Surprise Pour Une Chienne
Nue, agenouillée, la tête baissée, les mains dans le dos, jattendais que mon maître rentre. Il mavait demandé de lattendre ainsi, jusquà ce quil revienne avec une « surprise ».
La porte souvrit. Mon maître entra, je lentendis sapprocher de moi. Je gardai la tête baissée. Il se plaça devant moi, tendit la main. Je mempressai de la lécher, remuant du cul, comme une chienne heureuse de retrouver son maître. A cet instant, jétais à la fois honteuse dêtre dans une position humiliante, mais cela mexcitait également dêtre traitée comme une chienne. Jétais troublée, je gardai les yeux baissés tout en léchant ça main. Je rougis et sentis ma petite chatte shumidifier. Il retira sa main, je ne bougeai pas, sentant son regard dominateur sur moi. Il me caressa la tête :
-Cest bien ma chienne. Allez, montre à ton maître comme tu es contente de le retrouver.
Je magenouillai alors devant lui, et vis la bosse que son sexe avait formée à travers son pantalon. Il ouvrit sa braguette et je mempresser de renifler son sexe à travers le tissu de son sous-vêtement. Tout en continuant à me caresser la tête, il sortit son sexe dur et dressé. Me mordant la lèvre inférieure face à ce beau et puissant sexe, je sentis que la mouille coulait le long de mes cuisses. Je pris alors le bout du gland gonflé dans ma bouche, puis me mis à le lécher et à le suçoter doucement. Jattendais quil mordonne daller plus loin, tout en faisant tourner ma langue. Il siffla. Je glissai alors lensemble de son sexe dans ma bouche, ma langue continuant de tourner autour de sa verge. Je commençai alors de lents et réguliers vas et viens.
-Regarde moi petite chienne.
Je levais alors les yeux vers lui, poursuivant et accélérant mes vas et viens.
-Ah tes tellement plus belle avec une queue dans la bouche, petite salope.
Les caresses sur ma tête se firent alors de plus en plus intenses, en tendres mouvements.
-Bonne chienne ! Tu as bien mérité ta surprise. Mais avant, montre à ton maître la position que tu as apprise hier.
Docile, je mallongeai sur le dos, relevant les jambes et écartant les cuisses, les mains posées à plat sur le sol. De la sorte, mon maître pouvait bien voir ma petite chatte dégouliner dexcitation. Il sapprocha, me caressa les cuisses du bout des doigts, me faisant frissonner, remontant jusquà mes lèvres et mon clitoris gonflés. Il les effleura seulement, ce qui redoubla mon excitation et la mouille coulant de ma chatte déjà ouverte. Il sécarta, et mordonna de fermer les yeux, ce que je fis. Jattendis, mon bas ventre était brûlant. Il me banda alors les yeux.
-Voilà ma belle. Tu es prête pour ta surprise.
A la fois inquiète et excitée par le fait de ne plus voir, jattendais sagement de découvrir ce que mon maître mavait préparé. Jentendis alors la porte souvrir, et des bruits de pas sapprocher. Il revenait, mais avait laissé la porte ouverte ? Peut-être quil voulait mexhiber aux voisins ? Un bruit de braguette. Il mattrapa fermement les chevilles, écartant encore plus mes cuisses. Je sentis le bout de son gland à lentrée de ma petite chatte dégoulinante, sans toutefois enfoncer son pieu. Jattendis, mais rien ne se passait. Il devait attendre que je le supplie, ce que je ne tardais pas à faire, brûlant dexcitation à lidée dêtre défoncée.
-Sil vous plaît mon maître, baisez votre chienne.
Je sentis alors une main ferme claquer ma fesse droite, ce qui me fit gémir.
-Ce nest pas à ton maître que tu parles, tu lappelleras Monsieur.
Surprise, car je venais seulement de comprendre que lhomme dont je sentais le gland nétait pas mon maître, je sentis alors un énorme pieu me pénétrer violemment. Je ne pus retenir un gémissement de douleur, cette queue était bien trop grosse, et je nétais pas prête à me faire baiser par un autre que mon maître. Dune main ferme, il massa mes seins lourds, pinça mes tétons, tout en poursuivant ses vas et viens brutaux. Je sentais ses couilles taper contre ma chatte, et son pieu me déchirer de lintérieur.
Je voulus me débattre, je ne voulais personne dautre que mon maître. Jeus à peine le temps de bouger que mon maître madministra une autre fessée.
-Bouge pas petite salope.
Je tentai encore de me débattre, il me claqua si fort les fesses que je nosais plus bouger, tenue de me faire violer par cet inconnu. Je le sentais de plus en plus rapide, de plus en plus excité, tandis quil me ramonait la chatte à grands coups de queue et me pétrissait les seins.
Acceptant mon statut de soumise, je me laissais baiser comme une pute, sous le regard de mon maître, les yeux toujours bandés.
Peu à peu, mon bas ventre séchauffa à nouveau, et ma chatte commença à dégouliner. De moins en moins honteuse, de plus en plus excitée, je commençai à apprécier dêtre traitée comme une salope. Alors, je sentis le gland de mon maître se poser contre mes lèvres. Docile, et surexcitée, jouvris la bouche et le suçai, au plus profond de ma gorge, veillant à bien faire tourner ma langue comme il mavait appris. Mon maître et linconnu minsultèrent de salope, de petite pute, de chienne, tout en continuant à me défoncer la bouche et la chatte. Je me sentais remplie, complète, et fus parcourue dun violent orgasme, étouffé par la queue de mon maître. Je sentis linconnu pousser des râles.
-Je savais que tallais aimer, petite salope.
Mon maître me retira mon bandeau et membrassa.
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