Mea-Culpa ...
Elle me tourne le dos et s'en va fâcher ... J'aurai dû "tourner ma langue sept fois dans ma bouche" avant de me laisser emporter par des paroles qui ont dépassé ma pensée ... Je dois me faire pardonner avant qu'elle ne quitte la maison ...
Je m'élance derrière elle, l'enlace au moment où elle met la main sur la poignée de la porte. Quand je la colle à moi, je peux ressentir sa colère qui bouillonne en elle. Elle veut se détacher de moi, mais d'un bras, j'entoure sa taille et la presse plus contre moi. Je sens ses petites fesses bouger contre mon ventre.
De ma main libre, je pousse ses cheveux, j'embrasse sa nuque, son cou. Elle se débat toujours :
-Laisse-moi ! ... Je te hais ! ...
Mes lèvres glissent jusqu'à son oreille ... Je lui murmure :
- Pardonne-moi ! ... Je ne pensais pas ce que je disais ... Je t'aime ! ... Ne pars pas comme ça !
Elle se tourne vers moi la moue boudeuse, le regard sombre, larmoyant. Mais je la sens, sous la caresse de ma bouche, de mes lèvres, de ma langue se ramollir légèrement dans mes bras. Je la connais, je sais que je peux la faire craquée, reprendre le dessus, lui faire oublier cette dispute. Alors de ma voix la plus suave :
- j'ai envie de toi ... De ta petite chatte ... De ton miel ... Laisse-moi te prouver que je t'aime ...
À mes mots, son visage se radoucit un peu. J'en profite pour la faire tourner face à moi et la paquer dos au mur. L'embrasser a pleine bouche tandis que mes mains caressent ses hanches, ses fesses en remontant sa robe qui expose ses cuisses et sa culotte.
Ses mains sur mes bras, elle veut m'arrêter, mais son geste est trop timide, je sais maintenant que si à cet instant, ses sentiments envers moi ne sont pas favorables, l'envie va finir par l'emporter ...
Je me laisse tomber lentement à ses genoux, en embrassant son corps sans jamais perdre le contact de ses yeux.
Je respire son doux parfum intime. Frotte mon nez dans sa culotte déjà humide avant de la tirer lentement jusquà ce qu'elle tombe au sol. Elle l'enjambe pour sans débarrasser et écarte d'elle-même ses jambes. Mes mains remontent doucement vers son sexe en caressant l'intérieur des cuisses. Puis tout en l'embrassant au-dessus de son monticule mes deux pouces
frottent sa fente délicatement, ce qui lui arrache un tressaillement voluptueux. Mes lèvres glissent lentement vers sa vulve. Quand ma bouche se pose sur sa fente, elle chancelle, ses mains s'accrochent a mes épaules, elle me laisse entendre une petite plainte.
Ma main passe sous sa cuisse gauche pour soulever sa jambe et la poser sur mon épaule. Je recule un peu ma tête pour mieux glisser ma langue dans ses plis intimes et explorer ses nymphes pour venir jouer avec son clito, sur lequel, tantôt je fais des cercles, tantôt, je l'agace du bout de ma langue. Puis mes lèvres viennent bécoter ce petit bout avant de l'aspirer, le sucer ... Et de recommencer.
Elle s'est cambrée, tête en arrière, les yeux fermés, soupirante. J'en profite pour glisser mes mains sous sa robe. Caresser ses fesses, son ventre ferme, son dos. Masser ses petits seins, libres de tout soutien, aux tétons déjà durs et longs que je roule entre pouce et index.
Malgré l'excitation, la force du plaisir qui l'envahit, elle d'ordinaire si sensible et bruyante aux caresses que je lui prodigue quand je lui fait l'amour, retient ses gémissements pour bien montrer qu'elle n'a pas encore complètement pardonnée. Mais sa respiration de plus en plus oppressée, ses halètements, trahissent la jouissance qui la gagne et qu'elle ne veut pas m'exposer ... Pas encore.
Jabandonne son clitoris et tout en picorant ses chairs intimes, je darde la pointe de ma langue dans son con. Je tourbillonne autour de l'entrée de son vagin.
Prenant cela comme un signal, j' enfouis ma frimousse dans ses plis, mon nez frotte son clitoris dardé et gonflé. Son nectar coule sur mon menton que je bois autant que je peux entre chaque plongée de ma langue dans son vagin, tandis que mes mains continue de peloter ses seins.
J'ai à peine reculé mon visage pour reprendre un peu d'air, que sa main, derrière ma tête, me colle de nouveau sur sa chatte en même temps qu'elle pousse ses hanches vers mon visage. Ses gémissements se font de plus en plus fort. Elle est maintenant incapable de se contrôler :
- Oh mon dieu !
Mon Dieu ! ... Tu le fais si bien ! ... Continue ! Continue !
Fais moi venir !
Je t'en prie ! ... Fais moi jouir !
Elle dégouline ! Entre sa chatte visqueuse, son jus qui m'inonde, cette jouissance qui irradie tout son corps, ses plaintes lascives, les mots cochons qu'elle me lance, mon excitation à moi est aussi à son comble.
Je fonds littéralement. Ma culotte, trempée, colle a ma chatte et ne peut plus éponger ma mouille qui glisse le long de mes cuisse. Je sens mon sexe gonflé, mon clitoris qui darde, une sorte de doux frisson monte de mon bas-ventre
J'ai moi aussi envie de jouir ! Mais d'abord, elle ! C'est ma pénitence si je veux l'absolution de ma chérie. Ensuite, on verra si elle veut, sinon il faudra que je me finisse d'une manière ou d'une autre !
Je la baise de deux doigts dans un bruit de clapotis obscène, pendant que ma langue s'occupe de son bouton. À sa main qui se crispe d'abord sur ma tête, puis qui tire sur mes cheveux plus qu'elle ne les agrippe, à ses râles qui ont remplacé ses gémissements, à sa jambe qui fléchit, tremble, je sais qu'elle est proche ...
Ohhh !
Je vais jouir !
Tu vas me faire jouir ! .
Ma langue, mes doigts, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je sens les contractions monter dans sa vulve, son corps se tendre, son miel gicler alors qu'elle laisse échapper des plaintes de plaisir qui font passer des frissons à travers tout mon corps
Et viens la délivrance, pour ma chérie ...
Un long cri, entier, envoûtant ... Et l'orgasme explose en elle. Tremblante, agonisante, elle essaye de s'arracher à mes caresses tellement sa jouissante est trop forte ... Puis elle s'effondre sur moi, vidée, morte et essoufflée ...
Un moment après, relâchée, apaisée, satisfaite, elle me tire à elle et m'embrasse avec passion. Puis me pousse à son tour contre le mur. À son regard scrutateur, un vague retour de honte me submerge au souvenir des propos que je lui tenais tout à l'heure. Alors que je lui demande une fois de plus pardon, elle ferme ma bouche d'un baiser, lèche sa mouille qui barbouille mon nez et mon menton. Puis me prend par la main. Et tout en me tirant dans l'escalier qui mène aux chambres, elle me demande avec un large sourire qui en dit long sur ses intentions :
Tu as toujours ton double-dong
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!