caresses mutuelles.
Nous navions plus de secrets lun pour lautre, nous connaissions le corps de lautre comme deux amants se connaissent mais jamais il ne ma pénétrée, tout juste a-t-il fait, une fois ou lautre, courir un doigt entre les lèvres de ma chatte pour y cueillir ma cyprine après la jouissance pour la gouter. Puis nous avons eu des flirts. Là encore nous partagions nos impressions mais cest là que, lun et lautre, nous avons fait une découverte pour le moins inattendue.
Nous avons constaté en échangeant nos impressions que lorsque je me trouvais avec une fille ou plus rarement un garçon Ronan le sentait. Lorsque nous nous retrouvions, il me taquinait. Réciproquement, je savais quand il avait fait une conquête.
Nous le sentions au fond de nous et nous ressentions le plaisir que le partenaire éprouvait. Par exemple, le jour de nos 17 ans, lorsque Ronan a baisé pour la première fois, jai ressenti la douleur puis le plaisir que jai ressenti plus tard lorsque jai été déflorée par mon premier copain. Initiée aux plaisirs saphiques par Hermine, une camarade de lycée, jusquà ce jour javais toujours préféré les filles.
Cest ainsi que lors de notre dernière année de lycée et les premières années en Faculté, nous avons multiplié les aventures amoureuses. Avant que mon frère nait jeté son dévolu sur une fille, je pressentais celle quil allait tenter de conquérir et je faisais tout pour les rapprocher. De son côté il procédait de la même manière.
On aurait dit que nous agissions par télépathie pour savoir qui allait succomber à nos charmes. Mais notre meilleure prise, si on peut dire, nous lavons réalisée peu de temps après notre entrée à la Faculté. En bavardant avec Mélanie, une étudiante comme nous, jai découvert quelle aussi avait un frère jumeau et que nous habitions sans le savoir le même village.
Métisse originaire de la Martinique, elle possédait un teint mat très foncé, des cheveux longs et noirs légèrement ondulés. Grande et longiligne elle possédait une paire de seins de belle taille haut placés (jai immédiatement pensé quils seraient certainement très au gout de Ronan) et de hanches galbées. Je lai invitée à venir nous voir à la ferme avec son frère Nicolas le samedi suivant afin de faire plus amplement connaissance.
Mélanie et Nicolas sont arrivés en voiture en début daprès midi. Oulla! Quel beau gosse ce Nicolas! Grand et mince avec des épaules carrées moulées dans un teeshirt très ajusté qui laissait apercevoir ses muscles, avec la même peau mate que sa sur, les cheveux coupés presque ras, et des mains, larges faites pour caresser.
Nicolas poursuivait ses études dans une école dingénieurs à Nantes, ce qui explique que jusquà aujourdhui nous ne lavions pas vu. En bavardant tous les quatre, nous sommes arrivés près des boxes des chevaux mais Mélanie et Nicolas ont décliné notre invitation pour une ballade à quatre. En revanche, Nicolas nous a indiqué connaitre un endroit si nous voulions profiter de ce bel après midi dautomne encore ensoleillé pour un bain dans la rivière proche.
Après quelques kilomètres de voiture, Nicolas sest engagé dans un petit chemin forestier. Soudain nous avons débouché dans une petite prairie bordant la rivière. Cest vrai que le coin était charmant et discret au possible. Ronan et Nicolas ont quitté rapidement leurs vêtements, ne conservant que leur boxer.
Mélanie a fait glisser sa mini jupe et ôté son teeshirt et son soutien gorge, ne conservant que son string. Waouh! Quelle poitrine! Jen serais presque jalouse: de beaux seins en pomme avec des aréoles très foncées et des tétons gros comme un pois chiche. Je lai rapidement imitée mais en conservant le soutif car mes seins (trop petits à mon gout) me complexaient un peu. Nous avons rejoint les garçons qui sébattaient déjà dans leau encore tiède pour la saison. Comme des s, nous avons commencé à nous éclabousser, à nous poursuivre sur le semblant de plage à lombre dun grand saule. Mélanie et moi, nous sommes sorties de leau.
Les garçons nous ont rejoints. Prenant une grande serviette, Nicolas est venu la poser sur mes épaules et il a commencé à messuyer:
- Il ne faut pas prendre froid.
A quelques pas de nous, je voyais Ronan. Il semblait fasciné par Mélanie, le regard fixé sur ses seins. Jai pensé: « Fais en autant ». A son tour, il a pris une serviette et a essuyé dabord les cheveux longs de Mélanie, puis ses épaules et le reste de son corps.
Soudain, Nicolas a fait sauter lagrafe de mon soutif, et posant une main sur mon sein gauche il est venu cueillir le téton en le faisant rouler entre ses doigts. De lautre en empaumant une de mes fesses, il a glissé une de ses cuisses entre les miennes. Déjà conquise, je me suis ouverte. Il est venu masser mon petit abricot tout lisse par-dessus le string mais il na pas tardé à le faire glisser.
A quelques pas de nous, Ronan et Mélanie, nus tous les deux étaient déjà bien en train.
Quelques temps après, de retour à la maison, Mélanie me complimenta sur ma chatte lisse. Javais vu quelle avait une belle touffe de poils bien drus et crépus. Je lui répondis alors que jaimais bien cette sensation de nudité totale et que dès que javais pu le faire, javais subi une épilation au laser. Ainsi, jétais débarrassée définitivement de mes poils. Je lui offris de la raser lorsquelle en aurait envie.
Sur le coup, elle ne dit ni oui ni non. Nos parents étant absents pour plusieurs jours, nous improvisâmes un barbecue et nous avons ainsi passé ensemble le reste de la soirée en bavardant. Nous avions chacun nos partenaires pour la nuit. Cétait génial, une belle nuit de baise en perspective.
Mélanie mentraina à lécart quand nous sommes arrivés devant nos chambres respectives:
- Je suis décidée, veux tu me raser ce soir ?
Pas de problème. Nous sommes allés dans la salle de bain attenante aux chambres où je savais trouver ce dont javais besoin parmi les affaires de Ronan. Pour être plus à notre aise, nous nous sommes mises nues toutes les deux.
Avec des ciseaux, jai dabord enlevé un maximum de poils puis jai enduit la toison restante dune mousse abondante. Avec de petits gestes précis, jai éliminé dabords les poils de lentrejambe puis ceux bordant les lèvres. Je voulais terminer par les zones les plus délicates.
Après un premier rinçage il ne restait plus que quelques poils qui avaient échappé au rasoir. Je les ai enlevés à leur tour avant denduire la zone dune pommade apaisante et de la poudrer pour éliminer le feu du rasoir.
Pendant toute lopération, les deux garçons nous avaient observées, la bite dressée dans le boxer et moi javais la chatte en émoi. Jétais mouillée comme jamais mais cest vers Mélanie que je suis allée, jai pris ses seins dans mes mains pour les masser et je lui ai embrassé la chatte, faisant courir ma langue entre ses lèvres intimes. Elle ne ma pas repoussée. Elle aussi avait la chatte baveuse de cyprine.
Ce jour là, nous ne sommes pas allées plus loin. Je ne voulais pas leffaroucher en précipitant les choses. Mais le fait quelle ne me repousse pas ouvrait des horizons
Jai entrainé Nicolas dans ma chambre et Ronan a conduit Mélanie dans la sienne. Les uns et les autres, nous avons baisé plusieurs fois au cours de la nuit.
Nicolas et Mélanie nous ont quittés après le petit déjeuner. Quelques semaines plus tard, Mélanie ma téléphoné un soir car elle voulait que je la rase à nouveau. Elle avait acheté le nécessaire et elle voulait que je passe chez elle.
Cette nouvelle séance de rasage sest terminée par une belle partie saphique. Nous étions bi toutes les deux. Nous avons passé la nuit à faire lamour, nous contentant tantôt de caresses buccales ou manuelles tantôt en usant de gadgets divers. Au matin, nous étions ivres de jouissance. Cela mouvrait des perspectives intéressantes.
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